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Critiques de Christian Lehmann (151)
No pasaran, tome 1 : Le jeu (BD)

Andreas, Eric et Thierry sont trois amis férus de jeux informatiques de guerre et de stratégie. Lors d'un voyage à Londres avec leur classe, ils s'éclipsent et découvrent une boutique de jeux incroyable. Mais, lorsque le vieil homme qui tient le magasin aperçoit l'insigne sur le blouson d'Andreas, il devient tout à coup livide et l'empoigne en criant: "Ca ne finira jamais..." Andreas sorti, le vieil homme un peu calmé leur demande s'ils savent ce que représente cet insigne, leur tend un paquet, un jeu auquel ils n'ont jamais joué", et leur ordonne d'y jouer avec leur ami, "s'il n'est pas déjà trop tard"...



Cette bande dessinée est adaptée du roman jeunesse de Christian Lehmann, paru en 1996 dans la collection médium des éditions de l'Ecole des loisirs. Ce titre, à l'époque, m'avait particulièrement interpellée. Nos trois joueurs sont conviés à une expérience ultime: vivre de l'intérieur les conflits auxquels ils jouent virtuellement. Avec à la clé, la prise de conscience que la guerre ce n'est pas un jeu! Une fois qu'on a REELLEMENT vécu de tels drames humains, on ne peut plus jouer de façon aussi détachée, en dégommant comme si de rien n'était toutes ces vies virtuelles.



"Depuis la nuit des temps, la race humaine a pris part au jeu le plus excitant, au jeu le plus dangereux, au jeu le plus prestigieux. Ce jeu ancien, ce jeu fascinant, est l'ultime jeu. Un jeu de conquêtes et de souffrances... un jeu de victoire et de mort. Etes-vous assez courageux pour affronter l'experience ultime?"



On bascule également dans cette histoire dans le genre fantastique. En effet, le jeu confié par le vieil homme tenait sur une disquette. Or, lorsqu'ils l'insèrent dans leur ordinateur, les héros se retrouvent face à un jeu d'une qualité incroyable, défiant ce qu'il y a de mieux dans le domaine tant dans le graphisme que dans les modes de jeu (corps à corps, stratégie, jeu ultime) et les scénarios proposés inspirés des grands conflits qu'a connus l'humanité (guerres napoléoniennes, guerre du Vietnam, guerre d'Espagne, seconde guerre mondiale, ...). Malgré leurs interrogations et leurs craintes, leur curiosité est la plus forte et ils vont ignorer l'avertissement. Ensuite, les évènements vont allez de mal en pis.



Il s'agit ici du premier épisode de l'histoire. Dans le roman, il reste à ce moment-là encore une centaine de pages. C'est d'ailleurs ce qui me chagrine un peu ici et qui constitue tout le défaut des séries en plusieurs épisodes en général. Pour apprécier l'histoire dans sa globalité, il faut attendre d'avoir l'ensemble des tomes. Mais je conçois tout à fait que lorsque l'intrigue est dense, comme ici, il est difficile de la réduire davantage au risque de perdre l'essentiel!



D'ailleurs, même si les auteurs ont particulièrement soigné le scénario de cette bédé, je dois avouer que je suis heureuse d'avoir lu le livre auparavant. Je ne suis pas certaine que j'aurais pu suivre aussi facilement sans cela. En effet, on a droit, sans avertissement par un encadré ou quelque autre procédé que ce soit, à de nombreux flashbacks dans le passé et même dans le jeu. Ces allers et retours dérouteront peut-être les lecteurs.



Quant aux dessins, ils sont assez soignés même si parfois certains visages restent assez flous. J'ai particulièrement apprécié la game des couleurs, des couleurs plutôt pastel avec quelques touches de rouge aux moments opportuns.



Où se situe la frontière entre le réel et le virtuel? Etes-vous assez courageux pour affronter l'expérience ultime? Telles sont les questions essentielles de ce tome. Pour y répondre, foncez sur cette bédé ou... lisez le livre!
Lien : http://lacoupeetleslevres.bl..
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No pasaran : Le Jeu

Super livre, bon c'est pas un chef d'œuvre; pas spécialement bien écrit, mais fourmillant de ressources sur l'univers du jeu en réseau, si prisé par les adolescents d'aujourd'hui... Suspens, personnages attachants (sauf un!). Livre pour les + de 13 ans.
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No pasaran : Le Jeu

Ce livre m'a plu car j'aime les jeux de guerre et les les livres un peu farfelu. On remarque que l'auteur veut faire ressentir la peur du jeu, il veut effrayer. Le livre ressemble beaucoup au film "JUMANJI" ca l'histoire est très similaire.aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
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La Citadelle des cauchemars

Spoilers.



