Ai Yazawa

J’ai l’honneur de vous présenter ce superbe manga en cinq tomes, paru récemment sous la forme d’une intégrale grand format chez Kana. Créé par Ai Yazawa (auteur de la série Nana, un shôjo = manga dont la cible principale sont les jeunes adolescentes). Pour ceux qui ont lus les Nana et qui ont adoré, cette courte série est du même style et devrait au moins autant plaire ! Et pour ceux qui ne connaissent pas spécialement l’auteur et ses œuvres, sachez que la clé de voûte des œuvres d’Ai Yazawa sont les interactions, les sentiments des personnages entre eux, offrant au lecteur de vrais moments de bonheur.



Bien entendu, le manga est d’une esthétique absolument magique avec des planches à couper le souffle, où l’on sent toute la beauté de l’œuvre et de l’instant esquissé. Les personnages sont très beaux et ont chacun des signes bien distinctifs qui les rendent chacun unique. Ainsi, des thèmes sérieux sont abordés à la fois avec humour et sérieux.



De plus, moi qui pensait ne pas accrocher à ce genre d’univers : réaliste et sentimental, j’ai été bien surprise de me rendre compte qu’à la fin du premier tome j’étais vraiment dedans et qu’il me tardais de lire la suite !



Je ne vous présente pas les tomes un à un, d’autant plus que la version intégrale est beaucoup mieux (5 tomes à 7€ chacun = 35€ contre une superbe intégrale à 19€, ça fait plaisir). Par contre, il parait qu’il est toujours plus sympathique d’avoir lu « Gokinjo, une vie de quartier » (la toute première série d’Ai Yazawa) car on y retrouve les personnages de Paradise Kiss dans leur prime jeunesse.



Le dernier point extrêmement positif : le côté moral, les leçons de vie faites dans cette petite série sont géniales. Ai Yazawa sait toucher les lecteurs (le plus souvent lectrices) par l’hypersensibilité de ses personnages, et c’est vraiment fabuleux de créer autant de vie sur du simple papier !



La série Paradise Kiss a un seule « défaut », elle est assez courte (5 tomes). Heureusement Ai Yazawa a fait d’autres séries !
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Ce premier tome nous présente les deux jeunes filles au même prénom avant qu'elles se connaissent. On fait déjà bien la différence entre les caractères vraiment opposés des deux Nana.
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Nana ! Ce mythique manga dessiné par Ai Yazawa, le début de ce qui semble être une grande histoire entre les deux nana se dessine. Deux histoires d’amour qui les mèneront vers Tokyo. Le style longiforme de Yazawa est toujours un peu déroutant mais on s’y fait vite . Et que dire du sens de la mode de cette mangaka qui est juste INCROYABLE. C’est important de s’attarder dessus parce quel autre mangaka à autant le sens de la mode et crée des tenus indémodables ? (cc Jojo)

J’avoue que je me suis un peu ennuyée à la lecture de ce tome. On fait pas mal de sur place, ce tome étant davantage centré sur l’organisation du mariage de Ren et de Nana Ôsaki et son annonce à la presse. Par contre, j’avoue que cela fait du bien d’avoir une Nana Komatsu plus calme et posée. Cependant, je suis toujours autant agacée du rôle de femme au foyer qui est désormais le sien. Elle passe sa vie à attendre Takumi et j’avoue que j’aurais espéré autre chose pour elle.



J’ai quand même apprécié ses retrouvailles avec les membres de Blast lors des feux d’artifice, comme si le temps s’était arrêté. J’ai juste trouvé dommage qu’ils n’aient pas pu s’expliquer avec Nobuo. J’attends cela avec impatience…



Parlons aussi de ce bon dans le futur où on a pu voir un groupe toujours aussi soudé, une Nana Komatsu très attentionnée envers Nobuo. Et aussi une petite fille aux cheveux noirs. Cela laisse donc présager ce que je pensais même le mystère plane : Nana est-elle toujours avec Takumi ?



