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Critiques de Elizabeth Haran (152)
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Au pays des eucalyptus

Voici une belle fiction historique qui a su me faire voyager.

Nous sommes en 1910. Nola Grayson ,une jeune institutrice féministe quitte Londres pour tenter sa chance en Australie où un poste d'enseignant l'attend. Quel choc pour les habitants du domaine de la voir arriver, eux qui s'attendaient à accueillir un homme.

Dans une ambiance australienne où la chaleur et la sécheresse est omniprésente, j'ai beaucoup apprécié suivre les aventures de Nola. Une femme déterminée à réussir et à se faire une place dans ce lieu où les personnes de sexe féminin ne semble pas être les bienvenues.



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Au pays des eucalyptus

Je remercie chaleureusement Mylène des éditions L'Archipel pour l'envoi, via net galley, du roman : Au pays des eucalyptus d'Elizabeth Haran.

A défaut de pouvoir aller découvrir l'Australie, c'est avec plaisir que je me suis plongée dans ce roman.

Nola Grayson est une jeune préceptrice en avance sur son temps qui prône notamment l'émancipation de la femme.

Mais, en 1910, la bonne société londonienne ne veut pas d’une enseignante aux méthodes pédagogiques jugées subversives.

Aussi, quand Nola se voit proposer un poste à des milliers de kilomètres de chez elle, en Australie, décide-t-elle de tenter l’aventure. Pleine d’optimisme.

Mais, une fois arrivée à destination, elle déchante. Les habitants de cette partie reculée du bush attendaient un instituteur.

Quelle n’est donc pas leur surprise de voir débarquer une femme…

Nola parviendra-t-elle à s’imposer dans cette terre dure et inhospitalière ? Et à trouver le bonheur ?

Au pays des eucalyptus est un très bon roman, qui m'a captivé de la première à la dernière page en partie grâce à Nora, une jeune femme haute en couleur. Quel tempérament ! Elle est excellente cette femme qui en 1910 a des idées dignes des filles d'aujourd'hui. J'ai adoré sa personnalité, son moral à toute épreuve. Quand elle accepte de venir en Australie, elle ignore tout des conditions de vie dans ce pays, sauvage et en proie à de forts épisodes de sécheresse. Elle arrive avec une malle bien remplie, tout un tas de livres.. Et elle se heurte immédiatement à l'animosité de son employeur car.. elle est une femme ! Ils attendaient un instituteur homme, la déception est immense et Nola va essayer de faire ses preuves.

J'ai adoré le personnage de Nola mais aussi ceux qui vont graviter autour d'elle. Je n'ai pas envie de trop en dire, je trouve que comme souvent c'est un roman qui se découvre, mais qui ne se raconte pas en grandes phrases. Je n'ai pas envie de spoiler.

Les enfants sont vraiment sympathiques, surtout le plus jeune. Et Nola aurait tant à leur apprendre si on la laissait faire..

Au pays des eucalyptus est un roman qui m'a littéralement charmé de la première à la dernière page. J'ai adoré l'histoire, les personnages. La vie dans le bush australien n'est pas évidente, ce n'est pas un endroit pour une femme mais Nola va essayer de prouver à tous qu'elle y a sa place.

Je ne vous dirais pas si elle a réussi à rester là-bas, je vous invite à le lire à votre tour pour le découvrir ;)

Vous l'aurez compris, j'ai apprécié ma lecture et c'est avec plaisir que je lui donne cinq étoiles.
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Au pays des eucalyptus

Nola Grayson est une femme trop moderne pour l'Angleterre du début du XXème siècle. Ses méthodes d'enseignement ne sont pas vraiment appréciées. Elle accepte donc un poste en Australie, dans une zone où la vie est difficile. Elle va devoir apprendre à y vivre, en donnant beaucoup de soi, elle va apprendre autant qu'enseigner, dans ce monde d'hommes.

Alors, d'un point de vue objectif, c'est totalement cliché et sans surprise : une femme très indépendante se retrouve en milieu hostile à s'occuper des enfants d'un homme veuf. Mais c'est très agréable à lire. On voyage dans le bush australien, on s'attache aux personnages, on aime les suivre, les découvrir, comprendre leur passé. On a même une petite enquête en supplément, en attendant la pluie.

C'est une belle saga qui se lit facilement, simplement. Le style est léger et abordable. Ce fut une bonne lecture.

Merci aux éditions d l'Archipel et à NetGalley pour ce bon moment de lecture.
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Le pays du soleil rouge

Un peu de romance dans ce monde reptilien!

*

Merci aux Editions de l'Archipel pour l'envoi de leur nouvelle saga.

Une femme auteure. Cela tombe bien puisque cela rentre dans le défi #marsaufeminin

La couverture à dominante rouge et au paysage de bayou attire le regard.

