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EAN : 9791094169131
1 pages
Graph Zeppelin (15/09/2017)
3.85/5   24 notes
Résumé :
Dans un environnement speampunk, Magna Spadarossa, une mystérieuse jeune femme, est à la recherche de sa soeur Sonja.
Dans sa quête, elle rencontrera force vilains mais elle sera heureusement aidée par des héros légendaires.
On retrouvera dans ce livre tout l’univers steampunk où se croisent les personnages mythiques revisités de bandes dessinées américaines : Vampirella, Red Sonja, Zorro, The Green Hornet et Kato, Flash Gordon, le Phantom et bien d’a... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
3,85

sur 24 notes
Legenderry est une série de comics dont le principe est simple. Il a déjà été utilisé par Alan Moore dans la Ligue des gentlemen extraordinaires ou par Bill Willingham lui-même dans la série Fables. Ici il reprend le même « truc » scénaristique, qui, moi, me fait toujours très envie si c'est réussi : utiliser des héros et des méchants de différentes histoires, les faire se rencontrer et imaginer des interconnexions entre eux. Dans la série d'Alan Moore, c'était une réussite majeure. Dans Fables (avec les contes de fées), c'était inégal mais parfois brillants. Qu'en est-il ici ?
Ce qui est jouissif c'est que les héros (et donc les vilains) en question ont été peu utilisés dans des comics de ce genre et qu'ils ne sont pas forcément reconnaissable qu premier coup d'oeil. D'ailleurs la découverte est à chaque fois surprenante. le green Hornet, Vampirella, le Phantom, Zorro, Flash Gordon, j'en passe des plus surprenants.
Le deuxième élément positif est cette ambiance steampunk très réussie. du vrai steampunk, c'est-à-dire une technologie fin XIXe siècle (charbon, vapeur) qui aurait continuée à évoluer vers la modernité en l'absence de pétrole et d'électricité mais avec un décalage entre régions modernes (les villes surtout) et régions reculées (jungles, déserts). On se croirait dans un monde créée par Jules Verne pour un jeu vidéo, dans le bon sens du terme.
Le troisième élément qui emporte l'adhésion, la mienne en tout cas, c'est l'humour qui innerve tout l'album. Tout ça n'est pas très sérieux et frôle (dépasse ?) même la parodie. Un second degré assumé qui fait souvent mouche.
L'histoire est moins surprenante, mais tient quand même la route. Une jeune femme est recherchée par une coalition des vilains et dans sa fuite, trouve de l'aide auprès d'une succession de héros, un par chapitre. Les héros ne sont jamais vraiment ensemble de (presque) tout l'album. On a affaire à une sorte d'introduction à l'univers de Legenderry avec présentation des personnages et du décors de ce monde légendaire.
Ce qui permet quand même d'en faire un must, ce sont les dessins de Sergio Fernandez Davila, en phase totale avec l'ambiance steampunk. On en prend pleins les yeux et les couleurs très vives sur papier glacé n'y sont pas pour rien.
Un véritable tourne page et un comics de très bonne qualité.
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Un comic's qui a tout pour plaire.. enfin pour me plaire ça c'est sur.

Déjà l'univers Steampunk est fait pour moi.. j'adore ça.
Et puis les graphisme son vraiment très réussis. Très détaillés.. mais bon ça rien que de savoir que c'est steampunk on aurait pu s'en douter. La colorisation est très vive, voire même éclatante. le tout sur papier glacé ce qui rend donne encore plus de pep's a cette colorisation.

Petit bémol pour moi, quand même en ce qui concerne le lettrage.. j'ai eu bien du mal à déchiffrer certains textes dans les chapitres 6 et 7... (le journal de Red Sonja) un chouia petit avec un lettrage pas très adapté à ma vue vieillissante.

Le scénario reste classique des gros gentils contre des gros méchants. Mais surtout plein de référence à d'autres personnages déjà connus (et pas que dans l'univers de la BD). Mais ça reste malgré tout super plaisant à lire.

Sinon le bonus, cerise sur le gâteau, qui nous livre le scénario du premier chapitre, puis les détails des personnages de face et de profil sur une page entière (du bonbon pour les yeux) et enfin les couvertures des différentes étapes.

Un très bon moment et un très beau livre.

Je conseille vivement pour les amateurs du genre...
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Voilà un comics de super-héros steampunk jouissif, à prendre au premier degré.

