Kerascoët

Si la mère autoritaire de Serine pense marier sa fille pour s’en débarrasser, ce n’est pas ce dont rêve la jeune fille.

Celle-ci fuit donc son foyer et se rend chez la reine car elle espère devenir une de ses demoiselles d’honneur.

Sur un malentendu, grâce a une pirouette avec un mot, la reine la sélectionne et Serine pense vivre son rêve. Malheureusement, la méchanceté de la reine, la jalousie et la malveillance des autres demoiselles vont donner du fil à retordre à notre héroïne. Mais Serine est pleine de ressources et d’imagination!



Coup de ♥ pour cette BD aussi touchante, drôle que magnifiquement illustrée!



Serine est attachante, pleine de vie et toujours prête à foncer vers ses rêves.



L’histoire est pleine de rebondissements où le fou du roi n’est pas toujours celui qu on croit!

A lire pour se rappeler qu’il ne faut jamais baisser les bras et que la viennois réserve parfois de belles surprises!

Sept ans après le succès du roman, Kerascoët, nous propose une adaptation graphique. Nous allons suivre le personnage de Serine, une adolescente d'une autre époque, qui n'a pas la langue dans sa poche, et qui aime jouer avec les mots. Après le décès de son père, elle devient dame de compagnie de la reine, et elle fait la connaissance d'un tout autre monde, qui sous des apparences luxuriantes, cache de sombres complots et secrets. L'histoire est pleine de rebondissements, on ne s'ennuie pas un instant. Les graphismes ont à la fois un côté jeunesse, mais aussi un côté plus mature. Les dessinateurs créent des planches sans cases prédéfinies, allant de pair avec le tempérament de Sérine, qui ne se laisse pas dicter sa vie. L'héroïne est d'ailleurs l'atout majeur de ce scénario ! C'est frais, c'est drôle, c'est entraînant, et c'est à découvrir dès l'âge de 10-11 ans !

Je suis une grande fan des magnifiques dessins du couple Kerascoët et, en allant chez mon libraire (spécialisé en BD) préféré, il m'a conseillé celui-ci en me disant "superbe mais glauque". Je n'aurais pas mieux résumé!



C'est très étrange, on y suit des petits personnages tout mignons (pour la plupart) qui évoluent autour du cadavre d'une petite fille abandonné dans une forêt.



Je l'ai lu en 30 min avant de dormir (je le relirai pour encore mieux observer les dessins que je trouve vraiment beaux) et ensuite j'ai médité sur l'horreur que je venais de lire (ahah). Je dis horreur car l'histoire est vraiment malsaine je trouve... Les petits personnages meurent les uns après les autres.



Je me suis dit qu'ils représentaient des "parties" de la petite fille : Aurore, qui s'appelle comme elle, représente son âme, condamnée à vivre avec son ravisseur (supposé). La "princesse" représente la beauté de la petite fille qui l'a conduite à sa mort (d'où le caractère insolant). Le prince charmant n'existe pas, il n'y a que des personnes cruelles. L'espèce de personnage qui mange les vers et qui a l'air d'être le seul à survivre serait la mort qui s'empare petit à petit de son corps. La fille avec les ciseaux, qui aide tout le monde, aurait pu lui couper les cheveux pour lui éviter d'être (malheureusement) si attirante, ...



Mais après réflexion, et en lisant les commentaires des autres lecteurs, je me dis que j'ai été trop loin dans la réflexion. Notamment car je ne vois pas qui sont les autres personnalités qui pourraient être, comme le propose une autre critique, des êtres issus de l'imagination de la petite fille...



Bref, ça se lit très bien, c'est joli à voir, mais c'est perturbant et pas sûre que je pourrais lire plusieurs BD aussi glauques à la suite, ça mine le moral :') mais à découvrir par curiosité (pour les adultes).