*

L'histoire se passe majoritairement en Australie. Je me souviens encore de ma découverte de ce continent mystérieux grâce à l'envoutante saga "Les oiseaux se cachent pour mourir" et puis plus récemment une série TV australienne "Doctor Doctor" qui propose des paysages à couper le souffle.

*

L'Australie donc. Ici dans la région du Nord (Darwin) et un de ses villages reculés.

Une jeune femme anglaise, institutrice , commet un impair et se retrouve obligée de s'exiler en Australie durant 2 ans et tenir une classe d'élèves.

La traversée en bateau, l'arrivée à Darwin, puis la découverte du fameux village. Des personnages secondaires pittoresques (certes un peu caricaturaux) mais bien sympathiques.

Et cette nature intrépide, indomptable, mystérieuse, très sauvage et TRES colonisée par d'affreux crocodiles.

Brrr, j'en ai eu froid dans le dos. J'en ai même un peu cauchemardé. Il y a une scène terrible qui ne déparerait pas dans un film d'horreur!

Il lui arrive bien des déboires à cette pauvre institutrice. Mais l'amour pointe le bout de son nez en la personne du chasseur de crocodiles.

Il y a bien un happy end.

*

Au début quoiqu'un peu sceptique par le thème du roman (une romance que j'ai peu l'habitude de lire), je me suis laissée happer par cette intrigue, cette histoire si pleine de bons sentiments.

Le personnage principal , Lara, ne m'a pas intéressé plus que ça, mais les autres personnages sont si vivants, si authentiques.

Cela se passe pendant la seconde guerre mondiale avec les conflits, les raids aériens....mais bizarrement , l'auteur n'en fait pas mention en Angleterre.

*

Il y a bien certaines situations qui sont surprenantes ;on pressent ce qui va arriver à certaines personnes. Mais la description de la nature - parfois hostile - est pour moi ce qu'il y a de plus réussi dans cette saga. Des paysages, des animaux et la météo, tout y est pour s'évader un petit moment, loin de la grisaille de l'hiver.
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L'héritière de Tambora

Voici mon retour de lecture sur L'héritière de Tambora d'Elizabeth Haran.

Au début du XXe siècle, Tara quitte l'Irlande quand son mari est condamné à la pendaison.

Elle décide alors de rejoindre sa tante qui possède une ferme en Australie. Après une traversée périlleuse, Tara découvre un domaine de Tambora en déshérence ; mais la jeune femme est prête à tout pour relever le défi et le sauver de la faillite.

Aidée par Ethan, un homme aussi mystérieux que solitaire venu de l'outback, elle va tout faire pour lui redonner son lustre d'antan.. et qui sait trouver par la même occasion le bonheur !

L'héritière de Tambora nous emmène tout d'abord en Irlande, en 1920, avant de nous faire voyager sur les terres arides australiennes.

J'adore lire des romans se déroulant en Australie, où je rêverais d'aller un jour mais c'est un peu trop loin pour moi.

Il est très plaisant de se retrouver dans ce pays il y a cent ans au domaine de Tambora.

Tara est une femme forte, qui ne se laisse pas abattre malgré l'arrestation de son mari. Elle quitte tout pour retrouver sa tante en Australie. La traversée va être compliquée, et c'est peu dire ! Mais là encore Tara va se battre pour rejoindre le domaine. Une fois arrivée, elle découvre tout autre chose que ce à quoi elle s'attendait. Heureusement, elle a du courage à revendre :)

J'ai beaucoup aimé le personnage de Tara, elle est touchante, attachante, et ne laisse pas faire.

D'autres personnages tout aussi intéressant qu'elle sont présents dans ce roman, mais je n'ai pas envie de trop en dévoiler :)

L'histoire est bien ficelée, il y a des rebondissements et à aucun moment je ne me suis ennuyée.

J'ai beaucoup aimé le voyage en Australie, tout en restant dans mon canapé :)

L'héritière de Tambora est un bon roman que je vous recommande avec plaisir et note 4.5 étoiles.

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Au pays des eucalyptus

Merci à Netgalley et aux Editions Archipel pour la mise à disposition de ce livre.

Un livre nous parlant de Nola qui quitte l'Angleterre pour l'Australie, car celle-ci trop en avance sur son époque à casser les codes de la bonne société anglaise. Préceptrice d'enfants de familles aisées elle n'a pas hésiter à donner aux jeune filles une éducation moderne. Mais en 1910 la société londonienne n'est prête à accepter ce changement.

