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3,92

sur 373 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Si vous cherchez un livre d'action il faut passer son chemin avec ce roman, par contre si vous aimez l'humour et les jeux de mots ce livre est fait pour vous.

A travers des voyages dans les temps les historiens étudient l'histoire.. mais qui aurait pensé qu'un simple chat puisse être la cause de distorsions temporelles ? le paradoxe temporel bien évidemment refait l'histoire. Les choses, les objets , les gens changent.

J'ai pris un réel plaisir a lire ce roman grâce aux jeux de mots et aux quiproquo... les personnages sont simples et sympas. de plus de nombreux évenements historiques sont cités, ainsi que des personnages ou des auteurs.. et cela a été pour mon plus grand plaisir.

Bref une touche d'humour dans notre mon de brutes ça fait du bien
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J'ai retrouvé avec plaisir l'univers imaginé par Connie Willis. Les historiens et leurs sauts dans le temps, les catastrophes qui en résultent, etc.
Le héros de ce livre-ci est Ned Henry, spécialisé au XX e s. Pour autant les desiderata d'une dame patronnesse tyrannique le poussent à cumuler sauts temporels sur sauts temporels, entraînant ainsi un sérieux déphasage. Pour se ressourcer, Dunworthy l'envoie au XIX e s avec une mission au passage, réparer une incongruité temporelle qu'une collègue a fait.

Sans parler du chien permet à Connie Willis d'exploiter son univers de SF. Les déphasages, le continuum spatio-temporel qui s'auto-régule, les possibilités de déplacements sont abordés, la plupart du temps clairement mais j'admets que certains passages m'ont un tantinet dépassé.
Plus que dans le Grand Livre et dans Blitz, Connie Willis nous démontre une narration légère et pleine d'humour. Comme dans ses autres livres, ladite narration prend son temps, opère des retournements de situation. On a l'impression d'en voir la fin avant d'effectuer un virage à 180 degré. On se promène dans le temps comme Ned sur la Tamise. Cela peut paraître longuet mais on finit par se prendre au jeu et se laisser aller à cette lecture.
J'ai dans l'ensemble beaucoup aimé cette lecture. Les personnages sont attachants, l'histoire est intrigante. J'ai trouvé cependant que l'époque victorienne semblait moins le dada de Connie Willis, si ce n'est la forte présence du spiritisme. Enfin, la fin tire un peu en longueur.
Pour autant, si un nouveau livre de cette auteure sur nos historiens temporels sort dans les années à venir, je sauterai sur l'occasion!

Challenge trivial reading X
Challenge Mauvais Genres 2021
Challenge A travers l'histoire 2021
Challenge multi-auteures SFFF
Challenge multi-défis
Challenge Pavés 2021
Challenge Plumes féminines 2021
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Un bon moment de lecture même si j'ai été plus d'une fois perdue.

De Connie Willis, j'avais déjà lu « Le Grand Livre » que j'avais beaucoup apprécié, surtout la partie se déroulant au Moyen-âge. Il me tardait de découvrir un autre ouvrage de l'auteure, et en particulier « Sans Parler du Chien » qui a reçu le Prix Hugo pour le meilleur roman et le Prix Locus en 1999.

Comme le Grand Livre, il traite de l'Histoire également, mais avec de l'humour en plus. Et en effet, si vous aimez les romans qui font sourire, qui traitent des voyages dans le temps et donc de l'Histoire, ce livre est fait pour vous !

Ned Henry est un historien voyageur temporel du XXIème siècle. Il fait partie d'une équipe qui est chargée de reconstituer la cathédrale de Coventry qui fut détruite en 1940 lors d'un raid aérien allemand. L'une de ses missions consiste à retrouver la trace d'une vieille potiche qui aurait disparu depuis l'incendie de la fameuse cathédrale. Mais suite à un important paradoxe naturel causé accidentellement par l'une de ses collègues, il est envoyé au XIXème siècle près de Coventry pour rétablir la situation. Sauf que lorsque le passé est affecté, il n'est pas si simple de tout corriger…

Cette fois-ci, Connie Willis nous immerge dans une ambiance toute « british » avec ses promenades en canot sur la Tamise, ses kermesses, déjeuners et jeux de croquet, typiques du XIXème. Mais aussi par de nombreuses références littéraires d'auteurs britanniques célèbres avec entre autre Lewis Carroll, Arthur Conan Doyle, P.G. Wodehouse (avec son fameux Jeeves), Shakespeare, Agatha Christies… ainsi que Jerome K. Jerome avec son « Trois hommes dans un bateau » qui ressort régulièrement dans ce roman. La littérature est omniprésente dans cet ouvrage par de nombreuses citations en introduction de chaque chapitre mais aussi par l'intermédiaire des personnages. Et ça j'ai beaucoup aimé !

