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Critiques de Cedric Lalaury (153)
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Que les ombres passent aux aveux

Pour être noir , c'est noir , mais avec ce je ne sais quoi qui vous retient dans l'histoire , vous empêche de renoncer à tourner les pages jusqu'à être pris , englué, enlisé dans une histoire dont les rouages sont diaboliques , retors mais huilés de la meilleure des manières. Tout se construit peu à peu , avec méthode et efficacité , c'est comme une roue à engrenage qui avance , avance sans vous offrir jamais la possibilité de revenir en arrière, cliquetis , cliquetis ... du grand art , une ambiance qui , d'assez " banale ", si j'ose m'exprimer ainsi , se charge petit à petit de mauvaises ondes , une ambiance digne des meilleures nouvelles d'écrivains de Genre Fantastique dont je tairai le nom (car ce n'est que ma vision personnelle) , comme la brume recouvre sournoisement le magnifique sentier de montagne sur lequel vous vous promenez ou les rivages pleins de sérénité sur lesquels vous effectuez quelques brasses....Cette atmosphère ira en s'épaississant du début à la fin ,une atmosphère d'autant plus prenante et glauque que l'auteur se fait un malin plaisir de mener son récit sans véritable paragraphe, d'une plume habile à séduire et à étouffer comme le font certains reptiles avec leur proie . Il faut suivre , participer puis subir sans jamais vraiment pouvoir reprendre son souffle et le mieux , au final est de s'abandonner à la volonté de cet auteur très manipulateur .Vaincu , vaincue...

Il y a certes une héroïne, Jessie , mais ce qui est extraordinaire est que tous les personnages dits " secondaires " vont , à un moment où un autre , se trouver au premier plan de l'action , bien volontairement ou malgré eux , mais n'en négligez surtout aucun , vous pourriez le regretter.....Des personnages très ambivalents , tantôt anges , tantôt démons , souvent les deux , jamais totalement " blancs " , jamais totalement " noirs " , des hommes et des femmes de chair et d'os , des hommes et des femmes avec leurs zones d'ombre et de lumière ...Et dites vous bien qu'à chaque fois qu'une lueur de compréhension vous illuminera , il vous faudra rester modeste , vous aurez bien vite la surprise de la voir fuir entre vos mains aussi rapidement qu'une savonnette ...En même temps , n'est - ce pas le rôle d'un bon thriller psychologique? Et là , vraiment , "chapeau bas " à l'auteur , une belle performance .

" Lui ? Mais c'est une histoire de fous !" ( p 333) Et oui , mais qui est - il ? Et pourquoi pas elle ?

" S'il y a un type dans Keowe que j'aurais été à cent lieues de suspecter , c'est bien lui ! . En même temps , si vos soupçons sont fondés, c'est que le garçon est malin et alors là , je lui tire mon chapeau !" ( p320) Et vous n'êtes pas au bout de vos surprises , je vous le dis ," Mon mensonge dut être assez convaincant et ...." ( p 306) , persuadez- vous en , chers et chères amis , tout n'est que mensonge dans ce roman , mensonges et , lourds , mais vraiment très lourds secrets ....Terribles , les conséquences du massacre des Webson ....Un drame qu'il aurait sans doute mieux valu ne pas réveiller....Au risque de retrouver un climat délétère qu'on pensait déjà loin , oublié , enterré....

Alors , vous le prenez le train pour Koewe ? Hésitants ? Ah , ah, courageux mais pas téméraires, hein ? Allez , cool , vous avez avez le temps , de toute façon y'a grève. Mais moi , quand même, si j'étais vous , je réserverais , car vraiment , il est remarquable ce bouquin , et vous me connaissez-, je ne mens jamais , contrairement à tout le monde ou presque dans ce roman...

Enfin , ceci étant, vous n'êtes pas obligés de me croire.....
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Il est toujours minuit quelque part

Un petit polar sympathique mais un peu long à mon goût. Bill Herrington, un professeur de littérature dans une université prestigieuse américaine, mari et père comblé, la cinquantaine est un homme heureux. Ce matin il a rdv avec Alan, mais avant il passe à son casier prendre son courrier et trouve un paquet emballé sous la forme d'un livre. Il ouvre ce colis et découvre un roman d'un auteur inconnu Kirkpatrick. Il est surpris car il ne le connaît pas et surtout n'est pas du tout amateur de roman policier. Après avoir accueilli Alan à son premier cours, malencontreusement il glisse sur le sol mouillé et se casse le bras. Alan l'accompagne à l'hôpital et pendant cette attente lit le livre de Kirkpatrick. Elle lui rends le lendemain et lui raconte une partie de l'histoire qui lui a bien plu. Bill reste figé, il ne dit rien mais le récit en question est une histoire vraie qu'il a connu il y a vingt ans auparavant.

