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Citations de David Moitet (175)


Mon père a coutume de dire que pour savoir où l'on va, il faut savoir d'où l'on vient. Connaître l'histoire, c'est tenir entre ses mains une boule de cristal qui permet de prédire l'avenir. Nos dirigeants feraient bien de s'en souvenir, avant de prendre certaines décisions...
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Les voyages, c'est pour ceux qui ont les moyens. Plus jeune, cela me rendait triste, jusqu'au jour où j'ai découvert que les livres pouvaient combler ce manque. Au fil des pages, j'ai fait plusieurs fois le tour du globe...
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Il connaissait si bien les courbes harmonieuses de son visage qu'il aurait pu les reconnaitre les yeux fermés, rien qu'en apposant les paumes sur sa peau si douce.
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Été 2115
Arthur C. Parker était aux anges. Après des années d’ef- forts, le premier vaisseau-monde était prêt à être inauguré. Parker prit le temps de saluer chaque personnalité qui avait pris place à bord de la petite navette spatiale. Le président des États-Unis était en pleine conversation avec celui de l’Europe. Un peu plus loin, le représentant des Émirats nord-africains et son homologue chinoise profitaient de la vue imprenable sur la Terre.
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- Quand on traverse le quartier, on a l'impression d'avoir la tête juste au-dessus d'une crotte de chien. Crottes qu'on ne risque pas de trouver chez eux, puisqu'il les mangent.
- Les crottes ?
- Non, les chiens.
- Ils mangent des chiens ?
- Oui ils mangent tout ce qui passe à leur portée. Même les rats.
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Les extrémismes sont des conglomérats de haine qui se nourrissent les uns des autres.
Seule l'éducation permettra de les affamer. (dernière page)
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En démocratie, un collège où tous progressent est une utopie nécessaire...
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Les solutions se présentent d'elles-mêmes aux gens qui le méritent
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Hier soir vers 28h, le terroriste Henri J.Warlock, plus connu sous le surnom de professeur Warlock s'est emparé d'un vaisseau de transport militaire. Une de ses complices, jusqu'alors inconnue des services de police de l'Alliance, est parvenue à s'introduire dans le poste de pilotage et à maîtriser les huit membres d'équipage qui dirigeaient le vaisseau.
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- Tu sais, reprend Saul, avant mon accident, je me suis souvent demandé ce que ressentaient les condamnés à mort. J'ai toujours trouvé ça barbare, de laisser des gens attendre la fin dans une cellule, mais maintenant, je sais qu'il y a pire : on peut aussi être condamné à vivre.
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Nous n’héritons pas la Terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants...
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Le choix des mots est totalement arbitraire ! L'adjectif qualifiant un homme de haute taille de "grand" pourrait très bien être remplacé par l'adjectif "petit". Il suffirait pour cela que tous les gens pratiquant la langue soient avertis...
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Anna, m'a-t-il dit, tu n'as pas eu de chance jusqu'ici, mais la vie est comme un grand arbre majestueux. Ce n'est pas parce que tu es tombée sur plusieurs branches pourries que tu ne pourras jamais te raccrocher aux branches saines et grimper jusqu'en haut pour apercevoir l'horizon.
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Les deux tueurs sont retournés dans la maison. J’ai hésité à sortir de ma cachette, mais les ombres qui dansaient derrière les rideaux du salon m’en ont empêché. Les types étaient là, à l’affût. Le vieux Ben a fait son petit tour habituel, et a fini par rentrer chez lui. Le noir, à nouveau… Les types en ont profité pour charger les corps de mes parents à l’arrière de leur camionnette, ainsi que plusieurs grosses valises. Puis, je les ai entendus fouiller à nouveau le jardin, dans l’obscurité. Ils se sont approchés de la cabane où je m’étais réfugié. Je me suis mis à trembler.
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- Ça fait un bail que je bosse ici. Et si j'ai bien appris une chose, c'est qu'on a tous une part d'ombre en nous. Il arrive que la vie nous malmène tellement qu'on franchit la barrière et cette part d'ombre, de folie, prend le dessus. C'est un truc qu'on n'a pas envie de s'avouer, mais se retrouver dans un institut de ce genre peut arriver à n'importe lequel d'entre nous...
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-C'est la nature humaine, tu ne la changeras pas. Nous sommes un virus. Nous prenons ce dont nous avons besoin au détriment de ce qui nous entoure.
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Le facteur humain... Imprévisible, volatil, et plus pertinent que n'importe quel moteur de recherche.
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Dites-moi comment le plus gentil des gamins peut devenir un monstre. (page 185)
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- Sophia, occupez-vous bien d'Orion, voulez-vous ? J'ai à faire...
- Je m'appelle Sonia, monsieur, fit la nourrice.
- Peu importe. Je compte sur vous.
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Anna, m'a-t-il dit, tu n'as pas eu de chance jusqu'ici, mais la vie est comme un grand arbre majestueux .
Ce n'est pas parce que tu es tombée sur plusieurs branches pourries que tu ne pourras jamais te raccrocher aux branches saines et grimper jusqu'en haut pour apercevoir l'horizon.
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