Barroux

Chaque relecture garantit ainsi un véritable moment ludique, qui devrait grandement charmer et divertir chaque jeune lecteur !
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Voilà un simple cherche et trouve. Dans un grand format, avec des couleurs lumineuses. Un très joli graphisme répété qui donne à sourire. J'ai trouvé la sardine qui n'a pas de rayures, le lapin qui a enfilé son costume de soirée, le crocodile qui a perdu quelques dents... mais des petites paires d'yeux m'aideront je l'espère à trouver le ver qui s'enfuit ou l'abeille à quatre rayures. Si cela ne suffit pas, nous chercherons les amoureux sur chaque double pages.

Un album doux et sucré.

Un album poétiquement sensuel et doux .On le sent à partir du titre et l'infographie de la première page .l'album relate le cycle de la vie d'un arbre avec douceur .C'est l'histoire sur le temps qui défile sous nos yeux , sur la nature et sur la vie en général .L'arbre est le narrateur de son propre histoire qui n'est que notre histoire humaine .le lecteur se voit dans cette histoire qui nous interpelle et nous questionne sur la nature .l'arbre pense et espère .Il y a de l'espérance et du réalisme .

Le dessin est aussi doux .la couleur verte lui rajoute de la chaleur humaine et la douceur de la nature .Le tout est très reposant mais qui pousse le lecteur à méditer et à réfléchir.

L'album est cartonné, les jeunes lecteurs peuvent le manipuler comme ils veulent puisqu'il est facile à prendre en main.

Le style littéraire est bien conçu .la répétition offre une belle dynamique à l'histoire qui ne contient pas beaucoup de texte, mais les phrases courtes raisonnent comme de la poésie.

11 septembre 2001, personne ne peut oublier cette date. Tragédie moderne démultipliée pendant des semaines par les images de la télévision.

C'est un jeune américain, de grands- parents égyptiens qui nous raconte cet événement qui va bouleverser son univers. Il est ami avec John, ses parents sont baptistes. Lui, ses parents sont musulmans mais les enfants la religion ils ne s'en préoccupent pas.

L'enfant raconte cette journée où ils sont au zoo avec sa classe jusqu'à ce qu'ils apprennent : l'avion et les Tours. Les réactions, quelques faits marquants, sa famille et les autres.

Son copain John ne vient plus à l'école. Il règne une ambiance bizarre et puis

il ne se sent plus à sa place. Mais il le dit " Je suis Nassir, pas Ben Laden " à ceux qui le stigmatise.

Avec des mots simples Bernard Chabaz nous raconte l'indicible, la peur, les larmes, la vie tout à coup bouleversée. Des vignettes, avec photos en noir et blanc complètent l'histoire pour raconter la montée de l'islamophobie aux Etats-Unis dans les années suivantes.

Les dessins de Barroux, entre enfance et terreur, complètent l'ensemble et rajoute à l'émotion.

Histoire d'Histoire une collection utile chez Rue du monde qui sait parler aux enfants pour découvrir des événements et des combats.

: " La vache en machine," c'est idiot mais on adore.

On ne sait point trop de qui se moque t-on tendrement le plus, d'une famille un peu naïve et rustique ou d'un accent qui chuintent aussi terriblement d'un savoureux charme portugais?

Sans doute un peu des deux, pour ceux et celles qui y feront très attention. L'auteure nous précisera que l'histoire se passe à une époque que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre.

C'est l'entrée de l'électroménager dans les foyers, une vraie révolution industrielle des ménages aussi bouleversante qu'une fusée qui entre dans votre salon.



Mais comment cela marche?

C'est compliqué pour se projeter.

Pourtant le livreur l'expliquera très bien, on le lit.

Mais avec l'accent, il est vrai, il peut y avoir méprise.



" Chè tout chimple, dit l'installateur. Y a un bouton pour la mise en marche, et un bouton pour la température de lavache..."

De la vache? Vraiment?



Et bien que fera la famille pour tester l'appareil?

Et bien elle tentera de laver les tâches de la vache, tout simplement.

Va t-elle rentrer toute entière?



Pendant que le suspens restera entier, nous profiterons du style graphique et enfantin maîtrisé de Barroux, rappelant les facétieux et créatifs crayonnages de gamins stimulés par le dessin et la peinture.

Je brosse, j'étale et je gribouille.



Pour revenir à notre vache.

Elle semble toujours aussi "sale".

Mais n'est-ce pas en forgeant que l'on devient forgeron?

Peut-être la famille ne sait-elle pas encore maitriser la machine à laver après tout?

Nous rirons donc d'un second tour, avec une machine qui se montrera rentable en y ajoutant ce petit porc de cochon avec.