Cela se lit bien mais la première moitié se traîne un peu. La seconde partie est plus prenante.

Dans l'ensemble, j'ai bien aimé mais il ne m'a pas transporté.

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Il est toujours minuit quelque part

Enseignant dans une université américaine prestigieuse, Bill traîne un lourd secret depuis vingt ans. Lors d'une fiesta entre étudiants sur une île, quelques uns d'entre eux ont lourdement 'dérapé'.

Bien sûr, l'histoire le hante toujours. Il n'en a jamais reparlé à personne, pas même à sa femme Lisa, présente ce soir-là.



Lorsqu'il reçoit un roman relatant le drame, Bill craint que l'affaire éclate au grand jour. Et il s'affole vraiment en apprenant que les destinataires du bouquin se multiplient parmi ses proches. Qui est l'auteur ? Comment connaît-il à ce point les détails ? Que lui veut-il ?



Malgré ces ingrédients rebattus, Cedric Lalaury parvient à convaincre et à surprendre. On apprend tardivement ce qu'il s'est réellement passé cette soirée-là, et l'intérêt est ailleurs, notamment dans les remords de Bill, la façon dont sa vie s'écroule, et les interactions entre une poignée de personnages.



Lecture agréable.
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Écoutez le bruit de ce crime

Mon premier roman de Cédric Lalaury et malgré ses plus de 400 pages, je l’ai lu d’une traite !



Un thriller qui démarre en 2019 et nous ramène en 2000, le 5 juillet plus précisément, dans la petite ville de Deil River en Orégon où un drame s’est déroulé !



Le narrateur est Zeke un des ados qui avait été soupçonné du meurtre d’un jeune garçon, Silas, mais innocenté peu après. Une petite fille avait été violée puis enlevée et son ravisseur est mort dans un accident de voiture. Une jeune fille un peu simplette a été accusée de l’assassinat de Silas et enfermée en hôpital psychiatrique.



Zeke s’est exilé à New-York sous un pseudonyme. Un homme le contacte à propos de ce drame et les événements s’enchainent sans temps mort jusqu’à la fin !



Les souvenirs de Zeke nous ramènent en arrière et l’on ne peut pas se tromper sur eux, l’auteur les ayant mis en italique, ce qui permet de ne pas avoir de coupure dans l’histoire avec des détails de temporalité. En même temps que lui et ses souvenirs qui reviennent petit à petit nous parcourons Deil River et rencontrons ses habitants, leur silence, leurs mensonges, leurs haines !



Ce thriller psychologique est très humain dans ses analyses des personnages avec leurs défauts mais aussi leurs qualités, tout en leur laissant le bénéfice du doute. Cette mise “en forme” de l’histoire montre très clairement que tout événement peut être mal interprété et produire des erreurs qui transforment à jamais des vies.



J’ai été scotchée dès le début pourtant lent, tout en tâtonnements et interrogations mais qui au lieu de me rebuter m’a happée ! A votre tour de vous laisser tenter, vous ne devriez pas le regretter ! Excellent, vraiment.



#ecoutezlebruitdececrime #NetGalleyFrance



Challenge MAUVAIS GENRE 2021
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Écoutez le bruit de ce crime

« Ecoutez le bruit de ce crime » sort aujourd’hui en librairie !

Le 5 juillet 2000 est une date qui a marqué la petite ville de Deil River. Une série de disparitions et un assassinat viennent perturber la fête de ce lieu qui semblait paisible. Quelques jours plus tard, on découvre le cadavre d’un jeune garçon. C’est Zeke qui a été suspecté puis innocenté à l’époque. 19 ans plus tard un détective retrouve à New York Zeke qui a changé d’identité et mène une vie paisible. Son passé ressurgit et il décide de retourner à Deil River. Beaucoup de mensonges et de secrets dévastateurs entourent ce lieu …

J’ai découvert la plume de Cedric Lalaury avec ce thriller et je dois dire que j’ai été conquise par son style. Un thriller parfaitement ficelé ave une tension et un suspense qui augmentent au fil des pages, des révélations qui s’enchainent pour lever le voile sur de nombreux secrets. Une fin qui prouve qu’un auteur français peut être à la hauteur des plus grands auteurs américains

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Que les ombres passent aux aveux

Après un drame familial terrible ( que je ne dévoile pas ) , Jessie part vivre chez son grand - père .

A la mort de celui - ci , elle reçoit des coupures de presse qui parlent d’un fait divers non élucidé , ce qui va l’amener à retourner dans la petite ville de son enfance .

Là , elle va rencontrer un autre journaliste qui s’intéresse à la même histoire , la mort d’un riche industriel , de sa femme et de leur petite fille , un meurtre qui n’a jamais été élucidé , et surtout la disparition bien mystérieuse du fils de ce couple .

