Citations de Ariel Holzl (245)
D'aucuns diraient qu'il a l'air intelligent. Mais c'est un compliment que l'on réserve aux gens moches, soyons honnêtes
Sam faillit ajouter que si elle oubliait son couteau pour sortir une fois de temps en temps, ça ne serait pas la fin du monde...vu que celle-ci s'était déjà produite! Le genre de blague que son père aurait adoré.
Est-elle surprise de voir un congénère ? Ou peut-être le trouve-t-elle à son goût ? Quoique... les sluaghs sont censés être cannibales, se remémore Ivy. « A son goût » n'est sans doute pas la meilleure expression...
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Vôtre ignorance ne fait pas de moi un menteur.
Combien de parts de moi-même ai-je abandonnées aux larmes, à la boue et au sang depuis le début de mon voyage ?
Soldats d’Evergrey et d’ailleurs ! Aiguisez vos sortilèges, fourbissez vos armes et préparez vos montures !
Bordel ! Le monde s'était effondré ! Devait-elle vraiment perdre son temps à apprendre les mathématiques, l'histoire, la philo ?
Pastilles d'iode et haricots en boîte. Le déjeuner des champions.
Les premières servaient à éliminer les radiations. Les seconds, aussi insipides que du carton bouilli, à éliminer votre envie de vous resservir.
Philémon acquiesça du bout des lèvres. Contraitement à ce que sa camarade laissait paraître, il sentit le trac se lover dans ses entrailles. Ah ! Qu'à n'aurait-il pas donné pour un estomac en fer-blanc !
Sur ces considérations intestines, trois coups sonnerent et l'opéra commença.
Battez-vous, disputez-vous, criez-vous dessus ; faites-vous tout le mal du monde... Mais n'oubliez jamais que vous êtes des sœurs, et qu'il n'y a que deux choses sur lesquelles vous pourrez toujours compter : la grisaille du ciel et votre famille.
Oui, il est plus vicieux, plus dangereux, plus cruel…Plus difficile aussi. Car il ne s’agit pas d’imposer votre volonté au Glimmer brut, mais à une autre volonté. En somme, il s’agit d’un duel d’esprits.
Peut-être ! sourit-il. Mais qui peut le dire avec certitude ? La réalité change selon le point de vue. Exactement comme le Glimmer.
Noirs plumages gardent de l'astre blafard.
Mais son iris gauche trahissait sa nature. Noir comme une bille de jais. L’autre ? Le brun chaleureux d’une noisette.
Les autres éclipsiens arrivèrent comme des ennuis : l'un après l'autre, puis tous à la fois.
L'oiseau matinal attrape le ver de terre. L'oiseau malchanceux sert de dîner aux asticots.
- Tu savais que les cafards sont capables de survivre à une explosion nucléaire. Sam? Certains hommes sont pareils... Ils s'adaptent à tout...
Le vent de l’existence, qui commence depuis ta première bouffée d’air, à la naissance, et qui se termine avec ton dernier souffle.
La chance, c’est pour les paresseux et les idiots !
Sam opina, même si elle avait été trop jeune pour utiliser ce fameux "Internet" quand il existait encore. De ce qu'elle en savait, c'était une gigantesque collection de vidéos de chats, non ?