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Critiques de Ange (564)
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Légende, tome 9 : Renouveau

Tout en se rattachant à un phénomène géologique et même si, ici, elle baisse en intensité, l’histoire continue à nous captiver par le fait qu’elle met en avant des retrouvailles attendues, des aveux, de nouvelles complicités, de nouveaux mystères, des intrigues, des faits via des personnages tout en charisme que l’on apprécie réellement. Aussi, l’aventure dans ce pays battu par la froidure et par la rudesse avance pour notre plus grand plaisir et c’est tant mieux.
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Enemy, tome 2 : Les autres

Amitiés, amour, défiance, crainte, jalousie, pouvoir en question, sans oublier les Aliens qui eux ont la puissance scientifique, Enemy, les Crazes, les Wolves, les Bears vont s’affronter dans des paysages glacés et dévastés. Le suspense doit durer et il est bien mené. Une guerre oubliée mais avec l’espoir au bout de la route. Le dessin s’impose facilement.
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Légende, tome 9 : Renouveau

“Nouveau cycle” lisait-on sur la belle couverture du tome 6 “Neiges” avec un changement dans le générique, venaient s'ajouter à Swolfs, Ange au scénario et Collignon au dessin. On avait eu la même surprise avec le tome 7 de la série “Le Prince de la nuit” avec un changement au dessin avec Montaigne. Mais qu'a donc Swolfs à commencer de magnifiques séries pour lâcher le dessin en cours de route ? La première déconvenue datait d'il y a longtemps déjà au tome 3 De Dampierre avec la catastrophique reprise du dessin avec Éric, rattrapée moyennement par Legein.



Alors que vaut cette trilogie de Légende ? Honnêtement côté scénario, ça tient la route. Tristan de Halsbourg erre sur les terres vikings et prête son épée à un combat qui n'est pas le sien, celui d'Abel il semble, mais qui lui paraît cependant légitime. De son côté la situation de sa soeur Ombeline n'est pas brillante, harcelée par le “Thierry le Dégénéré”, elle doit composer avec l'ennemi pour ne pas perdre sa cité. Ailleurs son mari Alexandre s'acoquine avec Judith “La Brune” et attaque Lenzburgh...



Ces trois albums se lisent d'une traite sur fond de tueries, viols et traîtrises. Il y a de beaux échanges de dialogues, des réparties bien lancées, des secrets partagés, et surtout des réveils difficiles. Les allers-retours entre les trois histoires parallèles sont un peu déroutants, mais au bout du compte on y arrive. Mais, là où le bât blesse c'est le dessin. Nulle comparaison possible entre celui de Swolfs et celui de Collignon. Les ambiances de couleurs pourraient donner le change, les mises en page aussi, certes, mais les qualités de la plume ou du pinceau n'ont rien en commun. Passe encore le début de chaque album, le trait (sinon les traits des personnages) fait encore illusion, mais au-delà des 20 premières pages on tombe dans le brouillon, limite griffonné, et franchement, le compte n'y est pas. Dommage, moi dans la bande dessinée, ce que j'aime autant que le scénario, voire davantage, c'est le dessin, déformation professionnelle sans doute.

Je ne sais pas si il y aura d'autres suites, mais ce que je sais en revanche, c'est que je ne serai probablement pas au rendez-vous.
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Légende, tome 9 : Renouveau

Fin d'un cycle : Tristan est devenu le protecteur du jeune héritier du trône danois tandis qu'Ombeline, gère plutôt bien le duché en l'absence de son mari, et que Brune apprend à gérer une ville, ce qui en dépit de bonne volonté n'est pas si simple. Alors que tout cela reste fragile, un volcan va faire des siennes dans le ciel qui va s'assombrir et qui va entrainer des mauvaises récoltes et la famine. Comment vont s'en sortir nos héros? Une histoire à la limite de la Fantasy parfois, ou du moins du conte, et puis brutalement on semble retomber dans le réalisme le plus cru (enfin pas tout à fait). Une histoire entre deux genres avec des personnages ambigues, qui traine comme Tristan et Ombeline, une tristesse infinie parfois. Un drôle de mélange. Ce n'est pas une grande et belle histoire, mais il y a quelque chose d'attachant dans ces personnages.
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Ayesha : La Légende du Peuple turquoise - Int..

