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Critiques de Andrea H. Japp (605)
Le septième cercle

Dans l'Enfer de Dante, le septième cercle, le plus concentrique, est occupé par les traîtres et les lâches.

Ann Hawk était au volant lors de l'accident qui a coûté la vie à son fils et son mari. Elle n'a pensé qu'à sa propre survie durant les quelques secondes avant l'explosion de la voiture.



Bien qu'en état de choc, elle a repris son travail dans un cabinet de conseil aux entreprises. Mais elle ressent une sorte d'urgence à agir, qui reste vague jusqu'à ce que se précisent des impressions paranormales en rapport avec le meurtre d'une journaliste d'investigation. Pour comprendre, Ann s'associe avec Richard Codrington, qui avait co-signé un des articles primés de Clara Saragan.



Andrea H. Japp adopte une manière d'écrire économe, très incisive et sans effets superflus, qui rend comme au ralenti le décalage entre la succession rapide des événements et le ressenti du narrateur.
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Monestarium

Monestarium…………

Voici donc le second policier, thriller ou polar historique de la sélection d'avril, autant le dire tout de suite, il fallait être motivé pour aller au bout ! Dès le départ le livre semblait bien s’engager, nous étions en 1288 à Al iskandarîyah [1] presque dans une atmosphère - de guerre sainte où chevaliers du temple et hospitaliers commençaient à entretenir le mystère - .

Un marchand récupère la lourde besace d’un voyageur agonisant, atteint de la fièvre des marais [2]. II est égorgé alors qu’il tente de vendre le sac à un intermédiaire.18 ans plus tard nous nous retrouvons dans abbaye de femmes des Clairets où les intrigues, coups bas, pièges, rumeurs, vont se succéder tout comme les personnages pas moins de 19 (et pas un personnage attachant qui pourrait donner l’envie d’aller au bout).

Nous nous retrouvons finalement dans un imbroglio manquant de rythme, très détaillé certes, très bien documenté, mais en utilisant un vocabulaire de l’époque, on se retrouve très vite avec parfois quatre notes presque aussi longues que le texte, en bas de pages, des renvois vers le glossaire en fin de roman, sans compter la brève annexe historique. De quoi perdre espoir …. Au bout du compte on en oubliera presque la quête d'une mystérieuse besace.

Vous l'aurez compris l'univers clos qu'est l'abbaye de femmes des Clairets ne m'aura pas tenu en haleine.

.

Monestarium n'est pas à mon gout le « thriller historique haletant » tel qu' indiqué en 4ème de couverture .

.

[1] Alexandrie.

[2] Malaria, connue depuis l’antiquité. On trouve ses premières descriptions et son lien avec les marécages sur des papyrus égyptiens datant de 200 avant jésus -christ


Lien : http://dunlivrelautre.blogsp..
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Monestarium

On se représente assez facilement le couvent comme un lieu de paix, de sérénité, d'amour, et de prières. La reine du crime Andrea Japp va s'efforcer tout au long de son livre à nous démontrer le contraire.



L'auteur nous transporte au Moyen Age, dans une abbaye. Plaisance de Champlois, nouvellement nommée Mère Abbesse, est une jeunette d'une quinzaine d'années. Sa nomination au poste très convoité de Mère Abbesse attise les convoitises. Des clans se forment et en secret, certaines soeurs (sous la bannière de la Grande Prieure), mettent tout en oeuvre pour la déstabiliser et la crédibiliser.



Sur ordre du pape et du Comte de Mortagne, l'abbaye doit se transformer en maison d'accueil pour les lépreux. C'est à ce moment que le semblant de paix qui semblait y régner s'effondre, les complots éclatent au grand jour, la révolte gronde et les meurtres s'enchaînent.

Plaisance de Champlois débordant d'une énergie sans faille, va se révéler être d'une force d'esprit incroyable, doublée d'un esprit de déduction digne des plus grands enquêteurs.



Dès les premiers mots de Monestarium, j'ai poussé un grand soupir de satisfaction. L'écriture est belle, limpide. La musique des mots est gracieuse à mes oreilles.

Les multiples renvois à des définitions, glossaires et références historiques ne m'ont aucunement gênés.

Par contre, ce que j'ai trouvé pénible, c'est cette volonté de clore l'histoire avec un happy-end à la sauce hollywoodienne.

Les derniers chapitres ont grandement gâché mon plaisir. J'ai l'impression d'avoir eu en face de moi un auteur qui n'avait pas eu le temps d'écrire la trame de son roman et qui a du le terminer en quatrième vitesse.

