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Critiques de Anthony Burgess (144)
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L'orange mécanique

L'abus d'argot (sûrement là pour mettre une distance entre l'ultra violence du roman et le lecteur) gâche une bonne partie du plaisir de lecture, il y a des mots dont je me suis surpris à n'avoir compris la signification qu'en lisant le lexique à la fin. La fin est décevante et brutale (dans le sens de "qui tombe comme un cheveu sur la soupe) en stoppant net le cheminement de réflexion entamé jusque là.
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L'orange mécanique

Une fable sur la violence et sur ses remèdes : à méditer au plus vite.
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L'orange mécanique

Chef d'œuvre intemporel et visionnaire. Comment entrer à l'intérieur de la tête d'un psycho et décrire l'évolution de son esprit malsain et les conséquences de ce changement sur ses actes...Souvent imité rarement égalé. J'adore !
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L'orange mécanique

Orange mécanique

Régulièrement on reparle (on fantasme ?) sur l'ultra violence de « orange mécanique » le livre (Anthony Burgess 1962) et le film (Kubrick 1971). Pourtant si il y a une histoire qui n'est pas du tout l'apologie de la violence c'est bien celle ci. Histoire d'une incompréhension ?

L'histoire : Alex est un jeune homme dans une cité futuriste (Londres ?) qui se réunit tous les soirs avec ses amis. Avec eux, sans raison évidente (ses parents ne sont pas pauvres, il pourrait être inséré socialement), il se livre à des actes de violence gratuite. S'il était d'aujourd'hui il mettrait le feu a des voitures, un sauvageon quoi, porteur de notre ultra moderne violence sans motif si ce n'est l'ennui...

Mais un jour tout change.

Un jour il va trop loin et est incarcéré. La violence change de camps, il devient à son tour le jouet d'un système. A la faveur d'un changement de gouvernement (plutôt de droite apparemment) Alex se voit alors proposer un traitement révolutionnaire « la méthode ludovico » consistant à le rendre incapable de violence grâce a une programmation pavlovienne. Rééduqué, il sort alors de prison plus doux qu'un agneau (toute idée de conflit le cloue au sol) et la violence se retourne contre lui: incapable de se défendre il devient la victime de ceux qui se servent de lui (anciens amis qui se vengent, politiciens qui l'utilisent) et le pousseront au suicide. Enfin, rattrapé de justesse et devenu un enjeu politique, il est a nouveau « ré éduqué » à la violence pour revenir a la case départ. « Pour ce qui est d'être guéri, je l'étais ».

Analyse : Si une histoire porte un regard critique sur la toutes les formes de violence c'est bien celle ci. Aux antipodes d'un étalage complaisant de violences (ce à quoi on la réduit bêtement en général) l'orange met en balance violence individuelles et violence institutionnelles pour les renvoyer dos à dos : la violence ne vient jamais à bout de la violence … Mais avant de dire cela orange nous montre aussi qu'une vie en société sans violence est impossible : non violent Alex se fait détruire en trois jours.

Nous avons donc là un bien étrange axiome : La violence est essentielle à la vie en société / que peut faire la société face à la violence ?

A ma connaissance, plus de quarante ans après on a toujours pas répondu à cette question et on découvre encore sur tf1 le nouveau sentiment d'insécurité, des jeunes qui en agressent d'autres (en général lorsque cette question sert les intérêts d'un politique). C'est en général à ce moment qu'orange mécanique pointe le bout de son nez, effrayant le bourgeois avec son beau bandeau « interdit aux moins de 16 ans ». Tout le monde bloque alors sur le premier tiers de l'histoire poussant discrètement les deux autres sous un confortable tapis sombre et l'axiome reste sans réponse.

Jusqu'à la prochaine fois….