Un ovni ce roman graphique. J'aime être surprise par une narration et un choix graphique, et là, j'ai été séduite. Les Kerascoët ont fait le choix de la bichromie noir et or sur fond blanc, c'est visuellement très beau, les vignettes majoritairement de petite taille font penser à des miniatures, avec une attention du détail portée aux matières (tissus, vêtements, feuillages).



L'histoire peut se résumer au fait qu'une jeune fille pauvre, laide et imprégnée de l'odeur de morue, exclue par tous les villageois, reçoit de la fée Mab qu'elle a délivrée d'un charme, un don. Celui ci change la perception que les autres ont de la jeune femme, et de "Morue" elle devient "Beauté". Les hommes qui posent les yeux sur elle ne peuvent résister, et ne souhaitent qu'une chose, l'épouser. Ainsi Beauté passera des bras d'Eudes, à ceux du Roi, puis à ceux du Roi-Sanglier. De nombreuses questions sont abordés par le scénariste Hubert : le désir, la beauté, la relation homme-femme, le pouvoir, la richesse, la gouvernance, la sororité, l'intelligence, la superstition. C'est un conte, une fantaisie, un récit chevaleresque, un récit d'aventure, une histoire d'amour, il y a tout cela dans ce roman graphique qui se lit avec grand plaisir.

En ce qui me concerne, Fabien Vehlmann alterne quelquefois le pire (Jolies ténèbres) et le meilleur (Le Marquis d'Anaon, Seuls ou encore Green Manor). Soit j'aime inconditionnellement ses séries, soit je déteste. C'est un phénomène assez rare car il y a généralement une certaine constance. En l'occurrence, j'ai bien aimé ce voyage en Satanie bien que la couverture ainsi que le titre m'ont littéralement repoussé. J'ai fini quand même par le lire...



Je retrouve l'inventivité du scénariste qui ne choisit pas forcément la facilité. Il nous présente des thèses, des possibilités mais au final, on a droit à autre chose. La lecture s'est révélée fort plaisante avec une aventure qui évoque le voyage au centre de la Terre de Jules Verne. Il faudra s'accrocher car on pourra très vite passer d'une scène à l'autre sur un mode parfois ésotérique.



Le manque de fluidité sera sans doute le gros point faible de cette oeuvre qui n'en demeure pas moins très intéressante. Si vous avez le mal des profondeurs, cela ne sera sans doute pas pour vous.

Marvin a retrouvé la vue et Marvin rouge devient le chef de la nouvelle armée draconiste de Vaucanson.

Quel plaisir de retrouver Herbert tel qu'il était avant d'être le Grand Khan.

Mais, cela mis à part, je me suis plutôt ennuyée dans ce tome qui parait plutôt plat malgré certaines scènes plutôt musclées.

Les choses principales semblent se dérouler à toute vitesse et sans problème alors que de longs passages sont consacrés à des détails...

L'ensemble n'a plus la profondeur et la noirceur de certains tomes et je trouve ça dommage.

Après l’excellent Miss pas touche, Hubert (au scénario) et le duo Kerascoët (au dessin) changent totalement de registre pour se frotter au conte de fées.



Préalablement publiée dans le magazine Spirou, cette histoire qui se déroule dans un univers médiéval démarre comme un conte classique en compagnie d’une jeune fille qui n’a pas été gâtée par la nature. Morue n’est pas seulement laide, elle sent également mauvais et est donc au centre de toutes les moqueries du village… jusqu’au jour où elle embrasse une grenouille au bord d’un étang, qui se transforme en fée et lui accorde un vœu. En changeant la perception que les autres ont d’elle, la fée transforme Morue en Beauté. Ce changement va totalement modifier son existence et mettre à jour ses faiblesses, dévoilant ainsi le rôle important joué par l’apparence.



Au niveau du graphisme, cette histoire riche en rebondissements est servie par un dessin extrêmement lisible, au style très fin et rehaussé par une mise en couleurs simple, mais efficace.



Un premier volet très sympathique !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..

