Elvire Murail

Un livre jeunesse qui m'a beaucoup plu. J'aime particulièrement la façon dont les filles se rencontrent les unes après les autres. Et l'idée d'un club secret donne encore plus envie de découvrir la suite de l'histoire. J'aime beaucoup le style de l'auteur qui est fluide, agréable et très addictif. Pour les enfants comme pour les adultes

Un livre jeunesse, celui de mon fils en 2ème secondaire (équivalent belge de la 4ème française), qui se révèle très plaisant à lire.

Au départ de ce roman, il y a Damien – le beau-fils de Madame. Celle-ci lui fait vivre un réel enfer au quotidien, lui sert même un menu personnel (bien plus infect que celui concocté pour sa propre fille) et l’envoie régulièrement à la cave dans le noir (en dévissant l’ampoule).

Il s’agit donc de maltraitance psychologique envers cet enfant qui n’est pas le sien mais, un beau jour, Damien n’en peut plus et décide de ne plus accepter cette situation et se cherche des alliés.

Certes, le caractère science-fiction rend l’histoire peu crédible mais tant mon fils que moi-même avons pris plaisir à le lire.
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Autant j'avais beaucoup aimé "La prophétie de Venise", la première enquête de Dancourt et fils, autant je suis complètement passée à côté de cette suite. Je m'attendais à ce que l'auteure démarre une toute nouvelle enquête, or, elle choisit d'écrire une suite directe.



On retrouve donc tous les éléments clés du premier tome : la Sphère, les adolescents aux signes du Zodiaque particuliers... L'auteure réutilise ces ingrédients et les mixe à une dose de généalogie qui m'a très rapidement donné le tournis. En effet, dans ce tome, Dancourt et fils remontent aux origines de la Sphère et cela passe par la généalogie ô combien complexe de ses membres. Bref, j'ai vraiment eu du mal à suivre et comprendre les rebondissements de l'histoire.

Ce premier tome de Golem met en lumière un professeur de français et l'un de ses élèves, unis autour d'un jeu vidéo dans lequel on contrôle un personnage, une espèce de RPG aux débuts de l'informatique.



Si les références à l'informatique peuvent faire sourire tant elles sont anciennes, le récit est prenant et facilement compréhensible.



Cependant plusieurs petits bémols viennent faire de l'ombre au tableau. Tout d'abord la relation entre un enseignant et son élève de 5e qui parait totalement normale. Aucun enseignant ne se lierait à ce point-là à un élève qu'il a en classe et surtout, aussi jeune. L'élève déboule carrément chez son prof quand il n'a pas cours et son enseignant lui offre même un clavier, du gros délire !



Ensuite, les bons clichés avec par exemple celui de l'enseignant (qui s'appelle quand même Jean-Hugues, un prénom IDÉAL pour un prof de français) qui vit toujours chez sa mère, psychologue, à presque 30 ans (c'est totalement invraisemblable et encore plus dans un livre paru il y a une quinzaine d'années).



Le langage employé par la mère du protagoniste qui ne sait/ne veut pas parler français correctement, le zézaiement de la prof d'SVT amoureuse du prof de français. La documentaliste (même pas professeur-documentaliste, la pauvre) qui "n'y connaît rien à l'informatique".



Même si la lecture est accessible, je trouve que c'est un roman qui a très mal vieilli.

Très touchant, ce roman nous apprend la dure vérité de la maltraitance des enfants avec un côté fantastique. Moka est doué pour les histoires glauques, il écrit très bien en nous mettant directement à l'intérieur du bouquin.

Merci à Babelio et à Play Bac pour cette lecture dans le cadre de masse critique.

On retrouve les Kinra girls en partance pour une nouvelle aventure. J’avoue que j’ai eu du mal à accrocher, je trouve que l’écriture est lourde, trop explicative, même si ce livre est destiné à la jeunesse, trop c’est trop, on a du mal à y croire.

Tout d’abord, je remercie Babelio et PlayBac grâce à qui j’ai reçu ce livre dans le cadre de la Masse critique.



