Citations de Jim (383)
Lorsqu'on regarde dans la bonne direction, il ne reste plus qu'à avancer
La vie est un livre plein de questions, et les réponses ne peuvent être trouvées que par l'expérience.
Personne n'emporte aux enfers ses richesses superflues.
On dit que la télévision sert de baby-sitter aux enfants.
On ne choisit pas son avenir... mais on choisit nos habitudes, et nos habitudes décident de notre avenir.
Le corps aime l'attention qu'on lui porte... La maladie entre quand tu n'es pas dans ton corps, si tu habites trop le passé et le futur.
Finalement la nature loin de la nature humaine... c'est encore ce que je préfère.
Ah, l'ironie... rabaisser par le rire toute idée nouvelle plutôt que de se laisser questionner.. la belle couardise du vingt-et-unième sièle ...
Il est aussi insupportable de faire le mauvais choix au bon moment que le bon choix au mauvais moment.
Où sont passées également les femmes ?
Tu écouteras Miossec, Keren Ann, Damien Rice et Da Silva. Mais un vieux morceau de Gerry Rafferty te procurera toujours autant de frissons, certaines chansons d'Yves Simon et " The days of pearly spencer " de David Mac Williams te planteront à chaque fois leur lame rouillée à deux centimètres du cœur. Et la lame rumuera, doucement... Pas assez pour te faire crier, juste assez pour te mettre à genoux.
J'avais étudié la thèse d'un certain Jean Starobinski sur la mélancolie... Ce qu'il appelait " cette espèce de stupeur devant l'étrangeté de l'existence"...
Je me souviens que pour lui, la mélancolie, fondamentalement, c'était l'absence...
... J'ai l'impression de la ressentir, déjà... La mélancolie, demain, si on repart chacun de son côté... Et les jours d'après, quand je repenserai à cette nuit... Et je ne veux pas vivre ça.
Je crois que j'ai imaginé tellement de débuts...
... que je ne sais plus par lequel commencer...
Alcoolonies de vacances : Cures de désintoxication pour adolescents.
Tu l'aimais ta femme, tu n'en doutes pas. Elle fait ton bonheur et tu t'emploies à faire le sien... Mais une nouvelle vie, une nouvelle texture de peau... Non, cette pensée tu la rejettes du pied, tu le repousses aussitôt ! Est-ce ce que Hanif Kureishi appelait " le désir torve " ? Celui qui ne se conforme pas à nos idéaux, le rêve caché des enchaînés... ?
La vie est un conte de fée qui perd ses pouvoirs magiques lorsque nous grandissons.
... le petit jardin où j’ai tout vu.
Tout.
Tout ce qu’un enfant ne pourra jamais comprendre.
On a tous des vies avec des nœuds.
Marie écoute-moi... Viens, on s'en va.
S'il te plaît Marie.
C'est pas pour nous ici, ça ne nous ressemble pas ... Viens, je veux qu'on parte tous les deux.
Allez, s'il te plaît.
Viens.
Marie...
Viens ...
On s'arrête, on recommence.
On reprend tout ...
Depuis le début ... (p.13-14)
Tu sais qu'il faudra faire avec les déceptions et que la vie ne sera jamais comme tu pouvais l'imaginerà l'âge où tu étais enfant...Tu as cinquante ans et tu commences à penser au chemin parcouru, et à celui qu'il reste à parcourir. Alors tu respires fort et tu regardes devant toi. Tu marches droit. Tu sais que le temps qui est devant toi, toi seule a le choix d'en faire un temps de colère, ou un temps apaisé. Aujourd'hui et pour la première fois, tu choisis la voie de l'apaisement. ( p.101)