Gos

Une histoire déjantée à souhait, des situations loufoques, des dialogues qui parfois frisent le surréalisme, le tout servi par un dessin extraordinaire de vitalité et de mouvement, Franquin livre ici son dernier opus de Spirou en transgressant les codes de la série. On aime ou on déteste, mais on ne reste pas indifférent.

Et surtout, surtout, ne passons à côté de « Bravo les Brothers ». Il s’agit plus d’un long gag de Gaston que d’une aventure de Spirou et Fantasio, mais l’humour et la poésie de cette histoire rend celle-ci indispensable. Une mention particulière pour le dessin animalier de l’auteur, au sommet de son art.

Tout personne qui assimilerait les chroniques galaxiennes aux chroniques martiennes de Ray Bradbury s'engagerait sur la voie d'une sévère désillusion. Tout comme toute personne raisonnablement constituée qui voudrait prendre du bon temps avec cette BD.



On retrouve Gos aux prises avec des gags empaquetés en quelques pages, avec des chutes qui n'en sont pas et des gags qui tournent court.



Tout tourne autour de la télévision. On peut rendre à César ce qui lui appartient, Gos voit bien tout le potentiel de la télévision et l'impact qu'elle peut avoir sur les spectateurs. Le G.A.G. est le Groupement Audiovisuel Galaxien... et on retrouve tout l'esprit potache de Gos dans cet acronyme.



Pour le reste, il doit y avoir deux ou trois moments où j'ai souri timidement. Les galaxiens sont définitivement insaisissables et manquent àmha de corps et de cohérence. A oublier au plus vite.

On dirait que Gos a trouvé une sorte de routine... un tome avec les galaxiens, un tome sans... Personnellement, à force, je me lasse un peu des galaxiens, car c'est toujours assez semblable.



Ici, un tome sans les "petits hommes verts".



On démarre (ce n'est pas neuf) par un vaisseau spatial endommagé que Khéna et le scrameustache vont secourir. Ils y découvrent une princesse, qui reconnaît son frère en Khéna. Mais ce n'est que le sosie de ce frère... d'où le titre. Ouf ! un mystère élucidé...



Elle explique que sa planète est envahie par les Togons, des bipèdes ressemblant à la créature du lagon noir. En plus bête. S'engage alors un combat contre la montre... nos amis arriveront-ils à rétablir le système de défense avant que les Togons ne fassent tout sauter? Risquerais-je un spoiler en disant que tout se termine bien? En avez-vous douté...?



C'est vif, envolé, parfois un brin chaotique, moins potache et plus sombre (voire violent) par moments. Mais c'est plutôt réussi, même si Gos gère mal le suspense... c'est clair, il n'y en a pas... Le scénario a un petit côté Maître de Roucybeuf mais en plus soft, en moins noir.



On découvre une petite romance qui débute en fin de tome entre la princesse et Khéna. Il grandit, il faudrait s'en rendre compte.



Seul bémol qui m'a réellement gêné: le fait que Khéna et le prince soient tout à fait identiques, y compris dans leur caractère, dans leurs humeurs. Le personnage du prince manque singulièrement de consistance.

Quelques histoires courtes, de longueur très variable... le plus souvent scénarisées par Walt, aka Walter Goossens, le fils de Gos.



La première histoire donne son nom au tome... et étire sur 25 planches la thématique du galaxien gaffeur qui veut bien faire et pour qui il faut toujours faire mieux. Et on sait que le mieux est l'ennemi du bien... Sur 25 planches, c'est long, même s'il faut bien reconnaître que quelques gagas sont drôles. Par contre, balancer une carcasse de "deuche" dans les buissons... cela m'a peu plu (même si le scrameustache lui-même reconnaît que ce n'est pas écolo...).



Viennent ensuite 3 histoires de remplissage, dont une sur un satellite qui détruit l'environnement (de nouveau une histoire assez infidèle aux préoccupations écologiques de Gos affichées par le passé), et une sur la dinde de Noël... qui se termine par un menu "pâtes au beurre" lors du Réveillon.



Rien de mémorable. Et c'est peu de le dire.



