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Critiques de David Prudhomme (256)
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Vive la marée !

L'été est arrivé et le départ en vacances est lancé, en voiture en train ou en auto-stop tout le monde afflue vers la mer et ses plages de sable fin. On s'y retrouvera en famille ou entre amis, pour des sorties en mode drague ou pour de belles promenades sur la plage accompagné de son chien à décortiquer les us et coutumes de la faune estivale (châteaux de sable, sport, bronzette...)

C'est les vacances, le seul moment où on largue les amarres, on se laisse aller à profiter des rayons du soleil.



Ce sont divers personnages et différentes situations que l'on trouve dans cet album assez cocasses d'ailleurs mais qui reflètent pourtant à merveille la réalité car les auteurs se basent évidemment sur le quotidien de ces vacanciers que l'on rencontre facilement en vacances ou que l'on devient soi-même. Un magnifique album de vacance dans lequel il ne se passe pas grand chose puisque qu'il n'y a pas d'intrigue, juste des planches qui se succèdent et qui sont liées entre elles par un personnage que l'on aperçoit au coin d'un page et qui sera le "héros" de la prochaine histoire.

Une BD bien sympathique à lire en ces jours de froid et qui me fait attendre avec impatience l'été et les plages de sable fin, le soleil et la relaxation.
Lien : http://stemilou.over-blog.co..
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Vive la marée !

Pour moi, une grande réussite ! Une journée à Polovos-les-flots, une journée sans héros mais avec son lot de vacanciers truculents, décalés ou complètement "blaireaux". J'ai eu souvent l'impression de lire un album de Jacques Tati avec cet humour qui l'air de rien est très souvent acerbe et dénonce les travers de notre société.
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Vive la marée !

Cette BD à la couverture bleue s’annonce étonnante. Le dessein de David Prudhomme et Pascal Rabaté est de collecter, comme autant de cartes postales, diverses scènes de vacances à la mer. Pas vraiment d’histoire particulière dans cet album, plutôt une avalanche de mini sketches, dans lesquels des personnages très divers se relâchent, ou pas. Drôle et caustique, l’album vaut le coup d’œil !



Avant d’arriver sur la plage, un père de famille jauge la grosse voiture de celui qui le précède. Et quelques planches plus loin, il retrouvera le conducteur sur la plage. Un vieil homme à la bedaine imposante se promène avec son chien. Des corps bronzent au soleil, tandis que d’autres choisissent des cartes postales… Ces scènes habituelles de vacances sont captées dans l’album à l’aide de bribes de conversations qui apparaissent ici et là.



On a l’impression de traverser les rues d’une station balnéaire, avec les habituelles échoppes de souvenirs et autres babioles, en entendant les répliques des passants. Ainsi, on passe d’une scène à l’autre, avec des liens complètement aléatoires. On s’amuse à débusquer un détail parmi une multitude, un peu comme dans les albums de Charlie. Ici ce peut être le détail d’un vêtement, un objet, un paysage. Les auteurs ont dû se creuser la tête pour imaginer tous ces gags visuels, comme celui qui montre que ce qui semblait être les tâches de rousseur d’un enfant sont en fait des yeux de bigorneau !



Cette BD peut se déguster lentement, par petits bouts. Si j’ai parfois pensé à Tati en tournant les pages, la BD m’a surtout évoqué un film de Rabaté qui se déroule d’ailleurs à la plage : « Ni à vendre, ni à louer ». J’ai retrouvé l’esprit du film qui suit des personnages dont les destinées vont se croiser. Autant j’avais adoré le long métrage, plein de trouvailles humoristiques, autant je suis un peu déçue par cette BD. Contrairement au film dont les intrigues séparées finissaient par se recouper, ici ce n’est pas le cas. Les planches se suivent sans autre but que celui de rebondir à chaque fois, suscitant souvent la surprise, mais le procédé lasse un peu finalement. Si la BD est plaisante à regarder, il y a quelques temps morts, comme le passage obligé au camping. J’ai été déçue de ne pas trouver de liens réels entre les personnages. Déçue aussi de retrouver des gens ordinaires, avec leurs petitesses à fleur de peau. La marée aurait pu être belle, mais David Prudhomme et Pascal Rabaté ont préféré s’en moquer, un peu trop facilement à mon goût. Dommage : l’exercice reste intéressant mais ils auraient pu mieux faire. Je conseille donc aux curieux de lire la BD puis de voir le film, histoire de se baigner dans deux eaux différentes…
Lien : http://blogs.lexpress.fr/les..
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Vive la marée !