150 pages écrit gros, ça se lit vite. J'ai beaucoup aimé ce livre malicieux, l'auteur tend un piège au lecteur et j'avoue que je m'y suis laissé prendre ! J'avais acheté la "Citadelle des cauchemars" en pensant trouver un livre d'horreur, et si le début installe effectivement une intrigue de ce type, l'auteur nous prend tout à coup à rebours et on comprend que ce livre est en fait une réflexion sur l'activité d'écrivain (et non pas "producteur d'écrits") et carrément une diatribe contre les auteurs de best-sellers qui plagient sans vergogne les meilleurs livres et proposent des mauvaises adaptations en masse pour l'appât du gain et tous les produits dérivés (figurines, jeux).



Christian Lehmann va même plus loin, car un personnage s'appelle D. L. Stern, auteur à succès de la collection "Sueurs froides", et il n'est pas difficile de retrouver l'auteur réel R. L. Stine de la collection "Chair de poule". On est donc sur une attaque ad hominem. Lehmann reproche à cet auteur de plagier les grands maîtres de la littérature (il cite Conan Doyle, Lovecraft, Stoker) et de détourner les lecteurs de ces livres-là.



J'ai trouvé très intelligent quand on découvre que l'histoire du héros Vincent, qu'il écrit et qui est ce qu'on est justement en train de lire, est en fait intitulée "La Citadelle" (sorte de panthéon des grands auteurs) et que D. L. Stern lui propose "La Citadelle des cauchemars" pour appâter le lecteur. On avait bien un indice sur ce jeu avec les attentes du lecteur en 2e page de titre qui indique "La Citadelle des cauchemars de la mort qui tue" qui m'avait interpellé sans que j'en comprenne la signification.



Bref, à part toute cette réflexion proposée sur l'écrivain, la lecture, etc. j'ai beaucoup aimé cette histoire, le début plein de suspense "classique", puis après l'imagination débridée, la liberté d'écriture. Le héros est très sympathique, les histoires du Grand-Père avec Sainte Radegonde sont drôles, les réactions de ses parents devant le diagnostic du psychiatre, c'est amusant, ça tient en haleine, avec un méchant très réel et humain mais monstrueux quand même, car destructeur de littérature. Intéressant !
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Tant pis pour le sud

J'ai adoré c'est un livre qui m'a énormément marqué pendant mon adolescence. J'ai commencé à suivre l'auteur avec la citadelle des cauchemars de la amort qui tue... Grande amatrice de jeux de plateau et autres jeux de rôles, j'ai tout de suite plongé dans cet environnement qui fait écho à des épisodes d'actualités approchants qui ont émergé au milieu des années 90 et que l'on a voulu attribué à ces nouveaux modes de jeux grandeurs natures. psychologiquement il abordé comment l'immersivité dans ce monde de fantasy, et qui, associé à une mauvaise rencontre va faire basculer le quotidien et le monde de ce groupe d'adolescent.
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No pasaran : Le Jeu

Un livre qui parle autant parents qu'aux enfants et surtout les ados. Les jeux vidéos et leurs impacts sur notre vie et notre comportement en société. Les héros sont des ados encore au collège. Ce livre est bien ancré dans son époque. Livre découvert grâce à mon prof de français en classe de troisième.
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No pasaran : Le Jeu

je n'ai pas du tout aimé ce livre, il m'a ennuyée et il m'a manqué de la matière, heureusement il est court, je n'ai pas le bon âge pour apprécier cette lecture destinée à la base à des collégiens
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Tant pis pour le sud

Céline se rend chez son oncle et sa tante, dans le sud honni, où son cousin s'est mystérieusement suicidé. Elle veut savoir pourquoi.



Ce roman jeunesse est très addictif car non seulement on veut savoir pourquoi Julien a pris cette décision mais les actions de ce maire d'extrême droite et de ses sbires surprennent et donnent des exemples des conséquences de la montée de l’extrémisme. Enfin, les jeux de rôle y sont bien décrits et j'avoue avoir eu envie d'en découvrir l'un ou l'autre, voire même d'en utiliser pour pousser mes élèves à se cultiver sur un sujet ou une époque précise.

Nous pourrions même créer un jeu de rôle sur un roman de Fantaisy comme transposition (mais bon, là j'ai encore du boulot...)



Seul bémol: le côté caricatural de certains méchants et la fin un peu trop bâclée à mon goût.



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No pasaran : Le Jeu

C'est un livre que j'ai lu au collège il y a de nombreuses années. Je l'ai retrouvé d'occasion il y a peu de temps et je l'ai relu.

C'est un livre qui se lit rapidement et qui est prenant. On s'attache rapidement à certains personnages et on en aime moins certains, rapidement également. Lorsque l'on apprécie l'histoire c'est d'autant plus facile de se plonger dans le récit. Le suspens est présent et ne nous fait pas lâcher le livre tant qu'il n'est pas finit !