Ce qui fut un peu difficile pour moi à certains moments, c'est de parvenir à suivre les réflexions des personnages sur les incongruités et autres paradoxes temporels provoqués par la succession des évènements car ça part un peu dans tous les sens. Un vrai casse-tête ! C'est que Ned et sa camarade Verity gambergent beaucoup pour comprendre et corriger tout ce chaos. On est baladé à tour de rôle de 1888 au XXIème siècle, en passant par 1940 pour dénouer tous ces imbroglio. Mais malgré tout, on se prête facilement au jeu nous-même.

Mention spéciale pour le chien Cyril que j'ai trouvé épatant, un personnage à part entière. Et oui, y'a bien un chien dans l'histoire !

Encore un grand merci à Cricri124 pour le partage autour de cette lecture, c'est toujours un plaisir d'échanger avec elle.

Challenge Multi-auteures SFFF 2020
Challenge Livre Historique 2020
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Connie Willis m'enchante. Ses livres suivent le principe édicté par la série des « Robots » d'Asimov: soit des règles intangibles qui semblent avoir été transgressées et qui, en réalité, ne l'ont pas été, comme on le découvre dès lors que l'on adopte le bon schéma de pensée. D'où ce délicieux pot-pourri victorien qui combine la SF et ses voyages dans le temps avec le roman à énigmes : comment le « continuum » se débrouille-t-il pour que les interventions des voyageurs ne puissent altérer le cours de l'histoire ? Sachant que si Terence n'épouse pas Maud, leur fils non-né ne deviendra pas pilote de la RAF, au risque d'entraîner la victoire de l'Allemagne nazie. Les amours de Terence et de Maud, contrariées par la disparition d'une abominable potiche épiscopale et la réapparition d'une adorable chatte éprise de poissons rares raviront les lecteurs de Jane Austen. Ici, pas de paradoxe temporel : le continuum veille et répare les bévues des voyageurs du temps avec le même a-propos qu'Emma Woodhouse quand elle décide de marier ses amis. Moins prolixe ici que dans d'autres romans, Connie Willis annonce clairement que son amour pour l'Angleterre victorienne se limite à ses auteurs mais qu'elle se tamponne le coquillart de l'époque : « Darwin, Disraeli, la question indienne, Alice au pays des merveilles, la petite Nell, Turner, Tennyson, Trois hommes dans un bateau, crinolines et croquet… essuie-plumes, napperons
au crochet, le prince Albert, redingotes, refoulement sexuel, Ruskin, Fagin, Elizabeth Barrett Browning, Dante Gabriel Rossetti, George Bernard Shaw, Gladstone, Galsworthy, néogothique, Gilbert et Sullivan, tennis et ombrelles. Voilà… Il est paré » Ainsi s'achève la leçon accélérée à l'intention du voyageur temporel qui ne court, en réalité, qu'un seul danger à hanter la verdoyante campagne anglaise du XIX° siècle : ne pas déceler, sous la passementerie brodée au point de croix de la têtière posée sur le fauteuil crapaud, la flèche acérée de Cupidon.
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Après avoir tellement aimé Black Out lu dans le cadre d'une LC en novembre dernier, je m'étais dite que lire « Sans parler du chien » serait une très belle idée. Et bien j'en ressort avec un avis beaucoup moins enthousiaste qu'avec ma première lecture.

Nous sommes toujours dans le thème des voyages dans le temps à but d'observation et de versifier l'histoire, comme ici aller dans le passé pour récolter un maximum d'informations sur un édifice détruit par un raid aérien nazi en 1940.

L'histoire : Après plusieurs voyages temporels, Ned Henry, se voir être obligé de se reposer, en effet, plusieurs semaines se sont passées et pas moins de 18 voyage temporels l'on totalement épuisé. Contre toute attente, Ned va aller se reposer, sur le bon conseil du professeur Dunworthy à l'époque victorienne. le thé servi sous un saule dans de tasses fines en compagnie de filles en robe blanche, servi par un majordome obséquieux prêt à satisfaire le moindre de ses caprices.
Ned arrive comme convenu, mais comme il n'est pas dans une forme olympique, à son arrivée, il s'aperçoit qu'il ne se rappelle plus le nom de son contact en 1888. de plus, il doit avoir une mission avant de prendre son congé forcé, mais là aussi, ses souvenirs sont très flous. Il ne sait plus ce qu'il doit faire... Par le plus grand des hasard, il va tout de même retrouver Verity Kindle, ils sont tous 2 historiens et effectuent de nombreux voyages dans le temps. Elle a sauvé un chat de la noyade et rapporté de cette époque victorienne, une chatte : Princesse Arjumand, ce qui est tout à fait impossible. Il est interdit de transférer quoi que se soit du passé vers l'avenir...

