Un deuxième tome plus sympathique que le premier.
On poursuit l'aventure du labyrinthe avec Reika et Yoko, et déjà, un bon point : plus de ecchi ! L'auteur s'est calmé sur le défilé de Reika, et mis à part une scène en maillot, elle est désormais habillée. Youpi !
Les explications sont plus digestes que dans le précédent volume, et même si Reika a toujours son statut de super-héroïne à la Mary Sue, on se demande moins d'où elle sort ses déductions. Par contre, je n'aurai jamais réussi à l'apprécier jusqu'à la fin. Sa mentalité, que l'auteur met volontairement en avant telle une qualité ultime, me l'aura rendu assez antipathique. C'est vrai quoi, elle ne pense qu'à s'amuser et n'a pas l'air de comprendre que Yoko s'inquiète pour son petit copain, ni même attacher d'importance au fait que les gens du vivier vont mourir si elles ne trouvent pas de solution. Ce manque d'empathie me dérange franchement.
C'est véritablement sa relation avec Yoko qui a sauvé l'histoire d'un désintérêt total. Celle-ci reste pour moi la véritable héroïne, et sa force de caractère m'a beaucoup plu. Les dialogues de fin étaient sympathiques. (Je me suis demandée pourquoi elle avait attendu deux ans pour rentrer...Le temps qu'il lui a fallu pour trouver une manette ?)
Ah ! Et je n'avais pas vu la première fois qu'il y avait un texte explicatif derrière la toute dernière page de l'histoire, du coup je n'avais pas toutes les clefs de compréhension. (Qui expliquait d'ailleurs pourquoi Tagami avait suivi Reika jusque chez Yoko. J'avoue que je m'étais demandé ce qu'il faisait là, et ce qu'il devenait.) Donc, ne le manquez pas !
En tout cas, même s'il y avait de bonnes idées, cette série ne restera pas dans ma mémoire.
Sansplus/20.
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surprenant ! d'habitude, je n'aime pas trop les "faux" mangas. je trouve ça pas ouffissime. je les qualifie souvent du premier regard "pas terrible " et j'ai bien fait d'essayer quand même ! les histoires sont assez réalistes et je pense que c'est ça qui m'a fait un gros gros coup de cœur sur ce manga ! je me reconnais assez souvent ! à la page 60 : ah ! ça c'était moi samedi dernier ! à la page 45: ouh, ça c'était l'année dernière ! je m'en souvient comme si c'était hier !
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Lecture que j'ai moyennement appréciée ne maîtrisant pas suffisamment l'univers, les codes, le langage des jeux vidéo.
Les deux personnages principales sont des employées d'une entreprise japonaise pour laquelle elles sont chargées de trouver les bugs dans les jeux vidéo.
Leurs connaissances en la matière et l'originalité de Reika vont leur permettre de sauver l'humanité du plan établi par des extra-terrestres pour prendre le contrôle sans que les hommes ne s'aperçoivent de rien.
J'ai bien aimé le parti pris de choisir des jeunes filles pour cet univers plutôt masculin. Je pense qu'un amateur de jeux vidéo à de quoi se régaler avec le fonctionnement de l'univers parallèle mis en place.
Par ailleurs, la duologie aborde également le thème de la différence, la question du physique "idéal" (ou pas!)... Ce n'est pas beaucoup développé mais tout de même clairement intégré pour susciter une réflexion...
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Ce manga me faisait de l'œil depuis sa sortie, il y a déjà quelques temps. J'ai finalement sauté le pas et me suis procuré l'intégrale lors de la dernière Japan Expo... et je ne le regrette pas !
Au commencement de ma lecture, j'avoue avoir été un peu confuse, étant donné que l'on plonge directement aux côtés de Reika et Yôko, les deux héroïnes, dans un monde étrange, un labyrinthe de pièces hantée par des monstres comme le Room-shark et les Braconniers... Mais les explications arrivent au fur et à mesure que les héroïnes retrouvent la mémoire. Elles ont purement et simplement disparu de la surface de la Terre et se sont retrouvées enfermées dans cet "univers parallèle" (je n'en dis pas plus pour ne pas gâcher le plaisir des prochains lecteurs !). Utilisant leurs compétences en matière de débogage de jeu vidéo, Yôko et Reika vont tenter de survivre et de trouver une solution à leur situation... périlleuse. Reika m'a particulièrement impressionnée par sa finesse, sa capacité d'observation et de déduction, tandis que Yôko représenterait plus à mes yeux la "personne lambda" complètement déboussolée par ce qu'il lui arrive. L'opposition de leur caractère donne un duo attachant mais que l'on devine prêt à se déchirer au moindre accroc... "Dédale" est un concept original et atypique dans la sphère "mangaesque", et il serait dommage de passer à côté !
