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Critiques de Anny Duperey (314)
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Le voile noir

Autrefois on ne savait pas comment parler aux enfants de la souffrance, du malheur, des larmes. Alors on n'en parlait pas... Un voile pudique recouvrait tout et le chagrin se taisait. Dans ces conditions, comment faire son deuil quand on est une fillette ? Comment grandir avec ce manque ? Ce livre très intime, très personnel, n'est pas un roman. C'est le récit d'une perte, et d'une reconstruction. Car écrire même permet de creuser la mémoire, pour retrouver le souvenir des parents disparus.
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Les chats de hasard

A lire pour qui aime les chats et apprécie l'auteur.
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Le poil et la plume

Petit livre sans prétention mais instructif sur toute la gent "d'emplumés" de nos poulaillers et d'agrément tels les paons, pigeons et autres canards. On y apprend plein de choses le tout dit avec un certain humour parfois et la gentillesse et la simplicité qui caractérise l'écriture de cet auteur.

On se sent bien dans sa Creuse d'adoption loin de l'agitation du monde ; avec des descriptions très poétiques de la nature avec laquelle on se sent en communion. Tout est harmonie entre l'homme, les animaux et l'environnement.
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Les chats de hasard

Nous avons trop aimé les Chats

trop perdu de chats

et trop de pièces rapportées allergiques aux chats

aussi je les adore en livres , en photos et en peintures

Mes petites crevettes rêvent de petits chats !

Conclusion ce livre est pour moi une bénédiction et pour tous ceux qui se reconnaitront .
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Les chats de hasard

J'ai vu ce livre et me suis souvenue l'avoir lu (j'ai un chat), je sais que c'est plutôt une réfflexion sur les chats, les besoins de chat, l'amour qu'on leurs portent et qu'ils nous portent mais je ne me souviens pas plus précisément.
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Je vous écris...

A partir des lettres reçues après la parution du Voile Noir, Anny Duperey écrit les événements créés par cette correspondance. Relecture des faits et de leur enchaînement, réexamen de leur signification, réinterrogation quant à la culpabilité dont ce récit était chargé. Plus encore, l'auteur rencontre en rêve cette mère dont le visage est à l'état de veille effacé, comme le sont tous les souvenirs antérieurs à la tragédie.

Dans ce second livre,le traumatisme subi par l'enfant et dont le récit etait fait par l'adulte, se transforme en écriture conjointe, à plusieurs voix . L'écriture de ce désastre produisant au moins un savoir nouveau au sujet des circonstances hypothétiques de la disparition des êtres les plus importants de sa vie, et simultanément des causes de sa propre survie et de celle de sa petite soeur. Le passé toujours hors d'atteinte est en quelque sorte relayé par le travail du rêve pour produire, à partir de l'irrémédiable perte, une forme de retrouvailles. Peu de livres autobiographiques m'ont autant émue.
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Les chats mots

Je ne suis pas très fan des poésies en général mais ce livre m'a attiré du fait qu'il parlait des chats, et c'est un faible mot que de dire que j'adore les chats, je les vénère !!!



J'ai passé un agréable moment à lire ces différents textes, certains forts poétiques d'autres racontaient plus une petite histoire. Je me suis surprise à aimer ces courtes lectures, à passer un petit moment le soir avant de me coucher à lire quelques textes en compagnie de ces auteurs amoureux des chats.
Lien : http://labibliodevero.overbl..
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Le Tour des arènes

Adepte ou simple connaisseur de la psychanalyse, l'apostrophe de Carl Gustave Jung à Freud placée en exergue de l'ouvrage d'Anny Duperey ("L'inconscient est une concierge qui ne connaît pas tous les habitants de l'immeuble"), ne donnera au lecteur ni un avantage ni plus d'atouts pour comprendre "Le Tour des Arênes." Car le texte est simple, l'écriture fluide, et l'histoire emporte l'intérêt : un couple dont les conjoints en activité viennent d'horizons différents.