Une nouvelle petite trilogie estampillée Bragelonne. Cet éditeur à vraiment eu une excellente idée avec ses rééditions en un volume à prix défiant toute concurrence. Cette série m'avait avant tout attirée par le nombre de pages par rapport au prix demandé (oui, c'est une raison minable). En lisant le résumé, je me suis dit qu'il n'y avait là qu'un scénario bien classique, mais je me suis lourdement trompé. Aujourd'hui je considère cette trilogie comme un des chef-d’œuvre que j'ai lu en fantasy, une œuvre ambitieuse et réussie au plus haut point. J'y ai trouvé une maturité assez nouvelle pour moi dans le domaine de la fantasy. Je savais que la science-fiction se prêtait très bien aux critiques de notre société ou à la réflexion, mais je ne connaissais pas le pendant en fantasy. Et avec cet ouvrage, j'y suis arrivé.

Je précise également avant de commencer la critique que le titre change selon l'édition. Lorsque vous trouvez des volumes séparés (avec des illustrations bien inutiles), ils sont nommées Les trois lunes de Tanjor. Je vous avoue que je connais quasiment le livre par cœur à force, mais je ne comprends pas le titre. Le coup des lunes, on s'en fiche un peu durant tout le roman (je crois qu'on les mentionne deux fois) et il me semble que le mot Tanjor n'apparait pas dans tout le roman. Les mystères des noms de séries sont parfois nébuleux. Du coup je garderais le terme de Ayesha si vous n'y voyez pas d'inconvénients, qui sera largement plus pratique.



Cette trilogie donc, nous la devons à l'auteur Ange, qui est en fait un pseudonyme (ah, vous ne vous vous en doutiez pas du tout, avouez !) sous lequel s'abritent deux personnes, un couple plus exactement : Anne Guéro et Gérard Guéro (tout deux français). Le pseudonyme vient simplement des premières lettres de leurs prénoms : Anne et Gérard. Ce duo d'auteur semble bien fonctionner, puisqu'ils publient quasiment toutes leurs œuvres ensemble. D'ailleurs nous avons eu le droit à beaucoup d'albums de bande-dessinée, notamment La Geste des chevaliers-dragons (pas la meilleure), Le collège invisible, et bien d'autre encore. En fait, ce n'est pas vraiment le meilleur qu'ils ont fait.



Non, la meilleure chose qu'ils ont écrits ensemble, c'est bel et bien cet ouvrage. Il est paru entre 2001 et 2003 pour la première édition, mais édité en intégrale dès 2005, et l'ouvrage dont vous avez l'image est l'édition 2010 de l'opération 10 ans/10 romans/10 euros (je le répète, mais sautez sur l'occasion lorsqu'il le font). Ne cherchez pas à la trouver, vous l'aurez pour plus de 20 euros, autant prendre l'intégrale classique à 26 € mais en état neuf. Eh oui, c'est cher de lire ....



Mais sans s'attarder sur les considérations matérialistes d'un livre, voyons ce que le bébé a dans le ventre. Déjà : l'histoire !

Nous sommes donc dans un royaume inconnu, n'existant que dans l'imagination des auteurs. Mais ici, c'est fait de façon géniale : Tout, absolument tout, est réaliste. Pas de dragons, de magie, d'artefacts sacrées, de retournement de situation tirée par les cheveux. Non, c'est juste normal. Comme une période de l'histoire. Dans le tome un uniquement nous aurons droit à des chiens magiques (et encore, ils sont juste un peu plus gros et ont l'odorat très développé. C'est renversant) et c'est tout ! Le reste, c'est comme une œuvre historique dans un passé inexistant. Je trouve ceci juste extraordinaire, puisqu'on ne se repose pas sur quelque chose de facile pour avancer.



Et donc, le royaume est normal. Des gens normaux y vivent, avec des coutumes, des rites, une religion et des esclaves. En fait le livre s'ouvre sur la citation d'un historien de ce monde qui explique que les esclaves sont le peuple turquoise, arrivé voila trois milles ans par les glaces. Il était blond au yeux bleus, à la peau claire, et une tache bleue était dans leur dos. Ne sachant que faire d'eux, les prêtres se tournèrent vers le ciel et distinguèrent dans la rune de la captivité (le ciel est fait d'étoiles assemblées en runes selon eux) une étoile turquoise. La conclusion fut que le peuple turquoise leur avait été donné pour être esclave. Et depuis ce jour, ils le sont de naissance, souillé depuis ce jour par un crime inconnu qui les conduit à devoir servir sans autre choix.







Je ne dévoilerais pas l'intrigue, mais sachez qu'entre le premier tome et les autres, vous irez de surprises en surprises. La moitié du premier est une course-poursuite qui s'interrompt très brutalement, puis nous avons une deuxième partie avec des intrigues et des complots de cour, une guerre en préparation et des nouveaux personnages, notamment Harrakin et Halios, frères nobles et ô combien important. D'ailleurs je trouve que Harrakin est un personnage des plus développé et des plus intéressant. Une vraie réussite. Le premier tome se finit d'ailleurs sur un gros retournement de situation qui est vraiment inattendu. Enfin moi, je me suis fait avoir comme un bleu.