Je pense aussi que Monestarium est plus destiné aux jeunes adultes car il y règne une certaine fraîcheur qui est bien loin de ce que présage la 4ème de couverture sur laquelle on peut lire :" Monestarium est un thriller historique haletant".



Thriller : certainement pas

Historique : pourquoi pas

Haletant : pas vraiment...



J'avais le souvenir d'une Adrea Japp beaucoup plus incisive, aimant comme un chat avec une souris, bousculer, malmener et enchaîner son lecteur...Ce qui n'aura pas vraiment été le cas ici.


Lien : http://www.valunivers.fr/200..
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Monestarium

L'auteur nous fait vivre une aventure trépidante à l'intérieur d'un monastère. Qui se cache sous la robe de nonne ? - Deux femmes à la recherche d'un trésor ? - Une autre qui change d'identité par crainte d'être assassinée ? - Une apothicaire qui s'avère être un homme ? - Une grande prieure assoiffée de vengeance ? Chut, tout est calme. Et soudain, c'est l'explosion…. complots, meurtres, vols tout s'enchaîne. Du bon policier inédit ! MB
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Pas de pissenlits pour le cadavre

Tous les ingrédients étaient réunis pour passer un bon moment et pourtant je suis pas à côté !

Les deux amies avec chacune leurs caractères et leurs histoires et si soudées, l’ouverture d’un magasin de fleurs avec un salarié pour le moins mystérieux.

Un cadavre bien sûr, deux policiers avec une potentielle histoire de cœur.

Mais j’ai trouvé l’histoire longue, trop évidente, l’écriture moyenne la mise en page rend difficile la lecture (peu de paragraphes, peu aérée)

Le livre n’est pas très long mais je me suis perdue dans des détails inutiles, beaucoup trop de personnages avec parfois peu d’intérêt.

Bref, je n’ai pas été conquise !
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Meurtres sur le réseau (C.S. Meurtres)

Drôle et intriguant! Des personnages un peu loufoque et compliqué à comprendre parfois.

Un langage d'une autre époque et une manière de voir les choses également mais cela fait plaisir de s'y replonger.

L'enquête avec le minitel fait remonter pas mal de souvenirs!
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Diane Silver, tome 2 : Une ombre plus pâle

J'ai commencé par le tome 2, ce qui me semble dommageable pour la qualité du livre et de mon expérience de lecteur. Ceci dit, les personnages me paraissent caricaturaux, non approfondis et, pour l'héroïne par exemple, un peu détestable. L'intrigue est simple et sans jamais d'embûches... deux voir trois histoires se déroulent en parallèle et ne parviennent pas à me toucher. Sans plus quoi, pas de plaisir particulier à la lecture...
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Cinq filles, tome 1 : Cinq filles, trois ca..

Un policier feel-good comme on les aime.

Un polar insolite qui nous emmène dans une enquête délirante.

Cinq copines qui n'ont rien demandé et qui se retrouvent prises dans des histoires qui les dépassent.

Et cette question cruciale, qui revient régulièrement : mais où est donc passé ce satané volant ?????
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Mortagne, bourreau : Le brasier de justice ..

J'ai eu énormément de mal à lire ce livre.



Je n'ai pas l'habitude des polars et encore moins à ce langage des personnages.



Mais outre ça, j'ai quand même beaucoup aimé l'enquête et voulais savoir a tout prix savoir où cela mènera.



Malgré, ma difficulté a lire ce polar, je vais me laisser tenter par le tome 2. C'est que je m'y suis attachée à ce Justicie de Mortagne



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Les Mystères de Druon de Brevaux, tome 1 : Ae..

Malgré un bon résumé, je n'ai malheureusement pas du tout accroché à l'histoire, aux personnages. J'ai trouvé plat, une intrigue simple et la lecture ennuyante. Pourtant, j'apprécie beaucoup le thème du livre mais dans celui ci je n'ai pas aimé. Dommage
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Le Silence des survivants

Fan inconditionnelle d'Andréa H. Japp, notamment pour ses romans historiques, je découvre progressivement ses autres collections et autres romans policiers plus contemporains.



Le Silence des survivants m'a intéressée dès lors qu'il évoquait en filigrane, et au-delà de l'affaire criminelle dont il est question - l'histoire du beau-père, ex-déporté juif des camps de la mort et celle - moins connue - de Sok Bopah devenue Isabel à son arrivée aux Etats-Unis, confrontée alors qu'elle était encore une enfant, à la barbarie des camps des Khmers rouges, sous la direction du tyran cambodgien Pol Pot (1975-1979).