Jessie va enquêter dans cette ville qui la fascine et va faire une découverte qui va changer sa vie à jamais .

Roman original à l’atmosphère mystérieuse.

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Écoutez le bruit de ce crime

- Hohohoho - Bienvenue à "Deil River, ville de tous les mensonges, de tous les péchés, de tous les reniements " comme panneau d'accueil, on pourrait trouver mieux et pourtant ---

--- il serait dommage de rater la visite, telle que proposée par Cedric Lalaury et de ne pas prêter attention --. Chut, tendez l'oreille et écoutez le bruit de ce crime.



Nous faisons d'abord connaissance avec la ville par des manchettes de journaux datant de juillet 2000: une série de disparitions inquiétantes est constatée à Deil River bientôt suivie par la découverte du cadavre d'un jeune garçon en pleine forêt. Meurtres, viols, accident de voiture, disparitions,... que des choses bien sympathiques qui donnent envie ;)



En quelques jours cette petite ville paisible de l'Oregon semble être devenue l'antre du diable. Tous les soupçons se tournent bien sûr vers Zeke, ado fugueur au comportement étrange, au regard fuyant, portrait du parfait criminel, jusqu'à son prénom Ezekiel.



Pour fuir son passé, Zeke se réfugie à NY dans une autre vie sous une autre identité et devient romancier, enfin il prête sa plume à d'autres sous le nom de Nathan Killan.

- "Je me souvins des photos d'enfance de nombre d'auteurs qui avaient vécu les pires horreurs, et m'avaient demandé de coucher leur douleur sur le papier parce qu'ils en étaient incapables, parce que ces mots les brûlaient." -



Mais on n'échappe pas si facilement à Deil River qui se rappelle à Zeke dans ses cauchemars, dans ses souvenirs partiels, comme dans les reproches qu'il se fait et si --- et si --- et lorsqu'une enquête sur ce crime vieux de 20 ans est réouverte, la ville l'appelle à nouveau. Cette fois, Zeke se sent prêt à l'écouter car il veut savoir, comprendre :

"Tu y retournes pour découvrir la vérité, pour venger Silas, pour réhabiliter Tonto, pour te soulager de ta honte, te débarrasser de la culpabilité qui te ronge"



Zeke ne sera pas seul pour affronter Deil River, Evan, 'auto-stoppeur du hasard' l'accompagnera et c'est ensemble qu'ils feront face à cette ville et à ses habitants plus qu'hostiles.

" Toute cette foutue ville a fait des efforts monstrueux pour reprendre le dessus, mais il y a quelque chose qui pue dans un coin, ici, un vieux truc qui pourrit depuis longtemps et qui tue Deil River à petit feu. Dave, Silas, la petite Paige, cette crapule de Nolan Remick… C'est comme s'ils étaient tous là, à moitié morts, à errer dans la forêt en réclamant justice. Ça doit vous paraître dingue tout ce que je raconte..."



La plume de cet auteur est "enchanteresse". Il y a de superbes passages, surtout ceux en italiques, qui malgré un côté parfois macabre sont noirs de poésie. Chut, écoutez :



- "Deux beaux gisants libérés des contingences terrestres, de la souffrance. Combien tu leur en as voulus d'être partis sans toi"



- "Toi que souvent je fréquente en silence aux lieux où tu te trouves, marchant à tes côtés, m'asseyant à distance, demeurant dans la même pièce, ô comme tu sais peu de choses du flux électrique que tu fais subtilement passer en moi"



- "Je me rappelai - et c'est stupide c'est presque rien, juste un déchet de mémoire sans importance ni consistance émotionnelle, une image qui reste vivace quelque part en nous alors qu'elle n'a rien pour elle, comme on se rappelle le détail sur le manteau d'un inconnu croisé entre deux rames de métro, parmi tant d'autres auxquels on n'accordera jamais un seul regard "



La construction du thriller est assez étonnante et déroutante.

Après une brève présentation des faits arrivés en juillet 2000, l'auteur alterne les passages où Zeke comme se parlant à lui-même, essaie de se rappeler ce qui s'est passé 20 ans plus tôt, ce qui lui est réellement arrivé avec les moments de l'enquête proprement dite qui font revivre tous les protagonistes de l'histoire, aussi bien les vivants que les morts.



De fausses pistes en fausses pistes avec des appels du pied à Stephen King par moments (l'atmosphère oppressante, les séances à la suerie), les masques tombent petit à petit et l'auteur en toute intelligence [ou nous pensant intelligents, ce que nous sommes bien sûr] nous laisse enquêter avec Zeke et son bel auto-stoppeur sans jamais nous mâcher le travail. A nous de faire fonctionner nos neurones en même temps qu'eux.



