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Citations de Edgar Wallace (241)


– C’est dans mon testament… Je vais lancer les pots de terre contre les pots de fer, les racoleurs de tripots – c’est vous deux, mes gars – contre les pigeons. Deux des plus gros pigeons sont morts, et un autre est mourant. Oui, mais il a une fille ; voyons-la, elle, à l’œuvre !… Quand je serai mort !… (p21)
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« Dans tous les pays d’Europe et particulièrement en Angleterre, se pose le problème de l’enfant indésirable. Peut-être qu’« indésirable » n’est pas le terme exact, mais tels sont les faits. Une veuve reste sans argent avec un ou deux enfants à élever. Il lui est impossible de gagner sa vie si personne ne prend soin des enfants, et cela coûte de l’argent. Il y a d’autres petits enfants dont on redoute la venue, dont la naissance est une calamité et qu’il faut soustraire à la vue, le plus souvent en les plaçant dans un intérieur misérable où la femme, pour quelques dollars par semaine, se charge d’eux et les élève. Il ne se passe pas d’année que l’un ou l’autre de ces éleveurs d’enfants ne soit
traduit en justice pour avoir négligé ou même supprimé ces
pauvres petits marmots sans défense. »
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En premier lieu, nous avons ce document, lettre ou déclaration, dont la publication placerait Hamon dans une situation, disons, gênante. Y a-t-il quelque chose dans ce document qui force absolument Hamon à le conserver ?
— Rien.
— Alors, pourquoi ne le détruit-il pas ?
— Parce que, c’est un singe. Il a glissé sa main dans la gourde et il a saisi le fruit ; il ne peut retirer sa main, sans lâcher le butin. (p171)
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C’est ce qu’il y a de plus triste dans notre métier ! Nous devons mentir. Et des mensonges si inutiles ! Je frémis parfois, quand je songe à toutes les histoires qu’il me faut raconter au cours de la journée. (p169)
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– [ ... ] Est-ce que vos fiançailles sont publiques ?
– Quelle drôle de question ! dit Frank. Elles sont publiques pour un cercle restreint. (p163)
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– Ça n’a pas de raison ! Alors, je tue tout le monde ! Sans moi il n’y aurait pas de journaux ! Même s’il n’y avait pas de Tony Perelli on en inventerait un !
– S’il n’y avait pas de journaux, il n’y aurait pas de police.
– Dans ce cas, ajouta Angelo : à bas la Presse ! (p130)
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Il y a plusieurs genres de beautés : il y a celle qui attire immédiatement, mais qui ne supporte pas un examen détaillé ; il y a celle qui est plus longue à se révéler, mais qui retient mieux ; et enfin, et c’est la plus rare, il y a celle qui confond par sa grâce et qui a, en même temps, un certain air familier qui fait qu’elle apparaît comme celle qu’on désirait le plus vivement trouver. (p8)
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Je ne peux que supposer… et craindre. Peut-être est-il mort, je n’en suis pas sûr. Peut-être vaudrait-il mieux qu’il fût mort. (p108)
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Le jeune homme revint lentement vers les tombes, s’assurant que tous les buissons, sur son chemin, ne cachaient plus personne. Il rouvrit la grille, grâce à la clé qu’il avait gardée, puis, sortant une paire de menottes de sa poche, il en attacha une à chaque battant, de façon à ce qu’elle ne pût être refermée. Cela fait, il descendit les marches et, allumant sa lampe, il se retrouva devant la porte aux sept serrures. De la poche intérieure de son gilet, il tira ses deux clés et les essaya sur les différentes serrures. La première ouvrait la quatrième serrure et la deuxième ouvrait la dernière. Il tira sur la porte, mais sans résultat.
Évidemment les sept clés seules devaient ouvrir simultanément les sept serrures, pour faire bouger cette masse d’acier. Mais la porte une fois ouverte, que trouverait-on ? (p71/72)
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– S’il y a quelqu’un ici, dit-il lentement, qui veut se réveiller à 7 heures du matin pour voir un homme lui lier les mains derrière le dos, et un prêtre prier pour lui ; s’il y a quelqu’un ici qui veut faire une courte promenade après son premier déjeuner, entre deux rangées de gardiens, jusqu’à un petit hangar où une corde flambant neuve tombe du toit, il est libre de faire ce qu’il lui plaît du vieux George, mais pas dans cette maison. (p104)
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– Mon client me charge de vous remercier de votre diligence.
L’entrepreneur se frotta les mains.
– Vous êtes en avance de deux jours sur les délais prévus,
continua M. Spedding.
L’entrepreneur n’avait guère d’idées en dehors de son métier.
Il dit encore :
– Oui, votre client peut s’installer demain.
