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Citations de Djalâl ad-Dîn Rûmî (420)


Djalâl ad-Dîn Rûmî
ami de chacun, mais bien peu

entendront les secrets cachés
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Djalâl ad-Dîn Rûmî
En tout rassemblement je suis présent,

me mêlant aux rires et aux peines,
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Djalâl ad-Dîn Rûmî
Sais tu ce que je fais ? sais tu que lors d’une ou

une demi respiration je m’appartiens ?

Autant que le stylo sait ce qu’il écrit,

ou que la balle sait où elle va.

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Djalâl ad-Dîn Rûmî
Tu embrasses une bouche merveilleuse, et une clé tourne le verrou de ta peur.
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Parfois, organisation,

calculations tournent à l’absurde.
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Respire …

Des livres et des mots viennent les chimères,

et parfois, des chimères naît l’union.
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Si tu n’as pas laissé les jeux d’enfant,

comment être adulte ?

Sans la pureté de l’esprit, si tu es encore

dans l’avidité, l’envie et autres désirs,

tu es comme les enfants jouant au sexe,

Ils luttent, jouent et se touchent,

mais çà n’est pas du sexe

Pareil pour les combats des hommes.

Batailles de polochons ! de pistolets à eau !

sans objet, ni sens, totalement futiles.
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Sois vide de tout soucis

pense à qui créa la pensée !



Pourquoi rester en prison

La porte est grande ouverte !



Sors du labyrinthe des peurs.

Vis en silence
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Comme les amants ardents, il distingua dans le son du luth l’image de l’appel
divin à l’homme. (…)
C’est pourquoi les philosophes ont dit que ces mélodies dérivaient de la
révolution des sphères. (…)
Les croyants pensent que le paradis rendra belles même les voix disgracieuses.
Bien que la condition humaine nous ait plongés dans le doute, nous nous
souvenons un peu de ces sons.
Mais, comment ses notes aiguës et basses donneraient-elles de la joie,
puisqu’elles sont altérées par la poussière des chagrins ? (…)
Ainsi le samâ’ est la nourriture des amoureux, car ils y retrouvent l’image de
leur rencontre avec l’Aimé
.
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Djalâl ad-Dîn Rûmî
Regarde, chamelier, d’un bout à l’autre de la caravane, les chameaux sont
ivres !
Ivre le prince, ivre le seigneur, ivres le compagnon et l’étranger
Ô jardinier, le tonnerre du musicien est devenu nuage de l’échanson
Et sont devenus ivres jardins et pelouses, ivres, boutons de rose et épines
Ô ciel, combien de temps tourneras-tu ? Regarde le mouvement des quatre
éléments !
L’eau est ivre, le vent est ivre, la terre et le feu sont ivres
Tu vois dans quel état est la forme, ne demande rien sur l’essence !
L’âme est ivre et la raison de même, ivre est la terre et ivres sont les secrets
Va, abandonne ta toute-puissance, deviens poussière afin de voir
Atome après atome, chaque poussière remplie du Créateur Tout-Puissant, et
ivre !
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Djalâl ad-Dîn Rûmî
L’amour est un Attribut de Dieu qui n’a besoin de rien, aimer quelqu’un en dehors de
Lui est un pauvre succédané.
Car sa beauté est plaquée or : extérieurement, c’est de la lumière,
intérieurement, de la fumée.
Quand la lumière s’en va et que la fumée apparaît, cet amour de substitution
refroidit.
Cette beauté retourne à sa Source ; seul un corps demeure, laid, infâme,
putride.
La lumière de la lune retourne à la lune ; son reflet quitte le mur obscur.
Alors, l’eau et l’argile demeurent sans cet ornement : sans la lune, le mur
devient diabolique.
Lorsque l’or quitte la surface de la fausse pièce de monnaie pour retourner à la
mine,
Le cuivre déshonoré devient comme de la fumée, mais son amant est encore
plus déshonoré !

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Djalâl ad-Dîn Rûmî
Si tu veux être à l’abri de tout mal, ferme tes yeux à tout ce que tu perçois de
prime abord, et regarde au loin.
Vois que toutes les choses non-existantes existent en réalité ! Vois que toutes
les choses existantes sont assurément viles.
Vois au moins que quiconque possède l’intelligence cherche le non-être jour et
nuit.
En mendiant, ils cherchent un bienfait qui n’existe pas ; au bazar, ils cherchent
un profit qui n’existe pas.
Dans les champs, ils cherchent une récolte qui n’existe pas ; dans les bosquets,
ils cherchent un palmier qui n’existe pas.
Dans les écoles, ils cherchent un savoir qui n’existe pas ; dans les monastères,
ils cherchent une abstinence qui n’existe pas.
Ils ont jeté les choses existantes derrière eux, ils sont les chercheurs et les
esclaves de choses qui n’existent pas.
Car la mine et le trésor des actes divins n’est autre que le non-être se
manifestant
.
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Djalâl ad-Dîn Rûmî
Regarde-moi ! Si tu regardes n’importe qui d’autre, tu ignores assurément ce
qu’est l’amour pour Dieu.