L'auteure Jo Hoestlandt jouera vraiment d'une imagination irrésistible avec une situation improbable, grâce au texte, aux choix des mots pour le quiproquo et la suite devrait aussi surprendre.

Quiz Machine à laver!

Que se passe t-il lorsque vous mélanger le blanc et la couleur dans votre machine?

Qu'arrive t-il lorsque l'on passe un linge à une trop forte température?

Et bien vous verrez.



Toute une série de situations comiques en perspective autour du lavage en machine, ce qui n'est pas courant, il faut trouver la bonne opportunité.

Et l'idée s'avérera payante car elle nous aura bien fait rire.

C’est une chouette petite histoire, pour un jeune public, mais une histoire qui soulève des problèmes bien sérieux. Louis et Susie vont avec leurs parents entretenir la maison de la grand-mère dans la campagne d’Anjou, pendant le séjour de celle-ci à l'hôpital. Les enfants découvrent la campagne, les animaux, et un étrange étang où la faune n'a pas l'air bien en point. Ils vont mener leur enquête. Le graphisme est simple, avec une colorisation épurée, deux illustrations par page en moyenne et le texte en dehors de l’image, sans phylactères. Avec une histoire adaptée à un public très jeune, les auteurs arrivent avec rythme et justesse, à sensibiliser sur un problème grave, celui de la pollution industrielle. Une belle surprise.

Ce n'est pas un conte, ni joli ni moche. C’est une histoire tragique dite avec humour et réalisme. C’est une histoire triste car elle semble inéluctable alors que nous pourrions agir. C’est une histoire de fin du monde pour un confetti de terre perdu au milieu de beaucoup d’eau. C’est une histoire que certains anticipent, d’autres la racontent déjà à leurs enfants, tandis que quelques-uns n’en ont rien à faire et s’enfoncent dans le déni comme cette île le fait dans l’eau. Parce que nos choix de vie et de consommation affectent essentiellement d’autres que nous avant de nous affecter directement, ce livre est nécessaire. Il ne fait la morale à personne et surtout pas à nous, il ne dit pas que nous aurions dû agir quand il en était encore temps, personne n’est désigné coupable ou responsable. Factuellement, Tuvalu, le livre comme l'île constatent ce qui se passe quand la terre disparaît et que ses habitants n’y peuvent mais. Alors que notre maison brûle et que nous regardons ailleurs, eux s’inondent et nous regardons ailleurs. Pour tous ceux qui pensent que ne pas croire au changement climatique global ne le fera pas advenir. Et pour les autres aussi.

Sofia se demande ce que ses parents font la nuit pendant qu’elle dort. Qu’est ce qui peut bien motiver les parents à coucher aussi tôt les enfants ?

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L’imaginaire de la petite fille se met en marche. À chaque double page, le lecteur assiste à des scènes loufoques, tendres et drôles où ses parents lui expliquent pourquoi chaque situation est impossible. En effet, Sofia imagine que ses parents en profitent pour faire la fête 🥳, manger des sucreries 🤪, regarder des tonnes de dessins animés, etc. A moins que la réalité ne soit bien plus banale 😴😴 mais tellement rassurante 🥰🥰

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Je trouve que cet album aborde avec humour et bienveillance, une question que se posent les enfants lorsqu’ils vont se coucher.

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Allez, qui n’a jamais profité que les enfants soient couchés pour dévorer quelques friandises ? 😅



@des_livres_et_l_imagination
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J'avais repéré cet album dès sa sortie, et conseillé plusieurs fois là où je travaille juste en l'ayant feuilleté, sans être allée au bout. Le principe ? On se met à la place de plusieurs animaux pour imaginer leur coin de paradis parfait. C'est plein d'humour et en même temps ça fait travailler l'imaginaire des petits de façon touchante. Idéal pour lancer un dialogue avec eux afin de savoir quel serait leur coin de paradis !

Et puis je l'ai quand même ramené à la maison pour le regarder pour de vrai, avec ma puce. Bon, elle est un peu petite pour vraiment en profiter, mais elle a quand même adoré la surprise de la fin ! L'adulte se demande quel est son coin de paradis à lui... Et je vous laisserai découvrir cette surprise finale pleine de tendresse à la dernière page !



Un album qui mêle humour, philo, et tendresse, que demander de plus ? Je suis assez attentivement le travail de cet illustrateur, Barroux, très prolifique. Même s'il m'arrive de ne pas être toujours convaincue, j'ai trouvé que son trait se prêtait parfaitement à l'exercice ici !