A son arrivée en Australie Nola découvre un pays où il ne pleut jamais et un employeur qui ne veut pas d'elle car pour lui un instituteur est un homme. Nola propose de se mettre à l'essai jusqu'à ce qu'il y est un bateau en partance de l'Angleterre. Nola comprend que même à des milliers de kilomètres de Londres les esprits sont tout aussi étriqués. Mais grâce à son honnêteté, son courage elle va démontrer à tous qu'une femme peut être l'égale de l'homme.

Un roman riche en dépaysement avec une héroïne attachante.

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Étoiles dans le ciel du sud

Après avoir découvert que son mari la trompait, Estella décide de fuir Londres sans lui avouer qu'elle est enceinte. Sur la proposition de sa tante Florence, elle accepte de partir en Australie, reprendre le cabinet de Ross, le frère de cette dernière, décédé accidentellement il y a peu. Mais en 1954, Kangaroo Crossing, situé en plein bush n'a pas obtenu la palme du meilleur accueil et certains ont du mal à accepter qu'une jeune citadine inexpérimentée puisse faire l'affaire et remplacer efficacement son prédécesseur en qui ils avaient toute confiance. Bien décidée à faire ses preuves, Estella ne leur dévoile ni son état, ni les raisons qui l'ont poussée à s'expatrier et encore moins que l'ancien vétérinaire n'est autre que son père biologique.



Sous la plume de Colleen Mc Cullough, ce genre de roman a fait mon bonheur, il y a quelques années. J'aime encore de temps en temps m'évader avec l'un deux et Elizabeth Haran, que je découvre avec ce titre, n'a rien à envier à la célèbre auteure australienne. L'écriture est agréable et efficace. Elle a su me transporter dans cet aride bush australien où, sans entraide, les quelques habitants aussi téméraires fussent-ils, ne survivraient pas. L'auteure a très bien su décrire l'ampleur de la tâche qui attend Estella : s'adapter à un environnement hostile climatiquement parlant, et parvenir à s'intégrer dans cette société rurale qui n'a rien de comparable avec la vie londonienne. J'ai beaucoup aimé sa découverte de la population aborigène, sa désapprobation devant leurs rites ancestraux va peu à peu se muer en acceptation, puis en intérêt. Elizabeth Haran a bâti une grande part de son intrigue sur le fait que dans cette petite communauté, beaucoup de personnages ont un pan de leur existence à cacher, ce qui apporte un peu de suspense bien utile dans ce genre de littérature.

Je ne vous cacherai pas que ce que j'y apprécie avant tout c'est le voyage, la découverte de contrées et de modes de vie inconnus. J'en déplore malheureusement souvent l'aspect trop sentimental qui va souvent de pair. Alors évidemment, la fin du livre, un peu trop "fleur bleue" à mon goût, va faire baisser la note. J'accorde tout de même un 14/20 à cette lecture. J'ai déploré aussi le fait que ce ne soit pas réellement une saga familiale qui s'étende sur plusieurs générations. (Une petite question me vient à l'esprit : pourquoi cette catégorie du "roman d'évasion" bénéficie-t-elle généralement de titres aussi mièvres qui la desservent ?)



Merci aux Éditions Archipel et principalement à Mylène pour ce voyage dans le bush australien tous frais payés.

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L'héritière de Tambora

Irlande, années 1920. Tara a dix-huit ans lorsqu'elle quitte brusquement la maison familiale. Le soir de son anniversaire, alors que ses parents lui organise une grande fête avec amis et toute la famille, elle est violemment agressée par l'un des invités dans le parc de la demeure. Ses parents ne croient pas sa version des faits et mais à celle de son agresseur. C'est une trahison, une déception. Elle ne peut plus vivre là.



Alors, elle s'enfuit et trouve refuge auprès de la communauté gitane installée non loin de chez elle. Elle tombe amoureuse d'un homme. Ils se marient et elle ne revoit plus ses parents. Elle est heureuse.



Mais, la réalité rattrape malheureusement son époux. Il lui demande alors de partir et de refaire sa vie, ailleurs, loin et de ne plus penser à lui car ils n'ont plus d'avenir ensemble.



Tara prend alors un bateau pour l'Australie afin d'y rejoindre sa tante Victoria, une femme qui a toujours eu beaucoup d'affection pour elle.



Mais, au cours de la traversée, alors que le navire n'est plus très loin des côtes australiennes, il fait naufrage. Il y a beaucoup de noyés. Tara est sauvée et se retrouve responsable de deux jeunes enfants désormais orphelins. Après un long périple, ils arrivent tous les trois chez Victoria dans le domaine de Tambora, au cœur de l'outback australien.



Une nouvelle vie s'offre à elle et aux enfants.



Comme Sarah Lark et Anne Jacobs, Elizabeth Haran est une autrice de grandes sagas familiales situant ses histoires entre la Grande-Bretagne et l'Océanie.