Pour parler de ça d'ailleurs, je dois souligner un gros caractère du livre : les personnages et leurs psychologies. Car les auteurs nous ont crées deux personnages opposés (Arekh et Marikani) qui sont très curieux : on n'aime pas Arekh, violent, cynique et brutal, mystérieux et sombre, alors que Marikani est la douceur, la sympathie, l'amour, la beauté etc ... réunis. Et pourtant, plus on avance et plus Arekh devient attachant et Marikani plus froide et distante. Au point finalement que les deux se croisent et inversent les rôles attribués au départ.

D'ailleurs cette constante restera : les rôles ne sont jamais fixes, sauf pour deux ou trois personnages. Chacun est mouvant, vivant, avec plusieurs facettes que l'on découvre au fur et à mesure. Dans ce sens, Harrakin est le plus subtil, commençant en bellâtre pédant et beau gosse, pour finir dans un portrait beaucoup plus nuancé, et sacrément attachant. J'ai un gros faible pour lui. Mais les autres personnages ne sont pas en reste.



Ensuite, le récit est superbe. Alternant donc scène de cour, de guerre, de poursuite et autres joyeusetés propres aux récits de fantasy, il va nous entrainer sans temps mort dans une aventure tourbillonnante, avec notamment des nouveautés permanentes qui donnent du corps au récit. Les nouveaux personnages, les nouvelles intrigues, etc ... Rien n'est linéaire. Et les retournements de situations sont superbes. Deux dans le premier tome, un seul (mais superbement mis en scène) dans le second, et au moins trois dans le dernier. Une façon de conclure en beauté l’œuvre. Et la beauté dure jusqu'au bout. Le dernier chapitre apportera encore son lot de surprise, et le dernier mot est aussi important que le reste. J'ai trouvé cette mise en scène superbe. Et en sus, une postface parfaite. Elle pose des bases extraordinaires, avec de quoi réfléchir pour une bonne journée.



Car la réflexion est également présente dans l'ouvrage, autour de deux grandes thématiques : l'esclavage et la religion. Et là, pas question de traitement manichéen. Surtout pas sur la religion, où le propos atteint une sacrée finesse, notamment dans la conclusion et le dernier chapitre. Mais pour ça, je vous laisse découvrir par vous même. D'autres thèmes sont très bien mis en scène, autour du pouvoir et des enjeux, mais également autour de la rédemption d'un homme. Et également autour de l'amour, sous différentes formes. Je vous laisse découvrir encore une fois.



A tout ceci, j'ajouterais que le récit est également complété par une bonne chose : pas de grand méchant. Pas de mal absolu, de vilain pas beau qui détruit tout. Et également (ô joie et comble de la félicité !) une carte totalement inutile ! Oui, vous lisez bien, la carte est complètement désuète ! Vous pouvez lire tout le roman sans la consulter une seule fois, tant le récit est bien construit. On comprend tout le cheminement sans aucun effort, et même si certains lieu ne sont pas d'une précision parfaite, on s'en fiche, ce n'est pas important. Je crois que je baiserais les pieds des auteurs pour nous avoir fait ça. Parce que le roman où vous consultez la carte toute les 4 pages pour voir où se trouvent les gens, c'est chiant ! (oui, Le trône de fer est également visé la dedans ! J'assume !) D'ailleurs les descriptions de paysages permettent d'avoir la carte en tête de façon très claire. Pas de doute la dessus.



Mais alors, me direz-vous, ce roman est-il parfait ? Je dirais que presque. Car plusieurs choses sont gênantes. Déjà une utilisation quelque fois de facilités. Par exemple des gens qui arrivent à fuir devant des hommes à cheval (non, ce n'est pas possible ...), quelques ficelles un peu grosses dans la réapparition des personnages (au tome 3) et deux trois autres petites combines un peu simple. Elles sont très négligeables, mais quand on relit le tout pour la centième fois, le cerveau tique. Remarquez, si vous le lisez une seule fois, ça passe.

Ensuite, une autre critique serait au niveau des personnages : si la plupart des personnages ont du volume, il en reste deux trois qui sont très primaires dans leurs comportements (je pense notamment à Laosimba). Du coup, ils font tache au milieu du reste. Mais franchement, je ne peux pas dire que c'est le pire.



Par contre, la plus grosse critique vient de la fin. C'est juste atroce. Tout comme La nuit des temps, j'aurais voulu engueuler l'auteur lorsque j'avais fini le bouquin. Mais bon, elle est tellement bien faite ... Horrible à lire, mais bien faite. Le retournement final est superbe. Je me répète, mais il vaut vraiment le détour. D'ailleurs après l'avoir passé à une amie (qui m'a très gentiment prêtée la série des Trône de fer) qui l'a adoré, elle m'en a voulu pour la fin. C'est un effet que j'aime bien, il indique qu'une personne à suffisamment aimé l'histoire pour en vouloir à l'auteur d'avoir fait ça.