C'est une bonne lecture jeunesse mais qui peut se lire à tout âge.

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No pasaran : Le Jeu

Ce livre m'a déçue car je m'attendais à ce que les passages en rétrospective dans l'histoire se passent aussi en dehors des combats, avec des passages moins violents. Néanmoins, c'est un livre original qui montre que la dépendance aux jeux vidéos peut entraîner l'agressivité, l'isolement et la violence. Ce livre ne m'a pas trop plu car ce n'est pas le style de livre que j'ai l'habitude de lire.
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No pasaran : Le Jeu

Livre phare de la littérature pour ado qui était passée entre les mailles de mon filet de curiosité. Une braderie m'a permis de corriger cet impaire. Sympa. Bien document, très rythmé. Scénario simple : trois jeunes se procurent un jeu interdit. Le virtuel dépasse le réel. Face à la violence implantée dans des contextes historiques variés, les personnalités se révèlent. Le dispositif est efficace. On se perd un peu parfois mais on s'y retrouve car c'est très habilement agencé. Pas de coup de foudre mais c'était bien sympa à découvrir et toujours aussi actuel, je trouve.
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No pasaran : Le Jeu

C’est l’histoire de trois jeunes collégiens qui sont en voyage scolaire à Londres. Pendant ce voyage scolaire ils trouvent un prospectus qui présente un magasin de jeux vidéo. Les trois garçons quittent leur groupe pour aller au magasin. Arrivés à l’endroit souhaité, une personne leur donne un jeu mystérieux. Le voyage se finit donc et le groupe de collégiens retourne chez eux. Les trois garçons sont tellement pressés de jouer à ce jeu qu’ils le lance. Et quelque chose d’étrange se passe… Je n’ai pas aimé ce livre car le déroulement de l’histoire n’était pas comme je l’attendais. Il m’a déçu car le contenu était très lassant. Et les personnages avaient des comportements immatures.



Maxime
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No pasaran : Le Jeu

petit résumé du début de l'histoire ^^' :

Tout commence à Londres, en Angleterre, où l'on suit les 3 jeunes déserteurs de visites scolaires, Thierry, Andreas et Eric. Ces "amis" lycéens français, durant un voyage de classe, fuient les visites pour se balader dans la ville en quête de jeux vidéos de qualité. Ils finissent par tomber sur un magasin proposant des jeux à peine révélés d'existence au public tels que MK5 ou fade to black... Tout le marchandage se déroule bien, un peu bizarrement mais bien, quand soudain le vendeur sursaute à la vue d'un insigne porté par Andreas, et leur ordonne de jouer à un jeu, No Pasaràn...



Mon avis maintenant :

J'ai personnellement beaucoup aimé ce livre, doux mélange de jeux vidéos et de faits historiques de guerre, passant aussi par le genre de la science-fiction, laissant une dernière part aux problèmes de société (de par la petite serbe dont est amoureux Eric).

Les personnages qui doivent l'être sont suffisamment développés, la fin fait écho à une chute à laquelle on ne s'attend pas forcément, il y a une véritable notion d'évolution des personnages, Andreas devient de plus en plus vilain et violent, Thierry de plus en plus blessé... xD
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Patients, si vous saviez : Confessions d'un..

Journée et soucis types d'un médecin généraliste. Puis ouverture sur des problèmes déontologiques entre laboratoires, hôpitaux et médecins

Intéressant
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Le crocodile de la bonde

Les petits frères, c’est bien, mais à petite dose et surtout pas dans le bain ! Aussi quand Prune se voit obligée de partager le sien avec Thomas, elle regrette amèrement la belle époque où elle pouvait se prélasser longuement dans l’eau chaude, jusqu’à en être toute fripée. Maintenant, elle doit supporter les pistolets à shampoing, les crocodiles en plastique et l’exubérance de Thomas. Mais une idée, en apparence géniale, lui vient pour récupérer ce petit moment bien à elle …

Une gentille histoire rigolote, qui fait un peu frissonner mais pas trop, qui parlera sans doute à beaucoup de grandes sœurs.

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La Folie Kennaway

Ce roman, je l'ai lu au tout début de son existence et c'est tant mieux pour moi. Pas la moindre fuite (par Christian non plus) sur le passage que j'ai gardé en mémoire qui se déroule dans une pièce que l'on ferme de l'intérieur... mais chut, n'en disons pas plus....

Rien que cela d'abord et le reste du bouquin ensuite, je considère que le fait que soit le tout premier de Christian Lehmann, c'est une réussite.
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No pasaran : Le Jeu

Sujet très intéressant pour ce roman pour adolescents, sur les thèmes de la guerre et des jeux vidéos (des années 1990 mais plus que futuristes)… mais de fait c'est pour les ados et l'écriture et la narration sont des plus basiques. La fin est également bien décevante et bâclée. Dommage car c'est tout de même assez accrocheur, une histoire et des personnages plus développés l'auraient rendu passionnant.
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No pasaran, endgame

Eric, Thierry et Andreas sont trois amis, passionnés de jeux vidéos.