Voila une bande dessinée qui m'a procuré beaucoup de plaisir : moi qui passe parfois de longs moments à regarder les gens déambuler, à imaginer leurs petits tracas et leur vie qui s'écoule, je suis ravie d'avoir découvert cet album!

La bd fonctionne comme les poupées russes puisqu'on saute d'une vie à l'autre en un claquement de doigt. La caméra (car on se croirait dans un film) zoom en avant ou en arrière comme on le ferait avec nos propres yeux. On assiste avec curiosité au déroulement d'une journée en bord de mer. On est parfois frustré de ne pas approfondir certaines histoires mais on prend vite le pli de sauter d'une existence à l'autre!!

J'ai été enchantée de retrouver l'ambiance des vacances et de son cortège de braillards, beauf', concours de châteaux de sable, etc... un charme fou!!
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Vive la marée !

Roman graphique retraçant les vacances au bord de la mer, nos vacances..... A la lecture on retrouve plein de scènes que nous avons vécues, que nous avons vues, des dialogues que nous avons entendus. Même les dessins sont estivaux..... C'est léger, drôle et j'ai pris beaucoup de plaisir à suivre les différents personnages, familles, qui se croisent, se suivent sur l'autoroute etc..... Un bon moment qui nous fait replonger dans nos souvenirs d'enfance ou plus récents.
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Vive la marée !

Les vacances à la plage tout le monde regarde tout le monde, le petit monde du vacancier plagiste vu par un des héritiers de Jacques Tati.

Pas vraiment d'histoire, juste un oeil qui va de personnage en personnage

la meilleure idée du dessinateur c'est la prise dans l'eau.

C'est sympa, mais on l'oubliera vite. A emprunter dans une médiathèque
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Vive la marée !

Pas d'histoire pour une bande dessinée pourtant bien scénarisée.

Une sorte de défié de polaroids des touristes qui arrivent. Juste, drôle et consternant, surtout lorsqu'on s'y reconnait.



Et oui, les touristes sont moches!
Lien : http://noid.ch/vive-la-maree/
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La Marie en plastique (Toute entière)

Ces deux là, Messieurs Prudhomme et Rabaté, forment un "duo d'enfer" de la tendresse !

L'histoire est si simple : une mamie rapporte de son pélerinage à Lourdes une Marie en plastique. Avec son mari, ils habitent chez leur fille, leur gendre et leurs petits-enfants. Dans la maison d'à côté leur fils (parfait beauf') et sa femme. Ils ont tout pour vivre heureux dans ce petit village du coeur de la France. Sauf que les sempiternelles "engeulades" du vieux couple pourrissent la vie de toute la famille ! Et le conflit s'envenime...Sauf qu'il va y avoir un "miracle" : celui du chemin de la paix entre ces deux vieux mariés, qui au fond...

Tout est bien vu et bien transcrit : les scénes de la vie de famille, les petits yeux bleus de la mamie qui fulminent ou sont toute douceur, les "cuites" du papy et ses grandes tirades, le gendre, véritable médiateur qui apaise et fait le lien, sa femme bonne et tendre ménagère qui n'en peut plus de "ce cirque", et le beau-frère, adepte du p'tit jaune.

Ils s'expriment tous avec toutes ces expressions de tous les jours que nous utilisons tous.