Lien : http://xannadu.canalblog.com
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L'orange mécanique

Une oeuvre forte et saisissante, ainsi qu'une grande réflexion sur les mécanismes personnels et sociaux amenant à la criminalité, au repentir et au pardon. Je ne suis pas certain qu'une énième critique ou présentation soit réellement utile, je me contenterai d'exhorter quiconque n'ayant pas lu ce présent ouvrage, ou vu le grand classique de Stanley Kubrick, à se lancer rapidement dans l'un des deux, au moins.
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L'orange mécanique

Personne, ou presque, n'a pu passé outre la version cinématographique d'Orange Mécanique concoctée par Kubrick. Alors tout le monde connaît l'histoire sulfureuse de cette bande d'adolescents violents et sadiques. Mais tout le monde n'a pas pris le temps de remonter à la source, au roman d'Anthony Burgess publié en 1962. Ce court ouvrage stupéfie d'emblée. Burgess crée un langage incroyable pour son personnage principal, Alex, un dialecte mélangeant russe et français. Désarçonné lexicalement, on entre alors dans une banlieue, dans une zone sinistrée par le vide, l'ennui et la terreur imposée par les jeunes délinquants. Sur fond de musique classique, ça viole, ça tue, ça torture, sans cohérence aucune, l'arbitraire en bandoulière, le sexe dans la main gauche et une chaîne de vélo dans la droite. Ca toltchocke sévère, à tour de bras, dans la joie et le grincement de dents. Alex et ses Drougs ne connaissent pas de limite ni de morale. Jusqu'à ce qu'on décide de les empêcher. Les autorités ouvrent alors un programme spécial pour lutter contre cette peste, grace à des expériences sordides, agressives et lobotomisantes. A coup d'hypnose, de matraquages visuels et d'injections douteuses, l'état compte détruire le Mal qu'abritent les mauvais garçons. Alex nous invite dans sa vision des choses, primale et hargneuse. Il nous prend par la main et ne la lâche plus lorsqu'on voudrait fuir sa réalité. Alex est un "jeune des cités" (au sens des infos sur TF1) avant l'heure et Burgess un visionnaire. Un roman qui vous passe l'encéphale au vitriol et vous laisse un goût particulier de perversité dans le gosier. On ressort de là fort d'avoir vécu une expérience malsaine et jouissive à la fois. Ce livre est culte et absolument incontournable.
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L'orange mécanique

Ce qui saute aux yeux en premier lieu dans A Clockwork Orange, c'est le langage. Une foule de néologismes : l'argot des jeunes dingues de ce futur. Pendant les trois ou quatre premières pages, je prenais la peine d'aller consulter le lexique à chaque occurrence. Mais ce n'est pas très viable : mieux vaut se laisser porter par le flot linguistique. Et ça marche : on comprend rapidement l'essentiel, et l'esprit comble les trous en reconnaissant les schémas familiers. Cet argot est un mélange d'importations du russe, de vieil anglais et de bizarreries diverses. Rendre cet amalgame plaisant, et même enthousiasmant à lire est une prouesse appréciable.



Alex, 15 ans, aime bien sortir le soir avec son gang pour tabasser, violer, voler et tuer. Il finit par se faire choper, et se retrouve en prison où il subit un traitement destiné à lui rendre la violence physiologiquement insupportable. Une fois relâché, il est incapable de violence, alors c'est le monde qui, cette fois, est violent envers lui. Cette structure en deux actes se faisant écho autour d'un acte central fonctionne à merveille. La violence, qui semble tout d'abord venir exclusivement d'Alex et ses pairs, semple petit à petit omniprésente. Par la moindre parcelle de la société n'y échappe. Et la pire violence n'est pas tant physique. Les horreurs que commet Alex, certes atroces, sont souvent décrites d'une façon qui touche à la bouffonnerie. Par exemple quand il s'en prend à une vieille folle aux chats extrêmement tenace et trébuche dans les gamelles de lait. Cette horreur là est tellement grotesque qu'on peut presque en rire, la prendre la la légère, se dire que l'auteur en fait trop. Par contre, quand on plonge dans l'esprit d'Alex, et qu'on cherche à comprendre ce qu'il est, on heurte un mur. Il n'y a pas de justification pour le mal qui l'habite. Grand amateur de musique, il écoute Mozart et Bach en fantasmant des tueries. Et il ne change jamais. Pas de rédemption. Ce qui ne l'empêchera peut-être pas de trouver sa place dans la société.