Le notaire sourit.
– Mon client, monsieur Potham, peut… heu… ne pas commencer
avant dix ans… En fait, pas avant… pas avant sa mort, monsieur Potham. (p7/8)
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- mais par tout les diables,qui est cet archer vert?
- l,archer vert du château de garre fut à une certaine époque le fantôme le plus célèbre de l,Angleterre!
- tiens,tiens!
- le personnage qui fut a l, origine de la légende a été pendu en 1487,par un seigneur de curcy.et durant des siècles il hanta le château.et maintenant il refait
son apparition.
- hum, vous n'avez pas besoin d'un reporter criminologiste! il vous faudrait
plutôt un auteur de contes de fées!


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Personne, en vérité, ne m’a demandé de venir ici, poursuivit-il. Alors, Trigger, et il s’adressait au petit homme gras, comment vont les transactions ? Vous avez de rudement chic bureaux ! J’ai failli y entrer pour demander un programme. Je pensais que vous seriez content d’apprendre que je suis revenu du midi ensoleillé. Eh bien ! Goodie ! Comment cela va-t-il ? Allez-vous à Doncaster ou à un enterrement ? (p6)
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Quel type, ce bandit !… Il n’y a pas à dire : il a des moments où la folie confine singulièrement au génie !… (p135)
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Il allait être deux heures, Philippe revint lentement vers l’office en étreignant fiévreusement la crosse de son revolver dans la poche de son veston. Mais, à mi-chemin, il s’arrêta : la lumière qu’il avait laissée allumée était éteinte, et un courant d’air frais venant de la cuisine l’avertit qu’une porte y était ou-verte… Était-ce la porte de service ? Il sortit son revolver et l’arma. Puis, descendant doucement les marches, il chercha du bout des doigts le bouton électrique. À ce moment, il entendit le bruit d’un corps métallique tombant à terre, il fit un pas en arrière… et reçut sur la tête un coup de canne plombée… Il tomba comme une masse. Quelqu’un dans l’ombre le souleva, le traîna jusqu’à la cuisine et dit :
– Mets-lui une serviette sur la bouche et attache-lui les mains. (p216/217)
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Il y eut une minute de silence. Dick regardait l’homme, doutant de ce qu’il venait d’entendre.
– Ouvrir la tombe d’un mort ? Qu’est-ce que cela signifie ?
Asseyez-vous, Pheeny, et dites-moi ce que vous savez ?
– Je ne peux pas, j’ai trop peur ! gémit Liévin. C’est un homme infernal. J’aimerais mieux avoir affaire au diable en personne, qu’à lui une nouvelle fois.
– Qui est-ce ?
– Non, je ne peux pas le dire, s’obstina le voleur. Plus tard, peut-être. Si je pouvais trouver un endroit où je sois tranquille et à l’abri, je mettrais tout cela sur le papier, pour le cas où il m’arriverait quelque chose.
Dick, qui connaissait Pheeny, depuis des années – l’ayant surveillé en Angleterre et au Canada – était stupéfait de voir un gaillard de cette trempe dans un pareil état de dépression et d’énervement. (p26)
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l’association des Grenouilles se développait et il se mit à réfléchir à la manière d’en tirer avantage. L’argent sortait et cela ne lui plaisait guère. De nouveaux candidats se présentaient chaque jour, et ils lui coûtaient cher. Parmi les recrues, il y avait une ou deux brillantes intelligences : Balder, Hagn et d’autres que nous ne connaîtrons peut-être jamais. (p319)
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les chocs sont comme les coups, cela blesse puis cela disparaît… (p126)
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— Mon cher ami, dit-elle, j’ai bien besoin de votre aide !
— Alors, ce que je peux faire de mieux pour vous, c’est de vous offrir un exemplaire encadré des Dix Commandements.
— Je vous en prie, épargnez-moi ! Je suis au-dessus des Commandements… ils ne sont faits que pour être violés. Non, non, j’ai besoin de quelque chose de plus substantiel. (p16)
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Si vous pouvez concevoir que tous les événements extraordinaires
rapportés aux chapitres précédents se produisirent sans éveiller l’attention de la presse de Londres ; que des journalistes remarquables accomplirent leur besogne quotidienne sans se douter de rien ; que de nouveaux rédacteurs pleins de zèle dépouillèrent avec soin les colonnes des journaux de province pour y découvrir des thèmes originaux, avec le mystère du coffre à leur porte, tandis qu’à Londres ils perdaient leur temps à de malheureux petits accidents d’autobus et de réchauds à gaz, vous apprécierez d’autant mieux l’explosion journalistique qui suivit la double enquête sur Spedding et sur sa victime. (p200)
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