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Je n'ai pas apprécier ce deuxième tome car outre les mauvais dessein( erreurs de proportion) l'histoire est bâclé par l'auteur, il y avait beaucoup cet univers fictif aurais put être tellement plus développé car cette univers n'a aucune limite. en Effets la création d'un monde indique une totale liberté sur ce qu'il s'y passe. L'Espèce des "Braconniers" et elle aussi bâclé et peu développée
en conclusion une fin peu satisfaisante qui aurais mérité plus de temps.
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L’aventure reprend de plus belle, et ne cesse de se renouveler ! Ce second et dernier tome tient ses promesses, maintient sa cohérence et sa qualité graphique jusqu’au bout, et nous offre une fin largement satisfaisante.
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On retrouve la fin des aventures de Reika et Yôko tout en continuant d'apprécier les graphismes et lieu de l'action. Ce livre est bourré d'aventures comme de frissons tout en restant agréable à lire. Je conseille ce livre à tout les amateurs de jeux vidéos. Mais petit problème je pensais pouvoir continuer la série avec autant d'aventures et de suspens toujours avec des beaux graphismes. Dommage!!!
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Lire le manga "Dédale", c'est accepter de se perdre, d'évoluer en territoire inconnu, à l'image de ses deux personnages principaux. L'intérêt de ce manga ne réside certainement pas dans ses rebondissements. Pour être honnête, on ne peut pas dire qu'il se passe grand chose. Nous suivons deux filles qui se "baladent" dans un bâtiment désaffecté, un dédale. Mis à part, l'apparition de 2-3 créatures étranges, l'intrigue se consacre surtout aux réflexions, interrogations et déductions des deux personnages quant à l'endroit où elles se trouvent.
Si j'ai apprécié cette lecture, c'est avant tout parce que le tandem formé par Reika et Yôko m'a bien plu. Les deux jeunes filles sont très différentes, tant sur le plan physique que psychologique. Il est donc intéressant d'observer les réactions de chacune face aux évènements étranges auxquels elles sont confrontées. Ce décalage de personnalités entre les deux personnages permet de donner une touche humoristique à l'histoire.
En résumé, je dirais que "Dédale" est un manga surprenant, déconcertant. Rien ne nous permet de savoir ce qui arrive réellement à Reika et Yôko. Sont-elles en train de rêver ou bien de jouer à un jeu vidéo? Sont-elles prisonnières d'une réalité virtuelle, d'une autre dimension ? Sont-elles mortes? Bien des hypothèses traversent l'esprit du lecteur. Pour avoir la réponse, il faudra lire le second volume...
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Deux étudiantes se retrouvent propulsées dans un endroit qu'elles ne connaissent pas, où elles sont semble-t-il seules et dont elles ne trouvent aucune issu.
Dans ce manga sous forme de huis-clos, ce que j'ai particulièrement apprécié, ce sont les personnages : ces deux filles sont tellement différentes, que ce soit physiquement que du point de vue de leur caractère que cela créé des situations souvent drôles, humour que l'on retrouve aussi dans les dialogues.
Leur situation est très mystérieuse, mais ensemble, elles vont trouver progressivement ds solutions, à chaque nouveau problème qui se présente à elles. De plus, le fait de se retrouver comme ça toutes seules va leur permettre de découvrir des choses l'une sur l'autre qu'elles ne soupçonnaient pas; cela va-t-il détruire ou au contraire renforcer leur amitié...
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Une lecture plutôt décevante dans l'ensemble.
J'attendais sans doute trop de cette histoire de labyrinthe dont je n'avais pas vraiment lu le résumé. Les dessins sont pas mal, on ouvre sur une jolie double page couleur. L'intrigue n'est pas mauvaise, et il y a de bonnes idées dans ce volume, mais malheureusement je n'ai pas accroché.
La raison est simple : je n'aime pas DU TOUT l'héroïne. Déjà, elle passe sa vie à poil. Vas-y que j'prends 18 bains, et j'sors de la salle de bain avec la serviette dans la main (super utile), et oups je suis tombée dans l'eau ! Elle a tellement changé de fringues que c'en devenait ridicule. Je veux dire, c'est un seinen ou c'est "Martine au pays de la cabine d'essayage" ? Ces scènes volontairement ecchi ne servent à rien, et sont très mal amenées. Même son flashback trop horrible avec son père était prétexte à montrer ses seins. D'ailleurs franchement, quitte à la rendre sans attache, l'auteur aurait pu tout simplement en faire une orpheline, plutôt que de nous infliger ça. Je trouve que ça n'apportait rien au scénario.
