Citations de Ariel Holzl (245)
Les fauteuils sont si moelleux que l'on pourrait aisément les servir en dessert à un ivrogne, sans qu'il se rende compte de rien.
Quoi?
Vous n'avez jamais fais manger de mobilier à un alcoolique ?
Vous ne savez vraiment pas vous amuser...
-Où vont les couteaux, Monsieur Nyx ? Demande-t-elle à sa peluche. Comment ça "entre les omoplates" ? Mais non ! A gauche ou à droite de l'assiette ?
C’était la première fois qu’elle se faisait menacer de vie.
Les méchants qui vous veulent le plus grand bien sont vraiment les pires…
Appelez-moi plutôt Merry. Merryvère Carmine.
- Et moi, Blaise. Ensorcelé de faire ta connaissance
– Monsieur Nyx pense qu’il est amour-haché de toi. C’est quand l’amour te hache le cerveau ! Tu peux plus réfléchir et tu fais tout plein d’idioties. Parfois, ça te hache aussi le cœur. Et même les tripes. Dis, Tristabelle, c’est dangereux l’amour?
Ensuite, j'ai demandé à Merry de s'excuser auprès de Monsieur Nyx de s'être assise sur lui. Elle l'a fait, mais Monsieur Nyx boude quand même. D'après lui, elle aurait dû se couper le petit doigt et le lui offrir en cadeau, pour montrer qu'elle était sincère. Il dit que les traditions se perdent et que les jeunes manquent de respect. J'en parlerai à Merry. Mais je suis presque sûre qu'elle a besoin de tous ses doigts.
- J'ai un contrat pour toi, déclara Kat sans cérémonie.
- Juteux, ce contrat ?
- Très. Peut-être. Possiblement.
- Kat... Qu'est-ce que tu me caches encore ?
- Des détails, c'est tout. C'est Larry Morlingue qui propose le coup. J'en sais à peine plus.
Merry grimaça. Elle n'aimait pas avoir affaire à la bande de "Gros" Larry - des malfrats si bas de plafond qu'on risquait des bosses rien qu'en se cognant à leur stupidité. Et elle aimait encore moins Larry lui-même.
Vous êtes ravissante quand vous riez... [...] Heureusement que c'est un événement aussi rare qu'une éclipse !
Il prononce "Longdawn" avec l'accent typique des bas quartiers- les pauvres gens avalent les consonnes comme si elles pouvaient leur remplir le ventre.
Et les légendes ne meurent jamais tant qu'il existe des hommes pour les conter.
L'ignorance... Voilà le vrai poison.
L’histoire n’est inutile que pour ceux qu’elle contredit.
- Ma chère, je suis désolé si je vous ai donné une fausse impression...Mais il vous manque beaucoup de qualités pour me plaire. A commencer par une personnalité.
Je suis un excellent magicien, dit-il. Mais sans doute pas un très bon professeur. Regardez autour de vous. Chaque jour ici est une leçon de survie. Exactement comme quand vous étiez seule dans votre manoir, tenaillée par la faim. J’ai pensé qu’une piqûre de rappel vous ferait le plus grand bien !
Vertige, valses et verres à volonté y garantissaient des situations grisantes et une ambiance - vraiment - mortelle : si personne n'était allé s'écraser sur le pavé avant la dernière danse m, on considérait que la soirée n'avait pas été réussie.
Hélas, les chats de Concordia avaient muté jusqu'à atteindre des proportions dignes de leur ego.
Le maquillage artisanal ne la rendait pas franchement sereine. Le maquillage artisanal chimique ? Encore moins. Surtout si c'était Yvette qui maniait les éprouvettes. Sans parler de ses conseils de séduction :
- Montre-toi vulnérable. Prends-le par les sentiments. ça va le faire craquer, en mode chevalier servant !
- Et si c'est juste un psychopathe qui veut me voir souffrir ?
- Encore mieux. T'auras l'air de la parfaite victime !
- Yvette, tu es la honte de la cause féministe postapocalyptique.
– Ta-da ! Voici mon Attrapeur-Récupérateur à Modulation Électromagnétique ! Ou A.R.M.E, pour faire plus court.
– C’est juste une canne à pêche, constata Polly. Avec un aimant à la place de l’hameçon.
-Ne sois pas jalouse de mon génie…
-[...] Ils ont du abandonner leurs manoirs, leurs héritages, leurs laboratoires... Et rejoindre le seul endroit qui accueille les parias, les misérables et les dégénérés de tous poils...
-La poste ?
Les maris, c'est comme les chatons : ils paraissent mignons au début, mais ils grossissent, réclament de plus en plus d'attention, et risquent même de vous faire des petits. Vous finissez par ne plus avoir qu'une seule idée en tête : noyer tout le monde.