Le roman se termine par la résolution du crime, celui de juillet 2000 mais également ceux d'avant et même ceux d'après. Pour comprendre cette histoire, il vous faudra tendre l'oreille, chut ! écoutez le bruit de ce crime qui sort ce 7 avril 2021 chez Préludes éditions.



Cedric Lalaury conclut 'joliment' son roman par le rappel de la légende à la base de la construction de Deil River, sa rivière, sa forêt puis sa ville où déjà un chat Spökje était présent tout comme ici dans le récit ce 'bon vieux' Watergate.



** Au tout début du XIXe, débarqua aux USA, Massachusetts, Macsen Deil immigrant gallois, marin, qui rencontra un jeune bandit scandinave, Svart Sjel accompagné de son chat, Spökje. Ils vont s'aimer et ensemble élever Adam, seul rescapé de la famille de la soeur de Svart Sjel. Voilà d'où tirent son nom la rivière puis la forêt et ensuite la ville où se situe cette histoire, Deil River **



Bref (façon de parler), j'ai passé un excellent moment avec tout le petit monde de Deil River, un mélange assez étonnant de thriller parfois fantastique et de poésie.... et je salue Watergate qui est certainement reparti dans la forêt



A ceux qui sont arrivés à la fin de ce retour, félicitations, vous la méritez cette lecture & je vous souhaite le même plaisir que j'y ai pris :D



# thriller # psychologie # crimes # atmosphère # poésie noire

# enquête # viols # pédophilie # mensonges # emprise # miaou watergate # coucou Stephen K



- Prêt numérique -
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Que les ombres passent aux aveux

Que les ombres passent aux aveux Cedric Lalaury Préludes noir, novembre 2019

#QueLesOmbresPassentAuxAveux #NetGalleyFrance



Cedric Lalaury, retenez bien ce nom parce que si vous ne le connaissez pas encore dans moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire son nom va sortir de l'ombre...

Jessie est revenue dans le Kentucky pour s'occuper de son Gran Pa et l'accompagner sur son dernier chemin. Pourquoi l'envie irrépressible de partir pour Keowe en Caroline du Sud la saisit elle? Hormis le fait que sa famille paternelle en soit originaire rien ne devait l'inciter à y retourner. C'est ainsi qu'elle s'y rend avec dans l'idée d'enquêter sur l'affaire Webson où un riche industriel ,sa femme et sa fille sont morts dans des circonstances tragiques. Qu'est devenu le petit Toby âgé à l'époque de 5 ans , celui que l'on désigne sous le nom de l'Enfant perdu d'Eden Woods.

Une histoire qui m'a tenue en haleine, que je n'ai lâchée qu'une fois la dernière page tournée. Cedric Lalaury nous immerge dans une petite ville d'un Comté de Caroline du Sud où il ne se passe plus grand chose, une petite ville où les souvenirs des évènements survenus il y a 30 ans sont encore présents, où les gens se taisent ou médisent. Des personnages bien croqués, une histoire bien ficelée, des frissons glaçants au rendez-vous, le tout servi par une écriture de qualité bref un excellent roman que je ne peux que vous recommander.

Merci aux éditions Préludes pour ce partage .
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Que les ombres passent aux aveux

Un drame de plusieurs années, une jeune femme Jessie en quête de sensationnel...

Mais, les choses ne vont pas se passer comme prévu. Ce drame reste un mystère pour tous, la disparition de Toby également et une mystérieuse femme en gris serait le lien... On entre dans la petite ville de Keowe et son bourg Eden Woods en Caroline du Sud. Ce que j'ai le plus aimé (le point fort du livre pour moi) est incontestablement l'ambiance. C'est sinistre à souhait étouffant, pesant, un manoir abandonné, un vieux cimetière, des faits occultes... Chaque personne semble cacher quelque chose et certains habitants sont prêts à tout pour que les secrets demeurent à jamais enfouis. Cette enquête risque bien de toucher Jessie plus qu'elle ne le croit... Je regrette seulement l'absence de chapitres car j'ai eu l'impression de lire d'un seul souffle et ne savais pas où m'arrêter. (...)



Ma page Facebook: Au chapitre d'Elodie
Lien : http://auchapitre.canalblog...
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Que les ombres passent aux aveux

Difficile de résumer ce livre en quelques phrases.

Jessie, après un passé douloureux vit chez son grand-père.

A la mort de celui-ci, un courrier l'interpelle, il concerne la ville de Keowe où elle sait que sa famille a vécu. Elle décide de s'y rendre et alors là, dans cette ville tranquille où plane le mystère d'un drame passé, elle va se retrouver dans une histoire incroyable.