Dans "L'héritière de Tambora", nous rencontrons Tara, une femme courageuse, généreuse, travailleuse et prête à tout pour aider et sauver ceux qu'elle aime. Jack et Hannah, les deux orphelins irlandais, sauvés de leurs destins voient en elle une nouvelle mère. Ils sont heureux dans le domaine de Victoria et retrouvent leur joie de vivre au milieu de la nature. Et Victoria est une femme aimante, ouverte, accueillante, ne manquant ni d'humour, ni de force.



Nous faisons également la connaissance de Ethan, Lottie, Neridda, Sanjan et tous les autres peuplant les environs de Tambora, dans cette histoire riche et pleine d'aventures.



Tambora est un personnage à elle seule avec ses terres, ses habitants, ses mines, ses animaux sauvages et ses ressources naturelles. S'y trouve également la présence des aborigènes qui aiment vivre dans la nature tout en travaillant dans la demeure de Victoria qui les respecte.



Dans ce roman, le lecteur se trouve au cœur de l'outback australien, un vaste espace isolé de tout où la nature est à perte de vue. La région est aride. Des dangers guettent. On y trouve beaucoup de richesse et c'est aussi une terre occupée par des tribus anciennes, sur laquelle se trouvent des lieux sacrés.



Cette lecture est une nouvelle saga fabuleuse alliant l'évasion à l'autre bout du monde, et le destin de personnages féminins épris de liberté.


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Au pays des eucalyptus

Cette saga est une merveilleuse pépite à lire dans cet hiver froid et morose que nous vivons. Elle nous emmène en Australie sous une chaleur accablante et sur ses terres arides et reculées.



J’ai tout de suite été captivée par cette histoire, ses personnages et son atmosphère. Nous y découvrons de beaux personnages, surtout celui de Nola avec sa forte personnalité intrépide, audacieuse et surtout courageuse.



J’ai bien aimé le mélange des cultures, les échanges de savoirs et de croyances ainsi que la manière dont tout ce petit monde communique pour se faire comprendre.



N’ayez pas peur des 500 pages, les mots glissent tout seuls et s’enchainent les uns après les autres sans temps mort, ni longueur, une très magnifique plume qui sert admirablement cette histoire.



*****



Londres 1910, Nola Grayson donne bien du fil à retordre à Tilden Shelby un employé d’agence de placement, il ne sait plus quoi faire d’elle. Madame Grayson est une institutrice avec des idées féministes bien trop avant-gardistes pour les gens qui l’emploient. Pour elle, les femmes doivent apprendre à s’affirmer dès leur plus jeune âge et être armées pour affronter les difficultés de la vie.



C’est alors que Tilden reçoit une demande en provenance d’Australie pour un poste d’enseignant. C’est une place sur un élevage de bétail qui appartient à un certain Langford Reinhart.

Galen Hartford le régisseur de ce domaine écrit qu’il recherche un instituteur pour ses enfants âgés de 13, 10 et 4 ans. Il précise que l’endroit est isolé, la vie ne sera pas de tout repos, entre la chaleur, les longues périodes de sécheresse, les inondations etc.

La lettre ne laisse aucun doute sur le fait que le profil recherché est celui d’un homme intransigeant, pétri de principes et d’idéaux.

Voyant là un bon moyen de se débarrasser de Nola pour un bout de temps, Tilden n’hésite pas à passer outre les désidératas du demandeur et propose le poste à Nola. Elle est enthousiaste et voit là une belle opportunité de changer d’air.



A son arrivée sur le domaine, Nola va se présenter au Maître des lieux. C’est un homme d’un certain âge, seul et aigri, il ne supporte plus grand-chose et il passe ses journées à ruminer ses rancœurs. Il est furieux de constater que c’est une femme qui leur a été envoyée, cet homme qui a pour habitude d’imposer sa volonté n’a pas pour habitude qu’on le contredise. Nola devra partir par le prochain bateau dans quelques semaines. S’en suit sa première rencontre avec le père des trois enfants – Galen Hartford – il n’est pas plus cordiale avec et lui aussi souhaite son départ à très court terme.



Les hommes du domaine Reinhart ont acquis une certitude, celle que les femmes n’ont rien à faire dans le bush, la vie y est trop rude et trop solitaire, elles ne le supportent pas.

Mais Nola ne l’entend pas ainsi, le mépris et le rejet dont elle est injustement victime attise un sentiment de défit. Déterminée et obstinée de nature, elle est bien décidée à prouver à cette bande de machos misogynes qu’une femme peut survivre dans ces conditions difficiles, se complaire de cette vie solitaire et même apporter son aide pour faire fructifier le domaine.



