Ernest Hemingway

Le vieil homme et la mer est un livre sublime, plein de poésie de part sa fonction allégorique. En effet, ce roman n'est pas tant l'histoire d'un vieux pécheur qu'un symbole. J'y trouve plusieurs symboles. Tout d'abord, des plus évidents, on trouve le respect, le respect du garçon pour son grand-père malgré sa décrépitude. On trouve également la puissance de l'espoir, qui pousse le vieil homme à retourner en mer malgré ses échecs précédents, en effet il fini par attraper un bel espadon plus grand que sa barque. C'est ici qu'entrent en scène toutes ces allégories qui font de ce livre un chef d'oeuvre. Premièrement, la sempiternelle lutte de l'humain contre la nature, car c'est une réelle lutte, presque une danse, qui se passe entre le vieil homme et cet espadon. Au final l'humain l'emporte, l'espadon est vaincu, mais là encore la nature revient à la chasse. Par les requins on assiste à la nature venant reprendre ce que lui va de droit, et donc sortir triomphante contre l'humain.

Surtout, hormis les symboles, on trouve dans ce livre une vrai leçon de vie, il nous apprend le respect, la tolérance, l'acharnement/ne pas perdre espoir, aller jusqu'au bout des choses malgré les obstacles. C’est également une réflexion sur la solitude, comment réagit-on face à elle.

Bien sur, chaque interprétation est subjective, chacun lit un livre à sa propre façon et donc verra sûrement d'autres choses que ce que je vois dans ce livre.

Le récit du courage par excellence.

Un vieux pêcheur part seul, trois jours et deux nuits durant, traînés, lui et sa barque, par le gros poisson qui rêvait de pêcher.

Tout ce temps, il tient bon.

Il reprend ses rames pour rentrer chez lui, éreinté. Très vite, les requins s'attaquent à Sion grand poisson. Santiago défend son butin n tant qu'il peut et parviendra finalement a son port, plus mort que vif. Il n'a presque rien ramené du poisson, mais il s'est battu.

L'importance de ce livre se trouve dans l'interprétation qu'on lui prête.

L'auteur nous présente un protagoniste courageux, "détruit mais invaincu", et le lecteur suit le vieux pêcheur dans son introspection, sa remise en question...

À lire par les armateurs du roman de Sepulveda, "Le Vieux qui lisait des romans d'amour".

3 étoiles

5 étoiles

Une merveille... bouleversant... des personnages charismatiques... une trés belle histoire.. Une ode à la vie...à l'amour...à la mort...

Très jolie histoire que celle de ce vieil homme.



Une réflexion sur le courage et une jolie métaphore de la vie !



J'ai beaucoup aimé !

N'étant pas très nouvelle, le contenue ne pas forcément emballé, mais le style Hemingway est là, rendant ce recueille de nouvelle tout à fait agréable à lire.

Ce livre n'est pas mon préféré de cet auteur, mais je reste persuadé qu'il est nécessaire. C'est un livre à lire.

Ce fut ma première lecture pour du Hemingway, et quel plaisir, superbe livre de ce style littéraire que j'affectionne vraiment, à lire, même si le titre n'est pas vraiment cohérent je trouve.

Une promenade dans le paris des années folles… À compléter absolument avec le film de Woody Allen "Midnight in Paris".
Lien : http://myshabbybibus.blogspo..

culte ....................rien à dire ... excellent

Bien que légèrement réticente face aux nombreux détails présents dès le début de ce livre, j'ai très vite été prise par la richesse émotionnelle de ce roman. La diversité des personnages rend ce livre passionnant. Ce livre m'a permuis de décoivrir le talent tant reconnu d'Ernest Hemingway.

J'ai bien apprécié découvrir ce roman et par la même occasion l’auteur qu'est Ernest Hemingway. Je m'attendais à y découvrir une écriture plutôt ancienne hors non l'écriture est belle, il se lit très facilement et les vignettes sont presque toutes intéressantes à lire hormis une ou deux qui m'ont un peu ennuyées ! Je regrette seulement de ne pas y découvrir le tout Paris de cette époque car les vignettes se déroulent plus ou moins dans le même secteur.



