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Citations de Jim (383)


Les sculpteurs, les peintres... Pétrir le chagrin ou le peindre... Même combat...
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Ce sont deux mondes bien distincts, sans aucune porosité. Le monde du réel et ses codes bien à lui, et le monde des laissés-pour-compte, le monde des hôpitaux et des services de réanimation.
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Nous souffrons d'un mal incurable qui s'appelle l'espoir. Il y a urgence à n'en pas guérir, croyez-moi.
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Je me dis que c'est étrange, les inconnues dont on ne saura jamais rien...
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Etait-elle descendue seule à la plage, et attendait-elle quelqu'un? Ou était-elle accompagnée? Pourquoi cette pose parfaite, cette cambrure, cette cheville suspendue en l'air, étirant l'autre jambe dans l'axe de son corps?
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Je n'y ai pas prêté attention sur l'instant.
Elle est étrange , cette photo, je l'ai prise très vite par réflexe.
Sans réfléchir.
Une photo de plage, simplement.
C'est en l'agrandissant.
Cette femme allongée, en plein milieu.
Juste posée là, comme ça.
Un pied en l'air.
Le corps en longueur.
Et le visage caché.
Je l'ai découverte dans la voiture à notre retour de Cadaqués. Elle était allongée là, au milieu d'instantanés de vies, de gens, d'attitudes, de moments attrapés à la volée...
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J’ai entendu dire qu’on mourrait deux fois. Quand le cœur cesse de battre, et quand on arrête de prononcer ton nom.
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Toutes ces choses insignifiantes... Tout ce à quoi on ne fait pas attention au jour le jour, c’est tout ce qui nous manquera le plus cruellement un jour.
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Formules-tu cette hypothèse parfois, que ta femme meure, un accident, une maladie brutale, et qu'une partie de toi, honteusement, une toute petite partie de toi, la plus obscure, la plus inavouable, s'en trouve soulagée ?
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« On sème des mots et on ne sait jamais exactement ce qui va pousser. Moi, je suis juste un jardinier dans mon coin. Un petit empêcheur de rater sa vie »
P45
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« C’est pourtant pas la tendresse qui manquait... c’est juste l’amour »
P36
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« Les mots ne sonnent jamais aussi bien que quand ils sont cyniques! »
P23
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« On se souriait avec une sorte de complicité qui allait au-delà de la complicité, l’un de ces sourires singuliers qu’on ne rencontre que cinq ou six fois dans une vie, et qui vous rassure à jamais. » , écrivait Scott Fitzgerald.
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« La mémoire est ainsi faite qu’elle aime enregistrer les choses nouvelles. Le cerveau glisse sans s’attarder sur les gestes que nous répétons chaque jour. Enfants, nos journées nous semblaient interminables? Nous avions un monde à découvrir, des milliers de choses à emmagasiner. Une fois adulte, quelle est la part de nos quotidiens qui mérite d’être enregistrée ? Est-ce le temps qui s’emballe , ou simplement le manque d’événement nouveaux à mémoriser ? »
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La vie n'a aucun sens. Jamais. Elle n'en a jamais eu et n'en aura pas. Elle ne répondra à aucune loi, aucune règle. C'est la nature même de la vie. Elle est impermanente, violente, dégueulasse. Magnifique. Et il faut rester droit, solide, debout sur ses deux jambes, et tenir face aux grands vents. Il faut sentir la vie nous traverser, nous secouer, c'est son essence même, son fracas permanent... et dans le noir de la tempête, on doit juste essayer de hurler aux gens qu'on les aime, et crier fort et espérer que notre voix porte jusqu'à eux.
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Il faut aimer la vie, il faut embrasser les gens, se mettre à genoux et les serrer contre soi, et les serrer fort, et leur dire qu'on les aime, et leur redire, et leur redire encore, avant d'être pris par surprise, avant d'être pris en traître et d'être dévasté. Il faut pleurer de bonheur chaque jour, et pleurer de peur de perdre les gens qui nous importent, même si on sait qu'on les perdra.
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On vit dans un monde devenu fou... On vit dans un monde où un simple virus a le pouvoir d’enrayer l’économie mondiale... Un monde où on nous répète jour après jour qu’il se meurt par notre faute, que les ressources naturelles sont épuisées et que nous en ferons payer le juste prix à nos enfants... Et vas-y, démerde-toi pour vivre avec ça...
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 Jim
Mais on ne choisit rien [dans la vie]. C'est comme ça. On doit juste apprécier la part qu'on a... Faire festin des miettes...
(p. 294)
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Entre la peur et l’attente, il y a de l’espace pour les rêveurs…
(p. 295)
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Je m'éclaire longuement avec l'or que je trouve au fond d'une étreinte.
(Lucien Becker)
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