L'un accepte un poste valorisant, l'autre semble fuir sa famille occupé qu'il est à retrouver l'identité de son père.



Le début du livre nous emmène de l'ouest de la France en Manche, vers le centre en Creuse.

A l'occasion d'un voyage organisé vers les Saintes-Marie-de-la Mer, le couple est séparé, lui, Daniel, reste dans son agence, elle, Solange, part avec le groupe. Arrivé à Nîmes, pour une étape transitoire, subjuguée par la vue des Arênes Solange s'y promène. Didier se rapproche de sa secrétaire.

Anny Dupérey, plus connue par ses nombreux titres auto-biographiques ("Le Voile noir" - entr'autre)" ou l'amour des chats ("Les chats de hasard"), nous livre ici un très beau texte, plein de surprises, et déroule une histoire absolument passionnante. Je conseille fort, cette lecture. C'est inattendu chez Duperey et ça vaut ....le tour et le détour. A Lire.





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Le voile noir

J'aime bien relire ce livre et en regarder les photos qui sont si belles. L'actrice Any Duperey a perdu ses parents très jeunes et elle les "oubliés" ou du moins, elle le croit. Quand elle retrouve des photos anciennes, tout ce qui était fermé s'ouvre de nouveau. Introspective, l'écriture de l'actrice est simple et belle. On sent son émotion quand elle découvre les beaux visages de ses parents et que s'opère une réconciliation avec elle-même.

Un beau livre intemporel sur le retour de la mémoire ...
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Les chats de hasard

J’ai été très touchée par ce livre découvert grâce à un documentaire de l’émission Passage des arts sur France TV intitulé « Les écrivains, le silence et les chats ». C’est un mélange d’anecdotes sur les chats et d’introspection, l’autrice revoyant « les étapes de ma vie sous l’angle des bêtes et de ce qu’elles apportent, les passages de l’existence qu’elles marquent ». Plus qu’une simple autobiographie, le texte est ponctué de réflexions pleines de sagesse et j’ai fait des pauses régulières dans ma lecture afin de bien peser ces mots qui, de manière inattendue, faisaient écho en moi. Anny Duperey a une écriture très délicate, à la fois élégante et pudique, et elle décrit les émotions avec une telle justesse qu’on se sent une connivence avec cette femme surprenante aux multiples facettes (c’est elle qui a réalisé la peinture de couverture et les croquis intérieurs).



Anny Duperey a eu plusieurs chats dans sa vie (et a pris soin de bien d’autres animaux), tous différents de caractère, et elle a développé une véritable psychologie de ces félins. Quand elle décrit certains moments de tendresse et de complicité avec l’animal, on s’y reconnaît. J’ai aussi adhéré à l’idée de connexion mentale (« Un chat avec qui on a un rapport intime est « branché » mentalement avec nous », pouvant même deviner que l’on est réveillé avant même qu’on ouvre les yeux) ainsi qu’à leur sensibilité aux ondes (« Cela lui plaît de nous sentir réfléchir, cogiter en silence, il se sent bien dans cette atmosphère. »). Mais Anny Duperey va bien plus loin car pour elle, « le chat porte au retour sur soi et à la vie intérieure ».



C’est l’un de ses « chats de hasard » (« ces petites bêtes qui tombent dans ma vie comme un cadeau du sort »), qui lui a donné envie d’écrire ce livre. Comme le tout premier, Titi, Missoui « est arrivée dans ma vie précisément à ce moment-là pour m’aider à changer profondément », comme un « doigt du destin » qui « vous brusque, vous surprend, hâte votre évolution ». L’autrice croit très fort à ces manifestations « d’un hasard qui n’en est pas un et qui signale ou place dans ma vie un être, un projet ». Ces événements inattendus ont largement contribué à sa vocation d’écrivain et c’est son travail d’écriture qui lui a permis de mettre à plat un certain nombre d’émotions douloureuses. Écrire dans la solitude de sa chambre, avec la présence bienveillante de son chat, est propice à l’introspection, et le travail de réflexion qu’elle induit est un chemin indispensable à la connaissance de soi (« La compréhension prématurée de la finalité de ce qu'on cherche, c'est le poison de l'artiste. L'explication tue la démarche artistique »).