Ah oui, dernier point superbe : pas de nom à coucher dehors remplis de trémas, d'apostrophes ou de lettres qui n'existent qu'en finlandais. Pas trente-six milles noms de villes ou de lieux, pas de nouveaux noms toutes les trois pages. Ça fait du bien de s'y retrouver très vite, de ne pas avoir des scènes qu'on explique que trente pages plus loin. Enfin de la fantasy qu'on lit avec un plaisir immense. Je suis vraiment reconnaissant aux auteurs d'avoir fait ce choix (à mon sens très bon).



Donc en clair, que retenir ? Le livre est prenant, le style d'écriture parfait. Les personnages sont profonds, l'intrigue est superbe et intéressante, le livre propose plusieurs réflexions qui sont très bien menées, et l'orchestration du tout est juste. Les auteurs se refusent au surnaturel et font ainsi une fresque d'une crédibilité quasi-parfaite. Bragelonne à également fait un excellent boulot autour de l'édition, qui est un plaisir à lire. En fait, je suis quasiment sur qu'il s'agit d'une des meilleurs trilogie de la fantasy française. Voir la meilleure, mais je ne m'avancerais tout de même pas jusqu'à là. En tout cas, elle est vraiment géniale, et la lecture n'est pas que recommandée. Si vous voulez commencez la fantasy, que vous cherchez un cadeau pour quelqu'un qui aime bien, ce livre est la solution idéale.
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Ayesha : La Légende du Peuple turquoise - Int..

La trilogie d’Ayesha est une très belle introduction à la fantasy grâce des personnages marqués, sans être archétypaux. Le duo Ange signe un voyage ambitieux en Orient avec des touches d’Occident pour ne pas perdre le lecteur, créant ainsi un savant mélange des cultures pour un résultat qui mérite parfaitement l’appellation de classique ! Ayesha et la saga du Peuple turquoise sont à (re)découvrir !
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Le collège invisible, tome 4 : Duelum Magickum

ce nouveau tome est assez intéressant et plaisant à lire, même si je regrette le parti pris pour dessiner les filles, qui se retrouvent beaucoup trop minés. J’ai beaucoup aimé l’histoire qui nous est proposée ici, avec un Guillaume plus sûr de lui, qui se rebelle davantage et qui ose affronter son cousin en montrant toute son ingéniosité. C’est très agréable de voir son personnage évoluer de cette manière. De la même façon, j’ai pris plaisir à découvrir le collège de Pequaure et à voir les rivalités entre les deux établissements, qui permet encore d’enrichir l’univers proposé par les auteurs. C’est un tome dont je vous conseille la lecture. C’est certes un tome de transition, mais ce qu’il se passe ici va être important pour la suite de l’aventure.
Lien : https://lasorcieredesmots.wo..
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La Cicatrice du souvenir, tome 1 : Les Evad..

Jusqu'à présent, quand je lisais des critiques qui fustigeaient les éditions Soleil, je ne comprenais pas... Universal War One ou encore Le Fléau des Dieux, plus récemment Sky Doll et le mythique Lanfeust De Troy font pourtant partie de mes lectures favorites.



Ici, la lecture est très agréable et le dessin n'est pas franchement laid mais cette caricature du prince qui sait tout et qui a assez d'argent pour s'acheter une armée, du petit moine magicien et de la guerrière dans son superbe costume noir (et avec le fouet !) m'indiffère totalement.



L'oncle félon massacre toute la famille mais répugne à avoir sur les mains le sang de son neveu, curieux ça et surtout très pratique ! Le neveu oubliera vite sa défunte épouse dans les bras d'une créature charnelle. En guise d'explication, il refuse de penser à sa défunte le jour. Mon Dieu, que c'est cul cul la praline...



La maison "Soleil", on y côtoie le meilleur mais également le pire !!!
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Ayesha : La Légende du Peuple turquoise - Int..

Dans la famille des bonnes affaires, je demande l’intégrale de Ayesha sur Momox – quatre euros pour mille pages, on est bons Gaston ! Hélas là où on a été moins bons en revanche, c’est sur l’esthétique éditoriale de l’intégrale qui m'a induite en erreur question contenu. Couverture, résumé : on nous vend sous tous les angles la libération d’un peuple d’esclaves millénaires, mais le récit met un temps fou à se focaliser sur cette problématique qu’on n’atteint très laborieusement qu’en fin de tome deux. Moi qui me suis tout de suite sentie emballée par ce que je pensais être une réécriture Fantasy de l’Exode (je suis de la génération Prince d’Egypte, toi-même tu sais), j’ai fini par me demander ce que je faisais face à ce récit classique, ni très bon ni mauvais, mais carrément à côté de sa promesse initiale.