Le "miracle" qui agite tout le village, ne les perturbe pas tant que ça, sauf que c'est un surcroit de nettoyage : faut ramasser les bouquets de fleurs et de pièté laissés devant leur porte avant le départ pour l'école !

Le dessin est simple, comme la vie de tous les jours, baigné d'une lumière douce, comme la tendresse qui les lie, avec de jolis coups d'humour. Deux vignettes représentent le car qui s'éloigne dans un paysage de campagne, la première avec sur le côté un calvaire, la seconde avec un auto-stoppeur laissé sur le bord de la route : même composition, sauf les détails.



Album à mettre en toutes les mains des apprenants de français, pour les expressions mais surtout pour l'art de vivre en famille. Et la journée de confirmation de la petite ça vaut bien le thanksgiving des américains.

D'ailleurs, une de leurs icônes à ces américains, en prend aussi un coup, à la fin de cette "épopée" !
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La Traversée du Louvre

Le narrateur est l’auteur de BD qui s’est vu proposer de réaliser un album où le musée du Louvre sera le décor. Il est apparemment venu avec sa compagne et l’histoire démarre au moment où il vient de la perdre dans le musée. Il ne la retrouvera qu’à la dernière page de BD de l’album, celle-ci avait décidé de rentrer après avoir renoncé à pouvoir le retrouver au milieu de la dizaine de milliers de visiteurs présents ( ils sont trente mille quotidiennement). Cinq pages documentaires terminent ce livre, elles nous livrent de nombreux chiffres sur le bâtiment, les visiteurs et les agents. En cherchant sa femme, la traversée du Louvre du narrateur se focalise sur les visiteurs et leurs attitudes face aux objets des collections. On aura compris que le scénario n’est pas très élaboré, par contre le dessin est d’une expression exceptionnelle dans sa présentation du public et on goûtera également la façon de dessiner certains œuvres très représentatives comme la Joconde, le Radeau de la Méduse, une icône grecque, un tableau de David, une œuvre de Delacroix … On appréciera la tonalité humoristique de certains jeux de visiteurs devant principalement des statues. Ce titre est abordable dès l'âge de 8-9 ans et il intéressera grandement les adultes aussi.
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Rebetiko (la Mauvaise Herbe)

La musique est un miracle : ancrée au plus profond de nos âmes et du coeur des gens elle dit chaque peuple et parle toutes les langues, elle dit les jours et les nuits de chacun et parle à tout le monde, elle dit les exclus, les petits, les sans-grade et son empire sans frontières se moque des barrières.

En 1922 la Grèce perd tout espoir de s'étendre encore vers l'Orient. Elle gagne 1,5 million de réfugiés orthodoxes. Leurs airs mélancoliques se mêlent à ceux des musiciens du Pirée. Le Rébétiko est né.

1936 : la Grèce d'un général ressenble déjà à celle des colonels. À tous ses maux, elle désigne un bouc-émissaire : l'Orient et tout ce qui en vient, comme le Rébétiko et ses musiciens. Justement une petite phalange d'entre eux se retrouve et réunit pour fêter la sortie de prison d'un des leurs. L'album dessiné nous plonge dans ces 24 heures, du soleil qui brille aux portes de la prison à celui qui assèche, le matin sur la plage, les rêves d'une nuit passée à refaire le monde et jouer. Jouer cette musique hypnotique que cet album bien que muet nous donne à goûter comme jamais : le texte, sel de la vie de tous les jours et ferment de ce jour particulier, les paroles de ces "blues grecs" qui relient l'Orient et l'Occident, la marge et le rêve. Le dessin, les lignes et la palette de couleurs, comme un rythme, une mélodie qui court et les harmonies, qui vont et viennent, fortes, sensibles.

