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Critiques de Gipi (225)
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Aldobrando

J'ai trouvé ce titre dans pas mal de classements de libraires des meilleures BD de 2020. Aventures picaresques dans un cadre médiéval, décors et couleurs somptueux, intrigue bien ficelée : tous les ingrédients sont bons. On sent le scénario inspiré de légendes type la Belle et la Bête ou David contre Goliath.

Le jeune Aldobrando est élevé par un vieux sorcier car son géniteur, un riche chevalier sentant venir son heure, lui a confié. Le vieux le protège jusqu'à l'envoyer découvrir le monde extérieur dont il ignore tout. Il se lie par hasard avec un étrange personnage qui l'entraîne dans ses aventures, qui le mèneront en prison, cerné par des enjeux de pouvoir tortueux et secrets. La candeur du héros, son courage aussi, sont ses seuls atouts.

Amour, amitié, combats et lutte contre le mal dans un cadre médiéval : les amateurs de fantasy apprécieront. Un récit initiatique divertissant, dont j'ai surtout apprécié le dessin, et les magnifiques couleurs.
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Aldobrando

cette BD situé dans un Moyen Age fictif est un plaisir à lire, d'abord pour son personnage, qui s'obstine à rester naïf et honnête dans un monde corrompu; Aldobrando a été adopté par un vieil homme qu'on dit sorcier; son père a perdu la vie,dans la fosse en défendant la justice ( on verra cette fosse bien plus tard, c'est le lieu où s'affrontent deux champions pour décider qui a raison) ensuite pour son dessin: entre la beauté de la princesse et des son esclave, la caricature du roi et d'autres personnages, les décors et les couleurs, c'est un plaisir des yeux. Enfin, la trame est surprenante pour le lecteur et le message se dégage de lui-même: rien n'est jamais perdu, on peut se racheter à condition de prendre des risques et d'être franc. Une belle découverte! Merci au hasard qui m'a fait piocher cette BD à la bibliothèque!
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Aldobrando

Je n'en suis qu'à la moitié et déjà entièrement conquis par une redoutable simplicité (c'est ce qu'il y a de plus difficile à faire), un trait qui n'hésite pas à traverser les genres pour mieux camper les personnages, des dialogues surprenants et drôles et inversement, une histoire qui se joue des clichés, et qui en joue... et une fin... ha ? Ben non, que je suis bête, j'ai pas encore fini. Mais, et c'est là le seul reproche, je sens bien que la BD se termine à un moment donné (je pense à la dernière page sans doute ?) et du coup, je le regrette déjà. Aussi, je temporise, je veux explorer des itinéraires bis entre les cases... bref je fais durer le plaisir. Le maître mot ici.
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Moments extraordinaires sous faux applaudis..

Un peu comme a la lecture d'un poème ou devant un tableau, il se passe quelque chose.

Je ne suis pas certaine d'avoir compris tout ce que Gipi a voulu transmettre, mais ce que j'y ai compris m'a plu, m'a touché, m'a ému.

Quant au dessin il est a la fois léger et profond.

Je suis troublée par cette lecture, moi qui suis novice en BD.
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Aldobrando

Dans un univers de conte médiéval, de quête initiatique, voici une belle fable, rafraîchissante et burlesque. Le royaume vit sous un régime d'oppression, Aldobrando, gringalet pas très dégourdis, parti cueillir l’herbe du loup, va se retrouver embarqué dans une aventure bien cruelle. Le graphisme est simple, clair et léger, avec beaucoup d’ocres jaunes. Notre héros n’est pas très beau, un peu naïf, mais beaucoup de bouleversements vont arriver dans sa vie. C’est une belle saga, aventureuse, chargée d’émotions, et un vrai bonheur de lecture.
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Moments extraordinaires sous faux applaudis..

C’est l’histoire d’une réconciliation, d’un voyage introspectif puissant et fragmentaire, du renoncement aux faux semblants qu’on peut parfois s’imposer à nous-même. Le dessin peut rebuter, le récit est complexe et difficile à aborder mais en se laissant un peu faire, on parvient finalement très rapidement à suivre l’auteur où il veut nous mener (ou là où veut bien aller peut-être) par son mélange de techniques graphiques et narratives. Il faut se cramponner mais l’album est d’une formidable richesse, fort et poignant, complètement humain et intime.
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Aldobrando

Aldobrando est un orphelin qui a été recueilli et élevé par un mage, à l'écart du monde. Jusqu'au jour où le vieil homme, blessé, lui demande d'aller chercher de l'Herbe du loup pour se soigner. Aldobrando part sans bien savoir à quoi ressemble cette plante ni où la trouver ; il a une épée en bois pour toute arme, au cas où il ferait de mauvaises rencontres en chemin. Et les problèmes vont se présenter plus rapidement que prévu...