Que j'ai aimé ce livre !

Tous les personnages, même les secondaires sont d'une force incroyable.

De piste en piste, de manoir hanté à disparitions inquiétantes, on est entraîné dans une folle aventure.

C'est mené de main de maître.

L'écriture est limpide, simple, efficace.

Aucune invraisemblance, tout se tient.

J'ai dévoré ce roman avec un intérêt constant.

Nul doute que je lirai d'autres livres de Cédric Lalaury.
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Écoutez le bruit de ce crime

Je remercie les éditions Préludes pour l'envoi, en avant première, du thriller : Écoutez le bruit de ce crime de Cédric Lalaury.

Juillet 2000. Une série de disparitions inquiétantes et un assassinat viennent troubler la fête de Deil River. Comble de l’horreur, le cadavre d’un jeune garçon est retrouvé quelques jours plus tard dans la forêt.

À l’époque, c’est vers Zeke McKay que tous les regards convergent mais le jeune homme est finalement innocenté... Un peu trop vite ?

2019. Zeke a changé d’identité et mène désormais une existence discrète à New York, où il écrit dans l’ombre des livres pour les autres.

Alors que son passé resurgit, Zeke refuse d’y faire face, niant de nouveau toute implication, et envisageant de fuir, encore... car si tout le monde a des secrets, celui que cache Zeke pourrait bien être dévastateur...

Écoutez le bruit de ce crime est un thriller dont l'ambiance est glauque par moment, et un peu pesante.

Dès le début, l'auteur commence fort avec un jeune homme en fugue, des meurtres, un viol, un accident de voiture.. Tout s’enchaîne, avec un potentiel coupable : un adolescent en fugue qui a été retrouvé à 3000 km de chez lui ! Il faut digérer tout ça et je dois avouer qu'au départ j'ai eu un peu de mal à rentrer dans ce roman.

Nous découvrons ensuite le fameux Zeke, qui avait fugué avant d'être retrouvé, il a été innocenté de ce que les habitants l'accusait et il a refait sa vie à New York. C'est un personnage complexe, difficile à cerner. Il est très sombre, a une petite plume dont il fait profiter les autres car il n'écrit pas sous son nom. Il a d'ailleurs écrit un roman qui fait écho à ses propres démons...

Quand son passé le rattrape sans crier gare, il décide qu'il est temps de l'affronter et donc, repart dans sa ville natale. Mais à jouer avec le feu, à rechercher la vérité, il pourrait bien se bruler les ailes...

L'histoire est difficile, il faut parfois digérer certaines révélations concernant notamment des viols. Il y a des passages écrits dans une autre police de caractère, on revient en arrière dans les souvenirs de Zeke. Je me suis quelquefois perdus au début, avant d'être vraiment lancé dans ma lecture.

Et puis, une fois plongée dans ce thriller, j'ai eu beaucoup de mal à le lâcher car il y a énormément de suspense, le rythme augmente et il y a beaucoup de révélations.

Les personnages sont intrigants, je me suis plus ou moins attaché à certains d'entre eux mais vu le contexte difficile dans lequel ils évoluent ne pas aimer l'un ou l'autre n'est pas très grave. Cela n'a pas gêné ma lecture qui n'est pas de tout repos mais l'histoire est bien ficelée, tout se tient bien du début à la fin avec un dénouement auquel je ne m'attendais pas forcément. C'est tordu, il fallait y penser.

Écoutez le bruit de ce crime est un thriller que je n'oublierais pas de sitôt.

Ma note : 4,5 étoiles.
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Il est toujours minuit quelque part

Parfait pour ce que j'attendais de lui : occuper une après-midi de confinement.

Thriller psychologique qui met en scène un prof de fac torturé (hum !) par un secret, un livre qui révèle pour partie ledit secret, l'auteur du livre et un ancien groupe d'amis. Secouez le tout et ma foi ! vous avez un thriller de bonne tenue, que vous lirez jusqu'à la fin.

Bon après ce n'est pas le livre du siècle qui vous scotche à votre fauteuil..... Un livre honnête mais sans plus. Il manque un petit quelque chose, le personnage central n'étant pas assez crédible je dois avouer.....
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Il est toujours minuit quelque part

Il est toujours minuit quelque part by Cedric Lalaury (Français). Editions Préludes (15/09/2017). 3.36/5 (227 notes).

« Un Thriller psychologique impossible à lâcher. » (« Lire »).

Eh bin ce n’est pas mon avis !

Un Livre, pour moi, très difficile à pénétrer. L’accroche est totalement foiré. La mayonnaise ne prend pas. Il y a de longs passages où il ne se passe rien. Pas assez de dialogues… Non, vraiment, je dois sanctionner au niveau de la note sinon ce n’est pas juste pour les autres.