Alors Ayesha, si ça parle pas des Hébreux qui migrent hors d’Egypte, ça parle de quoi ? Hé bien d’une princesse en fuite en territoire ennemi, pour commencer, et ensuite des petites manigances habituelles pour le contrôle du pays de la demoiselle (entre autres manœuvres de bon voisinage, assassins à l’heure du petit-déj’, tout ça tout ça). Classique mais sympa. Mais parmi les protagonistes assez peu nuancés du récit, la masse du Peuple turquoise se fait figurante ; l’intrigue reste centrée sur la princesse Marikani à la grandeur d’âme démesurée, sur sa meilleure amie et son sexy bodyguard de fortune dont on fatigue de lire les pulsions de troussage récurrentes. A terme donc, on regrette de ne pas voir le peuple qui vaut son nom à cette trilogie prendre plus de place dans cette histoire, et surtout on boude un peu la fin précipitée et sans surprise. De même j'ai été super déçue que certains éléments ne soient pas exploités davantage : tout un Panthéon est introduit pour finalement ne jamais prendre directement part à l’intrigue, quel dommage ! Ceci dit le récit se parcoure très facilement sans avoir à s’y investir particulièrement, ce qui en fait un bon livre de chevet pour clôturer une journée lourdingue. Attention, je déconseille d’enchaîner les trois tomes de l’intégrale, il y a un effet lassant. Divisez pour mieux savourer !
Lien : https://la-choupaille-lit.bl..
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La geste des Chevaliers dragons - Intégrale, ..

Cette intégrale rassemble les quatre premiers tomes de la série de BD de fantasy "La Geste des chevaliers dragons".

Le premier album "Jaïna" sert d'introduction à l'univers créé par Ange. Dans un monde de dark-medieval-fantasy où existent les dragons, un ordre de chevalerie composé uniquement de femmes vierges a été instauré afin de les combattre. En effet, la simple présence d'un dragon provoque des mutations (le Veill) dans son environnement : les humains se transforment en monstres tandis que la faune, la flore et même les minéraux subissent des métamorphoses. Plus longtemps un dragon reste en vie, plus il acquiert de la puissance et plus la surface touchée par son influence augmente. Seules, les femmes vierges sont épargnées. L'occasion pour les dessinateurs de proposer aux lecteurs de nombreuses guerrières très peu vêtues et aux formes très généreuses (ça doit quand même gêner des poitrines pareilles quand on veut se battre !!).

"Akanah", le deuxième album dévoile quelques aspects de l'univers bâti par Ange : l'apprentissage des chevaliers dragons, la jalousie des hommes, le dilemme des vierges qui tombent amoureuses...

Le troisième tome, "Le pays de non-vie", change d'optique par rapport aux deux premiers. La chasse du dragon passe au second plan. Nous suivons une famille qui essaye d'arriver la première juste après la défaite d'un dragon afin de récolter toutes les bizarreries créées par le Veill. Profession hasardeuse car il ne faut pas arriver trop tôt sinon le Veill agit...

Enfin, le quatrième tome, "Brisken", narre une bataille épique entre les monstres créés par le Veill et plusieurs centaines de chevaliers dragons chargées de protéger la capitale de l'empire. Ou comment la politique et la misogynie provoquent des massacres inutiles...



Ange s'est inventé un tout un monde d'heroïc-fantasy original où les femmes jouent pour une fois les premiers rôles. Pourquoi pas ? L'occasion, au passage, pour les lecteurs de se rincer l’œil.

Mais, le gros point noir de cette série est le changement à chaque album de dessinateur. Ce qui fonctionnera plus tard pour de nombreuses séries sorties chez Soleil ne le fait pas ici. En cause, les dessinateurs choisis après Alberto Varanda (celui du premier tome) ne sont pas graphiquement au niveau. Les scènes d'action (et elles sont nombreuses) sont plus que brouillonnes, et comme le travail des coloristes ne vient pas à leur secours... Sans parler des personnages féminins difficilement différentiables les uns des autres comme dans l'album "Brisken", ce qui nuit à la bonne compréhension de l'histoire.



Donc, un avis plutôt mitigé de ma part. Je ne sais pas si je vais continuer cette série, à moins de tomber comme pour celle-ci sur des intégrales peu chères...
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Vampire State building, tome 1

C'est une version de The Walking Dead mais avec des vampires à la place de zombies. Bien évidemment c'est dû vu et revu avec beaucoup de clichés mais pour ma part ça m'a pas dérangé. J'ai aimé le style graphique et l'histoire. Petit bémol pour moi, tout se déclenche trop rapidement.
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Ayesha : La Légende du Peuple turquoise - Int..