Avec le scénario d'un polar tourné dans les bas-fonds new-yorkais ou près d'un bar à Cuba - l'album est sous-titré "La Mauvaise Herbe" - Rébétiko agit comme un voyage captivant à Athènes, une virée enivrante qui saisit tous nos sens. Et parle des racines, de la vie, de l'amour et de l'amitié. De la musique quoi !
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Rebetiko (la Mauvaise Herbe)

Je n'ai guère aimé Rébétiko. Non pas que je n'aime pas les danseurs grecs des années 30 : loin de là ! C'est plutôt le rythme de l'histoire qui est très lent et qui s'inscrit dans une certaine ambiance méditerranéenne d'époque trouble.



Au fil des pages, mon intérêt s'est décru jusqu'à éprouver un sentiment de pénibilité quand je tournais une page. Après, je me connais : cela devient un calvaire.



Et pourtant, je me dis qu'il ne faut quelques fois pas grand chose pour me satisfaire. Ici, le scénario confère à l'ennui. C'est beau de voir des gens danser dans des bars où il y a une franche rigolade après des séances de fumette.



Cette bd qui se consacre corps et âme à un courant musical pourra plaire bien entendu à des mélomanes qui imagineront sans doute des figures hypnotiques. Pour ma part, je me suis endormi...
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La Traversée du Louvre

Alors qu'il visite le musée du Louvre à la recherche de l'inspiration pour un prochain ouvrage, le narrateur reçoit un appel téléphonique, y répond et se retrouve ensuite séparé de sa compagne.



Il parcourt alors les allées du Musée espérant la retrouver ...



Mais le Musée est bondé ; certaines salles sont prises d'assaut, d'autres moins remplies, mais il s'amuse allors à croquer les attitudes incongrues des touristes : ceux qui prennent la pose devant Mona Lisa, ceux quimettent leur tête dans la gueule d'un lion sumérien, ceux qui mettent leur tête au dessus de torses qui en sont dépourvus, ceux qui sont effondrés sur les canapés de la Grande Galerie ...



MAi stoujours, tout au fil de cette 'traversée' du Louvre il esquisse les oeuvres accrochées et je me suis amusée à les reconnaître, ici le doigt levé du Saint JEan Baptiste de Léonard de Vinci, des portraits de Rembrandt, le radeau de la Méduse ...



Un album qui m'a rappelé mes visites du Louvre en 2015-2017, quand, détentrice d'une carte des Amis du Louvre, j'y allais régulièrement les mercredis soir profitant des ouvertures nocturnes en sortant du travail ...



Un très joli album, un bel hommage aux collections du Musée :)


Lien : http://les-lectures-de-bill-..
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Mort et vif

J’ai beaucoup de mal avec certaines bd. C’est simple : je lis et je n’arrive pas à entrer dans l’histoire. Tout me rebute à commencer par le dessin où on ne verra jamais le visage du protagoniste principal. C'est une vraie lecture prise de tête sans un quelconque intérêt.



L’histoire pourrait apparaître comme absurde mais cela ne sera pas le cas puisqu’on découvrira le sens à savoir le méchant patron qui licencie sans prévenir ses salariés et qui semble fuir ses responsabilités. Cela ne sera pas forcément une bonne vision très enchanteresse du patronat.



Il est également clair qu’on ne fabrique plus les boîtes de sardines comme avant grâce à de nouveaux procédés d’ouverture assez révolutionnaire. Beaucoup d'entreprises d'antan ont dû fermer car elles ne se sont pas adaptées aux nouvelles technologies et ont été dépassées par d'autres.



Bref, les amateurs apprécieront à l’image d’une couverture assez inventive où se dessine la tête de mort. En vérité, c'est une allégorie sur la mort sociale dont le message ne sera pas forcément simple et compréhensible pour le lectorat.
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Vive la marée !

Une découverte et un sens de l'observation indéniable. Que de clichés et de souvenirs à la vue de ses dessins. Une anthologie de l'aoutien sans vraiment d'histoire mais se lit avec plaisir
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La Marie en plastique (Toute entière)

Je lis le titre.... je vois l'illustration.... et ça ne fait pas tilt !

