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Citations de Arthur Miller (168)


Arthur Miller
Et il était riche. Le monde, vois-tu, c'est comme une huître... Seulement ce n'est pas en restant couché sur le dos qu'on arrive à l'ouvrir.
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MARY

Je ne peux pas dire comment, mais c'est ainsi. J'entendais les autres filles crier, et vous, Votre Honneur, vous sembliez les croire. Alors, j'ai voulu me donner autant d'importance que les autres. Au début, il s'agissait simplement d'un jeu, mais le monde entier s'est mis à crier. Les esprits, toujours les esprits, on ne parlait que des esprits... Je vous le jure, monsieur Danforth, j'ai seulement cru les voir, mais je ne les ai pas vus.
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Contentez- vous de dire ce qu'il y a là dessus. Pas besoin que ce soit la vérité. Ce n'est qu'une cour de justice, pas un jeu radiophonique.
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Cette pièce, mise en scène par Raymond Rouleau, a été jouée pour la première fois au théâtre Sarah-Bernard le 16 février 1954.
Personnages :
(distribution par ordre d'entrée en scène)
Révérend Parris...........................Henri Crémieux
Betty Parris....................................Christiane Ferez
Tituba.............................................Miss Darling
Abigail Williams...........................Nicole Courcel
Suzanna Walcott..........................Picolette
Ann Putnam..................................Denise Clair
Thomas Putman..........................Raoul Marco
Mercy Lewis..................................Brigitte Barbier
Mary Waren...................................Francette Vernillat
John Proctor.................................Yves Montand
Rebecca Nurse............................Marguerite Coutan-Lambert
Gilles Corey..................................Jean d'Yd
Révérend Hale.............................Pierre Mondy
Elizabeth Proctor.........................Simone Signoret
Willard...........................................Jean Violette
Juge Hathorne.............................Maurice Nasil
Député gouverneur Danforth....Marc Valbel
Hopkins........................................Maurice Chevit
Ezechiel Cheever.......................Gérard Darrieu
Francis Nurse..............................Robert Moor
Mary Walcots................................Danielle Lebrun
Eva Barrow...................................Eva Bory
Jenny.............................................Maritza
........................................Roland Carey
Paysans.......................................Jeanne Guillemin
.......................................Michel Hervé
Décors et costumes de Lila de Nobili
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C'est un vent de folie qui passe sur le pays. George a également parlé d'Abigaïl et il parlait d'elle comme d'une sainte. Il paraît qu'elle amène les autres jeunes filles au Tribunal et que la foule s'écarte avec dévotion pour la laisser passer. Et les suspects sont conduits devant elle et si à leur vue cette fille se met à hurler ou à se rouler par terre, ces gens sont mis en prison et accusés de l'avoir ensorcelée.
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C'est comme quand on crie et qu'aucun son ne sort de votre bouche... et les gens qui continuent leur train-train autour de vous.
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La mission du théâtre, en fin de compte, est de transformer et même de faire naître chez les gens la conscience de leur potentiel en tant qu'êtres humains.
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Willy
Tu avais jamais entendu parler d'un frigidaire "Cri du cœur", toi, avant ? Je voudrais tout de même bien être tout à fait propriétaire d'un truc avant qu'il ne soit en morceaux...Nous, on fait toujours la course à la ferraille. On essaie de la battre d'une longueur...La voiture est payée, mais elle ne tient plus ensemble. Et le frigo bouffe une courroie par semaine. C'est calculé, tout ça, tu vois ? C'est calculé. Le jour où tout tu as tout payé, le truc te claque dans les mains.
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J'étais en train de conduire, tu vois ? Je me sentais bien. Même que je regardais le paysage, moi, qui suis en route tous les jours de ma vie ! Mais il fait tellement beau là-haut, Linda ! Ces gros arbres touffus. La chaleur du soleil... J'avais baissé le pare-brise pour que la chaleur entre dans la voiture... Et voilà, que, tout d'un coup, je déraille. Je ne plaisante pas. C'est comme je te dis, j'avais tout à fait oublié que j'étais au volant ! J'aurais pris de l'autre côté de la route. J'aurais traversé la ligne banche du milieu, et je tuais quelqu'un ! Enfin ! Je repars... et cinq minutes après, me voilà de nouveau à rêver... Et j'ai presque... (La main sur les yeux.) Ah ! J'ai de ces idées...
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Laisse tomber ces villes pleines de mots, de paiements par mensualités et de procès verbaux. Serre les poings et pars faire fortune, …
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Monsieur, je ne suis pas instruite et je ne vois pas très clair dans toutes vos raisons. Pourtant, il me semble qu'en cherchant un accommodement à mi-chemin de l'injustice et de la pitié, vous trahissez la cause des innocents, vous restez dans le camp des meurtriers.
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Gay braque ses jumelles. “Rien que des misfits, ces chevaux… Des tocards, chérie.” (p.165)
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Arthur Miller
Le pays d'un écrivain est, en quelque sorte, son instrument. Et l'on joue toujours mieux sur son propre violon quels qu'en soient les défauts.
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Arthur Miller
L'homme et la femme sont des êtres inconciliables. Tous deux veulent la liberté mais ils sont en conflit tragique. Ils ne peuvent se comprendre l'un l'autre.
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"Le monde est une huître, mais on n'ouvre pas une huître avec douceur."
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Arthur Miller
J'ai entendu du bruit. Je me suis demandé ce qui arrivait. Il faudrait vraiment faire quelque chose... Ces murs sont d'un sonore ! On éternue ici ? Chez moi, les chapeaux s'envolent !
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Un panache de poussière suit le camion de Gay à travers le désert. C'est un vétuste mais fidèle serviteur. Sur sa plate-forme, solidement amarré, il y a un tonneau d'essence avec une pompe auxiliaire à levier. Le véhicule est tout secoué de hoquets sur les bosses que forment les buissons de sauge, et ses roues écrasent parfois quelque squelette blanchi d'animal tué par l'hiver.
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Vous avez cru que j'étais Juive, dit-elle d'un ton vindicatif. (...)
La prenant pour une juive, il avait trouvé sa mise voyante et d'un mauvais goût prétentieux. Mais puisqu'elle était aryenne, la même robe lui paraissait seulement pleine de fantaisie, c'était la robe d'une femme dont l'originalité se traduit dans sa toilette.
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Plein d'élan, était le terme qui convenait.
Après tant d'années passées au même étage du même immeuble, la recherche d'une situation apparaissait comme une aventure. Nouvelle ambiance, nouveaux gens intéressants, d'énormes changements dans son existence, peut-être?... Qui pouvait présumer de sa valeur réelle sur le marché? Il en arrivait, la nuit, à se dire qu'il avait presque de la chance d'avoir perdu sa situation. Il était scandaleusement mal payé. Cette fois, il exigerait un minimum de soixante-cinq dollars pour commencer. Il aurait mieux fait de briser les vitres depuis longtemps. D'ailleurs, pensa-t-il en souriant dans le vide, c'est ce qu'il n'aurait pas manquer de faire.
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Quand on n'a pas de femme on a des rêves.
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