#Aupaysdeseucalyptus

#NetGalleyFrance

#Challenge Multi-défis 2021

#Challenge Pavés 2021

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Le pays du soleil rouge

Lara est enseignante en Angleterre. Alors qu’elle invective le père d’un de ses élèves, qui est aussi l’employeur de son père, un accident se produit. Lara est accusée d’avoir blessé cet homme influent. Comme peine, pour lui éviter la prison, le juge lui propose d’enseigner deux ans en Australie, à Sahdy Camp.



A son arrivée, Lara subit un choc immense : le village est isolé et infesté de crocodiles. Par contre, les habitants sont très accueillants. Ils veulent lui donner envie de rester, ils ont peur que, comme les institutrices précédentes, Lara reparte aussitôt arrivée.



Pendant les premières pages, j’ai pensé que je n’allais pas aimer Lara, elle me semblait superficielle. Or, cette impression était fausse, elle a montré très vite qu’elle était sensible, qu’elle avait du cœur et qu’elle ne supportait pas l’injustice. Elle a montré qu’elle avait du caractère et qu’elle était une enseignante passionnée. Elle m’a beaucoup plu.



L’adaptation au climat et environnement Australien n’a pas été facile pour Lara. Heureusement, les autochtones l’ont beaucoup aidée, chacun avec sa personnalité. Les hommes sont bourrus et certains dialogues m’ont amusée. J’ai beaucoup aimé la description de la vie dans ce petit village reculé et la solidarité féminine qui prédomine.



L’histoire se passe lors de l’entrée en guerre du Japon. L’auteure décrit les bombardements pendant la guerre du Pacifique. J’ai été très intéressée par ces faits historiques. Par contre, j’ai été surprise que l’auteure ne parle pas de la guerre, lorsque les scènes se passent en Angleterre, en 1943. J’ai trouvé cela étrange, cela donnait l’impression que les Anglais vivaient normalement.





Le pays du soleil rouge est une belle saga...





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Le pays du soleil rouge

Bonjour tout le monde, vous le savez maintenant car vous me suivez depuis quelques temps, mes lectures sont très variées. Je lis de tous les genres, j’aime beaucoup entre autres, les romances historiques.

Je vous fais donc découvrir aujourd’hui, Le pays du soleil rouge, Elisabeth Haran est une découverte pour moi, j’ai été séduite par cette histoire, certes simple mais qui contient tous les ingrédients nécessaires à une belle romance: l’Australie, ses hommes courageux et baroudeurs, ses paysages, le peuple Indigène, qui rajoute encore à l’exotisme.

Lara est une jeune femme avec du caractère mais qui s’avère pourtant aussi, très souvent être atteinte par une sensiblerie qui m’a par moments agacé, mais avec le recul de cette lecture, je pense que je ne ferais pas la fière devant les bestioles dont est peuplée l’Australie.
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Au pays des eucalyptus

Elizabeth Haran, l'auteure Australienne nous dresse un beau portrait de femme quittant son Angleterre natale pour le bush australien.

Années 1910, loin et même très loin de l'émancipation de la femme en ces contrées où l'on ne peut que survivre à ses besoins qu'avec une poigne masculine et une envie de vivre de son agriculture si rude à cause du climat aride.

Nola Grayson arrive donc en Australie avec une personnalité bien forgée, des idées avant gardistes de vie sociale bien campée, un métier de preceptrice à faire valoir pour bien se faire accepter de ce monde rural masculin.

C'est tout en finesse que notre auteure nous plante une belle intrigue, la découverte des paysages de l'outback, la rude vie à la ferme et des personnages que nous découvrons au fil des pages, les écorchés de la vie vont vite s'ouvrir face à cette entreprenante et vaillante jeune femme que Nola.

De très bons moments et au final un très bon roman à savourer.
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L'héritière de Tambora

Aridité et poussière... L'Australie est un pays difficile à apprivoiser quand Tara s'y engouffre après avoir subi un naufrage, qui - en plus du fiasco de sa vie personnelle - l'oblige à prendre en charge deux orphelins. Tout ça, parce qu'elle a le sens de l'engagement : si elle les recueille, c'est en mémoire des parents défunts avec qui elle s'est liée d'amitié lors de son voyage depuis l'Irlande. L'Irlande est son pays natal, où elle a dû, à contrecœur, laisser un mari qui l'enjoint de reprendre sa liberté pour fuir les gitans qui la rejettent après l'avoir acceptée en leur seing. Riordan, un marchand d'art qui s'est épris d'elle, et qui vénère un mystérieux tableau dont elle est le sujet flamboyant, permet d'établir le dernier lien entre ses origines et le pays choisi par sa tante chérie qu'elle veut rejoindre...