Enfin, nous faisons enfin la connaissance de la mère de Nana Ôsaki. Et cette Misato, qui est-elle ? En tout cas elle est très fan de Blast. Serait-ce la même personne que la mystérieuse Misato, la fan de la première heure de Blast ? Mystère… La seule chose que je remarque c’est qu’elle a des traits de ressemblance avec Nana Ôsaki.

Dans ce tome, on est davantage centré sur les débuts de Blast. Par contre, à présent qu'ils ont signé dans une maison de disque, ils n'ont plus trop voix au chapitre. Tout est organisé pour eux, sans qu'ils n'aient plus mot dire. On entrevoit nettement l'ancrage du manga dans le réel. Nana Ozaki a quelques problèmes de santé dûs au stress. Tout s'enchaîne très vite. Elle a également des doutes sur sa relation avec Ren. Ils sont séparés physiquement depuis un bon moment, et on découvre le penchant de celui-ci pour la drogue. Je pense qu'ils ne vivent pas la relation sur le même rythme. Il y a une certaine dépendance de Ren par rapport à Nana. En tout cas, c'est comme ça que je l'interprète...



On ne voit pas beaucoup Nana Komatsu dans ce tome. Cependant, lorsqu'ils sont en visite chez les parents de cette dernière, on a quelques éléments de l'enfance de Takumi, ce qui est en soit très appréciable. Aussi, Nana revoit Shodji. J'ai trouvé ces retrouvailles nécessaires pour qu'ils puissent enfin s'expliquer. Cela a permis aussi de tirer un trait sur le passé et que chacun soit apaisé. Nana a également des remords car elle se dit que tout aurait été différent si elle s'était expliquée avec Shodji mais aussi Nobu, car elle a l'impression que les mauvais souvenirs surpassent les bons. Il est intéressant, d'ailleurs d'avoir le point de vue de Nobu sur la façon dont il vit sa rupture avec elle.



J'ai bien aimé aussi la tournure que prend la relation entre Reira et Shin. Une histoire d'amour serait-elle entrain de se dessiner ?



Et puis, il y a la rencontre entre les membres de Blast et de Trapnest. Finalement, à vouloir se confronter, vont-ils lier des liens d'amitié ?

Dans ce tome, on entrevoit la dure loi du showbusiness : la difficulté de garder sa vie privée secrète. Malheureusement, Nana Osaki et Ren l'ont appris à leurs dépens, Yasu également. Néanmoins, malgré les quelques moments difficiles que cela a pu susciter, cela a permis de lancer Blast.



Nana Komatsu, quant à elle, est la parfaite petite femme au foyer. Est-ce cela qui la rend heureuse ? Je ne sais pas... Toujours à attendre Takumi en tout cas. Cette relation n'est pas saine, on dirait carrément qu'elle est enfermée dans une prison dorée. D'ailleurs, ça m'a choquée tout le dispositif que met en place Takumi pour la couper du monde ! Elle n'a plus aucune intéraction sociale... Et puis, Nana Osaki qui fait tout pour la revoir et finalement elles se manquent de peu... Par contre, j'ai été très émue de ses retrouvailles avec Shin. Les origines de ce dernier reviennent sur le tapis, Nana se posant beaucoup de questions à son sujet. . Cette phrase de Shin disant à Nana Komatsu qu'il aurait bien voulu naître en étant son enfant m'a bouleversée. Et les médias qui veulent le salir en divulgant ses origines alors qu'il est déjà si tourmenté, c'est horrible je trouve ! Mais c'est la dure loi des célébrités et le magazine qui fera le plus vendre avec des informations compromettantes. En cela, le manga est toujours autant ancré dans la réalité et celle-ci ne fait pas toujours du bien.



Je suppose que lors des prochains tomes, nous allons pouvoir assister aux débuts de Blast ?? J'ai hâte ! Qui de Blast ou de Trapnest parviendra à se hisser au sommet ??