J’ai toujours aimé les albums et j’aime fureter dans les librairies à la recherche de petits bijoux endormis, s’ils abordent en plus des thèmes graves sous leurs dehors légers, c’est parfait. Le Piano rouge fait partie de ceux-là. Ce très grand album évoque en quelques pages la révolution culturelle chinoise à travers le destin d’une famille de pianistes séparée par les autorités, chacun envoyé dans un camp de rééducation… Eradiquer l’élitisme par le travail manuel auprès des paysans pauvres et étudier les écrits politiques de Mao. Tout un programme que la jeune fille ne connaît que trop bien au camp Zhangjiake 46-19.



Le texte de cet album est sobre, avec une grande pudeur, les auteurs nous livrent le destin d’une jeune fille, seule, isolée, abandonnée de tous, conspuée pour son amour du piano. Un piano qui est d’ailleurs ambivalent et revêt une réelle symbolique : exigeant un travail acharné, il est, depuis qu’elle vit dans le camp, son moyen d’évasion, son bonheur par-delà la grisaille. Le temps d’effleurer les touches et de laisser la musique la bercer, elle part loin du camp, loin de l’humiliation, loin de tout un quotidien sectaire et violent. La jeune fille, universelle par son absence de prénom, prend des risques, se fait prendre, accepte, avec résignation, les conséquences et pourtant, au creux de son cœur éprouvé, nous sentons battre encore l’aspiration à la liberté, l’aspiration à la Beauté, la passion pour l’Art. Elle ploie comme le roseau, mais courageuse comme elle l’est, elle résiste. Sa contrebande à elle devient des notes et des portées, pied de nez au petit carnet rouge politique, pied de nez à l’aveuglement des nouveaux puissants, et lorsqu’enfin elle peut reprendre son envol, elle s’échappe. Sous la résignation, sous le constat amer, sous la violence de la répression, l’espoir affleure : avec délicatesse et poésie, il nous est conté. Ne jamais abandonner, enfermer au plus profond de son cœur l’essentiel et survivre, résister en attendant des jours meilleurs, voilà ce que nous enseigne cette enfant.



Cet album est très beau par le message qu’il porte, par la réflexion qu’il permet d’amorcer sur l’Art, sur la liberté des artistes, sur les régimes oppressifs et sur les attaques dont sont victimes artistes et intellectuels. Il est aussi très beau par les dessins. Les illustrations ici prennent de l’ampleur, parfois sur une seule page, parfois sur une double page. Le format du livre permet de laisser s’épanouir pleinement les scènes, qui deviennent de véritables tableaux. Le noir et le rouge dominent : noir comme la noirceur de certains cœurs, comme le désespoir qui s’insinue lentement, rouge comme le sang versé, comme la révolution aussi, comme le régime politique opprimant les artistes. La violence est montrée, brossée à coup de crayon énergiques : deux hommes venus arrêter une jeune fille, une masse indistincte hurlant sur les terribles coupables d’aimer le piano… Ces dessins font écho au texte, certaines paroles sont d’une violence terrible. Finalement, en peu de pages, les auteurs parviennent à suggérer l’inhumanité sans montrer une seule scène vraiment choquante pour un enfant. Ce livre est donc accessible et intéressant pour amorcer le dialogue.



Le Piano rouge est donc une très jolie lecture au charme doux amer. La beauté des illustrations et leur expressivité épouse à la perfection le contenu et montre toute l’horreur d’un système qui perd son humanité et ne permet plus à l’Art de s’épanouir.
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Malgré les situations effrayantes auxquelles est confronté ce petit garçon, il n'a même pas peur. Et vous savez pourquoi ? Il faudra lire ce livre pour le découvrir.



C'est un album à la répétition efficace et bien rythmée. On affronte la peur, on la dépasse. L'histoire est amusante et attendrissante. Super pour la lecture à haute voix.

Le roi s'ennuie. Il ne sait pas quoi faire. Et pourquoi pas une partie de cache-cache ?



L'histoire est au premier abord sans grand intérêt - on découvre succinctement quelques espèces animales - jusqu'à la chute finale qui lui donne tout son sens. Une manière subtile de parler de la biodiversité et de la disparition des espèces. Avec un dossier pédagogique à la fin.

L'amour d'une mère pour ses enfants est indescriptible, on pourrait décrocher la lune pour eux, n'est-ce pas ?



Ce livre résume parfaitement l'amour que n'importe quel mère porte à son enfant. Ce dernier demande la lune pour son petit déjeuner, alors hop elle construit une fusée pour aller lui décrocher. J'ai trouvé cet album très réaliste et touchant. La petite fin m'a fait sourire par son réalisme.



J'ai beaucoup aimé le faite que la maman ne dise pas explicitement son amour pour son fils, elle lui prouve inconditionnellement. J'ai aimé sa façon de faire, son dévouement presque irréel et son attitude qui lui est vraiment réel. Le petit garçon est comme tous les enfants, insouciant et il ne voit pas les énorme efforts que sa maman fait pour lui.