Ainsi Anny Duperey ne se contente pas de parler des chats. Ceux-ci ne sont que le déclencheur de souvenirs d’enfance (les premières années auprès de sa grand-mère et de ses treize chats) et le révélateur d’émotions enfouies (la mort tragique de ses parents quand elle avait 8 ans). C’est donc toute une réflexion sur le fonctionnement de la mémoire qu’elle nous livre à travers le travail d’écriture, sur le métier de comédienne également, car si les acteurs sont « assujettis à leur image », « mon chat m’aida à être, simplement être, en oubliant de paraître ». Elle nous montre ainsi toute la richesse de la relation à l’animal, à la nature aussi, et comment celle-ci contribue à nous transformer, à faire de nous des êtres plus sereins, y compris, paradoxalement, dans nos relations humaines.

C’est un texte plein de douceur et de sagesse que je prendrais grand plaisir à relire.
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Les chats de hasard

Non loin de chez moi se trouve un col au nom très félin, lieu pittoresque où l’on ne croise cependant guère de chats. Et pourtant, quel hasard de trouver au détour d’un virage, posé sur un muret à l’ombre d’un platane au feuillage coloré, ce livre «Les Chats de Hasard» qu’une certaine Hélène avait lu. L’histoire ne dit pas si cette «Hélène» déposa elle-même ce livre ici, ou si ce dernier, après quelques voyages dans les mains d’autres lecteurs, atterri en ce lieu. Ce dont je suis sûr, c’est qu’il ne m’a point fallu consulter la quatrième de couverture de ce récit d’Anny Duperey – dont j’avais apprécié la plume il y a quelques années de cela avec «Allons voir plus loin, veux-tu ?» - pour l’adopter, le glisser dans ma poche et ainsi pouvoir le lire en toute tranquillité chez moi auprès de mon chat, un «chat de hasard» comme toux ceux que j’ai eu depuis l’âge adulte.



«J’ai pour les animaux un amour raisonnable» écrit Anny Duperey, artiste complète, actrice bien connue de théâtre et de télévision, qui prend régulièrement la plume pour nous faire part de récits souvent autobiographiques, manipulant également avec talent pinceaux et autres crayons pour croquer des scènes de vie qui illustrent parfois ses écrits comme cela est le cas dans «Les chats de hasard». Cet «amour raisonnable» dont elle fait mention dans la première ligne de ce récit sera présent tout au long de ses confidences. Un Amour, avec un grand A, pour les animaux en général, mais surtout pour les chats, ces petits êtres «loyaux et francs», aux ronrons apaisants, simples boules de poils pour beaucoup, mais qui pour d’autres sont bien plus que cela. Les chats ne sont pas seulement des compagnons de vie pour l’auteure, «née au milieu de treize chats et qui en avais eu, sans doute dès l’âge du biberon, toujours un ou deux dans son lit», mais ce sont également grâce à eux qu’elle va se rappeler, se souvenir de son enfance «heureuse et insouciante», brusquement interrompue par un drame obscurcissant sa mémoire rayant de celle-ci, beaucoup de choses. «J’ai tout oublié , puisque j’avais tout perdu».



Pendant vingt ans, elle va ainsi laisser derrière elle, «les chats, ses amis les chats, très loin, derrière son voile noir». Mais aussi sa famille qu’elle admirait tant enfant, se souvenant d’une «cohésion, d’une manière d’être commune, de cette évidence heureuse d’être de cette famille là». Les rapports entretenus avec sa famille, devenus lointains, sont tout autre que ceux partagés avec les chats, animaux qu’elle traite d’égal à égal, comme sa grand-mère maternelle, inspirante, le faisait.



