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Citations de Enid Blyton (405)


Oui-Oui vit bientôt qu'ils arrivaient à Chatonville, car ils rencontraient des quantités de petits chats. Il y en avait sur des bicyclettes, d'autres qui marchaient.
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Je suis un p'tit bonhomme
Mais toujours je souris.
Je danse, je fredonne,
Qu'importent les ennuis!
Chantez, tous les oiseaux!
Donnez-moi du courage!
Gazouillez les moineaux!
Il faut que je sois brave,
Je suis un p'tit bonhomme
Mais toujours je souris
Je danse, je fredonne,
Qu'importent les ennuis!
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Jimmy et Lotta racontèrent à Mme Lebrun leur visite à Mme Prunella et lui décrivirent la scène dont ils avaient été témoins. Mme Lebrun se mit à rire. « Nous n’avons pas besoin de perroquets au cirque. Vous suffisiez bien à faire du tapage, vous deux, dit-elle car les deux enfants avaient parlé tous les deux à la fois.
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« Vous voulez rire ! dit-il. Sa roulotte est là-bas. Quel beau chimpanzé !
— Il a des quantités de talents, dit Willy. Il sait monter à bicyclette, se déshabiller et s’habiller tout seul. Mais il ne veut pas se brosser les dents. » Des gens arrivaient de tous côtés. M. Galliano sortit de sa roulotte.
« Vous voulez me voir, oui ? Montez. Et dites à votre singe de s’essuyer les pieds. »
« J’espère que M. Galliano l’engagera, murmura Jimmy. Ce serait amusant d’avoir un chimpanzé savant !
— Il n’a pas besoin de chimpanzé puisque tu es là ! » s’écria Lotta en faisant une grimace. Puis elle s’enfuit. Jimmy n’essaya pas de la rattraper.
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— Tu ne sais pas coudre ? répéta Jimmy indigné. Je croyais que toutes les filles savaient. Tu es très habile pour certaines choses, Lotta, mais tu ne sais ni lire, ni écrire, ni coudre.
— Et toi, tu ne sais même pas te tenir sur un cheval ! » riposta Lotta en poussant Jimmy si violemment que le jeune garçon tomba sur l’herbe.
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Quand les chiens eurent quitté la piste, les chevaux blancs arrivèrent au galop. Qui les conduisait ? Lotta ! Oui, la petite Lotta qui n’avait plus sa vieille jupe rapiécée, mais une robe de fée, des ailes transparentes, des petits souliers en lamé. Un ruban retenait ses boucles brunes. Elle avait dans la main une baguette d’argent.
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Le cirque avait un immense succès. Tous les soirs, les spectateurs affluaient sous le chapiteau ; beaucoup s’amusaient tant qu’ils revenaient plusieurs fois. Jimmy remarqua que, de jour en jour, M. Galliano portait son chapeau haut de forme un peu plus incliné sur l’oreille. Il en demanda la raison. « Quand M. Galliano a son chapeau de côté, c’est que le cirque gagne beaucoup d’argent, expliqua Lotta. Quand il le met droit sur sa tête, ce n’est pas bon signe : il est alors de très mauvaise humeur. Je me cache quand je le vois venir. En ce moment, tout marche comme sur des roulettes ! »
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[...] ... Un vaste escalier conduisait à l'étage. Comme en bas, des boiseries en chêne clair revêtaient les murs. Au passage, Toufou s'amusa à cogner dessus par-ci, par-là. Cela produisait un bruit sourd assez impressionnant, qui se répercutait dans toute la maison.

- "Toufou, est-ce absolument nécessaire de faire ce vacarme ?" dit Nelly. "Qu'est qui te prend ?

- Je fais des sondages ... Je cherche les passages secrets. Ce manoir doit en posséder un puisque l'Espagnol a disparu. Je trouverai peut-être son squelette ...

- J'espère que tu ne vas pas passer ton temps à tambouriner partout," fit Roger.

- "Ne l'appelle-t-on pas le manoir de Toquatoc ?" s'écria Toufou, hilare. Poum ! Poum ! Il se mit à frapper des coups assourdissants au risque de mettre les lambris en pièces. "Toquatoc ... Toquatoc ... Je me demande d'où lui vient ce nom singulier. Le sais-tu, Sylvain ?

- Non. Mais nous le demanderons à Mme Merlin. Elle en connaît peut-être la raison."

La bonne femme les précédait, ouvrant toutes grandes les portes de chaque chambre, un bougeoir allumé à la main. L'électricité manquait. Les récentes chutes de neige avaient dû détériorer les lignes.

- "Vous pouvez choisir les chambres que vous préférez. Elles sont toute à votre disposition. Roger et Toufou en prendront une à deux lits, Nelly et Sylvain chacun la leur a dit Mme Lambert [= grand-mère de Sylvain]. Quant au chien, il couchera dans la cuisine.

- C'est impossible," marmonna Toufou à mi-voix, "il ne voudra pas de ça !" ... [...]
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C’est encore plus affreux de se détester que de détester les autres, pensa-t-elle. Parce qu’on ne peut jamais se fuir.
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« Vous n’avez donc pas de langue ? demanda Mam’zelle impatiente. Pourquoi n’avez-vous pas appris vos verbes ?
— Je les ai appris, répondit Betty, ce qui était la vérité. Mais je les ai oubliés.
— Eh bien, vous les rapprendrez ! Vous viendrez les réciter ce soir pendant la récréation, décida Mam’zelle.
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[...] ... Elle s'arrêta à l'entrée de la caverne éclairée et l'inspecta d'un œil prudent. Assis à une table, la tête dans ses mains, immobile comme une statue de pierre, il y avait quelqu'un ... son père ! Mais pas de Dag.