On s'aperçoit assez vite que Ned va devoir remettre l'histoire dans l'ordre étant donné que la disparition du chat à fait que sa propriétaire n'a pas rencontré son futur mari. le seul indice sur lequel Ned va pouvoir appuyer sa recherche est la lettre C du début du nom de ce futur « Monsieur C » que cette femme doit absolument rencontrer, si non la faille temporelle ne se refermera pas. Mais, Ned s'aperçoit aussi qu'à cause de cette faille, il n'est pas arrivé le 8 juin, mais le 10 juin, 3 jours en retard et avec 40 milles de décalage avec son lieu de destination et avec encore plus de déphasage. Il s'aperçoit aussi le court de l'histoire peut changer jusqu'à faire gagner la guerre à Hitler...

J'ai trouvé que ce livre, écrit en 1999, pouvait être un préliminaire à Black Out... Je ne voulais pas faire de comparaison, mais je suis obligé de la faire. J'ai comme l'impression que l'auteur, Connie Willis, a fait un premier essai avec « Sans parler du chien » et qu'elle a revue sa copie avec Black Out. Quoi que, on pourrait tout à fait dire que Black Out pourrait être une suite...

Ce que je reproche à cet opus c'est le manque d'explication. En effet, si on n'a pas lu Black Out et qu'on ne connaît ni le style de l'auteur, ni le milieu dans lequel elle va nous conduire, l'acclimatation au contexte ne doit pas être évident. Dans Black Out, Connie Willis passe pas mal de temps à explique à quoi servent les voyages dans le temps. Elle donne plus de temps au lecture pour s'habituer au thermes utilisés comme : continuum, incongruité … de plus, j'ai trouvé que l'histoire était assez complexe, de plus nécessite une attention très forte et assidue, si non, vous serez vite largué.

Si non, j'ai aimé le contexte et l'époque victorienne. J'ai totalement adoré les personnages animaliers comme le bouledogue Cyril, la chatte Princesse Arjumand, des ryunkins nacrés, des cygnes belliqueux et des pigeons revanchards. Mon préféré va vers Cyril !!! je l'ai adoré !!!
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Cette fois-ci, Connie Willis nous plonge, au travers de ce Pavé, dans un récit dans lequel les voyages dans le temps servent véritablement le fil rouge. le roman est une véritable pépite. le rythme est rapide, l'humour omniprésent, les personnages (tant principaux que secondaires) sont attachants, les surprises sont nombreuses, malgré quelques épisodes convenus.

Ces petites déceptions viennent hélas ternir un ensemble pourtant très bien composé. Les dénouements proposés ici sont plus travaillés que dans le Grand livre mais ils restent décevants et prévisibles. Celui qui concerne la cathédrale est d'ailleurs franchement surfait. Dommage, car d'un autre côté, l'auteur parvient à préserver son suspens (notamment pour la potiche de l'évêque).

Mais cela n'ôte rien au plaisir de cette lecture. L'Angleterre victorienne sert ici de cadre à un récit de toute beauté caractérisé par un humour pour le moins mordant. Les adeptes de la saga Retour vers le futur seront ici comblés. L'ambiance très particulière du canotage sur la Tamise, de la vie dans la bourgeoisie est un régal et l'on songe tout de suite aux nouvelles De Maupassant. D'ailleurs mêmes les sous-titres des chapitres sont des clins d'oeil habiles au XIXème siècle...

Outre les voyages dans le temps, le livre est truffé de références qui vont plaire à un très large public. Promis, vous ne verrez plus jamais un chat de la même manière. Idem si vous appréciez les polars et de manière générale la littérature policière du XIXème. A côtés de plusieurs auteurs, Agatha Christie et Arthur Conan Doyle sont assez souvent cités et influent l'histoire à leur manière.