Trilogie à quatre mains écrite par le couple d'auteurs Ange, voilà une oeuvre de fantasy à la fois originale et ambitieuse et qui tient toutes ses promesses... Et en prime, c'est français !

Depuis des siècles dans le monde de Tanjor, le Peuple Turquoise se voit forcé de vivre sous le joug des Royaumes suite à une condamnation d'ordre religieuse. Ce principe d'esclavage de droit divin leur est inculqué depuis des millénaires et personne ne s'aviserait de le mettre en cause. Du moins était-ce le cas jusqu'à ce que l'espoir de l'arrivée de leur messie, la déesse Ayesha, ne fasse enfin surface et vienne bouleverser pour toujours leur destin et celui de tous les royaumes de cet univers et de leurs habitants. C'est aussi l'histoire de Marikani, princesse de Harabec que l'on tente d'écarter du trône, et qui, après avoir sauvé de la noyade Arekh, un guerrier condamné à être galérien, tentera de retrouver sa place.

Je ne peux pas en dire plus pour ne pas spoiler mais c'est vraiment excellent. L'univers d'inspiration orientale (et particulièrement indienne) est en soi assez original pour de la fantasy, style qui s'inspire le plus souvent du Moyen Age européen. La dimension politique et les luttes de pouvoir sont également très intéressantes. L'évolution de la relation entre Arekh et Marikani est passionnante. Des thèmes comme le racisme, l'intolérance et bien sûr l'esclavage sont abordés de manière très intelligente. La fin est poignante. Les personnages sont intéressants et attachants. Le style d'écriture est simple et agréable et fait que les 600 pages et quelques écrites en tout petit se lisent très facilement. On pourra peut-être trouver les cent premières pages un peu longues mais c'est normal dans la fantasy, où la mise en place est nécessaire.

Voilà en tout cas un excellent bouquin que je recommande à tous les amateurs du genre.
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Légende, tome 8 : De mains de femmes

Choses promises, choses dues, je n’ai pas tardé à lire le tome suivant afin de savoir comment tout cela allait se terminer (ou continuer, ce qui est le cas ici).



Ombeline se réveille enfin ! Depuis le temps qu’elle se cachait derrière l’ombre de son frère, derrière sa légende, depuis le temps qu’elle n’éprouvait pour son mari aucun amour, la voici qui vient de se trouver une paire de couilles afin de sauver son royaume.



Comme quoi, certains murmurent peuvent réveiller les jeunes filles qui se pâment au moindre souci et qui ne savent pas gérer leur duché. Là, elle y va fort. Très, très fort… Elle y laissera des plumes de vertu, mais au moins, elle a sauvé les fesses de ses concitoyens.



On avait bien redémarré dans le tome précédent et celui-ci ajoute une couche de plaisir à la saga qui avait périclité à un moment donné. Là, on renoue avec les bons scénarios, où rien n’est tout à fait noir, ni tout à fait blanc, mais plutôt rouge sanglant.



La guerre du trône fait rage au Danemark et le jeune futur roi va comprendre quel prix il faut payer pour reconquérir la place que l’usurpateur lui avait piqué. Entouré de rouge, le jeune futur roi, est blanc comme neige devant toute cette violence et ces tripes répandues.



Du côté du duché de Halsbourg, c’est aussi des morts qui se ramassent à la pelle et dans la ville voisine, on se demande s’il faut ouvrir le poulailler aux renards, même si on leur jure, la main sur le cœur, qu’il ne sera fait aucun mal aux poules.



Voilà un tome foisonnant de violences, de sang, de guerres, de stratégies, de questionnements, de politique, de trahisons, de fidélité (ou pas). On a de l’action, mais pas que, car il y a aussi toute une réflexion derrière l’histoire.



Toujours les deux récits en alternance, qui s’emboitent l’un dans l’autre sans que cela entrave la lecture. Et puis, dans ce tome, une fois de plus, les femmes sont mises à l’honneur, même si, pour arriver à quelque chose dans leur vie, il leur faut prendre les armes et combattre avec violence.


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Légende, tome 7 : Neiges

Grande reprise pour moi avec les aventures de Tristan de Halsbourg, que j’avais débutée en 2003, avec le tout premier tome, avant que Swolfs ne mette cette saga en pause, comme ce fut le cas avec "Le prince de la nuit" et "Durango" (avec des réveils de temps en temps et la parution d’albums).



C’est avec beaucoup d’hésitations que j’ai acquis ce tome, puisqu’en 2012, le tome 6 (Le secret des Eiles) m’avait laissé un goût amer dans la bouche.