Les illustrations ne m'ont pas spécialement plu, mais je les ai trouvé amusantes à regarder.



En bref: Un livre très beau sur l'amour d'une mère pour son fils raconté avec humour et fantaisiste. Quoi que ... Je pourrais décrocher la lune pour mes enfants et vous ? Un livre à découvrir !
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C'est à chaque fois un vrai plaisir de découvrir un nouvel ouvrage de BARROUX.

Celui-ci s'adresse aux plus petits, je dirai entre 2 et 6 ans.



Il s'agit d'un album jeunesse tendre et tout mignon. La parole est notamment donnée à différents animaux qui s'expriment sur ce que serait leur petit coin de paradis. C'est émouvant lorsque l'abeille dit vouloir dormir dans la rose du petit prince et très drôle lorsque le loup se ferait bien un repas à base de petit chaperon rouge.

L'originalité de cet ouvrage se trouve sur la page finale où le lecteur va être invité à donner son petit coin de paradis. Et par le biais d'un astucieux miroir, le lecteur va finalement faire une déclaration d'amour à l'enfant qui voit son reflet dans le miroir. C'est couinant à souhait et même mon fils qui a quand même 8 ans, est devenu tout rouge d'émotion lorsque je lui ai annoncé qu'il était mon petit coin de paradis.



Un ouvrage doux, drôle et rempli d'un trop plein d'amour qui ne demande qu'à s'échapper ❤
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Jusqu'ici, j'ai plutôt été déçu par les nombreuses productions de Chauvel. "Ocean City" sera l'exception car il s'agit là d'une oeuvre d'une certaine qualité : un bon scénario mêlé à un dessin tout à fait correct (pourtant signé d'un débutant).



Bien sûr cette histoire sans prétention ne révolutionnera pas le genre. Elle n'en demeure pas moins très bien pensée dans sa construction scénaristique qui livre un excellent rebondissement. J'ai apprécié notamment la séparation du premier tome en deux chapitres pour une histoire qui va se rejoindre dans le second volume.



La fin m'a un peu surpris. Je ne peux pas dire qu'on s'y attend particulièrement. Bref, cette bd mérite une lecture surtout pour les amateurs de thriller et de polar.

Très bon livre jeunesse/ ado (même si il n'y a pas d'ages maximum pour le lire) sur la 2nd guerre mondiale. L'histoire est basée dur des faits réels/ témoignages.



La plume de l'auteur est agréable, bien travaillée tout en restant accessible pour un jeune public.



Petit bémol : l'histoire est un peu trop centrée sur Francis et on ne sait finalement peu de chose sur Pieter...



En bref, j'ai passé un bon moment avec ce livre que je recommande !

Un joli petit album gentiment offert par Mango à travers l'opération Masse Critique.

La grossesse est ici abordé sous l'angle de la paternité. Pour quelqu'un qui va devenir papa, ça ne pouvait pas mieux tomber !

On y trouve des belles illustrations, colorées, pastels, douces et sensibles. Les textes sont à l'avenant, courts mais bien pensés, sans trop de clichés ni de fadaises, c'est tendre sans être cruche.

Un livre pour papas moderne sûrement, à offrir ou à lire sans hésiter.

Catchman est un dur, un vrai de vrai. Rien ne lui résiste. Il n'a peur de rien ni de personne !



C'est une petite histoire dans un album en petit format terriblement amusante. Le ton des mots choisis et les images collent parfaitement au personnage. C'est un plaisir de lire ce genre d'histoires et ça fait un super effet à voix haute. On en redemande.

Papa attend bébé est, comme son nom l’indique, un titre sur la grossesse à travers les yeux d’un futur papa. Si son ventre à lui reste évidemment plat et sans aucun bruit, il vit aussi la grossesse à sa façon. Notre narrateur fait du sport pour rester en forme, imagine tout un tas d’histoires à raconter à son enfant, essaye d’imaginer les traits de son enfant et prépare son arrivée. Il est à la fois angoissé et impatient à la perspective de ce grand chamboulement. Les illustrations sont belles, parfois abstraites et surtout, colorées. Un très bel album sur un événement qui change la vie !
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Mais qui est Denise la plantureuse et exquise "amie" du héros ? Denise est simplement une plante "un peu" particulière, qui lui fera vite regretter de l'avoir négligée. Ainsi va la vie, il ne suffit pas de claironner qu'on a une belle plante à la maison, si on passe son temps à l'oublier, les effets risquent d'être mordants. Un album drôle avec une surprise de taille à l'intérieur. Frissons et rires garantis. Idéal pour des 4-6 ans