De quoi s'agit-il ?

Tout d'abord, en guise d'incipit, ce court roman de 220 pages s'ouvre sur une scène de torture particulièrement cruelle, perpétrée a priori par un adolescent au nom de Prince Rock. D'emblée, on ne voit pas très bien le lien avec la suite, mais quand on sait que les profileurs du FBI identifient bon nombre de psychopathes et de tueurs en série par leur passé de tortionnaires ou tueurs d'animaux... on imagine que ce Prince Rock sera peu ou prou concerné par les crimes dont il sera question.



Puis, Andréa H. Japp nous montre le quotidien d'une famille de classe moyenne, somme toute normale, de Bedford (Etat de New-York), les Kaplan : le père comptable, la mère au foyer obsédée par l'ordre et faisant de façon compulsive des réserves pour ne pas manquer, les deux enfants (une ado de 14 ans, un garçon étudiant boursier au MIT ayant récemment pris son indépendance en logeant à Boston).

Normale, à deux différences près :

1/ le grand-père des enfants (et beau-père de la femme) Simon (70 ans) vit avec eux depuis la mort de sa femme et cache le cancer en phase terminale dont il souffre.

2/ malgré l'absence de liens génétiques, Simon et Isabel se trouvent liés par une souffrance commune : celle d'avoir vécu en camp (de concentration ou d'emprisonnement), d'avoir connu l'indicible et par une attitude commune : celle se murer dans le silence pour tout ce qui a rapport à ces périodes de leurs vies. Ainsi, même sans se parler, ils se comprennent.



Pourquoi se taire ? Pour ne pas revivre l'horreur, pour tenter d'aller de l'avant, pour ne pas perturber les autres membres de la famille dont ils savent qu'ils ne peuvent comprendre ce qui a été, pour ne pas être caractérisés, personnifiés par rapport à ce seul vécu, etc. On retrouve là l'attitude caractéristique des rescapés de la Shoah qui ont longtemps caché à leurs enfants la réalité de ce qu'ils avaient vécu.



Et puis, une fin d'après-midi, la fille, Sam, ne rentre pas de l'école. Fugue, enlèvement, ou quelque chose de plus terrible ? L'attente est insoutenable pour ses parents et son grand-père. Jusqu'à l'annonce, quelques jours plus tard, du meurtre : Sam a été tuée de façon particulièrement violente et cruelle, au point qu'elle est physiquement méconnaissable ! L'ordre sera d'ailleurs donné de sceller son cercueil afin que sa mère n'ait pas à souffrir par une dernière image d'elle vraiment insoutenable.



Le FBI est sur le coup, car en fait Sam est la troisième victime référencée. Ce qui laisse penser à un tueur en série opérant dans les environs. L'enquête est conduite par un conseiller spécial du FBI, John King, ex-prêtre, personnage énigmatique et sombre aux motivations complexes.



Dès lors, le quotidien de la famille vole en éclats !

Déjà que l'on ne parlait pas beaucoup dans la famille, là c'est silence radio sur toute la ligne. Le père, un moment donné, disparaît aussi et ne donne plus de ses nouvelles, le fils dit s'être acheté une arme pour aller à la poursuite du meurtrier, la mère et le grand-père se murent dans le silence dans l'attente des avancées de l'enquête... qui n'avance pas beaucoup.



Puis, un autre corps de jeune fille est retrouvé. Le rythme s'accélère : il faut impérativement trouver ce tueur en série. Isabel et Simon ne supportant plus d'attendre, impuissants, vont chercher des pistes de leur côté...



Et puis, un détail, un bout de papier insignifiant les mettra sur la voie d'une terrible réalité ! Dès lors, ils savent tous deux qu'ils n'ont plus rien à perdre, car de toute façon, ils sont déjà morts. Ils iront donc jusqu'au bout pour retrouver celui qui leur a ravi Sam... et les autres.



Dans ce thriller à l'atmosphère particulièrement glauque, violente et sombre, on verra comment le passé peut influencer le présent, mais aussi comment la réalité d'un présent douloureux peut réactiver les traumatismes du passé, au point d'annihiler sa volonté de vivre.

Le lecteur engagé dans cette lecture, non pas difficile par le style, mais difficile sur le fond... est amené à découvrir trois histoires qui s'entremêlent : celle au présent (les crimes et les enquêtes), celles du passé : de Simon (et de sa maman gazée à son arrivée au camp), et de Sok Bopah (devenue Isabel) et à comprendre le caractère jusqu'au-boutiste des décisions prises par eux.