L'autre personnage fascinant est F. Alexander, qui subit à domicile une agression du gang. Sa femme en meurt. Et pourtant, quand deux ans plus tard Alex frappe à sa pote pour chercher du secours... il l’accueille. Il ne le reconnait pas, certes, mais malgré ce qui est arrivé la dernière fois qu'il l'a fait, il ouvre sa porte à un inconnu de nuit. Pourquoi ? Et il n'a même pas perdu ses idéaux constructivistes : il voit Alex comme une victime de l'oppression étatique, une victime de la société. Ce personnage n'est pas un saint, il a ses propres vues politiques et est prêt à presque tout pour les imposer, et on se demande à quel point il est sincère dans sa naïveté ou arbore cyniquement une bonté qui a pour unique but de servir ses fins politiques. Peut-être n'y a-t-il pas de différence entre les deux.



A Clockwork Orange me laisse perplexe. Mais pas perplexe dans le mauvais sens du terme. Disons que face à un roman aussi radical, dans son langage comme dans son fond, je me sens un peu égaré. Dans ce cas, c'est une qualité. Je crois que j'ai beaucoup aimé A Clockwork Orange parce que c'est stimulant. Une plongée totale dans un esprit et une société malades, qui se contente de secouer avec violence et originalité des thèmes éternels sans avancer la moindre réponse.


Lien : https://lespagesdenomic.blog..
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L'orange mécanique

Le choix de l’auteur d’utiliser un langage composé d’argot, de russe et de mots inventés m’a rendu la lecture très pénible (les traducteurs expliquent dans une note avoir voulu, à raison, respecter ce choix de l’auteur).



Mon édition comportait « Marmelade mécanique » où l’auteur justifie ce choix de langage : « il avait pour but de faire de L’Orange mécanique une sorte d’initiation au conditionnement psychologique, entre autres objectifs. Vous lisez le livre ou vous regardez le film et à la fin, sans vous en rendre compte, vous vous retrouvez en possession d’un vocabulaire russe minimal. C’est exactement ainsi que le lavage de cerveau fonctionne. »



Si beaucoup de ces mots inconnus sont devinables par le contexte de la phrase, mon cerveau les sautait automatiquement pour atterrir sur des phrases contenant des mots connus, ce qui m'a rendu la lecture très rapide, connaissant l'histoire par le film de Standley Kubrick (qui avait intégré ce nouveau vocabulaire).



Comme pour Suburra de Giancarlo De Cataldo et Carlo Bonini, mon avis est biaisé par l'excellente adaptation cinématographique.



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L'orange mécanique

Il faudrait être complètement bézoumni pour lire ce roman rempli de violence tzarrible dans lequel on ne peut plus se bidonsker à cause des milichiens.

Dès le début, il faut s’accrocher et pas seulement à cause du langage utilisé par Alex et ses drougs pour le moins déroutant et je dois l’avouer, qui rend la lecture loin d’être aisée. Mais cette écriture codée reste pourtant insuffisante pour masquer la violence inouïe qui transparaît dès les premières lignes.

Une violence qui semble malheureusement être devenue banale pour Alex notre « Humble Narrateur’ qui « n’a pas 15 ans ». Une violence brute, aveugle, hors normes qu’il exerce avec les membres de sa bande qu’il appelle «ses drougs». Ensemble, il écume les rues et les maisons à la recherche de sensations fortes qu’ils exercent sous forme de rapines, de viols et de destructions. Mais lorsqu’une de leurs escapades tourne mal et qu’Alex est laissé par ses drougs, c’est en prison que le jeune homme se retrouve où il devra subir la violence quotidienne du monde carcéral.