Deuxième tome de la trilogie « Beauté », « La reine indécise » conserve toutes les allures du conte traditionnel. Le scénario prend toutefois une direction plus tragique et sombre. Le reste s'inscrit dans la continuité du volume précédent. Une qualité similaire qui donne l'envie de connaître le fin mot de l'histoire.

Une fin digne d'un conte traditionnel, cruelle et bien loin des happy end tout sucre et tout miel de la plupart des adaptations actuelles. On perçoit souvent les contes comme des histoires avec des princesses un peu naïves et des princes galants et attentionnés.

Ici, Morue est loin d'être belle et plate de caractère, et les princes sont brutaux et complètement influencés par leur désir.

Les scènes violentes, car il y en a, sont plus suggérées que montrées.

C'est très bien réalisé ! Une belle découverte !

Morue, rebaptisée Beauté par son royal époux, largement influencée par Mab la fée, demande toujours plus et ne supporte plus la laideur.

L'histoire est toujours aussi prenante. On vois évolué tout doucement la princesse, pas forcément du bon côté.

Je me suis habituée aux dessins et je trouve qu'ils correspondent finalement très bien au genre.

Un conte très bien ficelé, on a envie de lire la suite.

Dans un village moyenâgeux une jeune-fille très laide est assignée à la préparation des poissons dont elle garde perpétuellement l'odeur. Pour cette raison elle est surnommée Morue. Tout le monde se moque d'elle et la vie ne lui apporte guère de réconfort jusqu'au jour où une fée, qu'elle délivre par hasard, lui offre la beauté, ou plutôt, non elle ne la rend pas physiquement belle, elle modifie seulement la façon dont les autres la voient.

Là, première incompréhension de ma part : c'est Morue qui reçoit le sort mais ce sont les autres qui sont transformés...

Ensuite je trouve que ce qui arrive à Morue devenue Beauté est vraiment très glauque : d'un seul coup tous les hommes veulent la posséder et toutes les femmes veulent sa peau. Les scènes où tous les hommes se jettent sur elle m'on vraiment dérangée. Ensuite on pense que les choses vont s'arranger lorsqu'elle rencontre le Prince mais sa nouvelle vie est ennuyeuse et Beauté devient insupportable, aigrie et injuste. Pire : elle qui était gentille et modeste a désormais des désirs de richesse totalement disproportionnés et elle se montre cruelle envers le seul garçon qui l'avait aidée dans le passé.

Cette BD ne m'a pas amusée, je la trouve caricaturale sans être suffisamment drôle ou déjantée pour être une parodie. Les femmes sont jalouses et méchantes, les hommes sont niais et égoïstes. Quelques personnages sont cependant plus complexes : Mab la fée et Claudine la sœur du roi, et la dernière partie de l'album est mieux réussie. Les thèmes abordés sont intéressants mais pas originaux : la beauté, la richesse, la manipulation, la puissance, la jalousie, mais le traitement qui en fait n'apporte pas grand chose et le scénario est finalement plutôt mince.

Dommage car les parodies de contes peuvent donner des histoires vraiment sympas comme la série Le Royaume par exemple.

Au final c'est une lecture qui n'est pas désagréable mais pas extraordinaire non plus.

j'ai découvert cette série de quatre bande-dessinées grâce à un blog que je suis et j'ai passé un bon moment avec cette miss pas touche, une jeune fille qui assure malgré les épreuves.



L'histoire se passe donc dans les années 1930 à Paris et se focalise premièrement sur une affaire de meurtres en série dont Blanche, notre personnage principal, se retrouve malgré elle témoin. Sans attache et remplie d'un désir de vengeance suite à l'assassinat de sa sœur, elle décide d'enquêter... Dans une maison de prostituées. Le cadre est parfois dur, mais les aventures de Blanche autant que l'enquête sont très intéressantes.



Blanche (ou miss pas touche, comme chacun préfère) est une jeune fille qui sait se défendre, j'ai adoré ce personnage. Cependant, l'histoire est sombre (objective ?) et les personnages qui l'entourent pas franchement aussi sympathiques que l'est miss pas touche. J'ai été un peu déçue que l'histoire se termine au quatrième tome. Même si l'intrigue initiale (celle du meurtrier en série) a bien été résolue, j'ai trouvé la fin rapide, trop ouverte et pas assez marquante. J'aurais adoré suivre encore Blanche dans ses galères, dans le Paris du XXème siècle.