Phoenix

++
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Écoutez le bruit de ce crime

Zeke a quitté Deil River à la suite d’une journée de cauchemar, où un policier a été tuée, une fillette handicapée à vie et un jeune délinquant tué dans un accident de voiture, un jeune garçon assassiné par une jeune fille un peu simplette. Zeke a été un temps soupçonné du crime de ce garçon, puis innocenté. Mais il n’a pas supporté les regards suspicieux de certains, en particulier ses parents. Il a fui la ville et changé d’identité.

Cependant, près de vingt ans plus tard, un enquêteur le contacte au sujet de ces évènements et meurt assassiné quelques heures après leur rencontre. Cette horreur est celle de trop : Zeke va retourner sur les lieux des évènements, à Deil River, pour essayer de comprendre ce qui s’est passé pendant cette soirée qui aurait dû être une soirée de fête.

Un récit sombre comme la rivière qui coule à proximité de cette ville perdue au fin fond de l’Oregon. Un décor sinistre, glauque qui sert à merveille ce thriller à l’atmosphère pesante.

Zeke va avancer petit à petit dans cette enquête compliquée. Il rencontre, questionne, interroge, pousse dans leurs retranchements les protagonistes du drame. Il n’est pas le bienvenu pour tous. En parallèle avec l’investigation, il revit ses souvenirs que l’auteur nous transcrit en italique, pour mieux les différencier.

J’ai beaucoup aimé le chemin, tout en hésitations, tâtonnements, un peu moins le dénouement que j’ai trouvé un peu abrupt et finalement pas très original. La force de ce roman réside pour moi dans l’atmosphère lourde que l’auteur sait si bien installer, coupée de quelques moments plus légers quand Zeke trouve l’amour. On rencontre beaucoup de personnages, tous complexes, qui se découvrent avec leur mauvais et parfois bons cotés au fur et à mesure de l’enquête. La tension monte petit à petit et pourtant le rythme reste lent, rendant l’attente du dénouement difficile à supporter.

Une très bonne découverte pour laquelle je remercie les éditions Préludes et ... Sam dont la critique m’avait décidée à le demander #Ecoutezlebruitdececrime #NetGalleyFrance

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Écoutez le bruit de ce crime

Je n’avais jamais lu Cédric Lalaury, un auteur qui est pourtant de ma région. C’est grâce à un interview littéraire (l’Apéro des Caro) que je l’ai découvert et qu’il m’a donné envie d’en savoir plus.



Dès les premières pages, l’énigme de départ est très complexe. Plusieurs drames se sont déroulés en même temps, mettant en scène plusieurs protagonistes. Au début, j’ai été un peu déstabilisé par la multitude de personnages. Mais très vite, une fois tout ce petit monde mis en place, j’ai pu profiter des multiples pistes que chacun me proposait. En effet, dans ce drame, tous les acteurs ont une face cachée et même le narrateur semble garder un secret. Personne n’est jamais complètement exclus des suspects.



L’auteur sait créer une atmosphère oppressante de suspicion. Au fil des investigations, on sent l’étau se resserrer autour de la communauté. Plus le personnage principal trouve des indices plus il dévoile les côtés sombres de ce mystère du passé. Sans jamais tenter de faire du spectaculaire, le récit nous enferme dans une aventure prenante dont la recherche du dénouement nous captive jusqu’à la fin.



Ma première expérience avec Cédric Lalaury a été une grande réussite. Sa belle plume y est pour quelque chose. Elle permet d’approfondir les personnages, d’entrer en empathie avec eux et par la même occasion, de nous embrouiller avec ce mélange de réalité et de mémoire floue. Malgré ses 400 pages qui paraissent tourner autour du sujet, « Écoutez le bruit de ce crime » devient vite un huis clos lancinant qui m’a obsédé de bout en bout. Je me suis régalé de cette sombre histoire déterrée par le temps et pleine de surprises.



Évoluant à la frontière du polar et du roman noir, Cédric Lalaury a donc tout pour me plaire. Ses autres romans sont maintenant dans ma ligne de mire !
Lien : https://leslivresdek79.wordp..
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Écoutez le bruit de ce crime

J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire et surtout y plonger car je n'ai pas vraiment apprécié le personnage de Zeke, trop distant, pas vraiment sympathique et son duo avec Evan sonnait faux ( à mon sens ).

J'ai vu venir quelques révélations et noté plusieurs invraisemblances, donc la première partie de ce roman ne m'a pas emballée.

Heureusement le rythme s'accélère et les rebondissements m'ont scotchée.

Ce sera donc une bonne lecture même si je ne me suis pas attachée aux personnages principaux mais plus aux secondaires ( que j'aurai aimé plus présents ).
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Écoutez le bruit de ce crime

J'ai aimé le début de cette lecture même si au final l'intrigue n'a rien de bien originale et c'est du vu et revu dans ce genre de roman.