Après 9 ans, j’avais espoir que la saga reparte dans le bon sens, celui qui faisait son essence au départ, ou du moins, que l’on arrête de se foutre de la gueule des lecteurs (le fameux tome 6).



Alléluia, la chenille redémarre ! Pas aussi fortement que lors des trois premiers albums (qui étaient géniaux avant que ça ne descende doucement), mais au moins, le scénario revient aux bases de la série.



Deux récits vont s’entremêler dans ce tome 7 : les déboires du duché de Halsbourg, où Ombeline va devoir s’affirmer au lieu de toujours parler de son frère, Tristan, qui n’a pas voulu du duché, pendant que son époux, le duc Alexandre, sera traqué par Thierry le Dégénéré et de l’autre, notre Tristan qui se trouve au royaume du Danemark où, une fois de plus, il y a quelque chose de pourri.



En changeant de dessinateur, il y avait un risque de ne pas retrouver les traits habituels de Tristan… C’est un fait, il a un peu changé, son visage est plus large, ses joues plus rebondies. Il a pris de l’âge, on le voit.



Les dessins des paysages, des personnages, des décors, sont toujours très bien exécutés, d’une grande finesse et les couleurs parfaitement ajustées aux différentes situations. Ni trop faiblardes, ni trop criardes. Parfaites, donc.



Les péripéties de nos différents personnages s’ajustent parfaitement, on suit les deux récits en alternance, peu de temps morts, de l’action et toujours des décisions à prendre sans se tromper pour les personnages.



Anybref, on repart sur de bonnes bases, sur un scénario sain, sur des possibilités de continuer à développer la série, sans pour autant atteindre la puissance des trois premiers tomes.



Vu pas où la saga est passée, c’est un très bon album de reprise qui se termine sur un cliffhanger et je ne tarderai pas à lire la suite, maintenant que je sais que je peux y revenir sans crainte.



Il faut juste espérer que la suite de la saga continue sur la voie de ce tome 7 et ne reprenne jamais la route qu’emprunta le tome 6.


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L'Oeil des dieux

Ce livre, lorsque j'étais ado -environ 13/14 ans-, je me souviens l'avoir dévoré plusieurs fois et ne jamais m'en lasser pour autant. L'univers, les personnages, l'intrigue, ainsi que la facilité de lecture en fait un bouquin parfait pour les jeunes ado qui veulent découvrir la science fiction sans s'attaquer à quelque chose de trop dense.

Néanmoins, je l'ai relu récemment et, même si il est vrai que l'Oeil des Dieux perd un peu de son charme au travers d'un regard adulte, j'ai quand même beaucoup apprécié retrouver ce livre, et le trouve malgré tout agréable à lire &#xNaN;
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Ayesha : La Légende du Peuple turquoise - Int..

Un univers oriental dépaysant, qui change de la fantasy classique si je puis dire. Arekh, galérien cynique est sauvé de la noyade par l'héritière du trône de Harabec, en fuite, pourchassée par ses ennemis.

Un récit original mais il m'aura fallu un petit moment avant d'entrer dans l'histoire. Premièrement, c'est très dépaysant et les auteurs font le choix de nous faire découvrir leur monde au fur et à mesure. J'avoue qu'une petite carte de l'univers en annexe aurait été appréciable pour situer tous ces noms de contrées, d'autant que la politique est ici essentielle. Aussi ai-je ressenti quelques longueurs dans le premier tiers, vite oubliées par la suite. L'intrigue s'envole, les pages défilent. On s'attache irrémédiablement à Arekh et, à travers lui, à Marikani. La deuxième partie est très politisée, avec les intrigues de la cour et m'a vraiment beaucoup plu. Quant à ce final! Impossible de ne pas se fixer la lecture du tome 2 prochainement.

Un seul détail cloche pour autant. Le titre. Honnêtement, pendant toute la lecture j'ai cherché à comprendre le comment du pourquoi. Le peuple turquoise est, en définitive, tellement en arrière-plan, sa prophétie également. Je ne doute pas qu'il va prendre de l'ampleur par la suite mais pour le coup cela m'a orientée vers une direction, des attentes non atteignables dans ce tome 1. Mais, je chipote, cela reste une très bonne lecture! Je remercie @BazaR de m'avoir poussée à le sortir de ma PAL!



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La geste des chevaliers Dragons, tome 30 : ..

Hélias est bien loin de se conduire comme une fille de bonne famille devrait le faire, bien au contraire.

Son passe-temps préféré : se battre.



Elle se bat sans cesse, contre et avec n'importe qui.