C’est avec bonheur que je découvre l’univers de Kinra Girls, ces 5 jeunes filles âgées de 11ans, venant d’horizons différents : Kumiko la japonaise peintre de talent, Idalina l’espagnole chanteuse de Flamenco, Naïma l’américaine passionnée de cirque, Rajani l’indienne ne vivant que pour la danse et Alexa l’australienne fan d’équitation. Chacune possède son caractère et sa propre personnalité. Elles sont complémentaires. Sans nul doute, un lien d’amitié unique les unit.



Dans cet épisode, elles retournent à Rome chez leur ami Monsieur le Comte Romeo d’Ulpiano, qu’elles ont déjà rencontré lors d’un précédent épisode. Elles vont déguster les spécialités culinaires italiennes et découvrir des lieux magnifiques. Grace à Kumiko, le mystère d’une étrange disparition sera résolu.



L’histoire fait régulièrement référence aux épisodes précédents, ce qui permet aux lecteurs assidus de la série de retrouver des éléments connus. Cependant, cela n’empêche nullement la compréhension de l’histoire pour les novices.



Je tiens à souligner l’esthétique de ce livre jeunesse. L’illustratrice Anne Cresci nous offre des dessins explicites illustrant le texte et de qualité. De plus, elle s’attache à ajouter une pointe de couleur sur chaque double page. Le marque-page accroché au livre procure un double intérêt : tout d’abord l’aspect pratique en ayant toujours le marque-page à portée de main puis un aspect curiosité dans la mesure où l’on imagine que chaque tome propose un marque-page différent. Ainsi, ce petit bonus donne envie de découvrir l’histoire suivante. Le format permet de transporter le livre partout.



Ce livre est bien écrit, proposant une lecture fluide et adaptée pour le jeune public. De plus, les dernières pages permettent un approfondissement culturel de la ville de Rome ainsi qu’une activité ludique avec une énigme à résoudre.



S’il faut émettre une critique, je dirais que ce livre s’adresse en priorité aux filles dans la mesure où il met en scène 5 jeunes filles. Il est plus aisé pour une fille de s’identifier aux héroïnes que pour un garçon.



Pour résumé, l’univers des Kinra Girls est une belle découverte. Je n’hésiterai pas à offrir et à recommander cette série de livres à mes connaissances.

J'ai fini ce livre en une heure tellement il était intéressant !

On apprend des choses sur le Japon. J'apprécie beaucoup les Kinra Girls parce qu'elles sont très complices et vivent toujours des aventures géniales ! Ce tome est mon préféré, premièrement parce que j'adore le Japon, et aussi parce qu'il y a du vocabulaire à la fin du livre. Kumiko explique des choses qui nous captivent. On a vraiment l'impression de voyager avec ce groupe !

J'ai enfin découvert le troisième tome de la trilogie de Moka !

Coup de cœur littérature pour adolescents. Tout y est : histoires de familles, mystères, contexte historique, meurtres, vengeance mais aussi solidarité et aventures pour ces 12 adolescents....

A conseiller aux ados.

Première partie de ce roman sur une prophétie de Nostradamus mal interprétée qui aura pour conséquence le sacrifice de 12 adolescents ayant en commun leur signe astrologique et leur ascendant. Enquête d'un ancien policier reconvertit en détective privé qui tient en haleine de bout en bout. J'ai de suite enchaîné avec le deuxième tome......

Pocket Junior fête cette année ses 25 ans. Pour cet anniversaire, il a choisi de rééditer les grands succès éditoriaux de son quart de siècle et c’est ainsi que Golem, le roman publié en 2002 et écrit par les frère et sœurs Murail, Lorris, Elvire et Marie-Aude, ressort en trois volumes, dans un nouvelle édition revue et corrigée par Marie-Aude Murail et ses acolytes. D’ores et déjà, vous pouvez partir en vacances avec Golem, Level 01, paru le 6 juin. Vous ne le regretterez pas, d’autant que le Level 02 viendra à la mi-septembre vous consoler de la rentrée, en attendant de trouver le Level 03, peu avant Noël.