Mentionnons, juste pour rire, cette première case assez bien faite, représentant une ville galaxienne, paisible et cosy... Et regardons en bas à droite le galaxien qui siffle une galaxienne (sexy?) qui balaie sa terrasse... Ô tempora, ô mores. Gageons que les féministes ne lisent pas le scrameustache.

Avec des ennemis comme les Kromoks, les Galaxiens peuvent dormir sur leurs deux oreilles... Sauf que les Stix, dont on voit enfin l'apparence (en extra-terrestres types de teinte verdâtre avec une grosse tête), sont intelligents, mal intentionnés et ont trouvé dans les Kromoks une main d'oeuvre taillable et corvéable à merci.



Le tome démarre par les vacances de Khéna parmi les Galaxiens. Ensuite, on assiste à l'évasion de Patarsort... menée de main de maître, car tout est orchestré par un Stix. Khéna est prisonnier, c'est donc au tour du scrameustache et des Galaxiens de faire preuve d'ingéniosité et de stratégie, façon "cheval de Troie".



Mais pendant ce temps, les Kromoks ont volé le transmutateur, dernière invention des Galaxiens qui permet de changer la place de choses et de personnes fort éloignées. Heureusement, ils n'arriveront jamais à se servir du prototype.



On notera l'apparition providentielle des Petits Hommes de Seron pour un final meli-melo rocambolesque où Kromoks, Khéna, scrameustache et même Tobor vont être réduits...



Personnellement, moins d'humour potache, un scénario resserré où les coïncidences sont moins omniprésentes, avec de l'action, un gros brin de folie et de l'indécision, cela me va parfaitement.

Direction le passé et la Scandinavie pour trouver un moyen de mettre fin à la malédiction qui pèse sur Oncle Georges, avec son casque à cornes sur la tête.



Cela nous offre quelques belles réparties d'humour potache qui font la marque de fabrique des BD de Gos. Il y a de chouettes saillies. Comme quand il faut adapter le scaphandre d'Oncle Georges au fait qu'il porte des cornes et que cela ressemble à un bocal de cornichons. On s'envole aussi avec 4 sages galaxiens, dont on connaît le talent pour l'autodérision et les catastrophes.



Le reste est à l'avenant. Gos déroule sur un air de déjà-vu. Les trolls sont sous l'emprise d'une sorcière, celle qui a jeté le sort. Les noms des trolls et de plein de lieux sont supposés faire rire ou sourire... La sorcière s'appelle Mochdentûr. le pays des trolls, Snotneuzland... On aura droit à la confusion entre bac à ordures et Bacaordûr... J'en passe et des meilleures.



On retrouve l'art consommé de Gos pour réutiliser les mêmes ficelles que dans de précédents tomes. Dans les tractations avec les trolls, dans le complot de Mochdentûr, dans le combat avec l'androïde (appelé Thorgull par les gens du crû)... on a des réminiscences d'épisodes précédents. C'est dommage.



Au-delà de cela, je reconnais à Gos un grand talent pour composer ses couvertures. Que ce soit pour le tome 12 ou celui-ci, la couverture est un condensé de ce qu'il faut retenir des aventures.

Un bon album de BD très connoté "jeunesse", avec de bons sentiments, de chouettes personnages secondaires, quelques galaxiens plus sages, un scrameustache plus concentré, des méchants retors et un Khéna plus mature qui retrouve ses parents au Moyen-Âge... Moins de gags potaches et de jeux de mots foireux aussi. On notera quelques tronches qui me font penser à des caricatures... (j'ai la faiblesse de penser que Gos met régulièrement ses amis dans ses BD)



La machine à visualiser les rêves du scrameustache est une prodigieuse invention. Elle permet de situer l'endroit et l'époque où les parents de Khéna ont atterri après leur fuite.



Tout cela, c'est ce que l'on peut penser si on avale la grosse pilule que constitue le paradoxe spatio-temporel... Et personnellement, je n'y arrive pas. J'ai calé très vite sur ce point. OK... On sait que Gos ne s'embarrasse pas de détails... et que la BD s'adresse à un jeune public, mais quand même...