Tout débute durant l'an 2000 lorsque certaines personnes disparaissent et qu'un jeune garçon Silas et retrouvé mort, Zeke est rapidement accusé de tout cela est il décide de changer de vie et de partir vivre ailleurs afin de tourner cette page.



19 ans après ce drame Zeke décide de retourner sur les lieux de son enfance et d'éclaircir des années après cette fameuse fête ce qu'il a pu se passer ce soir la, nous alternons donc dans ce récit entre passé et présent pour éclaircir ce drame.



Zeke va donc rencontrer à nouveau beaucoup de ces connaissances de sa ville natale et il ai aidé dans sa quête par un auto-stoppeur qui l'a accompagné lors de son trajet.



Malheureusement pour moi j'ai commencé à trouvé le récit long et moins crédible au 3/4 du récit, en effet j'aime de mon côté les romans policiers plus rythmé, ma lecture est donc en demi-teinte.



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Il est toujours minuit quelque part

Bill Herrington est professeur de littérature dans une prestigieuse école préparatoire, la cinquantaine , marié à Lisa et père de deux filles. Tout va bien pour lui... jusqu'au jour où il trouve dans son casier l'exemplaire d'un roman à sensation publié par un mystérieux inconnu : Richard Philip Kirkpatrick.

Ce roman raconte une histoire vraie, l'histoire d'un crime dont Bill est persuadé que personne n’en avait eu connaissance.

Ce livre étrange va bientôt envahir l'existence de Bill et tout contaminer autour de lui à la façon d'un virus. Sa vie paisible et confortable, ainsi que son équilibre psychologique, vont vite menacer de voler en éclats sous l'effet dévastateur de ce roman vengeur qui a réveillé tous les fantômes du passé.



Bill est un personnage assez imbu de lui-même, n'approuvant que la littérature classique, peu perturbé par son passé jusque-là : il a tout effacé, est assez mou, lâche, peu combatif...



Le personnage d'Alan, étudiante qui va lire la 1ère le livre reçu et celui de Dick, l'auteur, sont intéressants.



Une amitié va se tisser entre eux trois, jusqu'à ce que Bill finisse par découvrir qui lui envoie de mystérieux SMS..;



Même si l'intrigue est assez classique, déjà vue dans des films, j'ai apprécié ce roman, bien écrit et prenant.
Lien : http://www.unebonnenouvellep..
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Que les ombres passent aux aveux

Suite à une séparation douloureuse, Jessie décide de retourner vivre auprès de son grand-père, à qui elle est voue un amour indéfectible. Lorsque ce dernier décède, Jessie est plongée dans un profond chagrin. Un jour, elle reçoit un courrier destiné à son grand-père. Là, elle découvre qu’à Keowe, localité de leurs racines, s’est déroulé un drame il y a plusieurs années de cela. Toute une famille est retrouvée carbonisée dans leur demeure, hormis le fils, Tobi, qui est introuvable. Où est-il passé ? La gouvernante, Esther, qui vient tout juste de se faire agresser, affirme que Tobi est réapparu. Jessie part donc enquêter sur place.



C’est un très bon roman que je découvre là, avec sa part de mystère, de secrets et de rebondissements. Tous les ingrédients sont présents pour faire passer un bon moment de lecture. Avec moi, cela a bien marché.



L’auteur a su tirer plusieurs épingles d’une intrigue à priori vue et revue dans les thrillers actuels. Pourtant, il a su se rénover pour nous proposer plusieurs pistes et ne pas rester cantonné dans une seule direction, ce qui aurait pu devenir lassant.



Le personnage de Jessie est particulièrement réussi et l’attachement est immédiat. J’ai été touchée par sa situation, et les secrets que distille au fur et à mesure l’auteur me l’ont rendue de plus en plus profonde et très bien brossée. Elle n’a pas froid aux yeux, et c’est elle qui va porter toute l’intrigue. Elle ne recule devant rien et c’est appréciable de ne pas se retrouver avec une héroïne fade et sans relief.



J’ai beaucoup apprécié cette petite ambiance, qui, sans être à proprement parler un huis-clos, n’en reste pas moins pesante et étouffante. Dans cette petite localité, tout le monde semble savoir quelque chose ou même carrément cacher des éléments. J’ai soupçonné beaucoup de personnages. C’est très réussi.



La plume est très dynamique et les pages ont défilé, certes. Malgré tout, j’ai un énorme bémol à émettre quant à l’absence de chapitres. Ici, à peine quelques petites coupures sont présentes et cela m’a embêtée, surtout que j’ai tendance à associer le genre littéraire du thriller aux petits chapitres, justement. Ceci est un grief bien personnel, bien évidemment. Ne vous arrêtez pas à cela.