Amours déçues et chaotiques, rumeurs, malversations et autres maltraitances donnent le rythme à ce roman riche en rebondissements. Tara est émouvante dans son apprentissage de la maternité et son courage à se battre, pour elle et les siens, dans un environnement particulièrement hostile. Heureusement, des personnages de l'ombre comme les Aborigènes ou une prostituée du bourg voisin, mais aussi Ethan, l'aventurier bourru au grand coeur, viennent au secours de notre héroïne.

J'ai eu parfois du mal à suivre Tara dans ses décisions et ses motivations, et je n'ai pas encore tout à fait saisi comment s'organise la vie dans le bush australien, mais j'ai appris sur le passé de ce grand pays et j'ai aimé ces femmes et ces hommes qui font face avec courage aux éléments et aux évènements.
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L'héritière de Tambora

Je viens de plonger dans "L'héritière de Tambora" d'Elizabeth Haran, et ça m'a rappelé son précédent chef-d'œuvre, "Au pays des eucalyptus". Malheureusement, je dois avouer que ce dernier m'a plus séduite. Le personnage principal, Tara, me semble moins captivant, trop souvent victime, et l'écriture a perdu de sa fluidité. Est-ce la faute de la traduction?



Nora de "Au pays des eucalyptus" est plus vivante, contrairement à Tara qui manque de passion. Les scènes potentiellement vibrantes semblent maladroites. Le roman aurait pu briller davantage grâce à son contexte historique et culturel riche, mais les relations humaines sont décevantes et cassent le rythme.



Malgré tout, l'histoire mêlant magie, voyage, et la culture gitane ajoute une touche ensorcelante. La fantasy apporte de l'originalité et l'occasion d'aborder la tolérance et l'ouverture d'esprit. Tara choisit un nouveau départ en Australie, et son voyage épique est rempli d'imprévus, notamment en devenant la mère de deux orphelins. Le lien qui se crée entre eux est touchant.



En somme, "L'héritière de Tambora" n'égale peut-être pas le précédent, mais il offre tout de même une lecture plaisante, teintée de magie et de désir de créer une famille choisie. Elizabeth Haran nous guide avec empathie à travers les préjugés, et c'est un doux cocon de tolérance et d'espoir.

Ma chronique détaillée :


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Le pays du soleil rouge

très belle histoire à rebondissements ; une vie entre la Gde Bretagne et l'Australie. Se lit d'une traite !!
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Le pays du soleil rouge

Une Saga typiquement australienne où l'héroïne Lara a fui son pays vers l'Australie pour échapper à la prison.

En 1941 elle débarque, sur fond de guerre à Darwin, où , elle se fait mal mener par la vie dans les espaces déserts, sauvages et brûlants du Northern Territory.

Une ambiance à la « crocodile Dundee », Lara, en effet, tombe éperdument amoureuse d'un chasseur de crocodiles qui survit à l'attaque d'un monstre et on se demande comment, à part pour le besoin du roman qui est vraiment "too much" et non réaliste et plein de bons sentiments !

La nature et les grands espaces sont à peine décrits et les problèmes des aborigènes tout juste abordés.

Mais je l'ai fini ! J'avoue que je lis un peu tout ce qui traîne sur l'Australie. Pour les sagas, les descriptions des paysages et de la rudesse de la vie en Australie Tamara McKinley et Colleen McCullough sont excellentes.

Bien... je suis un peu sévère que son auteure veuille m’en excuser.



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L'héritière de Tambora

Tara, était une fille de bonne famille, jusqu'à ses 18 ans. Une agression dont elle est victime, le déni de ses parents qui ne voient que le scandale, la font prendre la fuite en compagnie d'une famille gitane. Apres 11 ans parmis eux, sa vie bascule de nouveau. Rejetée de nouveau, elle décide de quitter son Irlande natale pour l'Australie où une tante tient un domaine dans l'arrière-pays désertique.



L'histoire se déroule dans les années 1920, entre l'Irlande et l'Australie, alors que frappe une dire récession économique.

C'est unroman familial qui dépeint une héroïne courageuse, volontaire et empathique. Elle a l'esprit ouvert et généreux. A travers son destin on ressent l'esprit étriqué des gens envers les communautés marginales ou différentes de leur façonde penser et de vivre (les gitans, les prostituées, les autochtones). Le message véhiculé est plein d'amour et de compassion envers les autres. Les femmes de ce récit sont fortes et pleine de compassion.

Le récit reste très dynamique. Il arrive beaucoup de catastrophes à Tara et sauver le domaine de sa tante n'est pas une mince affaire. Mais elle relève les manches avec courage et trouve sur son chemin des gens biens qui vont la soutenir.