Ce tome est pour moi celui qui m'a procuré encore plus d'émotions que le précédent. Il y a énormément de symboliques. Tout d'abord, Takumi qui annonce son mariage avec Nana Komatsu à Nana Osaki. Suite à cela Les deux verres à fraise brisés. C'est une scène qui m'a vraiment émue car pour moi c'est le symbole de la fin d'une époque... Le mariage ne fait pas que des heureux au sein de Trapnest. Reira est amoureuse de Takumi, de ce fait, elle a du mal a vivre ses fiançailles. On entrevoit ici une autre facette de ce personnage si enjoué habituellement. Aussi, un autre thème est abordé : le choc post-traumatique. Nana Osaki a de soudaines pertes de mémoire dues au choc qu'elle a subi.



Je trouve encore une fois les thèmes abordés super intéressants. Par contre, je déteste toujours autant Takumi ; il est manipulateur et réussit à toujours obtenir ce qu'il veut. Personnellement, je ne voudrais pas d'une telle relation...

Ce tome se passe sous le point de vue de Nana Osaki, en tout cas en pensées. C'est vraiment très chouette, car jusqu'à présent, nous n'avions que le point de vue de l'autre Nana. C'est ainsi qu'on peut en apprendre davantage sur la manière dont Nana Osaki a vécu sa rencontre avec Nana Komatsu et son départ pour Tokyo.



C'est aussi dans ce tome que tout bascule pour Nana Komatsu. Cela m'attriste fortement car j'aimais la relation qu'elle commençait à tisser avec Nobuo et le fait qu'elle soit enfin heureuse. Takumi avait enfin disparu du paysage. Effectivement, je n'aime pas du tout ce personnage et sa manière d'agir avec les femmes et d'en faire ce qu'il veut finalement. C'est dans ce tome qu'on peut entrevoir la cruauté de ce personnage qu'étonnamment j'ai trouvé encore pire que dans l'animé. Et puis, Nana Komatsu s'enferme encore plus dans cette relation toxique, elle ne dit plus mot et ne pense plus par elle même. Elle doit prendre une décision, elle est enceinte mais ne sait pas qui est le père. J'ai l'impression qu'elle ne sera jamais heureuse car elle fait tout le temps les mauvais choix...



Aussi, la distance se creuse encore plus entre les deux Nana. Leur amitié prend peu à peu fin. Quand ce manga va-t-il arrêter de me malmener ??

J'ai beaucoup aimé ce tome-ci également. Il commence fort avec le concert de Blast mais je le trouve aussi triste car de plus en plus, on peut voir la distance que prennent les deux Nana et les rendez-vous manqués. Blast va passer pro et Nana Osaki se consacre de plus en plus à sa carrière. Quant à Nana Komatsu, elle papillonne. Elle se rend compte que sa relation avec Takumi n'est pas saine. J'ai adoré le rapprochement avec Nobuo mais je pense qu'il arrive trop tard et que les choses n'étaient pas tout à fait réglées avec Takumi. C'est toujours ce qui m'embête avec ce personnage, c'est qu'elle tombe amoureuse ultra rapidement, et parfois même égoïstement. Par contre, j'ai beaucoup aimé qu'on en apprenne plus sur le passé de nana Osaki à travers les yeux de Nobuo. Aussi, j'ai un peu souffert pour Shin, qui n'a pas reçu d'amour de la part de sa famille adoptive. Ce manga traite vraiment de questions intéressantes, telles que les origines sociales et familiales, les limites entre l'amour et l'amitié, les relations toxiques, etc. Je le trouve vraiment très riche.

Ce tome 6 est tout aussi excellent que les autres. Ce que j’ai adoré dans ce tome, c’est la déclaration de Nobuo à Nana Komatsu. J’ai trouvé ça très touchant, sincère et triste à la fois puisque Nana s’est déjà entichée de Takumi (que j’arrive pas à apprécier, c’est indéniable). Il y a aussi toute une réflexion sur l’amour, le vrai. On découvre un Shin encore une fois très mature pour son jeune âge, parfois trop, d’ailleurs.