- "Papa !" Son père sursauta et se retourna. Il regarda Claude comme s'il n'en croyait pas ses yeux. Puis il enfouit de nouveau sa tête dans ses mains.

- "Papa !" répéta Claude, le cœur serré parce qu'il ne lui avait rien dit.

Il se retourna encore, et cette fois il se leva. Il examina Claude, puis se laissa retomber lourdement sur sa chaise. Claude se précipita vers lui. "Oh ! Papa, qu'est-ce qu'il y a ? Qu'est-ce qui se passe ? Où est Dagobert ?

- C'est toi, Claude ? J'avais l'impression de rêver en t'apercevant. Comment se fait-il que tu sois ici ? Bonté divine, c'est invraisemblable.

- Papa, tu n'as rien ? Qu'est-ce qui est arrivé ? Où est Dag ?" reprit Claude d'une voix inquiète.

Elle jeta un coup d'œil autour d'elle mais ne vit pas trace de Dag. Son sang se glaça. Il n'était pas arrivé de catastrophe à Dagobert ?

- "As-tu rencontré deux hommes tout à l'heure ?" demanda son père. "'Où étaient-ils ?

- Oh ! Papa, nous perdons mutuellement notre temps à nous poser mutuellement des questions sans donner de réponses. Dis-moi où est Dag ?

- Je n'en sais rien. Ces hommes sont-ils allés jusqu'à la tourelle ?

- Oui. Oh ! papa, qu'est-ce qui se passe ? ..." [...]
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Julie, Paul et Fribolin se plaquent une main sur la bouche, émerveillés. Ils n'ont jamais rien vu de pareil de toute leur vie! Ils sont entourés d'immenses piles de cadeau: poupées, puzzles, jeux de société, ours en peluche, gadgets, livres et bien d'autres choses encore.
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Cette année, je ne veux pas vous quitter des yeux. Dès que je cesse de vous surveiller, les pires choses vous arrivent ! Rappelez-vous toutes vos précédentes aventures : vos tribulations avec des contrebandiers au golfe Bleu, au nid d'Aigle ou à l'île aux Mouettes. Non, non, cet été-ci vous resterez avec moi... (p.9)
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Nicolas s'éveilla le premier. Brusquement, il se souvint que c'était dimanche : aujourd'hui - aujourd'hui même - on devait aller goûter sur le France! Il se dressa sur sa couchette. Ses sœurs dormaient encore. N'y tenant plus, il les appela :
« Ho! Les filles! C'est le jour du France! »
Tirées de leur sommeil, les filles se frottèrent les yeux, la mine ahurie.
« Le France, c'est vrai! » comprit soudain Marie-Joëlle.
Aussitôt, elle sauta du lit, comme un lapin déboule hors de son terrier. Après s'être habillée à la hâte, elle dégringola les marches de la roulotte et courut aider sa mère à préparer le café au lait. Pendant ce temps, Nicolas se dépêchait de renouveler la provision de bois. Quant à Élisabeth, elle se chargea de faire les couchettes. Avec une rapidité inaccoutumée, elle retourna les matelas, borda soigneusement draps et couvertures. Ce matin, il n'y avait pas une minute à perdre!
La vaisselle du petit déjeuner n'était pas encore terminée que, déjà, la voiture de Bonne-Maman s'arrêtait devant la barrière du pré.
« Voilà l'auto! » s'écria Élisabeth. De saisissement, elle lâcha les cuillers qu'elle tenait à la main. « Maman, Maman, nous ne sommes pas prêts!
- Eh bien, nous le serons dans un instant - sauf si tu renverses tout! remarqua Maman avec calme. Marijo, entasse les bols dans l'évier, nous les laverons en revenant. Tounette, Nic, allez chercher vos manteaux. »
Bonne-Maman les attendait impatiemment. Enfin, Papa ouvrit la portière et l'embrassa.
« Tu vois, je suis incorrigible! s'excusa-t-il. Toujours en retard, comme lorsque j'avais dix ans! Surtout ne le dis pas aux enfants..., ajouta-t-il en leur faisant un clin d'œil. Bonjour, Marcel. C'est aimable à vous d'avoir accepté de garder les roulottes. »
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Pour l'instant le début de l'histoire est assez intéressante.
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« C’est bien ce que je pensais. Renard m’attend à dîner, mais il sera, lui, à table, et moi, je serai dans son assiette ! Je n’aurais même pas mis le nez à la porte, le temps de dire ‘carotte !’, et hop ! il me jetterait dans sa marmite ! » (p. 10)
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Les quatre enfants, suivit des chiens, gagnèrent aussitôt le bord de la mer.
Dagobert parcourut la plage en tout sens.
Il semblait désorienté.
Je ne voit pas trace de Claude, dit Mick, très surpris.
Pas de vêtements posés sur le sable, personne dans l'eau...
Ils regardèrent tous la mer et ne virent aucun baigneur.
Annie toute pâle d'émotion, se tourna vers son frère ainé :
François! Ou peut-elle être?
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oh non ils sont entrain de nous regarder
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Tu l'avais faite avec ton coeur, et c'est ça le plus important !
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"C'est Miette ! La pauvre, comme elle est pâle et tremblante ! s'écria Annie. Et Toto et Mignon n'ont pas l'air d'avoir très chaud non plus !"
François fit mine de déposer son fardeau à terre, mais, cette fois-ci, loin de vouloir lui échapper, Miette s'accrocha à son cou. La petite fille sentait d'instinct que le garçon était bon, doux et fort. Elle appréciait le refuge de ses bras. François s'assit donc sur une chaise, en tenant toujours la petite sauvageonne. Le chien et le chevreau sautèrent sur le sol et se mirent à gambader d'un air heureux.
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