Une belle épopée, dans l'esprit des sagas familiale, que j'ai dévorée.
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Au pays des eucalyptus

Le cas de Nola Grayson désespère Tielden Shelby, son agent de placement. En raison de ses idées avant-gardistes, elle se fait renvoyer de tous les postes qu’il lui confie et, à cause d’elle, sa réputation en pâtit. En 1910, la bourgeoisie de Londres ne peut accepter les idées de la préceptrice : quel scandale ! Enseigner aux petites filles qu’elles peuvent faire les mêmes activités que les garçons et prôner l’émancipation de la femme ! La société n’est pas prête.





Tielden propose alors une mission à Nola : un poste, dans l’outback australien où personne ne connaît la jeune femme ; elle accepte de relever le défi. Il tente de la prévenir des conditions difficiles, mais elle n’a pas peur. Hélas, après une longue traversée en bateau, puis un trajet en diligence, très chaotique, elle ne reçoit pas l’accueil escompté : c’est un homme qui était attendu. Nola saura-t-elle convaincre son employeur qu’elle est capable de survivre au climat australien, avant le prochain départ de navire vers l’Europe ?





Nola cherche à s’imposer avec sa personnalité tourbillonnante. Elle est déterminée à montrer sa force de caractère et sa résistance aux épreuves. Par moments, son caractère fougueux conduit à des situations qu’elle ne désirait pas et elle obtient l’effet inverse. Mais elle sait reconnaître quand elle va trop loin : elle en devient touchante d’humilité. J’ai adoré cette femme, car toutes ses actions sont motivées par le désir de bien faire. Malgré l’accueil glacial qu’elle reçoit, à son arrivée, elle veut aider ceux qui la rejettent, même malgré eux. Elle entend les difficultés qu’ils vivent, en raison de la sécheresse, de la pluie qui ne tombe pas, du bétail qui meurt par manque d’eau et elle en souffre. Avant son départ, elle s’est documentée et elle propose des innovations. Évidemment, elle n’est pas écoutée : elle est une femme et, en plus, une citadine. Certaines de ses initiatives sont couronnées de succès, d’autres mènent à la catastrophe, lui montrant que les habitants possèdent ce qu’elle n’a pas : l’expérience.





Nola est, également, confrontée à des mystères. Que sont devenues les femmes qui vivaient, avant, dans le domaine Reinhart ? Pour quelle raison, Langford Reinhart est-il acariâtre, méchant et aigri ? Que cache Galen, son régisseur ? Les personnages masculins sont captivants. J’ai énormément aimé la manière dont la jeune institutrice s’est comportée avec eux. Elle m’a fait rire, elle m’a fait peur et elle m’a émue. Elle ne se laisse pas faire, parfois au mépris du danger. Elle est, également, à l’origine de transformations qu’elle était la seule à pouvoir réaliser, en raison de son caractère impétueux. Grâce à elle, des moments émouvants se produisent. Mais, tel un boomerang, le passé se rappelle à elle. Quel choix fait-elle ?





Enfin, j’ai adoré la description du contexte dans lequel évolue Nola. Elle arrive en terre étrangère et est confrontée à ce qu’elle ne connaît pas...





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Au pays des eucalyptus

Je vais bientôt être incollable sur l'Australie des 19e / début 20e siècles, grâce à L'Archipel !!

Lectures très plaisantes, voyages, exils et découvertes, et des personnages de femmes fortes qui s'adaptent au déracinement.



Nola est institutrice mais l'agence désespère de lui trouver une place stable, car son indépendance, son franc-parler et ses idées d'avant-garde ne sont pas vraiment appréciées. Peut-être qu'en l'envoyant en Australie, on serait tranquille pour un bout de temps ? Sur un malentendu, ça pourrait fonctionner.

Car on attendait UN instituteur.

Ce n'est pas juste de la surprise, elle arrive dans une ferme très isolée où, pour des raisons familiales et personnelles, il est totalement exclu de supporter une femme.

Mais Nola n'est pas du genre à se laisser faire.

Parce qu'elle ne se voit pas refaire si tôt le trajet de retour ;

parce que rien ni personne ne l'attend en Angleterre ;

parce qu'elle se refuse à admettre qu'elle ne peut pas obtenir ce poste juste parce qu'elle est une femme.

Et aussi (surtout) parce qu'elle a senti très rapidement que les enfants pour lesquels ont l'a embauchée ont réellement besoin d'elle.

Elle va donc essayer de tenir malgré l'accueil !

Ça ne va pas être monotone !



Je dois dire que j'ai dévoré ce roman avec plaisir, mais que ce ne sera cependant pas un aussi gros coup de coeur que les précédents du même style (Ceux d'Anne Jacobs, ou de Sarah Lark)

La faute à Nola !!

Qu'elle soit ferme et décidée, obstinée et courageuse va certes l'aider dans sa nouvelle vie.

Mais elle agit de façon si inconsidérée, sous prétexte de prouver qu'elle est capable de vivre là, que ça en est agaçant.