Un joli récit initiatique illustré par des aquarelles aux tons doux et lumineux, que j'ai pris plaisir à lire sans toutefois en ressortir conquise. Le dessin m'a plu mais malgré 200 pages, le scénario est un peu trop léger à mon goût ; il lui manque une véritable intrigue – je ne me suis pas laisser surprendre – et les personnages m'ont paru insuffisamment développés au niveau de leur caractère comme de leur vécu, ce qui m'a parfois donné l'impression d'avoir raté des éléments.
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Moments extraordinaires sous faux applaudis..

Un moment suspendu de la vie. Un moment où les repères se perdent dans la chronologie ou l'espace. Un point de la vie, de notre vie, qui nous tire de tous côtés. Un carrefour où tous les artifices de la vie disparaissent pour laisser place à l'essentiel.

"Ma mère qui est en train de mourir", un refrain qui revient inlassablement dans la tête du personnage. Comme un gag de répétition pour un artiste humoristique. Mais comment rire quand celle qui a donné la vie à l’homme ne sera bientôt plus ? L’enfant, que nous ne sommes plus, revient pour remettre notre condition d’adulte face à sa réalité. A quoi cela sert tout ça ? Se perdre dans des contraintes et soucis du quotidien et oublier notre condition d’homme, d’être humain pur.

GIPI nous entraine dans les méandres de sa conscience sur cette période difficile de la perte d’un être plus que cher. Perdre la personne qui vous a mis au monde et savoir qu’on ne pourra pas enfanter c’est couper une branche pour toujours. Il questionne notre condition d’homme en tant qu’être organique, celui que nous étions au départ de l’humanité, le préhistorique. Avec comme seule but de survivre. Il questionne notre condition actuelle et de nos préoccupations futiles. Il questionne notre condition future et nos réactions face à l’inconnu.

L’auteur nous engage dans un chemin compliqué, dans les méandres de sa conscience. Alors on le suit sans savoir ce qu’on y fait réellement. Alors on y projette notre propre vécu et là, quelques fois, des lumières s’allument sur les cases sombres. A partir de là on sait où on va.

Un album très fort, à lire plusieurs fois.

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Aldobrando

Une BD assez classique, mais très agréable ! On suit le parcours initiatique d'Aldobrando, un candide jeune homme (entre nous, on pourrait même dire qu'il est un peu niais), parti chercher des herbes pour guérir son maître. Quête très conventionnelle, où il va découvrir le monde, se découvrir lui même, et revenir avec un "trésor"... Pour découvrir ce que le lecteur un peu blasé dans mon genre avait deviné depuis le début.

C'est un peu classique, bien qu'on se laisse volontiers embarquer dans les rebondissements, et porté par de très jolies illustrations. Même si c'est prévisible, c'est agréable, et on passe un très bon moment.
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Aldobrando

Enfant caché d’un seigneur disparu, Aldobrando est confié à un vieux maître qui le destine à la sorcellerie. Mais lors de la réalisation d’un sortilège particulièrement important, celui-ci se blesse à l'œil. Il est catégorique: il n’existe qu’un seul remède, l’herbe au loup, qu’Aldobrando doit vite rapporter pour soigner son maître. Le jeune homme se retrouve donc bien obligé de découvrir et affronter le monde, armé de son épée de bois et de sa naïve bonté.

Voici un joli conte initiatique dans un univers médiéval qui ne manque pas de cruauté. Les dessins rehaussés de couleurs vives sont absolument magnifiques. Luigi Critone sait parfaitement donner de l’expression à ses personnages. Le scénario ne révolutionne pas le genre, mais Aldobrando est un one-shot tout à fait plaisant.
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Aldobrando

Luigi Critone a un trait empreint d’une certaine sensibilité qui nous plonge sans peine dans l’univers médiéval de cette histoire. Ses personnages ont des traits et des attitudes très caractéristiques qui marquent les esprits et ses décors sont foisonnants de détails tout en conservant une certaine aura de mystère qui donne à l’ensemble une ambiance savoureuse. La qualité esthétique de l’oeuvre tient aussi de sa colorisation à l’aquarelle. Francesco Daniele, et Claudia Palescandolo ont réalisé un travail formidable qui dote Aldobrando d’une âme tant la colorisation donne vie à l’univers. Les cases [...]