Ce livre m'a donné envie de découvrir un peu plus l’œuvre de Ernest Hemingway. Ce livre est d'ailleurs à lire pour se plonger dans le Paris des années folles !



Je terminerais cette petite chronique par une citation du livre :



"Si vous avez la chance d’avoir vécu jeune homme à Paris, où que vous alliez pour le reste de votre vie, cela ne vous quitte pas, car Paris est une fête."
Lien : http://leslecturesdestan.blo..

Bien entendu, il s’agit du cliché littéraire (bien-pensant) du moment. Mais, c’est tellement bon…



« A Moveable feast » est un recueil de notes, d’anecdotes disparates, diverses, non-peaufinées, écrites par Hemingway sur ses années folles passées à Paris (dès 1921). Alors apprenti-écrivain, il y passe ses journées à écrire, à lire, à boire, à manger : à vivre. Il y rencontre de nombreux artistes émigrés, connus (Scott Fitzgerald) ou moins connus, dans cette capitale de culture et de bohème. Il côtoie d’ailleurs uniquement ce réseau américano-anglophone, venu trouver inspiration et liberté dans la ville lumière.



On est emporté avec Hem’ sur les quais de Seine, à échanger avec les bouquinistes, à contempler les pêcheurs au soleil. On flâne dans les jardins du Luxembourg, sur l’Ile Saint-Louis ou dans Saint-Germain-des-Prés. C’est une ode au bistrot, au café, où l’on refait le monde attablé à une terrasse dans un mélange de bières, de champagne et de vin, où l’on s’y restaure pour deux fois rien. Une ode à la plus belle ville du monde.



Mais c’est bien plus que ça. C’est un ensemble enivrant (deux les deux sens du terme) car il poétise la banalité de la vie. On ne se satisfait de presque rien, on a un autre rapport au temps, à l’argent dans ces notes. Ce n’est pourtant pas la description idyllique d’une période facile, mais celle d’une « génération perdue » traumatisée par la guerre voulant simplement être la plus heureuse possible.



C’est avant tout une immersion dans la création littéraire. Un livre sur le pourquoi Ecrire, le pourquoi Lire, le pourquoi Vivre. Hemingway y développe également des bribes de sa méthode d’écriture, à travers de nombreux conseils, ce qui est passionnant.



« Il n’y a jamais de fin à Paris … Paris valait toujours le déplacement, et on recevait toujours quelque chose en retour de ce qu’on lui donnait. »

https://horizondesmots.wordpress.com/2015/12/11/bouquin-33-the-old-man-and-the-sea-le-vieil-homme-et-la-mer-dernest-hemingway/
Lien : https://horizondesmots.wordp..

À l’instar du gamin, je suis tombé en admiration pour ce vieil homme, Santiago. qui représente à mes yeux l’Archétype du « vieux sage ». À travers ce livre d’à peine 150 pages, mais d’une profondeur hallucinante, nous partons à la rencontre de Santiago, un vieux pêcheur cubain courbé et en manque de vaine, mais dont la force d’âme n’a d’égale que celle du mythique Ulysse, traversant la mer Égée.



L’histoire en soi, au premier degrés disons, manque quelque peu de piquant et pourrait être résumé en quelques phrases, voire quelques mots, sans même risquer d’omettre quoique ce soit. J’ajouterais que les termes maritimes, malgré leur présence relativement faible, m’ont empêché d’apprécier l’oeuvre dans toute sa spendleur mais j’insiste sur cette précision; cette incomphréension m’est entièrement imputable.



J’ai l’impression, d’ailleurs, de ne pas avoir saisi toute-à-fait l’importance que revêt l’acte de pêcher, peut-être peut-on l’étendre à l’art de chasser en général, qui m’est complètement incconu de toute manière.



En dehors de ces dites incomphréensions, j’ai apprécié ce livre et je le conseil pour sa valeur philosophique.



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Si je connaissais Paris est une fête de titre, je ne pensais pas le lire cette année. Et puis, suite aux attentats du vendredi 13 novembre 2015, Eliza, du blog Lectures & co, a lancé une lecture commune autour de ce livre pour le 13 décembre. Lecture commune a laquelle j’ai eu envie de participer.