Alors quand après deux ans d’enfer, on lui propose une porte de sortie, Alex s’empresse d’accepter. Devenu le cobaye d’une expérience gouvernementale destinée à ‘guérir la violence’ par des méthodes s’assimilant à de la torture, à coups de films violents et de musique classique. Alex en sort complètement bouleversé et reconditionné. Il est devenu une « orange mécanique » comme le titre du roman de l’homme qu’il a violenté lors de ses nombreuses sorties meurtrières. Désormais sans repères et sans foyer, Alex se retrouve totalement démuni et devient la victime de son passé.

Roman dystopique d’Anthony Burgess dont on ne peut sortir qu’ébranlé par cette apologie de violence. Une violence inacceptable qui accompagne le lecteur du début à la fin et qui communique un véritable sentiment de malaise. Une violence ‘soignée’ par une autre violence, celle qui prive Alex de la liberté de choisir.

Comme le dit si bien l’auteur : « Quiconque est incapable de choisir cesse d’être un homme. »

L’adaptation cinématographique de Stanley Kubrick date des années 70 et j’avoue ne pas être trop pressée de comparer le film au roman éponyme. Âmes sensibles, s’abstenir!
Lien : https://clubdelecture.tubize..
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L'orange mécanique

Avant le film, il y a eu le roman, plus fort et plus visionnaire encore.Stanley Kubrick a un peu édulcoré ou modifié cette histoire de jeunes qui s'adonnent à la violence pour la violence.Le livre comporte un petit précis de "nazdack" l'argot utilisé par Alex et ses compagnons.Pour redécouvrir l'Orange Mécanique.Passionnant.Superbe livre !!! On peut mieux y apprécier le parler si spécial d'Alex et des Droogs !!! Kubrick a formidablement adapté le film !
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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L'orange mécanique

La violence devenue esthétique, sans but, gratuite…pour la beauté du geste !

L’orange mécanique, paru en 1962, est un roman visionnaire si l’on considère l’état de nos sociétés occidentales, lesquelles ont normalisé ladite violence, considérée comme une fatalité avec laquelle il faut composer.

Alex, le « héros » du livre, débride ainsi tous ses instincts, se joue des règles de vie en communauté, parle, avec ses drougies, sa langue propre – le Nadsat – pour creuser encore sa différence.

A cette violence répond celle, institutionnelle, de l’Etat, pour qui peu importent les moyens, seul le résultat compte.

Alors Alex est-il plus ou moins coupable que la société, capable à son tour de violences inouïes et surtout de générer des êtres tels que lui ? Si Burgess nous incite à ce questionnement, je m’y refuse car l’homme est doué de raison, donc de libre-arbitre. Quels que soient les cahots du « chemin de notre vie » (Dante), nous avons le choix de succomber à nos pulsions ou de les juguler.

Aussi, la rédemption d’Alex me semble une excuse trop facile, et je préfère de loin le parti-pris de Kubrick dans son adaptation au cinéma : Alex ne peut changer car – et c’est peut-être insupportable à entendre pour beaucoup – il aime sincèrement nuire.

Il n’en reste pas moins que le texte de Burgess est assez dérangeant et d’une grande maîtrise pour mériter le nom d’œuvre littéraire majeure.

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L'orange mécanique

Il y a bien longtemps que j'ai lu (et relu) ce livre mais il me reste un souvenir très bon.

La lecture est au début un peu difficile à cause du langage trsè particulier fait d'un mélange de mots anglais et russes mais on s'habitue bien vite.

Ce livre dénonce la violence de la société, tant celle des "jeunes" que des moyens de répression de cette violence.