Ensuite, son côté omniscient m'a vite saoulée. On est d'accord, c'est un univers similaire aux jeux vidéos, mais ces connaissances restent excessivement pointues pour deux personnes censées être ordinaires. de ce côté, Yoko était bien mieux écrite, elle avait de la logique et un bon sens de déductions, mais dans une moindre mesure.
Enfin, Reika est bien trop égocentrique à mon goût. Je sais que c'est la mode d'avoir un héros insouciant et lunaire, mais même dans ce genre de situation, je ne comprends pas que la peur, l'empathie, voire l'instinct de survie simplement, n'entre pas en ligne de compte. Alors oui, on nous la vend comme un être exceptionnel, qui a sa propre vision des choses, mais pour moi elle est juste totalement égoïste et froide.
Par contre, Yoko m'a beaucoup plu. C'était sympa d'avoir un personnage important à son image, même s'il y a de temps en temps des clichés sur les gros. de plus, elle est beaucoup plus humaine que Reika, et bien plus sympathique. Heureusement, je me suis rapidement attachée à elle, sinon je n'aurai peut-être pas fini ce livre. En tout cas, leur relation est amusante, et il y a quelques dialogues qui font sourire...quand ils ne me donnent pas envie de juste baffer Reika. Ah ! Et Tagami m'a agacé à ne donner les informations qu'au compte-goutte. Je me doute que c'était pour garder le mystère, mais tout ceci était vraiment mal écrit.
La série est très courte (deux tomes), je lirai donc la fin mais sans grande conviction.
Meh/20.
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« Et si la vie réelle pouvait « bugger » ? »
Reika et Yôko sont deux étudiantes qui se retrouvent à errer dans un gigantesque bâtiment , un dédale sans fin où d’étranges personnages rodent. Elles tombent alors sur un mystérieux message signé Tagami , qui est un célèbre créateur de jeux vidéo et qui semble en savoir vraiment plus que n’importe qui sur ce monde.
Une série en deux tomes qui exploite les failles et les beugs jusque dans la vraie vie. Beaucoup de questions se posent rapidement à savoir comment les filles sont arrivées là ? Vont-elles pouvoir s’échapper ? Sont-elles toujours vivantes ?
Ce n’est pas forcément la série de l’année selon moi mais cela reste une sympathique série de manga. L’histoire est originale , les personnages agréables à suivre même si certains passages traînent en longueurs et sont redondants. Il est intéressant de voir comment le manga évolue sur les deux tomes et comment l’histoire se finie.
À savoir que le manga a été sélectionné aux Manga Taishô Awards en 2016 , le prix coup de cœur des libraires japonais.
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[ Dédale - Takamichi ]
« Et si la vie réelle pouvait « bugger » ? »
Reika et Yôko sont deux étudiantes qui se retrouvent à errer dans un gigantesque bâtiment , un dédale sans fin où d’étranges personnages rodent. Elles tombent alors sur un mystérieux message signé Tagami , qui est un célèbre créateur de jeux vidéo et qui semble en savoir vraiment plus que n’importe qui sur ce monde.
Une série en deux tomes qui exploite les failles et les beugs jusque dans la vraie vie. Beaucoup de questions se posent rapidement à savoir comment les filles sont arrivées là ? Vont-elles pouvoir s’échapper ? Sont-elles toujours vivantes ?
Ce n’est pas forcément la série de l’année selon moi mais cela reste une sympathique série de manga. L’histoire est originale , les personnages agréables à suivre même si certains passages traînent en longueurs et sont redondants. Il est intéressant de voir comment le manga évolue sur les deux tomes et comment l’histoire se finie.
À savoir que le manga a été sélectionné aux Manga Taishô Awards en 2016 , le prix coup de cœur des libraires japonais.
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C’est mon premier manga et j’ai très honnêtement beaucoup aimé. On y suit Reika et Yoko, qui aiment les jeux vidéos et sont coincées dans un « monde parallèle », chaque porte les amène à un endroit différent, c’est très prenant, les monstres sont aussi cool aha. La vie des personnages est racontée en avançant dans l’histoire ce qui ne nous laisse pas sans les connaître.
Le fait que Dédale soit en seulement deux tomes est assez cool
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