C'est bourrin, rigolo, sanglant pour rire. Ça me fait penser à du Tarantino. le monde est étroit – les espaces et les villes se comptent sur les doigts de la main –, un peu comme si on était sur un jeu de plateau.
Une ligue des plus grands méchantvilains de la planète s'acharne après une jeune fille éblouissante. Chaque chapitre permet de découvrir un ou des héros de Legenderry qui vont chacun leur tour prendre en charge la pauvre fille sans défense (voire, quand vous saurez qui c'est... ^^). le truc vraiment cool, c'est la découverte de ces super-héros qui ne sont pas des inconnus .
C'est jouissif de découvrir ces personnages détournés. Sur la couverture, vous pourrez en reconnaître certains. Ils flanquent des pâtées dantesques aux pauvres sbires des vilainméchants qui, semble-t-il, manquent d'informations sur leurs adversaires. Faut pas aller creuser beaucoup plus profond, vous avez là à peu près tout le scénario.

Les dessins rayonnent des technologies du gaz et de la vapeur et des formidables costumes. L'humour est omniprésent, et on peut y voir de l'autodérision. Bref, tout ça ne se prend pas au sérieux et ça détend super bien.
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Je remercie Babelio et la dernière masse critique pour m'avoir fait connaître ce comics, j'ai craqué sur la couverture. Je l'avais coché mais je n'ai pas été sélectionné pour le recevoir. Ce n'est pas grave car il m'a tellement intriguée que je n'ai pas hésité longtemps à l'acheter. Et lu quasi dès la réception. Je n'ai pas été déçue, aussi bien par l'objet que par l'histoire ou par le bonus, j'ai beaucoup aimé le feuilleter.

Ce comics est en fait le premier tome d'une série et contient les tomes 1 à 7 de la version anglophone de « Legenderry ». Les graphismes sont superbes, très colorés et les personnages nombreux. le bonus nous aide à savoir qui est qui parmi les « gentils » entre leurs apparences du monde et leurs alter-ego, les super-héros. Ils sont connus dans le monde des super-héros, mais ne sont pas les plus connus d'entre eux et ne font pas l'objet de films Marvel. du coup, ça m'a été bien utile et j'ai pu observer le graphisme de ces personnages. Dans chaque partie, nous découvrons les différents super-héros qui se rejoindront pour faire front contre un « méchant » commun. En réalité, on suit une jeune femme, Magna, qui est à la recherche de sa soeur Sonja mais des hommes sont à sa poursuite. Nous découvrons peu à peu pourquoi au gré des aventures de Magna et de ses nouveaux amis. L'histoire est très intéressante à suivre car nous faisons également connaissance avec les « méchants » et leur ambition pour Legenderry, ce monde original. J'ai pris énormément de plaisir à regarder et à détailler les différents graphismes, aussi bien des super-héros que l'univers steampunk inventé. La première partie du bonus est intéressante mais je l'ai lu en diagonale car il s'agit de la partie script pour le tome 1 pour le dessinateur. Bill Willingham lui explique ce qu'il veut voir apparaître dans chaque case, et ce qu'il ne veut pas (comme des détails vestimentaires des femmes...). La 2ème partie est consacrée aux personnages et à leurs alter-ego où j'ai pu admirer le travail du dessinateur. Et la 3ème partie comprend différentes couvertures pour les 7 tomes réalisées par différents dessinateurs où les super-héros apparaissent plus ou moins avec des costumes plus ou moins osés pour les femmes. Un très beau livre-objet donc grâce également à la belle couverture cartonnée.

Comme vous l'aurez compris, le coup de coeur a été au rendez-vous avec ce magnifique ouvrage. J'ai très apprécié découvrir une autre oeuvre de Bill Willingham qui a l'art de revisiter de façon inattendue Cendrillon et les fables ou certains super-héros peu connus. La découverte est totale quand on ne le connaît pas ou peu, même quand on sait quel est son style de prédilection. Il sait également s'entourer de bons dessinateurs car ça a été encore une fois un vrai régal pour les yeux. Si vous êtes amateurs de comics originaux, je vous conseille plus que fortement de découvrir celui-ci. Pour ma part, je vais attendre impatiemment la suite des aventures de nos héros, puisqu'il semblerait qu'il ne s'agisse que du 1er tome d'une série.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Il s'agit d'un récit complet et indépendant, initialement paru sous la forme de 7 épisodes, en 2013/2014. le scénario a été écrit par Bill Willingham (le scénariste de Fables). Les dessins et l'encrage ont été réalisés par Sergio Fernandez Davila. Wes Hartman a effectué la mise en couleurs. Les couvertures principales sont de Joe Benitez, avec l'aide d'Ivan Nunes. Ce tome contient aussi toutes les couvertures alternatives, ainsi que le script du premier épisode, et les dessins de conception graphique des personnages, réalisés par Johnny Desjardins.