Les thématiques abordées dans ce livre sont plurielles :

l'évocation des camps de la mort et la difficulté des rescapés à vivre l'après ; l'évocation des camps d'emprisonnement des Khmers rouges et des séquelles des tortures et des viols pour les personnes qui en ont été victimes ; la difficulté de ressentir de l'amour, des sentiments quand on a vécu de tels drames ; la difficulté de croire en Dieu ; la façon dont peut être menée une enquête du FBI à la recherche d'un tueur en série ; la façon dont peut vivre un ex-prêtre devenu limier de criminels pour le compte du FBI : quid de la parole donnée ? du pardon ? du sexe ? les relations jeune homme/jeunes filles quand on est introverti ? les relations frère/soeur ; les accommodements entre religion juive et catholique, la violence des gangs et la difficulté d'accéder à certains endroits... mais aussi l'omniprésence des voisins voyeurs et inquisiteurs (et cette façon de se mêler toujours de ce qui ne les regarde pas) dans la culture américaine !



Pour ma part, j'ai trouvé que tout était rondement mené même si certaines zones auraient mérité, à mon sens, d'être mieux explicitées (ex : la "paternité" du vieux cambodgien et ses liens avec son fils et/ou héritier putatif... l'ellipse est à mon avis un peu trop elliptique, d'où un manque de clarté dans le propos). De même, la personnalité et le rôle de John King me semblent ne pas avoir été suffisamment développés. On ne comprend pas bien quelle est sa stratégie.



En revanche, j'ai bien aimé le registre de langue, le rythme dans l'écriture, la façon dont l'introspection des personnages Isabel et Simon était décrite et expliquée... Par contre, vraiment, ce livre m'a laissé une impression de malaise grandissant tant la saleté des lieux est omniprésente, tant les scènes de tortures et de violences décrites sont dures à visualiser et à accepter. Et puis, il y a comme un fatalisme déroutant dans les propos des commençants et hôteliers de la zone... Comme s'il était inéluctable de ne rien faire (quid du rôle des autorités et de la police ?) dans ces zones de non droit désertées par "les gens normaux" et livrées aux gangs de Boston. On laisse pourrir les choses car il n'y a rien à faire ?



Je crois que je vais vite passer à autre chose pour pouvoir l'oublier et remettre un peu de couleurs dans mon été !
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Les Mystères de Druon de Brevaux, tome 4 : In..

Essoufflement

Cette super série, s'essouffle un peu dans ce 4ieme tome. Il ne se passe pas grand chose jusqu'à la moitié et la fin tombe finalement trop rapidement avec un Cadet Venelle qui surgit de nulle part, et un épilogue de 3 paragraphes.

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La Voyageuse

Je m'attendais à un bon petit polar sans prétention, à lire en vacances.

Le début est prometteur, mais l'action s'étiole peu à peu et l'intérêt se perd.

Les descriptions sordides de maltraitance à enfant m'ont achevée.

J'ai connu Japp plus inspirée.
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Pas de pissenlits pour le cadavre

Roman style cosy-mystery. Beaucoup d'humour et de légèreté malgré la suite de cadavre. Amitié de deux femmes si différentes comprenant mal ce qu'il leur arrive. Un chien très encombrant. Un flic qui se laisse mener par le bout du nez. Un bon moment de lecture

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Pas de pissenlits pour le cadavre

Chloé est une jeune femme au caractère bien trempé. Elle est dentiste de profession mais décide avec joie d'aider sa meilleure amie Louise dans sa nouvelle boutique de fleurs pour effacer la monotonie de son quotidien.



Si tout se passe bien dans la boutique un cadavre vient tout remettre en question. Les deux amies ont tout des parfaites coupables. Chloé n'entend pas se laisser faire. J'aime bien ce personnage ses joutes verbales et son tempérament de feu m'ont amusée mais la supporterai-je dans la vraie vie ?

Le personnage de Louise fraîchement divorcée est aussi pas mal détaillé avec des fois son point de vue. Elles forment un assez bon duo.



À chaque début de chapitre on a une citation et un commentaire, il y a aussi des notes de l'auteure qui sont assez amusantes. Ce roman est un bon cosy crime on sourit et on s'amuse en le lisant.

L'enquête est assez prenante.

La fin est sympa et est un peu ouverte, est-ce pour une possible suite ou pour laisser travailler notre imagination ?