Il reste un Georges Caillau que l'on découvre fin bretteur et cela vaut le détour.



Rayon bémol encore, le titre annonce un dilemme qui n'existe en fait pas du tout.

Une BD à sens unique, à mon avis bien faible par rapport aux deux tomes précédents.



On veut du mal au Continent des deux Lunes... "on", ce sont les Kromoks, des bipèdes un peu bornés aux allures de gorilles. Malgré leur intelligence limitée, ils prennent possession du vaisseau-mère des galaxiens afin de percer les défenses du Continent des deux Lunes. Ensuite ils asservissent la population...



Schéma classique.



Pendant ce temps, quelques galaxiens débarqués lancent un appel de détresse qui est entendu... par le plus grand hasard... par Khéna et le scrameustache... La suite est digne des westerns de série B. On nous révèle une Pilili assez prompte à la gachette, pas très crédible, contrepoint féminin fort à une certaine nonchalance et passivité de Khéna. Mais au final, on ne sait toujours pas vraiment qui est le commanditaire derrière les Kromoks...



J'avoue m'être totalement désintéressé du déroulement du récit, car il n'y a pas le moindre suspense... à la question "arriveront-ils à sauver la planète, les gens, leur sandwich...", la réponse ne peut (invariablement) qu'être "oui". Et cela tempère grandement l'intérêt que l'on peut porter à l'intrigue.



J'ai eu le sentiment que les galaxiens dézingaient du Kromok avec grande facilité. Idem pour le méchant associé des Kromoks qui explose dans le vaiseau juste avant de pulvériser la planète. C'est un peu "brutal" vu l'époque dans une BD pour les enfants. Par contre, Gos prend grand soin de nous montrer Patarsort, le chef Kromok, blessé mais ridicule, enveloppé de bandelettes. Mentionnons pour mémoire le gag autour de Patarsort et du pied de cochon grillé, assez lourdingue, traîné en longueur, pas vraiment mémorable et -surtout- en-dessous du niveau des gags potaches de l'auteur. Mais Patarsort fait un chouette méchant pour une BD jeunesse... dans la mesure où il est très bête.

Gos se lâche encore et donne dans le vaudeville complet avec une tentative d'invasion de la terre par les Stix, peuple que l'on ne verra pas dans le tome.



Guidé par un repère qui a changé de place, un vaisseau spatial sans personne à bord se pose au Canada au lieu du Yukon. Le vaisseau se déplie, laisse apparaître un totem indien tout à fait incongru, et qui masque un redoutable matériel de téléportation. Les Stix prennent possession de quelques animaux à distance et leur font faire les basses besognes d'installation. Puis commencent les transportations. Du matériel, des robots et deux étranges créatures roses ressemblant à des dinosaures... Le tandem est un couple et on peut voir que Gos se lâche complètement en nous donnant à voir à quel point les vicissitudes conjugales des extra-terrestres sont proches des nôtres...



Si on analyse rapidement le déroulement du tome, on a la même structure que dans le tome 2, avec Falzar remplacé par les Stix.



Au passage, on a droit à un cours de québecois accéléré, au risque de friser l'indigestion parfois. On a souventl'impression que Gos ne sait pas s'arrêter à temps et va toujours un peu trop loin.



Mais il se produit une sorte d'alchimie qui fonctionne plutôt bien en ce qui me concerne.

Enfant, je n'ai lu que trois ou quatre album des Schtroumpfs, dont celui-ci, mais je préférais le dessin animé qui passait régulièrement à la télé.

Par cette histoire, on apprend un peu plus à découvrir les Schtroumpfs. Autrement dit, on sent que l’on est en présence d’un des premiers tome de la saga, dans lesquelles on n’est pas en présence d’une histoire au scénario plus poussé en profondeur et dans lequel on peut en tirer une ou plusieurs morales.

En revanche, j’ai beaucoup aimé retrouver le côté magique du Grand Schtroumpf avec ses grimoires et formules. Tout comme pour ceux de Gargamel, c’est très amusant de découvrir leurs ingrédients très farfelus!