Ce tome m’a quand même bien fait souffrir car on entrevoit déjà la coupure entre les deux Nana et aussi entre Nana Komatsu et le reste du groupe Blast. Trapnest commence à prendre énormément de place…

Enfin, ce n’est pas nouveau, mais je trouve que Nana Komatsu tombe trop vite amoureuse, quitte à souffrir et je trouve qu’elle pourrait se trouver beaucoup mieux que Takumi qui ne la traite pas bien. Nobuo, lui, il l’aime mais Hatchi est beaucoup trop aveuglée par son admiration envers Takumi car oui, je trouve que c’est plus le fait qu’une rock star, son idole s’intéresse à elle qui fait chavirer son cœur. Mais ce n’est pas de l’amour à mon sens.

J’ai quand même hâte de lire la suite même si je la connais de par l’animé.

Le tome qui commence à faire mal au cœur des lecteurs et des premiers mensonges.

Ce tome marque, selon moi, une vraie transition avec plusieurs “secrets” dévoilés mais également quelques blessures qui en résultent. L’ensemble tient toujours aussi bien la route et est même d’une certaine façon assez réaliste.

Le texte et le dessin sont toujours semblables aux tomes précédents même si Trapnest prenant un peu plus de place dans le récit, le champ lexical se diversifie légèrement.

Niveau personnages, les esprits se torturent de plus en plus dans la bande, les actions se font plus spontanées donnant un très bon rythme à l’ensemble sans pour autant avancer très vite dans le récit. Je trouve que le développement des personnages de Reira et de Takumi est intéressant et leur donne une belle complexité limite attachante.

Je me demande vraiment quelle partie de cette histoire m’attends dans le tome 7, j’ai hâte de le découvrir!

J'ai eu l'envie de me lancer dans la lecture de manga et c'est tout naturellement que je me suis dirigé sur "Nana". Nous suivons l'histoire de deux jeunes femmes, toutes deux portant le prénom de "Nana". Elles ne se connaissent pas et n'ont absolument rien en commun au premier abord et pourtant, un lien particulier va naître entre les deux protagonistes. Nous allons alors les suivre dans leur quotidien et être témoin de leurs histoires d'amour, d'amitié et de musique. "Nana" est un manga emplit d'une certaine poésie, mais qui nous rappelle parfois, souvent, la dure réalité de la vie.

Les aventures du duo de Nana commencent fort avant même leur aventure à Tokyo!

Les deux Nana se mettent enfin en route pour la capitale avec chacune leurs objectifs une fois sur place mais le Roi des Démons veille et les rassemble!

Les textes sont toujours aussi bien adapté à l’univers du manga et aux personnages car même si l’histoire heurte deux mondes opposés entre eux, le vocabulaire amplifie cet effet de différence. On reste toujours cependant sur du très simple à lire rempli de sentiments, d’humour et de jeux de mots propre à la série.

Les personnages principaux s’affirment beaucoup plus dans ce tome, au détriment de la présence des personnages secondaires malheureusement. On ressent encore plus les caractères affirmés des deux héroïnes et ce qui les rassemble autant que ce qui les différencie.

Pour les dessins, pas de changement avec le tome 1, la qualité reste identique et les détails sont au rendez-vous, surtout pour ce qui entoure la Nana plus enfantine.

Connaissant l’histoire, j’ai vraiment hâte de voir le tome 3, de découvrir jusqu’où il va et si il recèle des surprises!

Véritable génie de la narration et des jeux de symbolismes pour conter son histoire, la mangaka nous épate encore, alors que nous n'en sommes qu'au tome 5
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Que j'aime le style vestimentaire des personnages d'Ai Yazawa! J'ai pas vu passé les pages de cette intégrale de 900 pages. L'humour des personnages, la quête de liberté et la mode. Un parfait cocktail!



Seul bémol, c'est la vitesse avec laquelle les personnages développent des sentiments après s'être rencontrés. Mais ce n'est que mon avis personnel.



Un josei parfait en somme.

Dernier tome de ce manga cassant sans cesse le mur avec le lecteur, ne se prenant pas une seule seconde au sérieux. Même si je savais très bien comment l’histoire se finissait, un sentiment doux-amer m’a tout de même envahie.

L’histoire continue passer sans cesse des rires aux larmes tout en gardant une certaine logique aux coïncidences typiques et totalement assumées. Les textes restent fidèles à eux-même avec un langage d’ado sans prise de tête tout comme le vocabulaire.