Bien que les passages dédiés au Londres bombardé de la Seconde Guerre Mondiale semblent annoncer le prochain livre, Sans parler du chien peut se lire de manière tout à fait indépendante. Une lecture tout à fait originale qui devrait redonner le sourire à quiconque désire entreprendre cette lecture !
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Un voyage dans le temps, financé par une femme hystérique mais riche, baptisée Lady Schrapnell, à qui les historiens de l'Université d'Oxford auxquels elle a recours tentent d'échapper pour pouvoir dormir un peu entre deux sauts dans le passé. Un roman plein d'humour !
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C'est l'histoire de Ned Henry, un historien et voyageur temporel qui se retrouve à devoir rattraper les bêtises d'un de ses collègues qui a ramené un chat lors d'un de ses voyages, ça a créé un terrible paradoxe. le roman est un mélange de science-fiction, de voyages et d'humour totalement british (ce qui est assez ironique sachant que l'auteure est américaine). Ca m'a beaucoup plu, le pauvre Ned voulait juste faire son travail et il se retrouve à gérer les âneries des autres avec une cheffe qui lui complique encore plus la tâche. Un travail comme un autre devient alors une excellente aventure que j'ai adoré découvrir.
Il ‘ny a pas beaucoup d'action dans ce livre mais il y a toujours un pan d'intrigue pour tenir le lecteur en haleine, moi aussi j'ai beaucoup aimé les jeux de mots, les quiproquos et autres joyeusetés. J'apprécie aussi les références que donne l'auteure, ça ancre le roman dans le réel.
En bref, c'est drôle, très drôle même, c'est bien écrit et les personnages ont sont tous touchant à leurs façons. Je recommande.
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ou Comment nous retrouvâmes enfin la potiche de l'évêque...
Connie Willis nous enchante avec ce roman, elle utilise le thème classique, et souvent poussiéreux, du voyage dans le temps pour en faire une comédie, so british, des plus réjouissantes; alors qu'elle est américaine. Pour commencer, le personnage principal est un peu surmené, il travaille avec une équipe d'historiens qui s'aident de "sauts" dans le passé pour rebâtir une cathédrale détruite dans les bombardements des années 40, enquêtant par ailleurs sur une relique. C'est pourquoi, Ned Henry est enchanté d'être envoyer dans l'Angleterre du XIXe afin de s'y reposer, canoter sur la Tamise, une petite partie de croquet en perspective, il ne prend pas bien garde à la mission vitale qu'on lui a par ailleurs confiée, résoudre un paradoxe temporel provoqué par une de ses collègues qui, après avoir sauver un chat de la noyade, le ramène par erreur au XXIe siècle, le continuum espace-temps est sur le point de se briser, et c'est un un Ned Henry à côté de ses pompes qui est le seul à pouvoir remettre les choses en place, autant dire qu'il va agir avec la délicatesse d'un éléphant dans un magasin de porcelaine. Ce livre possède un humour bien à lui, j'ai
adoré la reconstitution de l'époque victorienne, la dinguerie de certains dialogues, les personnages dont certains sont décrits comme s'ils sortaient d'un dessin de Daumier et les promenades sur la Tamise qui sont évocatrices de grands classiques de la littérature de cette époque. Comme si Jérome K Jérome, P. G. Wodehouse ou Lewis Carroll s'invitaient chez le trop austère H. G. Welles, en y mettant un joyeux bordel, et transformant l'intrigue en véritable sac de noeuds. Je crois que certains personnages apparaissent dans d'autres romans, mais je n'en connais pas les titres, je ne
sais même pas s'ils ont été traduits.
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Du burlesque, du voyage temporel et un chat

Ce roman commence dans un fouillis inexplicable car nous tombons sur ce pauvre Ned Henry en plein décalage temporel. Il doit chercher une potiche pour le compte d'une richissime commanditaire dans les années 40. Mais pour le soigner, ses chefs ont trouvé la solution : l'expédier dans l'Angletter Victorienne à la recherche d'un chat qui, semble-t-il provoque des failles temporelles. Et bien débrouillez vous avec ça pour vous y retrouver.

Je ne dirai qu'une phrase : ne paniquez pas car l'auteure va vous démêler tout cela avec énormément d'humour au travers de situations totalement burlesques qui s'éclaircisseront au fur et à mesure que Ned Henry va se remettre de son déphasage temporel. SI vous aimez les grandes scènes victoriennes où l'on se demande qui va se marier avec qui, avec quelques références aux romans policiers du début du XX° siècle, j'ai envie de vous dire que ce roman est fait pour vous. Il ne faut absolument pas hésiter


Ned Henry, un observateur pas si impartial que cela, et je ne parle même pas du chien

Oui car tout repose sur notre héros qui va tenter de démêler les tenants et les aboutissants de comment un chat (qui est franchement agaçant) va pouvoir sauver l'humanité. C'est ce qu'on appelle l'effet papillon, effet bien connu de tous ceux qui sont férus de voyages temporels. En effet, si l'on bouge un tout petit évènement apparemment anodin dans le passé, va-t-il y avoir un bouleversement total du futur ou du continuum espace - temps, va-t-il rétablir la balance des évènements à force de coïncidences ? Intéressant débat sur la destinée, n'est-ce pas?

C'est dans ces réflexions que Ned Henry va passer la totalité du roman à courir partout pour tenter de réparer les choses, de provoquer des évènements, de sauver le chat... Et je ne vous parle même pas du chien qui prendra un temps considérable de préoccupations et de situations incongrues. Car pour faire une bonne histoire, il ne suffit pas des grandes lignes. Tout est dans les détails. Et ici nous avons été gâtés.
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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