Lien : http://blogleslecturesduchat..

Mon avis:



J'aimais beaucoup lire les albums des aventures de Spirou et Fantasio quand j'étais plus jeune. J' ai donc commencé une collection il y a quelque temps qui se complète au fur et à mesure grâce à mes proches notamment. Celui-ci m'avait été offert par ma sœur à noël.



C'est un album qui comporte deux histoires. La première, Panade à Champignac est en réalité une suite de l'album L'ombre du Z, mais il n'est pas nécessaire de l'avoir lu pour comprendre l'intrigue de celui-ci, puisque le scénariste nous fait un petit résumé du précédant.

On retrouve à l'intérieur le célèbre duo Spirou et Fantasio et leur compagnon Spip, mais également Le marsupilami et Gaston Lagaffe que l'on aperçoit au début de la bande dessinée, dont la présence pour ma part m'a paru inutile à l'intrigue. Bien sûr il y a également le méchant de l'histoire qui va vouloir subtiliser le bébé à la barbe de nos amis, et qui, idiot comme il est, va semer encore plus la zizanie et au final se faire avoir.

L'intrigue est un peu farfelue, bizarre. Avoir affaire à un adulte prisonnier dans le corps d'un bébé de huit mois est assez grotesque. Si j'ai trouvé les scènes drôles, car évidemment Spirou et Fantasio vont perdre le contrôle de la situation et laisser échapper l'enfant qui va semer la panique dans toute la ville, le dénouement m'a semblait un peu trop rapide et facile, moins inventif que d’habitude.



Bravo les Brothers, est beaucoup plus courte puisqu'elle ne fait qu'une vingtaine de pages. On retrouve ici Gaston Lagaffe qui travaille avec Spirou et Fantasio à la rédaction des Editions Dupuis. Comme son nom l'indique, il commet gaffes sur gaffes, il est gentil mais un peu simplet, il pense bien faire, mais au final il commet des bêtises énormes.

Comme dans la précédente, tout repose sur le comique de la situation. Les trois singes offert par Gaston à Fantasio pour son anniversaire sont en réalité des animaux dressés qui appartenaient à un cirque pour lequel ils réalisaient des numéros extravagants. L'un boit sans arrêt et est complètement saoul, un autre à mauvais caractère et frappe tous ceux qui n'applaudissent pas...

Les laisser en liberté chez Dupuis ne va pas être une bonne idée. Le tout est bien rythmé, les farces s'enchaînent, on passe un bon moment mais c'est tout ce que l'on peut en attendre.



Pour conclure:

Une bande dessinée qui m'a un peu déçue. Panade à Champignac n'est pas assez développée et la fin m'a semblé trop rapide et facile, alors que le scénariste aurait pu aller plus loin, notamment en ce qui concerne le méchant de l'histoire qui n'en est pas vraiment un finalement. Même si le comique est bien présent dans les deux histoires et que l'on sourit facilement en regardant les planches, elles m'ont semblé un peu trop puériles. Je pense que pour ma part cet album est plus une parenthèse dans l'ensemble de la collection des albums de Spirou et Fantasio et qu'il ne fait pas partie des meilleurs. Dommage.
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Un apprenti Schtroumpf qui souhaite ardemment faire de la magie mais le Grand Schtroumpf le trouve bien trop jeune pour en faire. Une seule solution, chourer une page du grimoire de Gargamel, une formule de magie dont les effets sont inconnus pourrait bien avoir des conséquences désastreuses… Des pièges à Schtroumpfs construits par Gargamel particulièrement efficaces mais celui qui croyait prendre…… Et, une Schtroumpfette qui attise les passions parmi les Schtroumpfs…

Trois histoires de Schtroumpfs que j’avais déjà découvertes toute jeune et même si adulte, je les relis dans le cadre d’un défi de lecture, cela reste toujours un plaisir.

Ces petits êtres bleus au bonnet blanc, chacun assez stéréotypé il est vrai !, vivant dans des champignons ont tout de même plus de 50 ans et aujourd’hui, ils sont, à mon avis, toujours aussi indémodables ! Pour le bonheur des petits… et des grands…

En bref, un beau petit moment de lecture détente teinté d’humeur, j’aime !