L'histoire commence à New York, à une date indéterminée (sûrement la fin du dix-neuvième siècle, pour être cohérent avec le concept du Steampunk). Dans un restaurant huppé, Vampirella (dans une superbe robe rouge & noire) est en train de dîner avec Brit Reid (dans un beau costume 3 pièces vert bouteille, évoquant la couleur de son costume de Green Hornet). Une femme fait irruption dans la salle, poursuivie par une demi-douzaine de tueurs cagoulés. Vampirella a vite fait de s'en occuper de manière très brutale.

Cette jeune femme s'appelle Magna Spadarossa, et elle est à la recherche de sa soeur, une certaine Red Sonja. Brit Reid (et son homme de main Kano) va essayer de déterminer qui a commandité ces tueurs. Par la suite, elle va voyager sur un autre continent à bord d'un vaisseau sous le commandement de Captain Victory. Elle sera ensuite amenée à faire équipe avec Phantom (Kit Walker) & Devil, Flash Gordon, Silver Star, Steve Austin et Don Diego de la Vega (Zorro).

Dès la couverture, le lecteur comprend bien qu'il s'agit d'un projet fabriqué de toutes pièces. L'éditeur Dynamite a été chercher Joe Benitez (l'auteur de Lady Mechanika) pour qu'il apporte sa touche steampunk aux couvertures (alors qu'il ne dessine rien à l'intérieur), et Benitez s'en tient strictement à dessiner des personnages, sans aucun arrière-plan. L'apparence des personnages a été conçue par un artiste engagé spécialement pour cette tâche : Johnny Desjardins.

L'association de héros est assez hétéroclite, et reflète surtout le catalogue de personnages dont Dynamite détient les droits au moment de la parution de l'ouvrage. Red Sonja est un personnage annexe de la série Conan le Barbare (mais pas créé par Robert E. Howard). Vampirella est une vampire (oui, c'est marqué dans son nom) rescapé d'un magazine des années 1970. Green Hornet (et Kato) provient d'une série télé, dont la renommée doit beaucoup à la présence de Bruce Lee au générique. Flash Gordon était le héros d'un comic-strip d'Alex Raymond dans les années 1930. The Phantom (& Devil) provient lui aussi d'un comic-strip des années 1930, créé par Lee Falk. Steve Austin était le personnage principal d'une série télé dans les années 1970. Zorro fut créé en 1919 par l'écrivain Johnston McCulley, et a bénéficié d'une série télé réalisée par les studios Disney dans les années 1950 (avec Guy Williams). Enfin Silver Star et Captain Victory sont des personnages de comics, créés, écrits et dessinés par Jack Kirby au début des années 1980.

Le lecteur se rassure un peu quand il voit que ce bel emballage d'un assemblage hétéroclite d'héros (devant plus à l'exploitation de licences, qu'à une logique d'auteurs) bénéficie d'un scénariste de grand renom : Bill Willingham. Il apparaît rapidement que son objectif est de donner corps à ces versions steampunk de personnages établis et de construire et développer un monde cohérent à partir de ce concept artificiel. La notion de steampunk qualifie un genre littéraire dont l'action se déroule dans l'atmosphère de la société industrielle du dix-neuvième siècle, avec une utilisation massive des machines à vapeur.

Les dessins de Sergio Fernandez Davila montrent une utilisation un peu libérale et parfois trop littérale de l'imagerie associée au steampunk. Il y a donc les tenues vestimentaires, croisement stylistique entre les vêtements de l'époque de la reine Victoria, et des tenues un peu plus décolletées pour les femmes, un peu plus moulantes pour les hommes (voire carrément collantes pour Silver Star, comme un costume de superhéros). Ensuite il y a la présence sur chaque tenue de quelques éléments ou accessoires en cuivre. D'un côté, Davila reprend le métal en vogue à l'époque ; de l'autre côté il s'agit d'un élément visuel sans réelle signification autre que visuel (il n'y a pas de logique technologique d'anticipation rétrofuturiste justifiant cette omniprésence du cuivre). de même Davila a décidé que les lunettes de protection (avec monture en cuivre) constituent un élément indispensable du steampunk. du coup tous les personnages (sauf peut-être les figurants) en portent systématiquement, tout le temps. le lecteur comprend que Davila veut à tout prix faire "steampunk", sans se soucier d'une logique pour l'usage ou la présence de ces éléments.

Passé ce petit agacement pour ces éléments steampunk utilisés à tort et à travers, les dessins de Davila sont agréables, de bonne facture pour un comics. Les personnages se distinguent aisément. Les vêtements comportent des détails en quantité suffisante. Les arrière-plans sont présents régulièrement, et assez développés pour rendre de compte de la spécificité des lieux. Les scènes de combats disposent d'un minimum de mise en scène pour ne pas se limiter à une juxtaposition de cases avec des gens se tapant dessus au hasard de postures que le dessinateur trouve cool.