Est-ce que, quand on arrive dans un endroit totalement étranger, dont on ignore tout, on se met à préparer le repas, sans savoir (et sans demander) si ce qu'on utilise est prévu pour les semaines à venir, alors qu'on est loin de tout, que tout manque, eau, bois nourriture. Est-ce que même si on est bonne cavalière, on selle et monte un cheval au hasard, sans se renseigner ni même demander l'autorisation. Est-ce qu'on raconte le peu qu'on a lu dans les livres et surtout peut-on conseiller le premier jour dans cet endroit des gens qui y vivent depuis des lustres ?

Agaçant, mais invraisemblable aussi.

Qui pourrait croire qu'à peine arrivée dans un pays dont elle n'avait jamais entendu parler avant, elle réussit ce que les habitants n'ont jamais pu faire, malgré leur énergie du désespoir. Qu'il suffit d'enlever ses bouteilles d'alcool à quelqu'un qui boit depuis des décennies pour qu'il soit efficace et retrouve toutes ses capacités dès le lendemain ?

J'ai été étonnée aussi que personne ne s'offusque qu'elle rebaptise les Aborigènes. J'ai lu ailleurs combien il était choquant que les jeunes Irlandaises perdent leurs prénoms si elles veulent être aidées par les dames riches. Est-ce moins gênant pour des Aborigènes ? (Dont en plus le prénom a en général une signification)



Malgré ces quelques points, je me suis régalée à cette lecture, et plus j'avançais plus j'avais du mal à la lâcher.

Contrairement aux autres romans australiens que j'ai lu, celui-ci se passe dans l'extrême nord du pays, et l'on découvre donc la chaleur et la sécheresse d'une région aux conditions de vie vraiment difficiles.

J'ai trouvé très intéressant aussi que les Aborigènes fassent tout à fait partie de l'histoire, qu'on les découvre mieux, y compris dans leurs aspects les moins agréables.



Au final donc, un roman à découvrir, et j'espère avoir l'occasion d'en lire d'autre de cette autrice.
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L'héritière de Tambora

Irlande, début des années 1920. Il y a sept ans, Tara a été forcée de fuir sa famille. Issue d’un milieu aisé, elle a alors été accueillie par une communauté gitane. Mariée à l’un des hommes du clan, elle doit partir quand celui-ci est condamné à la pendaison. Elle décide alors de rejoindre sa tante, Victoria, installée en Australie. Elle a appris que cette dernière la recherchait pour l’aider à diriger Tambora, sa propriété.



Hélas, le bateau qui l’emmène à l’autre bout du monde fait naufrage. De nombreuses personnes meurent. Parmi elles, Maureen et Michael O’Sullivan avec qui elle a sympathisé pendant la traversée. Tara leur a promis de veiller sur leurs deux enfants : Jack et Hannah. Pour honorer son engagement, elle se fait passer pour la mère des petits et ment sur son identité.



A son arrivée dans l’outback, Tara est saisie d’effroi. Elle est persuadée qu’elle ne s’acclimatera pas à la chaleur, à la sécheresse, aux mouches, etc. Quand elle rejoint enfin Tambora, d’autres désagréments l’attendent : la propriété est menacée de faillite et sa parente n’est pas informée de sa situation financière catastrophique. La jeune femme est déterminée à sauver le domaine. Malheureusement, une personne œuvre pour le détruire.



J’ai aimé cette héroïne, au caractère affirmé et au cœur immense. Elle se bat pour les causes qui lui semblent justes. Elle est courageuse, tenace et dévouée. Sa générosité et son altruisme égalent son tempérament trempé et ses emportements parfois démesurés. J’ai été sensible aux nuances de son portrait, à son caractère entier et spontané, voire impulsif. Elle se trompe, répare ses erreurs, n’écoute pas toujours son instinct. Elle est tumultueuse dans ses colères et douce dans ses sentiments.



J’ai été emportée par les péripéties qui émaillent le récit. En effet, le destin de Tara est jonché d’épreuves. Certaines sont provoquées par les éléments, tels le naufrage, la pluie de sauterelles, etc. D’autres sont générées par les humains. Elle découvre des secrets et des escroqueries ; sa perspicacité la met en danger. De plus, elle affronte des problèmes relationnels avec les enfants qu’elle a recueillis. Très attachée à eux, elle en souffre. Enfin, son passé la rattrape… De nombreuses intrigues s’entremêlent. Les rebondissements rendent le récit vivant, dynamique et addictif. La multitude de personnages dresse un tableau complet de la situation et offre une diversité de points de vue, d’intérêts et d’attitudes, ouvrant la voie à plusieurs issues possibles.



J’ai été captivée par ce roman d’évasion romanesque. J’ai adoré.


Lien : https://valmyvoyoulit.com/20..
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