Je pense qu'avec quelques tomes de plus et une fin moins abrupte j'aurais été encore plus accrochée à ma lecture et ces BD auraient été d'encore meilleures lectures. J'ai beaucoup aimé les illustrations qui accompagnaient cette trame, c'est aussi à cause du plaisir esthétique face à ces BD que je regrette que la série s'achève aussi rapidement. Miss pas touche est une série de BD qui m'aura plu de part son intrigue et ses illustrations et j'en aurais bien redemandé un peu !
Lien : https://livresdecoeur.blogsp..

Une suite réussie et à l'image tu tome précédent!

Une nouvelle fois, nous avons plaisir à retrouver nos chers personnages et à replonger dans ce conte noir mais réaliste.

L'ambiance est restée la même, si vous avez aimé le tome 1, il n'y a aucune raison pour que vous n'aimiez pas le tome 2!

Une bonne bande dessinée qui fait réfléchir sur la beauté et l'attention que l'on porte à notre apparence physique.

Le scénario est très intéressant et me plait beaucoup. En revanche, je n'aime pas trop le style de dessin et le graphisme de cette bande dessinée.

Je lirai la suite car l'histoire m'a tout de même emporté dans l'univers de la magie, des contes de fées et des royaumes.

Les auteurs ont su garder le ton qu'ils avaient insufflé au 1er tome : mélange de légèreté (parfois de badinage) et de gravité, d'étude de mœurs et d'enquête policière. Une série qui sait entraîner le lecteur à la suite de son héroïne qui semble virevolter au gré de ses péripéties. Le dessin, très "album jeunesse" ne fait qu'ajouter à cette impression.

Un prince et une jeune fille prennent le thé. Soudain, la pièce commence à se détruire et ils doivent fuir. Ils sortent… du cadavre d’une petite fille.



L’histoire est construite autour de ces petits personnages, vivant dans et autour de ce cadavre qui se décompose lentement. Ils tentent de vivre dans cette nature sauvage.

Pfft. Ame sensible s'abstenir. Les dessins sont beaux (la couverture est sublime) mais c'est assez glauque.

 

 Beaucoup de questions restent en suspens.

Qui sont ces personnes? Pourquoi la petite fille est-elle morte? Qui était-elle?

Je découvre cet album-BD pour les petits avec cette histoire ( la 4e ). Que de personnages !! Ils sont présentés avant la page titre. Des noms compliqués avec en commun le son "Chou". Ce sont les Tchouks...

Dans cette histoire : un tour de manège endiablé, le choix de "l'engin" est primordial et évidemment tous veulent la voiture rouge..

On est bien dans l'univers des petits dont le manège est un plaisir dont ils ne se lassent pas. L'auteur a bien su rendre le problème du choix, de faire " comme si"... et d'y croire pendant quelques minutes lorsque l'on se retrouve aviateur, cavalier ou princesse...

La bande de copains est vive, les dialogues amusants et les dessins colorés. Ce qui donne une lecture très vivante.

Un livre à l'imagination galopante, tournoyant à plaisir avec une petite touche de tendresse qui parle d'amitié, d’imagination et des jeux partagés.

" J'ai le pompon ! J'ai le pompon"

Les Tchouks, une bande de copains aux noms rigolos (Tchoukrik, Pitchouk, Tchoubok, Patachouk,...), ont chacun leur propre personnalité. Et si la vie en bande rime le plus souvent avec rire et bonne humeur, il arrive que s'y glissent petites brouilles et discussions...



C'est le cas dans le premier tome intitulé "On fait une cabane !". S'ils sont tous d'accord sur le projet, des divergences se marquent quant à la manière de procéder ! Tous l'imaginent ENORME alors que Patachouk, lui, veut qu'elle soit petite pour ne pas que les grands puissent y entrer ! Vont-ils arriver à s'entendre ?