Les personnages arrivent cependant encore à nous surprendre par leur décision et leur façon de penser. Ils restent tous très attachants en cherchant parfois à cacher leur faiblesse avant de mettre leurs sentiments à nu soudainement.

La qualité du dessin ne pâtit pas du fait qu’il s’agisse du dernier tome, la qualité est encore bien là comme les détails et les encrages qui perfectionnent le tout.

Très clairement, j’ai tellement envie de savoir ce qu’il arrive à cette bande de fous et ne pas seulement me contenter de la vision rapide de leur futur.

Que d'émotions dans ce neuvième tome ! J'ai eu plusieurs fois les larmes au yeux face à la rupture entre nos deux héroïnes, mais également éprouvais de la colère à l'encontre de Takumi ; quelques passages ont apporté le sourire aux lèvres, bien que ce fut rare.



Les relations prennent de nouvelles tournures : entre brisures, anciens amours et amitiés, comment les deux groupes réagiront face aux entrelacements que tissent leurs membres ?



Cette lecture confirme l'amour que j'éprouve pour cette série de mangas qui malgré les années ne s'est pas tari, bien au contraire.



Malheureusement, je n'ai pas la suite sous la main, mais cela ne serait tarder : Nana, Hachi et leurs compagnons m'ont beaucoup trop manqués – bon hormis certains...

Un tome un peu plus dans le stress que dans l’humour mais pour compenser, l’histoire de la mystérieuse et excentrique Isabella!

L’histoire se clôture doucement en conservant sa logique et avec quelques surprises. On se laisse toujours aussi bien emporter par les préparatifs du concours et les pensées de Caroline.

Les personnages sont toujours aussi attachants par leur réactions exagérées tout en gardant leur côté humain, la découverte de leur passé et leur passion. Petite déception pour Caroline dans ce tome par contre, j’ai eu une légère impression d’enfant capricieux et gâté qui m’a légèrement refroidi.

Pour les textes, on reste sur un vocabulaire de grand ado qui se cherchent sans être bombardé de vocabulaire propre au monde du mannequinat et de la mode. Toujours aucune excuse pour ne pas le découvrir du coup!

Pas de changement sur la qualité des dessins et de l’encrage. On perçoit toujours aussi bien la richesse des textures des tissus, les éclairages et les décors, c’est donc toujours un plaisir de s’attarder sur chaque vignette pour en découvrir la recherche.

Je suis déjà triste de me dire que j’en aurai bientôt fini avec cette série, j’aurai presque envie de retarder au maximum la lecture du dernier tome.

Fan inconditionnelle du travail d'Ai Yazawa j'ai vraiment foncé sur la première opportunité de lise cette série même des années après sa sortie.



Les dessins sont tellement typiques et beaux, l'histoire est mignonne avec des réalités humaine (même si cela reste du shojo donc avec certains codes).

J'aime beaucoup l'évolution de la protagoniste principale et des réflexions de tous les personnages autour. L'histoire est assez rapide mais vraiment agréable et fluide. J'ai vraiment aimer qu'on suivent tous les personnages et pas seulement une héroine principale.



La fin est toute belle et met bien fin au manga (même si un couple ne me plait paaaas et que j'aurais voulu plus de cliché, c'est ainsi !).

Ai Yazawa est une incontournable des années 2000 et ce manga renforce l'amour et l'admiration que j'ai déjà pour son travail.
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La bande de George est de retour pour encore plus de scènes déjantées et hilarantes. L’histoire suit toujours aussi bien son cours de manière logique tout en restant fluide ce qui est très agréable.

Les personnages se construisent de plus en plus au fil des pages, dévoilant de nouvelles facettes d’eux, les rendant plus complexe et plus humain.

Pour les dessins, la qualité reste identique. On perçoit bien les différents tissus malgré l’absence de couleur, les différentes ambiances.

Les textes sont toujours riches en vocabulaire sans être incompréhensible ou prise de tête si on n’y connaît rien à l’univers du tissu et de la mode.

Fort heureusement, j’ai déjà le tome 4 en ma possession pour poursuivre les aventures de ce groupe de fous!