Davila arrive à reproduire assez d'éléments spécifiques à chaque héros pour qu'ils ne soient ni interchangeables, ni fades. Il n'y a vraiment que les héros de Kirby qu'il n'arrive pas à assimiler au steampunk (il faut dire que le choix de ces personnages était incongru dès le départ). Bien sûr quand Red Sonja finit par apparaître, elle arbore son soutien-gorge en cotte de mailles (mais elle porte un vrai pantalon). Par contre le mode de représentation fait ressortir avec force l'idiotie pour Steve Austin de disposer d'un bras bionique, puisque le reste de sa musculature humaine est incapable de supporter les poids soulevés ou maniés par ce bras.

De son côté, Bill Willingham ne dispose que de 7 épisodes pour concevoir, présenter et installer une dizaine de personnages, dans un environnement où tout est à construire. Il ne faut donc pas espérer beaucoup de personnalité pour chaque héros. le scénariste s'appuie sur les particularités déjà connues du lecteur et arrive tout juste à donner quelques répliques sémillantes à Zorro, et un semblant de suffisance à Silver Star. Pour le reste, ils sont tous valeureux et courageux. Finalement, c'est encore Devil (le chien robotique de Phantom) qui sort les répliques les plus piquantes. Il s'appuie également sur les criminels de chaque héros pour fomenter un complot à grande échelle, afin de régner sur tous les territoires. le lecteur voit donc apparaître Lidia Valcallan, Felix Avalon, Ming, Docteur Moreau, Général Tara, Kulan Gath.

L'intrigue et le développement de l'environnement priment donc sur les personnages. Willingham a conçu une trame générale (la recherche de Red Sonja portée disparue) qui fournit le motif des pérégrinations de Magna Spadarossa, au cours desquelles elle croise tous ces héros. le plan de conquête tient la route. Les rencontres sont justifiées par le scénario. Willingham a conçu son intrigue de manière satisfaisante. Alors que le lecteur peut s'agacer des disparités de technologies existant dans ce monde (pas que des moteurs à vapeur), l'apparition de Flash Gordon fournit une explication à ces divergences.

Au final ce tome constitue un divertissement léger à base d'aventures grand spectacle, dans le cadre d'un environnement steampunk qui dépasse les limites strictes du genre. Les personnages n'ont que peu de personnalité, l'objectif étant de poser les fondations d'un environnement dans lequel d'autres créateurs pourront venir jouer par la suite (l'amorce d'une franchise d'un genre très pointu). Si le lecteur est venu chercher un récit bien ficelé, rigoureux, avec des thèmes adultes, il sera déçu par un récit attaché à servir de bible pour les auteurs suivants. 3 étoiles. S'il vient chercher une aventure sans conséquence, il pourra apprécier une histoire facile à lire, avec des personnages hauts en couleurs, et un parfum steampunk un peu original. 4 étoiles.
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critiques presse (2)
BulledEncre
13 avril 2018
Le dessinateur espagnol Sergio Fernandez Davila s’en donne à cœur joie pour relooker l’ensemble des personnages à la mode de l’Angleterre Victorienne matinée de technologie. Ce recueil, rassemblant les épisodes 1 à 7, sort son épingle du jeu.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Sceneario
11 janvier 2018
Une partie bonus nous attend à la fin, avec le script du premier épisode, des recherches sur les personnages et les couvertures. Une bonne surprise que je vous invite à suivre. Un bon récit d'aventure assez surprenant.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
« Bien le bonjour, voyageur ! Soyez le bienvenu à Legenderry, une Terre alternative où se croisent vos héros préférés ! (…)
Asseyez-vous, détendez-vous et souvenez-vous de garder vos têtes, bras et jambes, en permanence à l'intérieur du véhicule.
Bon séjour à Legenderry ! »
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Zorro : Et notre honneur ? Il était notre prisonnier, et par conséquent sous notre protection !
Red Sonja : Votre code d'honneur vous honore mais ne me concerne pas. L'espionnage n'est pas un jeu de gentlemen.
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« Retrouver Noisette, le cheval de guerre le plus peureux, devient mon passe-temps favori. Mais fallait s'y attendre, en achetant en ville un cheval de guerre qui n'en a jamais connu une. »

(Red Sonja).
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- Mon Dieu! Les avez-vous tués de sang froid?
- Non, juste plongés dans un sommeil profond. Néanmoins, je n'aurais aucun remords si une autre voiture leur roulait dessus, avant qu'ils puissent être écartés de la voie publique.
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— Faites silence, mon cher, il se passe quelque chose à l'entrée.
— Hein , Comment pouvez-vous percevoir quelque chose dans la cacophonie ambiante ?
— Les oreilles que vous essayez de mordiller à la première occasion ne sont pas que décoratives.
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