Golem, en deux mots, c’est une histoire de jeu vidéo qui tourne au fantastique, mais un fantastique solidement ancré dans le monde réel de la cité des Quatre-Cents et de ses caves, de ses supermarchés et des multinationales qui mènent le monde. Au départ, Majid, un jeune élève de 5e, gagne à un concours l’ordinateur de ses rêves. Pas particulièrement expert en informatique, il va faire appel à Jean-Hugues de Molenne, son prof de français, qui, lui, est un authentique geek à ses heures perdues (et il en perd beaucoup, scotché à son écran !)



En aidant Majid à configurer son PC, Jean-Hugues, alias Caliméro dans son autre vie, et son jeune élève vont se trouver confrontés à un phénomène étrange : un jeu vidéo inconnu, nommé Golem, s’incruste sur l’écran de Majid et entend imposer son tempo à nos deux compères. Mieux encore, les personnages du jeu vont à un certain moment crever littéralement l’écran et venir peupler le monde réel. Que se passe-t-il ?



C’est d’autant plus inquiétant que rôdent dans la cité des individus louches qui semblent être à la recherche de l’ordinateur de Majid. Pourquoi veulent-ils le récupérer à tout prix ? Est-ce en rapport avec les phénomènes étranges qui commencent à se produire dans les caves de la cité ? Au point que même des journalistes télé tentent de s’y intéresser, non sans difficultés, d’ailleurs…



Golem est un cocktail détonant. Des mondes parallèles s’y croisent, qui n’auraient jamais dû se rencontrer. Des quiproquos s’ensuivent, tantôt dramatiques, tantôt hilarants. A chaque choc, l’intrigue rebondit, le mystère s’épaissit et les jeunes de la cité, les professeurs, les parents vont être entraînés dans des péripéties de plus en plus haletantes, toujours à la limite de la vraisemblance, cette limite qui fait tourner les pages avec fébrilité.
Lien : https://littejeune.blogspot...

Un livre très jeunesse, j'ai eu du mal a entrer dedans, les

Pénélope a 11 ans et vient de rentrer au collège. Elle a un petit copain, une copine et elle va s’en faire une autre. Un jour, elle prend la défense de son amie Suzanne et écope de deux heures de colle.



La colle ne se passe pas si mal et les filles finissent même en aidant la femme de ménage. Mais en allant jeter la poubelle au container, elles voient un jeune garçon qui récupère de la nourriture et qui retrouve sa soeur de l’autre côté du mur d’enceinte. Pénélope et Suzanne sont choquées. Que pourraient-elles faire pour changer les choses et aider ses jeunes de leur âge ?



J’ai reçu ce livre dans le cadre d’une masse critique et j’en suis ravie. Je connaissais déjà l’auteur Moka et j’ai apprécié de lire un autre de ses ouvrages. Un roman plein d’amitié et de tendresse. Des valeurs fortes y sont défendues.



L’héroïne est une jeune fille entière à laquelle il est facile de s’identifier. Un texte qui touche et qui permet d’aborder des thèmes difficiles du quotidien ; accompagné de jolies illustrations. Un livre à mettre dans les mains des plus jeunes pour que tous se rendent compte qu’il n’y a pas d’âge pour faire bouger les choses !

Bonjour à vous, amis lecteurs !



C’est un résumé alléchant pour une couverture pas très attirante, ce qui me rebutait un peu (la version réédité de ce livre a totalement changé la couverture, heureusement.) Et même maintenant après avoir lu le livre, je ne comprends toujours pas cette couverture, honte à moi.

C’est une histoire très intéressante, gorgée de suspenses et de surprises. On rentre très vite dans l’histoire et il m’a été très difficile d’en sortir. Les personnages sont attachants, avec des mimiques bien à eux. Entre le détective Maxime, accro au café et à son Alpha Roméo, et son fils Lubin, adolescent qui apporte une touche de légèreté et d’humour à l’histoire, c’est un récit prometteur.