Pour lire la suite de cette critique, rendez-vous sur yuyine.be!
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Aldobrando

Aldobrando est un jeune homme au cœur pur et vaillant qui est lancé malgré lui dans de grandes aventures. L'histoire se déroule dans un monde moyenâgeux dirigé par un roi tyrannique. L'intrigue aurait pu être un plus recherchée à mon goût et certains personnages (le tueur et l'esclave) me laissent perplexes. Mais les bons sentiments finissent par triompher.
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Moments extraordinaires sous faux applaudis..

Waouh!! Après La terre des fils, Gipi frappe encore très fort: au coeur et à l'âme. Histoire d'un adieu, touchant, remuant, d'acceptation, toutes ces petites choses qu'on a pu ressentir dans les mêmes situations. Profondément humain.
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Notes pour une histoire de guerre

C’est l’histoire de 3 petits morveux qui se mettent au service d’un caïd pour faire son sale boulot dans une ville d’un Etat en guerre sans plus de précision sur l'époque ou le lieu. Ce caïd en question est milicien, d’où il est trop occupé et délègue son boulot.



On suit donc le parcours de ces 3 jeunes gens dont le milieu social est différent mais qui sont embarqués dans la même galère. Ceci a pour but de nous faire comprendre que les sales guerres recrutent leurs miliciens dans la misère et le petit banditisme. Ces fameuses guerres ne sont que le prolongement de leurs petites affaires misérables de racket et de drogue. La guerre comme terrain propice...



Le graphisme m’a littéralement repoussé. Or, il est de bon ton de penser qu’il ne faut pas noter une œuvre à son seul graphisme même s’il est vraiment laid et repoussant. Soit. Mais que dire alors du scénario ? Il ne procure aucun plaisir au lecteur que je suis. A la rigueur, le parcours initiatique de ces 3 crétins m’a laissé totalement indifférent car on ne peut guère s’identifier à des personnages antipathiques. Quant à l’effet de style de la dernière case, c’est d’un regrettable dégénéré kitsch ou d'un carnavalesque rétro (au choix). Dure réalité...
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Aldobrando

Sur le point, il le sait, de mourir pour défendre son honneur et une cause juste dans la Fosse, le père d’Aldobrando confie son fils à un mage, qui devra l’élever puis le lâcher dans le vaste monde. Plusieurs années après, alors que le sorcier veut enseigner un secret à Aldobrando devenu un adolescent toujours enfermé dans la cabane, le sortilège tourne mal et, grièvement blessé à l’œil par un chat, le mage lui ordonne de partir très loin en quête de l’herbe du loup, qui seule pourra le soigner. Pour la première fois, Aldobrando quitte la maison et la seule personne qu’il ait jamais connue avec son père. Sur le chemin, il rencontre l’assassin d’un prince qui se fait passer pour le prince lui-même et qui en fait son écuyer. Le retrouvant avec l’arme du crime, c’est Aldobrando que les soldats emprisonnent et que la princesse Bianca vient interroger…



Splendide objet inspiré d’un jeu italien que cet album au dessin tantôt au trait précis tantôt emprunté à la ligne claire, aux couleurs étudiées et au récit initiatique avec une belle amplitude. Nous voilà transportés dans une Italie moyenâgeuse, sur les pas de ce jeune homme naïf, honnête et courageux, qui va découvrir un monde extérieur particulièrement violent, avec ses hommes assoiffés de désir et de pouvoir, mais également l’amour.

Petit coup de cœur pour cet album au message humaniste pour les plus jeunes et les moins jeunes.
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Aldobrando

Emballé ! Littéralement transporté !

ALDOBRANDO, j'adore !

C'est une merveilleuse histoire liée à une sorte de malédiction ou de machination : un chevalier veuf se sachant condamné par un suzerain bête et machiavélique remet son très jeune fils à un vieil homme en exigeant de lui la promesse de l'élever comme remboursement d'une dette que le vieillard lui devait.

Le chevalier part au combat, et meurt.

Le vieillard est un peu sorcier. le galopin, naïf et bien benêt…

Un jour que le vieil homme lui enseigne un certain sortilège, celui-ci échappe à tout contrôle. Voici donc notre jeune novice contraint par son maître à courir par tous les chemins de France et de Navarre pour chercher de cette curieuse herbe du loup qui permettra la rémission des torts.

Mais de cette herbe, il n'en trouvera jamais. En revanche, se rapprochant de la ville et des gens, il rencontrera veulerie, violence et duperie, injustice et raillerie, des luttes d'intérêts, de la perfidie, le mensonge et l'asservissement des uns par les autres… Désolations que tout cela.