Dans ce tome, les auteurs mettent en avant la psychologie des enfants de cet âge (4 à 6 ans). Ils apprennent peu à peu à fonctionner en groupe. Chacun confronte ses désirs personnels à ceux des autres. Pour s'amuser ensemble, ils doivent pourtant opérer des choix. Heureusement, les Tchouks sont d'un naturel conciliant d'où tout finit toujours par s'arranger. Ce qui donne à chaque fois une chute particulièrement forte où les Tchouks expérimente ce qu'est l'amitié !



Côté illustrations, ces petits personnages ont de bonnes bouilles, celles de nos doudous d'enfance ! De plus, avec les Tchouks, on a l'impression de revivre nos après-midi de jeux endiablés. Et c'est bien là l'objectif du scénariste, Benjamin Richard, et des dessinateurs (sous le nom Kerascoët se cache en réalité le couple de dessinateurs Marie Pommepuy et Sébastien Cornet). Ces derniers ont d'ailleurs ces mots :

"La littérature pour les tout-petits (...) doit intéresser à chaque page, permettre de jouer l'histoire plutôt que de la lire."

Et c'est bien cet aspect qui prévaut ici ! Autre aspect intéressant, ce sont ces premières bulles que rencontrent les jeunes lecteurs. De quoi les initier petit à petit à l'univers de la bédé...
Lien : http://lacoupeetleslevres.bl..

Nous retrouvons Beauté dans son rôle de reine, aux côtés du souverain. Toujours aussi belle aux yeux de tous, Beauté ne veut que le meilleur pour son royaume mais s'y prend de la pire des manières. Pour la satisafire, le roi camoufle la misère des habitants et cède à tous les caprices de belle.

Eudes, de son côté et de retour après un long périple pour trouver la richesse. Lorsqu'il rentre à son château, il est fou de rage et de douleur d'apprendre que Beauté l'à quitté et se met en route pour la retrouver.

Dans ses appartements, Beauté commence à s'ennuyer et courtise plus ou moins malgré elle les nombreux chevaliers de la cour. En visite dans son village elle retrouve Pierre, son frère de coeur et le ramène à la cour. Le roi voit d'un mauvais oeil la relation qu'entretient Beauté avec certains hommes...Beauté tombe enceinte et accouche d'une fille qui ressemble bien plus à Morue qu'à Beauté.. Le roi doute de sa paternité et voit rouge, les chevaliers passent à la trappe et Morue a de nouveau causé une affreuse guerre.

On retrouve les personnages avec plaisir, l'histoire est cruelle mais le scénario passe vraiment bien. Les couleurs et les dessins toujours aussi agréables... Un bon moment de lecture qui donne envie de lire le tome3...

Avez-vous gardé vos yeux d’enfants ? Aimez vous les petits personnages, tout petits, vraiment, qui vivent dans l’herbe et dorment dans des coques de noix ? Si oui, cette bande dessinée est pour vous !

Mais, aimez-vous aussi les tout petits personnages qui découpent les ailes des oiseaux pour pouvoir les dresser ? Ou bien qui vivent dans le corps mort d’une petite fille ? Si oui, c’est aussi cette bande dessinée qu’il faut lire !

Ce mélange de tendresse et d’horreur (et oui, disons le carrément !), m’a laissé sans voix, m’a complétement bluffé ! Cette dualité parfois morbide est très intéressante. Elle nous expose la magie des contes de fée, par le graphisme, mais aussi par les personnages (princesse, chevalier, etc). Sans aucun doute, vous ferez des liens avec les contes qui ont bercé vos oreilles.

La limite entre le rêve et le cauchemar est très mince, et de ce fait, on ne soupçonne ce qu’il va se passer la seconde d’après : la mise en bière d’une personne vivante ? Un mariage en grande pompe ?



Moi je vous le dis : à lire de toute urgence !