Nous suivons deux intrigues qui se passent au même moment et qui se rejoignent à la fin. Au début j’avais l’impression qu’elles n’avaient aucun lien mais au fur et à mesure, des petits éléments commencent à coïncider. C’est vraiment très bien mené. En tant que lecteur, nous suivons l’histoire en même temps que Maxime mais aillant accès au second récit, nous pouvons joindre une partie des deux bouts plus facilement. Le lecteur est intégré au récit. Il y a des moments d’incompréhension et de doute chez Maxime, par exemple en ce qui concerne le zodiaque ou le fait que les meurtres puissent arriver de nouveau. Le lecteur à peur qu’il abandonne, on a envie d’entrer dans son monde, de lui expliquer ce que l’on voit dans l’autre récit, lui expliquer que la machine est en marche et que...je ne vais pas en dire plus. Je ne voudrais pas soulever le voile d’ignorance de ceux qui ne l’aurait pas lu.

C’est un récit très riche, qui mêle énormément d’éléments. On pourrait avoir peur de s’y perdre mais pourtant c’est construit de tel sorte à ce que cela n’arrive pas.

Petit bonus pour moi, l’histoire se passe non loin de chez moi et dans des lieux que j’ai connu (Toulouse, Carcassonne,…) ce qui m’a permit grâce aux descriptions de parfaitement me remémorer certains espaces.

Cette histoire mélange surnaturel, ésotérisme, mystères, meurtres et encore énormément de choses à la carte, de quoi satisfaire bon nombre de lecteur.

C’est un livre que je conseil vivement.



Olivia Kascel, Chroniqueuse
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La chose qui ne pouvait pas exister :

Bonjour, je m’appelle Baptiste, j’ai 14 ans. Je ne suis pas un grand lecteur, à vrai dire je n’aime pas lire. En fait, je suis encore à la recherche de mon genre de livre idéal. Je n’ai pas aimé "La chose qui ne pouvait pas exister", de Moka, mais je ne le déconseille en aucun cas, car je trouve que chacun a son type de livre. En premier lieu, je ne suis pas friand du mélange réel versus fantastique. En deuxième lieu, j’ai bien aimé le personnage principal car elle ma aider à me projeter. En troisième lieu, l'absence d'humour m'a déçu.



Une des choses que je n’ai pas aimée dans ce livre c’est le Mélange réel vs fantastique. J’ai eu dur de me projeter dans le livre avec ce mélange et j’ai eu difficile à comprendre le livre avec beaucoup d’information dès le début.



J’ai bien aimé le personnage principal, elle m’a aidée à me projeter dans le livre car j’ai eu du mal avec le nombre de personnage mais grâce qu’on a des point en commun j’ai eu plus facile à m’imaginer a sa place donc à retenir plus facilement les personnages.



La chose qui m’a le plus déçus c’est l’absence d’humour, il n’y avait pas de moment marrant dans le livre, je trouve que chaque livre a une petit touche d’humour a un endroit du livre. A cause de ça je n’avais aucune envie de continuer de lire le livre, il semblait interminable pour moi.



Ma critique n’est en aucun cas pour redescendre le livre, je donne juste mon avis car je sais que beaucoup de personne aime bien ce livre. Ce n’est juste pas mon style

je trouve ce livre chouette

J'avoue que ce livre est prenant mais, la fin est un peu gore et difficile à comprendre ! J'ai vraiment préféré le petit coeur brisé d'Elvire Murail (Moka).

Histoire de famille, de femmes, de générations, de liens familiaux...Dès que l'on commence le livre, on a envie de savoir comment va finir l'histoire de Mélaine qui enquête sur les fantômes de son passé ! Mais, est-ce vraiment des fantômes ?....

Roman ado certes, mais que les adultes peuvent lire avec autant de plaisir, tant l'intrigue est prenante et touffue ! C'est aussi bien écrit que certains polars "adultes" (et même mieux parfois !), on ne s'ennuie pas une minute et il me tarde de lire d'autres aventures de ces détectives...

L'histoire de Pénélope 11 ans écrite pour des jeunes du même âge. le collège, un amour naissant, des profs attupiques, des parentes un peu particuliers, des heures de colles et la découverte d'une autre réalité.



Une prise de conscience l'envie d'aider mais comment faire ? Des envies des doutes et puis on passe à l'action en ce demandant toujours si l'on a bien fait ?



C'est assez bien écrit mais les personnages sont assez fades, trop réels, ça manque de pep's et de dynamisme.
Lien : http://keskonfe.eklablog.com..