Dans Paris est une fête, Ernest Hemingway, désormais plus âgé, revient sur ce que fut sa vie dans le Paris des années 1920. Au gré des chapitres, chacun narrant une anecdote, on découvre une ville mythique à une époque qui l’est tout autant. On se promène chez Shakespeare & co, dans différents bistrots, dans les parcs, dans les rues de Paris. On rencontre Gertrude Stein, Ezra Pound ou encore Francis Scott Fitzgerald. Hemingway raconte d’ailleurs leur inoubliable voyage en voiture entre Lyon et Paris avec un arrêt bien arrosé à Mâcon.

Hemingway dévoile aussi un portrait touchant de sa vie de famille avec sa première femme et leur enfant Bumby. Ce dernier étant gardé par le chat quand ses parents sortaient. La vie n’était pas toujours facile, l’argent manquait fréquemment. Pourtant, ils n’étaient pas malheureux et arrivaient toujours à s’en sortir.



Pour être franche, je ne suis pas ressortie enthousiasme de ma lecture. Je pense que je ne connaissais pas assez Paris, et encore moins le Paris des années 1920 pour arriver à apprécier ma lecture. Hormis Shakespeare & Co ou certains parcs et musées, les lieux évoqués ne m’évoquaient pas grand chose.

A ma grande honte, j’avoue qu’il en est de même pour les personnes évoqués dans ce récit. Bien sûr, je connaissais déjà de nom Gertrude Stein, Fitzgerald et sa femme Zelda mais guère plus. Du coup, j’avais l’impression qu’il me manquait des éléments pour comprendre tout le texte.



Pour continuer sur ma lancée, je n’ai pas spécialement accroché non plus au style de Hemingway. J’ai très souvent du lire plusieurs fois ses phrases pour bien les saisir. Par ailleurs, les anecdotes sont trop décousues pour mon goût.



Mais qu’ai-je aimé dans Paris est une fête me demanderez-vous ? Et bien j’ai aimé la légèreté et la Vie qui se dégagent du récit. Hemingway passe de café en café, enchaîne les verres de bières, de blanc, de whisky, retrouve ses amis et s’amuse avec eux. Ses méthodes d’écriture, sa quête d’inspiration, son métier de journaliste sont autant d’éléments très intéressants à suivre.



Même si certains éléments m’ont plu dans le récit Paris est une fête, je dois bien admettre que cette lecture ne m’a pas autant plu que je l’espérais. Pour finir ce billet, comme proposé par Eliza, je partage une photo de Paris que j’aime et j’ai choisi celle-ci…
Lien : http://tassedeculture.com/20..

“Au-delà du fleuve et sous les arbres (Across the River and into the Trees)” n’est pas le roman le plus célébré d’Ernest Hemingway. Certains lui reprochent des dialogues négligés et répétitifs, d’autres s’offusquent de cette histoire d’amour entre Cantwell, un colonel américain de cinquante ans, et Renata, une jeune aristocrate vénitienne de dix-huit ans. Nous sommes à Venise en hiver, juste après la seconde guerre mondiale. Cantwell a débarqué en Normandie, libéré Paris. En 14-18, il s’était battu avec les Italiens en Vénétie. J’ai bien aimé ce roman, celui d’un homme proche de la mort qui veut retrouver sa jeunesse dans une ville splendide. Un roman qui vous donne aussi envie de pousser la porte du Harry’s Bar lors de votre prochaine visite à Venise.
Lien : http://www.lecturesdevoyage...

Je me rappelle avoir lu ce livre à l'école, en lecture imposée donc, et je n'avais pas tellement aimé, je m'étais plutôt ennuyée même. 20 ans après il semblerait que mon ressenti n'ait pas changé, bon j'ai vu la simplicité de l'histoire mais pas ce qui l'a rend sublime...



Ok le vieux assure dans son combat avec le poisson, mais bon franchement ce n'est pas mon thème favori la pêche, désolé Monsieur Hemingway vous ne m'aurez toujours pas convaincu !



Et comme le dit la chanson : Au suivant !

C'est nouvelle vague, sobre, désincarné, et on y est. C'est HH comme je l'aime.