Et comme la fin est un peu différente de celle du film on peut très bien apprécier les deux, ce qui est mon cas.
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L'orange mécanique

Un ouvrage intemporel, alliant réalisme et ironie. Seule bémol, il faut rentrer dans le métalangage employé par l'auteur pour imager le verbiage des teenagers violents.
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L'orange mécanique

Si la narration est un chouilla vieillie (mais moins que l’adaptation cinématographique), ce roman reste la dystopie adolescente la plus étonnante et la plus détonante du genre. Dans une langue rétrofuturiste qui semble le mariage bâtard du verlan adolescent et d’une influence bolchevique, Alex et ses drougs nous emmènent dans leurs nuits sauvages. Alex a quatorze ans, c’est un garçon incompris de ses parents, mais ses divertissements sont des provocations disproportionnées à l’ordre social. Il agresse, il vole, il détruit, il viole, tout cela avec la plus déroutante gaminerie. Attrapé et envoyé dans une sorte de centre de redressement expérimental, Alex subit un traitement violent qui le rend allergique à ses anciens comportements : la violence le rend malade. Ainsi dénaturé, il est rendu au monde…



L’orange mécanique est une lecture fascinante et puissante, par sa langue, et par son étude des modifications comportementales. C’est (aussi), l’histoire d’un adolescent qui grandit.



Un roman assez décoiffant.
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L'orange mécanique

Ce livre est un coup de coeur pour moi.

Tout d'abord par la langue inventée le "nasdat"qui est un vocabulaire particulier , j'ai trouvé cela vraiment intéressant, c'est vrai au début c'est un peu compliqué et surprenant mais une fois que l'on ces adapté,ce livre ce lis très facilement et vite.

Cependant je regrette que ce langage mettent une distance entre la violence de ce livre et le lecteur.

J'ai adoré la sensation "mal saine", de mal être que Anthony Burgess veut nous faire ressentir en lisant l'orange mécanique !

Ce livre permet de médité sur la violence et à un côté réaliste indaignable .

En tout cas un gros coup de cœur pour ce livre et je le recommande vivement.
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L'orange mécanique

Alex et sa bande sont le produit d'une génération la violence est habituelle et banalisé. Il ne s'agit pas pour eux d'un mal-être ou le signe d'une révolte mais tout simplement d'une simple distraction. Le paradoxe dans l'histoire est qu'Alex est passionnée de musique classique, musique sensée adoucir les âmes et non pas les conduire à la dépravation.

Aussi, leur passe-temps favori est-il de terroriser les pauvres gens. Violence physique, violence verbale, rien n'est omis. Alex est en quelque sorte le « gourou » de sa bande puisqu'il s'adresse à eux en les qualifiant de « frères ».

La mère d'Alex, ignorante au début des actions de son fils, finit par se rendre à la réalité et va accepter qu'une nouvelle expérience soit pratiquée sur son fils. Les médecins en charge de pratiquer cette thérapie sur Alex vont lui faire écouter de la musique classique (celle qui est en quelque sorte son hymne) tout en le forçant à regarder sur grand écran les pires images de violence, de torture...qu'ils aient pu trouver afin de le sensibiliser et lui faire réaliser ce que le mot Violence signifie exactement.

Livre un peu dur d'accès puisqu'Anthony Burgess a inventé tout un langage utilisé par Alex et ses acolytes mais qui fut surement l'un des plus marquants de son temps, tout comme le film réalisé par Stanley Kubric en 1971.
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L'orange mécanique

Je n'ai pas pu aller au bout du livre. Je l'ai trouvé malsain. J'avais un sentiment de mal être que je suppose que l'auteur voulait nous faire ressentir mais c'était trop pour moi. Courage à tous
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L'orange mécanique

Attention chef d’œuvre !
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L'orange mécanique

Un roman qui a fait parler de lui, qui montre un monde somme toute semblable au monde mais ou la violence fait loi, et tente d'être abroger par des technique encore plus violente.

Un roman qui ne m'a pas toucher que se soit sur le fond que sur la forme, bien qu'il est un côté réaliste indaignable il reste long et lourd a mon gout.
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L'orange mécanique

J'ai voulu tenter l'expérience, après avoir vu le film.

Je n'ai jamais connu une lecture aussi complexe. Le vocabulaire est incompréhensible, l'histoire n'avance pas à cause de la lenteur que provoque le langage, tout semble décousu à cause de cela.

Pour apprécier, et lire cette œuvre, il faut déjà comprendre. Et cette tâche elle-même s'avère compliquée.
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