Un thriller maîtrisé dans lequel l’auteur a su se renouveler tout au long de son intrigue, afin de ne pas causer d’ennui à son lecteur. L’ambiance est parfaitement rendue et l’héroïne très attachante. C’est une excellente lecture.








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Il est toujours minuit quelque part

Chronique d'Indic : Le petit billet de Fanny pour Collectif Polar

L’histoire :



Tout semble réussir à Bill Herrington, un professeur de littérature quinquagénaire reconnu par ses pairs, mari et père comblé, jusqu'au jour où le roman de Richard Philip Kirkpatrick atterrit dans son casier de la prestigieuse université américaine. Pourtant, Bill était persuadé que le crime raconté dans l'ouvrage n'avait eu aucun témoin.





 Nouvelle lecture et nouvelle découverte d’un auteur français jusqu’alors inconnu pour moi. Sur la couverture, une accroche prometteuse d’Estelle Lenartowicz, « Lire » : « Un thriller psychologique impossible à lâcher » …

Et il est vrai qu’une fois commencée, cette histoire intrigue. L’auteur nous présente le personnage principal, Bill, sa vie fort peu trépidante, son environnement qui est loin de faire rêver, son job routinier de prof, exercé sans grande passion. Jusque-là rien de bien passionnant dans la vie de Bill. Mais bientôt,  la vie plan-plan de ce banlieusard privilégié va basculer dans une atmosphère de peur et d’angoisse permanente.

Bill reçoit un livre qui peu à peu va bouleverser son existence d’apparence si paisible. Ce même livre est également envoyé à tous ses proches. L’histoire narrée dans ce roman : la sienne ! Enfin plutôt, celle de son secret, vieux de vingt ans, presque oublié de lui-même et qu’il pensait disparu à jamais.

Qui est l’auteur de ce livre ? Qui l’envoie à ses proches ? Qui veut révéler au monde le lourd secret d’un crime à peine suggéré au fil d’une histoire qu’il ne connait que trop bien puisqu’il en a été l’élément clé ?

On suit dès lors Bill tout au long de ce qui ressemble à une brutale plongée dans les abîmes. Ses proches lui tournent le dos. Ses seuls alliés : Alan, une étudiante passionnée de littérature déterminée à l’aider et le soutenir, et l’auteur de ce livre maudit, Dick (R.P.Kirkpatrick) , dont l’histoire lui a été inspirée par une nouvelle lue lors d’un atelier littéraire qu’il animait.  Dick qui déboule dans sa vie et qui devient sa bouée de sauvetage alors qu’il traverse cette période trouble et douloureuse, noyé dans l’alcool.

Extrait page 199 :

« Bill ne lui en voulut pas. Il en convenait : l’image de la jeune femme héroïque qui sortait une vieille épave puant l’alcool de l’enfer des corvées ménagères avait quelque chose d’éculé, mais pourquoi rejeter une aide si gentiment offerte ? » 

Dans ce roman, on est confronté à la culpabilité, au déni, au mensonge qui sont autant de sentiments humains déjà douloureux individuellement mais terribles lorsqu’ils doivent être tous affrontés en même temps. Comment Bill va-t-il gérer cette situation inextricable alors qu’il ne peut parler de ce secret à personne ? Qui semble vouloir se venger de lui ? Qui veut lui faire payer pour ce crime sans témoin commis il y a si longtemps ?

Si vous voulez le savoir, alors je vous encourage à plonger dans cette histoire, n’hésitez pas.

J’ai aimé ce roman qui démarre doucement, au rythme de la vie monotone de Bill. J’ai aimé la montée en puissance à mesure que la vie de Bill part en lambeaux et que son univers qu’il croyait solide, s’effondre à vitesse grand V.

Cédric Lalaury manie le sarcasme à la perfection, il se joue des clichés des américains sur les français, il multiplie les clins d’œil à Stephen King et Henry James qu’il aime apparemment beaucoup même si les « écrivains » en général en prennent pour leur grade.

Extrait page 232 :

« Ecoutez Alan, je ne voulais pas vous heurter…

Tout ce que je voulais dire, c’est que vous devez faire attention avec lui : les écrivains sont souvent des vampires ou des charognards. Les êtres les plus égoïstes que la terre ait jamais portés. »

C’est bien écrit, c’est parfois drôle, souvent teinté d’humour noir, les personnages sont complexes et attachants.

Pour résumer mon sentiment, je dirais que j’ai passé un très agréable moment de lecture.

Pour en savoir plus sur ce polar, vous pouvez cliquer ci-dessous :


Lien : https://collectifpolar.wordp..
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