↪️ En bref : Un bon cosy crime qui m'a bien amusée.
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Pas de pissenlits pour le cadavre

Louise et Chloé sont amies depuis toujours. Récemment divorcée, Louise devient fleuriste. Douce, maladroite et sensible, elle adore son énorme chien foufou et affectueux, nommé Le Matou. Chloé, ancienne timide désormais brusque, impatiente, un brin cynique et n’ayant pas la langue dans sa poche, est une dentiste au bord du burn-out. Pour se changer les idées, elle s’associe à son amie et la rejoint tous les après-midis. Les deux trentenaires se complètent à merveille. Mais un jour, elles font une découverte macabre : un cadavre au milieu des fleurs ! Leur employé subitement disparu sans laisser de traces est le coupable idéal. Mais de plus en plus de preuves contre les jeunes femmes s’accumulent…

Deux Parisiennes unies par une grande amitié, un Terre-Neuve aussi envahissant qu’attachant, un frère brillant passionné par les reptiles, un grand-père qui adore les expérimentation culinaires... ce cosy mystery réunit des personnages hauts en couleurs, parfois assez loufoques.

D’une plume souvent sarcastique et railleuse, l’autrice n’hésite pas à se moquer de ses personnages. La voix de l’autrice-narratrice est très présente, que ce soit dans les notes de bas de page, dans des citations commentées en début de chapitres ou au cœur du récit.

Les atouts principaux de ce roman policier bourré d’humour sont les joutes verbales, les réflexions amusantes de l’autrice-narratrice ou des personnages, ainsi que les relations entre ces derniers. Je l’ai trouvé amusant et divertissant.
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Pas de pissenlits pour le cadavre

Un nouveau cosy mystery...



Ce cosy crime est plutôt original. Il est en effet bourré d'humour ; plutôt sarcastique que premier degré, d'ailleurs. Les citations en début de chapitre, et le commentaire qui y est associé, apportent également cet humour au roman.



L'histoire est simple mais efficace : le corps sans vie d'un homme est retrouvé dans la boutique d'une fleuriste, Louise, qui est au dessus de tout soupçon. Aidée notamment de sa meilleure copine, Chloé, elles vont petit à petit essayer de percer le mystère.



Les personnages principaux mais également les personnages secondaires sont très attachants.



Un bon moment en sa compagnie, tout en douceur, malgré le meurtre 😉


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Cinq filles, tome 2 : Les cadavres n'ont pa..

5 copines, des cadavres et une tête sans corps... C'est clair Hélène aurait mieux fait de rester au lit...

De l'humour, des répliques bien cinglantes, des personnages hyper attachants avec qui on ne voit pas passer le temps, un livre qui se dévore comme une pâtisserie et qui a un petit goût de trop peu quand on arrive à la fin...

Andrea japp nous offre ici un roman ( qui fait partie de la série "5 filles") rafraîchissant en ces fortes chaleurs 😁 (comme si on avait besoin d'une excuse pour lire... 😋)

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La malédiction de Gabrielle, tome 1 :  Le fléau..

Personne jusqu'à présent ne s'est indigné !!!

Je viens de terminer le 2ème tome de "La malédiction de Gabrielle" et je découvre qu'il s'achève en plein suspens sur la mention : à suivre.

Qu'à cela ne tienne, je me mets à la recherche du tome 3 sur le Net et là, je découvre qu'il n'a jamais été écrit, qu'il n'existe pas !!!

J'ai lu beaucoup d'ouvrages d'Andrea Japp et là, je suis ahurie. Comment laisser ses lecteurs en pleine intrigue (normalement, il s'écoule 1 an entre 2 tomes, mais là, le 2ème tome a été publié en 2017).

A-t-on un petit espoir de connaître un jour la fin ? J'en doute...
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Diane Silver, tome 3 : La mort, simplement

Ah, c'est avec regret que je finis ce dernier tome des enquêtes de Diane Silver ! Le personnage va me manquer ! Cette dernière enquête menée de main de maître par l'héroïne , aidée du FBI et de nouveaux enquêteurs de la police de Boston est accompagnée d'un développement des relations entre Diane et Nathan. On en apprend plus sur celui-ci, même si j'avais déjà deviné certains faits importants. Plus que l'intrigue qui nous confronte une fois de plus à l'horreur de crimes sanglants, j'ai vraiment, vraiment, aimé ces personnages forts, principaux ou secondaires. Andréa H. Japp a vraiment un talent pour nous faire aimer ces personnages qui personnellement, m'ont beaucoup touchée. De ce fait, après la série "Gloria" et "Diane Silver", je vais me précipiter pour lire les aventures de Hélène Baron !
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