Vois la face qui a reçu sa lumière de Dieu. Peut-être te portera-t-elle chance en
un instant.
Puisque l’intellect est ton père et le corps ta mère, vois la beauté du visage de
ton père, montre que tu es son fils.
Sache que, des pieds à la tête, le shaykh n’est autre que les Attributs de Dieu
même si tu le vois sous une forme humaine.
À tes yeux, il est comme l’écume, mais il se décrit lui-même comme étant
l’Océan ; aux yeux des hommes, il est immobile, mais à chaque instant il
voyage.
Tu trouves encore difficile de saisir l’état du maître, même s’il dévoile mille
signes divins. Combien tu es obtus !
Une forme spirituelle, purifiée des éléments, a rendu visite à la Marie du cœur
de la part de la cour de Dieu.
Un messager éphémère a imprégné le cœur d’un souffle dissimulant le mystère
de l’esprit.
Ô cœur devenu enceint de ce Roi ! Lorsque tu déposeras ton fardeau, veille
bien sur lui !
Lorsque Shams de Tabriz donnera forme à ce fardeau, tu deviendras comme le
cœur, et comme le cœur, tu voleras jusqu’à l’Invisible !
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Djalâl ad-Dîn Rûmî
Quel bonheur, mon âne est parti, mon âne est subitement mort ! Dieu soit loué,
les crottes d’âne se sont éloignées du seuil de ma porte !
La mort des ânes est regrettable, mais dans mon cas, c’était une chance. Car
maintenant que mon âne est parti, Jésus est auprès de moi.
Combien je me suis éreinté à chercher du fourrage ! Je suis devenu émacié et
tout courbé à cause de mon âne affamé.
Ce que cet âne m’a fait subir, un renard vicieux n’y arriverait pas. Par Dieu,
une grande partie de moi-même a été perdue à cause des soucis qu’il m’a
occasionnés !
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Djalâl ad-Dîn Rûmî
Quel bonheur, mon âne est parti, mon âne est subitement mort ! Dieu soit loué,
les crottes d’âne se sont éloignées du seuil de ma porte !
La mort des ânes est regrettable, mais dans mon cas, c’était une chance. Car
maintenant que mon âne est parti, Jésus est auprès de moi.
Combien je me suis éreinté à chercher du fourrage ! Je suis devenu émacié et
tout courbé à cause de mon âne affamé.
Ce que cet âne m’a fait subir, un renard vicieux n’y arriverait pas. Par Dieu,
une grande partie de moi-même a été perdue à cause des soucis qu’il m’a
occasionnés !
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Djalâl ad-Dîn Rûmî
Nous et nos existences sommes non-être. Toi seul est l’Etre absolu se
manifestant dans les choses éphémères.
Nous sommes tous des lions, mais sur une bannière : nous ne bougeons qu’à
cause du vent
.
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Djalâl ad-Dîn Rûmî
La terre a une forme extérieure de poussière, mais elle contient les lumineux
attributs de Dieu.
Son extérieur est entré en guerre contre son intérieur ; son intérieur est une
perle et son extérieur une pierre.
Son extérieur dit : « Je suis ceci et rien de plus ! ». Son intérieur dit : « Regarde
bien, devant et derrière ! ».
Son extérieur nie : « L’intérieur n’est rien ». L’intérieur dit : « Attends, on te
montrera ! »
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Est-ce possible ? Où est-il allé, le bien-aimé ?
Est-ce possible ? Où est-il allé, beauté faite à la taille du cyprès ?

Il portait la lumière parmi nous comme une torche. Où est-il allé ?
Est-ce possible ? Sans nous, où est-il allé ?
Mon cœur frémit tout le jour comme la feuille.
Où est-il allé, mon Aimé, seul à la mi-nuit !
Va par les chemins, demande à ceux qui passent :
Où s’en est-il allé, qui passait sur le même chemin, intensifiant les âmes ?
Va dans le jardin, demande au jardinier :
Où est-il allé, ce svelte rameau de roses ?
Va sur la terrasse, demande aux sentinelles :
Où est-il allé, ce sultan sans pareil ?
J’erre comme un fou dans la plaine :
Où est-elle allée, cette gazelle, dans la plaine ?
Mes deux yeux sont par leurs larmes devenus comme l’Oxus :
Où est-elle allée, cette perle, au fond de la mer ?
À la lune, à Vénus, toute la nuit je demande :
Cette beauté au visage de lune, en quel ciel est-elle montée ?
Puisqu’il est à nous, comment peut-il être avec d’autres ?
Comme il n’est pas ici, où est-il donc là-bas ?
Son cœur et son âme sont à Dieu attachés :
S’il n’est plus en ce mélange d’eau et d’argile, où est-il allé ?
Dis moi sans détour où est allé le Soleil de Tabriz,
Lui qui disait que le soleil ne se cache jamais.
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Nos actes et nos paroles sont le voyage extérieur ; mais le voyage intérieur est au-delà des cieux.
Le corps physique voyage sur la piste poussiéreuse par ce qu’il est né de la terre ;
L’esprit marche, comme Jésus, sur la mer.
Le voyageur du corps terrestre a lieu sur la terre, mais le voyage de l’esprit se passe au cœur de la ‘mer’.
Puisque ta vie s’est passé à cheminer sur la terre, tantôt sur la montagne, tantôt sur la mer, tantôt sur la plaine désert,
Où trouveras-tu l’Eau de la Vie ? Où fendras-tu les vagues de l’Océan ?
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