Jeune femme, elle va laisser alors rentrer de nouveau les chats dans sa vie, «renouant avec la présence-chat, oubliée depuis si longtemps», se sentant enfin prête, au moment où elle débute l’écriture de son premier roman. «Quelle douceur d’écrire avec un chat près de soi ! Comme les minutes, les heures, paraissent plus légères, plus vivantes, lorsqu’un discret ronron les accompagne. Ce simple bonheur d’être, qui n’a à compter ni avec l’effort ni avec le temps, vous console de tous les moments à vide, du manque d’inspiration».



Titi, son premier chat de hasard, va entrer dans sa solitude, «ouvrir une brèche dans sa force, commencer à lui marcher sur le coeur avec des pattes de velours» et l’accompagner quelques années durant, suivi par d’autres, compagnons indispensables, éléments essentielles pour Anny Duperey et la famille qu’elle a fondée.



A travers les lignes des «Chats de hasard», Anny Duperey laisse cheminer sa pensée, lentement, de façon progressive, se dévoilant petit à petit, sans pudeur. Elle nous fait part de ses joies, de ses nombreuses peines, de ses souvenirs que le temps n’a pas effacé, de ceux que les chats ont, grâce à leur présence, remontés à la surface, de cette recherche de la sérénité et de son travail sur elle-même. Un texte à l’écriture si belle, plein d’émotion et de sensibilité, un texte que l’on n’oublie pas.
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Les chats de hasard



[Livre audio lu par l'auteur]



J'en veux à Annie Duperey d'avoir réussi à me faire pleurer. Petite déjà, me faire manipuler par un film ou un livre au point de verser des larmes m'agaçais et me vexais. Mon premier souvenir très net à ce sujet, c'est E.T. J'avais 8 ans. J'étais très en colère en sortant de la salle. Les séparations déchirantes sont le talon d'Achille de ma sensibilité fictionnelle. La mort des chats m'a donc remuée. Annie Duperey est une excellente conteuse, sa voix fluide et naturelle entoure les épaules, prend dans ses bras le corps de l'auditeur. Elle vient caresser les centres émotionnels, mais sans surcharger. Sa délicatesse à notre égard lui interdit de verser dans l'excès d'épanchement autant que dans une séduction outrée. de jolis moments, des réflexions qui font mouche, sur ces grâces de l'existence qu'apportent les rares et véritables chats de hasard (j'en ai un au potager).



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De la vie dans son art, de l'art dans sa vie

Une lecture très agréable, que l'on ne peut que conseiller. Vive le style épistolaire !
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Le voile noir

Anny Duperey nous dévoile son histoire à travers une merveilleuse autobiographie. Une histoire lourde, celle d’une enfance douloureuse puisqu’elle perd ses parents à l’âge de 8 ans, asphyxiés dans leur salle de bains alors qu’elle dormait.

Avant ce jour, plus rien. Pas un souvenir d’EUX, juste ces photos en noir et blanc à propos desquelles elle écrit. Un voile noir opaque sur leurs visages. Et il faut vivre avec un trou noir de presque dix ans.

Avec des mots justes, Anny nous raconte, se confie, sans rien cacher, toutes ces années passées séparée d’EUX.

Partie pour écrire en marge des photos de son père photographe qu’elle n’avait jamais regardées auparavant, elle finit par se laisser prendre par son histoire, elle ouvre son cœur sans pudeur, en oublie presque les photos.

Ce livre, au fil des pages, passionne, bouleverse, choque. On ne peut plus s’en détacher, on tourne les pages avec lenteur pour garder le plaisir plus longtemps. Et puis on referme ce livre, trop court, avec l’étrange sensation de calme et de vide, et on y repense, on réfléchit. Un livre fascinant, émouvant, choquant.
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De la vie dans son art, de l'art dans sa vie

Il y a tellement en ressentir dans cet échange de lettres, cette émouvante confiance d'une belle amitié ! C'est la vie qui se déroule là, dans son quotidien, dans ses engouements et dans ses doutes, ses joies et ses peines... et il n'y a qu'ainsi que la réalité de ces deux vies d'artiste peut prendre corps. L’Art est présent, avec la profondeur des réflexions qui accompagnent la création, mais il reste indissociable de ce qui le relie à l'existence. L'artiste n'est pas une icône désincarnée, un ectoplasme sacralisé ! Merci à ces femmes au grand talent de nous livrer leur cheminement, tant artistique que simplement humain, et de nous convaincre qu'elles sont de bien belles âmes.
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Allons voir plus loin, veux-tu ?