Il trouvera aussi quelques bonnes gens au milieu d'une foule de maudits et de bourreaux.

Mais il parait que la vaillance d'un cœur pur peut renverser la tyrannie...



Les illustrations de Luigi Critone réalisées à l'encre et colorisées à l'aquarelle par Francesco Daniele et Claudia Palescandolo sont superbes et d'une beauté magique. La reconstitution des décors est soignée et confère au fabuleux scénario de Gipi un charme poétique.

Le duo d'amants maudits formé par Viola et Beniamino me rappelle un peu celui formé naguère par la rayonnante Michelle Pfeiffer qui incarnait Ladyhawke et Rutger Hauer en fier chevalier à la noblesse éclatante.



Et notre jeune novice dans tout ça ?



Vous le saurez en vous ruant - je n'en doute plus maintenant que vous me lisez toujours - en vous ruant, disais-je, sur ce bel album édité chez Casterman.



L'amour est bien le plus puissant et le plus beau sentiment que l'être humain puisse éprouver, non ?

(soupirs…)

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Paroles sans papiers

On ne peut pas accueillir toute la misère du monde. C’est la phrase qu’on me sort à chaque fois qu’on évoque la situation de ces sans-papiers qui viennent tenter leur chance dans notre pays, patrie des droits de l’homme. Quand j’entends cette phrase, la colère me monte et d’un coup de baguette magique, je voudrais inverser les situations c'est-à-dire que ceux qui disent cela se trouvent également confrontés à la misère en échangeant leur place. Cela leur ferait les pieds !



J’ai été particulièrement sensible à tous ces témoignages. Sur la forme, je n’ai pas trop apprécié les différents dessins qui se succèdent et qui me semblent bâclés. Les situations décrites méritaient souvent un approfondissement. Cela fait un peu compilation de données. Bref, je pense qu’on aurait pu mieux faire. Cet ouvrage a néanmoins le mérite d’exister pour faire prendre conscience à l’opinion publique que les politiques pratiquées ces dernières années en matière d’immigration sont sur la mauvaise voie.



Pour en revenir à cette fameuse phrase, je pense que Michel Rocard avait trouvé une parade intéressante : oui, on ne peut pas accueillir toute la misère du monde mais notre pays doit prendre simplement sa part pour en sauver le plus possible. C’est comme dans le film La liste de Schindler !
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Aldobrando

Le titre m'interpellait. La couverture me fascinait..... mais une fois en main je l'ai trouvé un peu épais.

J'ai pris le temps avant de l'ouvrir. J'ai tout de suite été sous le charme du dessin. Chaque personnage a son "caractère" physique, c'est assez étonnant. Aucun ne se ressemble et surtout cela colle parfaitement à leur caractère.

C'est un joli conte, rude mais plein d'espoir et d'amour.

C'est finalement très optimiste.

J'aime beaucoup.
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Le local

Gipi est incontestablement une des révélations de 2005. Un auteur italien qui entre par la grande porte dans la BD franco-belge avec la traduction de quatre bijoux : "Baci dalla provincia", "Le local", "Extérieur Nuit" et "Notes pour une histoire de guerre", qui en janvier 2006 rafle le prix du meilleur album à Angoulême, ainsi que le prix René Gosciny.



C’est donc un bon choix de la part de Joann Sfar d’avoir décidé d’intégrer cet album de Gipi (Gianni Pacinotti de son vrai nom) dans la nouvelle collection Bayou aux éditions Gallimard (dont Sfar est le directeur).



L’histoire est tout à fait banale et raconte l’envie de quatre jeunes de faire du Rock’n’roll. Quatre jeunes qui veulent fuir la réalité de la vie en faisant de la musique. Afin de pouvoir réaliser leur passion il leur faut néanmoins un local. Un local qui sert autant à les isoler du monde extérieur, qu’à entretenir cette passion qu’ils ont pour le Rock.



Tout comme dans "Notes pour une histoire de guerre", Gipi va s’introduire dans l’intimité d’adolescents qui sont en passe de passer à l’âge adulte et se cherchent, se rebellent, mais qui malgré leur insouciance finissent par payer leurs bêtises tout en se frayant un chemin dans la vie.



Un nouveau récit très humain, qui divisé en cinq chansons (une par chapitre), fera vibrer plus d’un lecteur.
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Moments extraordinaires sous faux applaudis..

P....., Gipi est fort. Il signe l'un des meilleurs titres de l'année. Pour cela, il mérite de vrais applaudissements.




Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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