Son retour au château est devenu un rituel immuable : couverte de bleus, vêtements déchirés, le tout suivi d'un séjour sans boire ni manger, dans le noir complet dans un cellier.

Un jour, deux jours, trois jours... rien n'y fait, ni même les corrections que lui inflige son père



Elle va bientôt avoir neuf ans et pour son père, il ne reste plus qu'une solution, s'en débarrasser car il est convaincu qu'elle ne changera jamais, alors autant la confier à l'ordre des Chevaliers Dragons.



Libre à eux de la dresser, de tenter de l'éduquer, d'en faire quelque chose.



Mais là encore, le bilan sera mitigé, entre d'excellentes notes et une abilité certaine au combat et au maniement des armes, et de l'autre côté, une aversion totale pour les cours académiques.



Mais Hélas va vite comprendre que l'un ne va pas sans l'autre si elle veut rester maître de son destin et commander des troupes plutôt de passer sa vie.à obéir aux ordres.



Encore faut-il que cette motivation soudaine ne soit pas accompagnée de sentiments aussi néfastes que la rancoeur, la vengeance et une attirance sans bornes pour le combat...
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La Geste des Chevaliers Dragons, tome 1 : Jaïna

Une bande dessinée très intéressante. J'y ai vu des ressemblances légères avec les Amazones de la mythologie grecque. Le thème est intéressant, des chevaliers femmes qui tentent de tuer un dragon. Celles qui sont vierges ont la ''faculté'' de ne pas se faire repérer par le dragon.



Le personnage de Jaina est fort, audacieuse. Pour le coup, elle a du caractère.

J'ai bien apprécié le personnage de son écuyere, Ellys. Je ne sais pas dire pourquoi mais son caractère et sa façon d'être mon plus ''touchés'' que Jaina.



Les illustrations sont très colorées, les paysages sont bien dessinés, ce qui rend l'histoire plus vivante. Cela dit, je déploré les bulles de dialogues, trop petites. Ma police d'écriture n'est pas du tout agréable, pour lire c'est compliqué, on plisse les yeux, confond les lettres et c'est assez fatiguant.



J'ai un peu été déstabilisée avec ce machisme que je trouve juste plus qu'agaçant, mais l'ouvrage n'est pas très récent et l'époque de l'histoire est ancienne, donc j'ai réussi à prendre du recul. Il va s'en dire que certains personnages masculins méritaient bien plus qu'une semble gifle, mais je pense que Jaina et Ellys s'en sont bien occupés ( je préfère en rire haha).



La fin... Waw je ne m'y attendais absolument pas. Waw... Même au moment où j'écris cette critique je n'en reviens pas. Pour le coup, c'est un grand bouleversement. L'histoire fini sur une note improbable.

''Belle fin'' de la part de l'auteur qui invite fortement les lecteurs à lire la suite... ;)
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Sang maudit

Une lecture en demi-teinte. Autant j’ai totalement accroché au début, autant j’ai fini par décrocher vers la fin. L’idée est plutôt bonne. On se plonge dans une France qui n’a pas vécu la révolution. La France est alors divisée en deux camp, entre la monarchie et la république. À cela se mêle des rumeurs de l’existence des vampires ainsi qu’une certaine maladie qui décime la population.



L’histoire se déroule sur une semaine. J’ai eu l’impression qu’elle s’étalait sur une période plus longue tant il y avait de l’action. C’est surtout la dernière partie du livre qui est davantage rythmé mais c’est cette partie que j’ai lâché. J’étais dans l’incompréhension. Pour moi, ça partait vraiment dans tous les sens et c’était un peu tiré par les cheveux. J’avoue même avoir sauté des pages.



Je n’ai pas vraiment compris la relation entre Angie et Philippe. C’est vraiment dommage qu’elle n’ait pas été davantage développé. Je n’ai pas été attaché par ces personnages.
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La geste des chevaliers dragons, tome 11 : ..

Toutes les 1001 lunes, dans le fort du désert, se réunissent les délégations des 33 ordres de chevaliers dragons. Les minimes prometteuses passeront des tests et les matriarche delobereront des lois auprès de l'ancienne.



Les temps sont troubles pour l'ordre deschevaliers dragons. Alors que la guerre entre l'empire et les sardes est imminente, l'ancienne est une femme rigide qui veut revenir aux temps de fermeté.

Nous suivons en parallèle le destin des minimes, dont Amarelle est la plus prometteuse. On la retrouvera dans plusieurs tomes ultérieurs. Et les matriarches qui ne se reconnaissent plus dans les directives de l'ancienne.

Un tome plutôt sympathique, plus politique que vraiment aventure. Pas de combat contre un dragon même si nous en voyons quand même quelques écailles.

Par contre je n'aime guère le trait de Looky. Question de goût.
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