Andreas adolescent est élevé par un père haut placé dans la hiérarchie d’un parti politique identitaire (qui n’est pas sans rappeler des responsables politiques actuels), qui tyrannise sa mère et méprise sa belle-mère. Au début du roman, il est absent, disparu mystérieusement.



Ses amis sont à sa recherche, très vite on devine qu’il évolue dans l’univers parallèle d’un jeu vidéo qui ressemble au passé. Mais est-ce vraiment un jeu ? Avec l’aide de Gilles le frère d’Eric, ils vont tenter de le retrouver et d’éviter une catastrophe…



J’ai démarré ce gros roman touffu sans a priori, avec un peu de difficulté au début tant il y avait de personnages, des chapitres très courts qui sautent d’une histoire à une autre, d’un protagoniste à un autre, d’une époque à une autre. Je me suis rapidement rendue compte que certains éléments me manquaient, puisque c’est en réalité le tome 3 d’une trilogie, mais finalement cela n’a pas trop gêné la lecture, j’ai compris que les personnages avaient vécu d’autres aventures extra-temporelles précédemment.



Au fil du récit les liens se tissent, les époques se superposent, les pièces s’emboîtent jusqu’aux derniers chapitres où tout se dénoue, dans un grand écart entre la deuxième guerre mondiale, la guerre des Balkans et jusqu’à nos jours.



Ce roman d’anticipation à l’envers est passionnant. Oeuvre de fiction, il nous emmène dans le passé et nous fait revivre les heures sombres du nazisme en France, et de l’épuration ethnique en Yougoslavie, heures sombres qu’il met en parallèle avec les relents identitaires actuels.



J’ai aimé la réflexion qu’il suscite sur les valeurs de tolérance mais également sur la façon dont les médias ou les techniques, le jeu vidéo en particulier, nous conditionnent. On y parle d’extrémisme, de haine, d’idéologie, de guerre, mais aussi d’espoir et de réflexion, de tirer les leçons du passé.
Lien : https://mesmotsmeslivres.wor..
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No pasaran : Le Jeu

Dans les années 90, un trio voyage en Angleterre pour le cadre scolaire : Andreas, le plus âgé, imposant et violent, Thierry l'intello et le plus raisonné et Eric, le plus courageux, amoureux d'Elena, une réfugiée d'Ex-Yougoslavie. Ils entrent dans une boutique de jeu vidéo pour acheter des jeux-vidéo.

Mais voilà que le vendeur, un vieil homme, interpelle brutalement Andreas pour son insigne... et recommande ensuite aux adolescents, un jeu mystérieux et inconnu...

Rentrés chez eux, ils essayent. L'Expérience Ultime. Un jeu innovant et fascinant avec une immersion inédite dans les guerres, plus addictif mais plus réaliste aussi. Mais très vite, les frontières du réel et du virtuel se brouille... et au fur et à mesure qu'ils jouent, l'horreur des conflits et de la déshumanisation leur frappe, d'autans plus qu'Andreas commence à devenir plus en plus menaçant...

Je me rappelle avoir faillit jeter le livre pour sa couverture assez moche et son résumé guère attirant. Je remercie ma petite voix d'avoir insister !

Car ce livre est splendide.

Il nous montre une époque proche de nous, où il y a peine vingt ans, les jeux vidéo sur ordinateur commençaient à naître où une guerre sanglante ravageait les Balkans sous l'oeil impuissant et/ou indifférent des gens...

En plus, il aborde intelligemment deux thèmes : celui de l'ampleur désastreuse de certains jeux violent... et l'absurdité des guerres, sans parler aussi des penchants extrémiste, Andreas étant digne d'un nazi !

Surtout qu'on réalise avec effroi la signification de son insigne (même si Andreas est un peu caricaturaux, il est vrai)...

J'ai bien aimé ce trio qui éclate suite à un jeu qui leur dévoile les parcelles noires de l'âme d'un des leurs et leur fait prendre conscience qu'il ne faut pas se laisser gagner par la cruauté des conflits et de certaines personnes racistes et intolérante...

En parlant de violence, ce livre est une grenade pouvant exploser aux personnes trop fragiles et sensibles tant elle est révélatrice de guerres, d'horreur et de souffrance. J'ai surtout été marqué par Dévoiler le texte masqué

Ceux qui ne comprennent pas le titre le sauront dans le livre...

De plus, la fin est effroyable et si elle résout certaines questions, elle en appelle à d'autre et nous suggère une suite encore plus éprouvante...

Franchement, n'hésitez pas à lire ce livre.
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No pasaran : Le Jeu

j aime bien mes il est trop long
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