Quatre personnages pas forcément gâtés par la vie ,quatre histoires qui vont se croiser et n'en former plus qu'une.

Une déception que ce roman d'Anny Duperey, personnages guère sympathiques, qui joue sur la corde de la sensibilité mais là trop de bons sentiments nous empêche d'adhérer à l'histoire. Je l'ai terminé parce que j'espère toujours un miracle des livres auquels je n'accroche pas, mais là franchement trop long et plutôt mièvre. Déception sur toute la ligne.
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Les chats de hasard

Mon amour pour les chats ne m a pas amenee par hasard a lire ce livre !! j ai decouvert avec plaisir la belle sensibilite d ecrivaine de Mme Duperey, petite Colette contemporaine ! Livre simple et agreable, avec la touche d introspection qu il me fallait pour l apprecier completement.
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Allons voir plus loin, veux-tu ?

J’ai lu ce roman il y a quelques années, et je n’ai pas oubliés ces quatre personnages qui se sont laissés vivre et un jour ont décidés de prendre leur vie en main, ont décidés d’ « aller voir plus loin ».

Dans un premier temps, on part à leurs rencontres, avec une description fine et très fouillée de chaque personnage. Et puis dans le cinquième chapitre, on découvre avec bonheur la magie des rencontres, l’interaction entre ces personnages. Comment chacun va permettre à l’autre de se relever du manque d’affection ou de la pauvreté matérielle. Et comment ils vont avoir la force et le courage de changer le cours de leur vie.

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Les chats de hasard

J'ai lu ce livre il y a quelques années et je ne l'ai jamais relu, pourtant je l'ai adoré... Mais il m'a tiré trop de larmes.

L'écriture est belle, simple, poétique.

L'histoire est celle d'Anny Duperey qui raconte comment sa profonde blessure d'enfance (ses parents sont morts par une intoxication au Co2 alors qu'elle a survécu) s'est pansée peu à peu (ou un peu ?) avec ces êtres de hasard que sont les chats qui ont jalonné sa vie.

Ce n'est pas un livre destiné exclusivement aux amoureux des chats. Chacun y trouvera de belles choses même sans cela.
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Essences et parfums : une anthologie poétique

Voici une jolie découverte que cette anthologie composée par Anny Duperey, j'en attendais pas moins de cette charmante dame amoureuse des chats, sensibilité oblige, l'âme poète, je me retrouve dans le choix des textes et poésie choisis.

Un bouquet de mots tous très odorants, succulents à souhait.

C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai relu des extraits d'auteurs connus et appréciés, c'est aussi avec bonheur que j'ai découvert des auteurs et qui m'a donné l'envie de poursuivre la lecture en leur compagnie.

L'anthologie se réfère aux parfums classés en plusieurs parties : Essences charnelles, Souffles du passé, Sillages envoûtants, Arômes et fumets et senteurs des villes, senteurs des champs...

Imaginez ces voyages olfactives que j'ai pu faire... un vrai bonheur, de sensations... effluves chatouillant mes narines, mais aussi ma mémoire...

Quel plaisir de lire des extraits de romans que j'avais lu à une époque, retrouver ces souvenirs de lecture dans la douceur de ces pages.

Poésie oui, car sensation, émotion et poèmes simplement mais la majorité de cette anthologie se compose d'extrait de roman d'auteurs qui font de leur histoire une poésie (Zola, Proust, Céline, Daudet, Hugo... pour ne citer qu'eux) ...

Bonheur senteur voilà comment je peux résumé ce livre charmant.

Merci Madame Duperey d'avoir su composer ce tendre bouquet d'odeurs.



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