J'ai cru voir deux jolies gambettes réunies pour un joli saut de l'ange dans une piscine enfin non quand même pas dans une grande bassine !

Excusez moi, j'ai un peu exagérée ce midi entre les apéros et les verres qui ont suivis, nous étions invités chez Jérôme et Cathie pour faire un petit coucou à grand Papa et grand Maman, maintenant que les esprits se sont calmés et que tout le monde arrive à se supporter !

Nous sommes dans la France profonde. Deux mondes essaient de ne pas s'affronter. D'un côté Dieu et ses sbires ou plutôt ses sbirettes et de l'autre Lenine et ses fans.

Des histoires de ballades de vieux au travers du pays, de chamaillerie entre les deux membres d'un vieux couple qui a du mal à se supporter, qui a de vieux comptes à régler, de vie commune inter génération, de miracle ou pas ...

Le texte est fait de clichés qui nous renvoient à nos propres histoires, à notre propre vécu et les illustrations accompagnent le tout avec un vrai charme d'antan.
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Rupestres

Voilà un très bel album de ... BD ... heu pas sûr, mais un album de dessins, un témoignage, et surtout une expérience ; Six dessinateurs visitent des grottes préhistoriques dans le Sud-ouest de la France, ils dessinent et écrivent leurs réflexions sur l’image (euphémisme ?), le dessin, l’Art, l’Humain et sa planète ... Ils travaillent seuls ou en commun. Des doubles pages magnifiques, des textes touchants, agencés dans un chaos étrangement harmonieux, une sorte de travail Oulipien, un Objet Livresque Non Identifié. Une lecture enrichissante et rapide (ce qui ne gâche rien), 4*.
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Vive la marée !

Petit condensé d'une journée au bord de la mer à Polovos (Palavas?) les flots.

On suite au gré des cas des retraités, des familles, des ados (mais pas tant que cela) qui viennent profiter de la plage. la mer est loin au début du tome et écarte les différents protagonistes, puis elle se rapproche...

Chronique d'instants volés qu'ont du vivre les auteurs, et nous par la meme occasion. Sympa;
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Vive la marée !

Chronique d’un été en bord de mer, entre l’euphorie de l’arrivée sur le lieu de vacances et les activités inhérentes à la saison : baignades, balades, bronzage, dégustation de spécialités locales, cancans,… Le temps d’une après-midi ensoleillée, on suit une galerie de personnages qui sont là pour profiter de leurs congés et qui ne s’occupent de rien d’autre que ça. Et au diable les mauvaises nouvelles divulguées par les médias.

Cette BD fera certainement écho aux vacances estivales de bon nombre de lecteurs ! La façon dont on passe d’un personnage à un autre se fait tout naturellement : on suit un personnage « principal » dans une case, puis on le quitte pour un autre personnage qui se trouve en arrière-plan, avant de le laisser lui aussi, pour peut-être le retrouver par la suite. J’ai pris plaisir à observer les détails foisonnants qui dressent un portrait réaliste de ces tant attendues vacances estivales.

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La Traversée du Louvre

Le lecteur/spectateur suit David Prudhomme dans sa traversée d’un des plus grands musées du monde alors qu’il est à la recherche de sa compagne. Sous son regard, le Louvre devient « une BD géante » avec des « cases » aux murs qui se laisse découvrir par fragments. Avec lui, le lecteur apprend à observer non pas les œuvres elles-mêmes mais l’attitude des gens qui observent les œuvres. Du touriste agrippé à son appareil photo au couple amoureux s’enlaçant tendrement, David Prudhomme dresse de manière humoristique le portrait de ses contemporains.
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Japon : Le Japon vu par 17 auteurs

De jolies petites histoires aussi variées dans leur style que dans leur signification et leur angle de vue. Parfois fascinant, déroutant, charmant, magique, onirique, une découverte intéressante qui fait découvrir des auteurs de BD !
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