Une fois de plus Khéna se retrouve chez les Galaxiens, à croire qu'il n'est jamais sur Terre.



Il ouvre un passage et libère sans le savoir le Mirmidon qui n'a que 48 heures pour retrouver les membres de sa famille.



Le scrameustache demande de l'aide auprès d'un Ramoucha qui vient avec un jeune dont il a la garde.

S'en suit une suite de mini catastrophe et de retournement de situation, des jeux de mot à divers degrés, il faut bien sinon ce ne serait pas un volume du scrameustache

un premier volume très important pour découvrir qui est Khéna et le scrameustache, parce qu'il ne faut pas oublier qu'avant c'était eux deux les héros du l'histoire avant de devenir simplement le scrameustache.



Le scrameustache fuit sa planète et rencontre un étrange Garçon qui ne réagit pas à son rayon gaga. Et ça va être le début d'une très longue histoire qui ne prend pas une ride. Une idée originale qui va se gonfler au fil du temps de nouveaux personnages pour enrichir encore plus les deux héros.

L’album est suivi par une histoire courte, Bravo les brothers, qui doit absolument être lue. Un autre grand moment de bravoure fantaisiste. Le type d’album qui devrait être remboursé par la sécurité sociale !
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Qui ne connaît les Schtroumpfs ? Ces gentils petits êtres bleus à bonnet blanc avec chacun un caractère stéréotypé et qui remplacent tous les noms qu'ils peuvent par "schtroumpf" et les verbes par "schtroumpfer". Il s'agit bien évidemment d'une série de bandes dessinées destinée aux jeunes enfants, mais je crois que tous les adultes se souviennent avec bonheur et nostalgie des bons moments passés à lire les aventures de ces drôles de bonshommes.

J'aimais particulièrement Gargamel avec ses coups tordus qui se faisait toujours avoir par beaucoup plus petit que lui.

EXTRAIT "Très sincèrement, j'abordais cette série que je ne connaissais pas avec quelques préjugés. Je ne m'attendais pas à lire quelque chose de très évolué, du Dupuis vieille époque quoi. Gentil, sympa, mais limité. C'était une erreur, car Natacha semble être bien plus que cela. C'est une véritable bande dessinée d'aventure qui était proposée à la sortie de cet album, avec un personnage principal féminin fort et intelligent (et bien gaulée aussi, quand même). Une héroïne positive à laquelle je ne m'attendais pas."
Lien : http://www.chroniquesdelinvi..

▋Cette bande-dessinée est un OVNI!!! Une véritable découverte à l'époque. Étrange dans son contenu, dans ses dessins et dans ses personnages, j'ai mis beaucoup de temps à l’apprécier! Très sceptique au départ, je me suis lancé un beau jour dans la lecture de cet ouvrage et mes impressions ont été soufflées au fur et à mesure. De l'aventure, de l'humour et des relations humaines bonnes ou non font de cet album une vraie bonne création! C'est à lire car il est définitivement bien ficelé! ▋

Tout d'abord je tiens à préciser que je ne connaissais pas Natacha avant de me procurer cette intégrale... je suis tombée dessus par hasard et je me suis laissée tenter.

Natacha qui est hôtesse de l'air est une héroïne très attachante et surtout intelligente qui arrive toujours à trouver un moyen pour se sortir d'affaire, même dans des situations assez dangereuses. Quant à Walter, le steward, il apporte pas mal d'humour dans ces aventures.

En plus des histoires, j'ai beaucoup aimé les dessins qui sont bien détaillés avec des couleurs bien choisies.

Il y a aussi un supplément au début de cet album qui nous apprend pas mal de choses comme : comment est née Natacha ? comment Walthéry s'est inspiré pour créer ses personnages ? ... et d'autres choses bien intéressantes.

Pour conclure, j'ai passé un très bon moment de détente avec ce magnifique album et donc, je compte bien me procurer par la suite les autres intégrales.
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