Evelyne Brisou-Pellen

C'est un petit roman historique pour les enfants à partir de 10 ans qui se déroule en Bretagne en 1819. Julien, 12 ans , pensionnaire dans une école religieuse découvre par hasard qu'il a été adopté. Il décide de partir à Haïti pour découvrir ses origines accompagné de Gabriel, un adolescent aide infirmier responsable de lui. Ils embarquent donc sur un bateau, la traversée ne va pas se dérouler comme prévue.

L'auteur aborde des sujets intéressants comme la filiation, l'esclavage et le commerce triangulaire.

Retour au Manoir et découverte de nouveaux pensionnaires !



Lorsque ce 4ème tome débute, on fait la connaissance de deux nouveaux fantômes. Nic et Suzanne. Il semblent s'être déjà croisés, et arrivent simultanément à la porte du manoir. Mais, ils arrivent à pieds et donc par leurs propres moyens. À priori, ce sont des fantômes blancs, sans danger pour le manoir. Mais Nic a une idée fixe en tête. Une idée qui pourrait bien mettre en danger le manoir ainsi que tous ses occupants.



C'est encore une fois, un plaisir de retrouver cet univers et la plume de l'autrice. Si on retrouve des personnages des précédents tomes, comme Liam, Raoul, Cléa, Hoël, Léonidas... On en découvre des nouveaux. Et avec chaque nouveau pensionnaire, on part à la découverte de son histoire. Des histoires sombres bien souvent.



Nic a eu une mort atroce et qui le hante toujours. Son idée de vengeance va nous en apprendre plus sur son passé, nous faire découvrir encore une fois une autre époque. Un des personnages que l'on avait déjà rencontré lors d'un précédent tome est le lien avec Nic et sa mort. L'autrice mêle toujours faits historiques réels et fiction et c'est très intéressant pour en en savoir plus sur l'histoire et le passé.



On se doute dès le début que Suzanne nous cache quelque chose. Son histoire est aussi dramatique et en lien avec des faits réels.



Même si ce 4ème tome se concentre sur l'histoire de ces deux nouveaux pensionnaires, on découvre aussi le passé de certains pensionnaires déjà présents précédemment.



En bref, même si le schéma de ce tome est similaire aux précédents, j'ai passé un bon moment au Manoir. J'ai beaucoup aimé le fait que ce n'est pas juste une histoire fantastique mais que toute une partie historique soit réelle.



Si vous aimez le fantastique / jeunesse, je ne peux que vous conseiller la saga.

J'ai beaucoup aimé ce second tome comme le premier. C'est une petite lecture sympathique à lire et très rapide. Alors que le premier tome était essentiellement du point de vue de Liam, ce second tome est, en partie, du point de vue de Cléa ce que j'ai beaucoup aimé. Liam continue d'être un personnage central, avec son point de vue dans certains chapitres, mais Cléa prend davantage d'importance que dans le tome 1. De plus, j'ai beaucoup aimé l'évolution de leur relation. Ce deuxième tome était plein d'actions, de questionnements, de réflexion, de rebondissements. J'apprécie vraiment cet univers. On en apprend toujours plus sur les mystères du manoir et les secrets des pensionnaires. Ce tome-ci ne se termine par sur un cliffhanger comme le précédent mais je me demande quand même ce que la suite peut réserver. ^^

J'ai connu l'existence d'Isadora Duncan au lycée, quand je pratiquais la danse contemporaine. J'en ai appris peu sur elle, mais assez pour être fascinée par ce bout de femme qui a créé une danse où l'émotion guide les mouvements.



Ce roman jeunesse, c'est le récit de son enfance : dans quel contexte elle a grandit (spoiler : dans la pauvreté et la débrouille), quel parcours elle a suivit, et comment elle est arrivé à créer des écoles de danse en Europe avec si peu de moyens.



L'écriture est très fluide mais j'ai peu l'habitude de lire du jeunesse à destination des très jeunes, ce qui m'a un peu perturbé. Ça va vite, le vocabulaire est simple, pourtant je n'ai pas eu l'impression que c'était enfantin, et ça collait bien avec Isadora jeune.



Ça m'a beaucoup appris sur cette danseuse qui a révolutionné l'histoire de l'art gestuel, et sur le monde artistique de l'époque (très classique, très codé, très pauvre également). Le message est clair : suivez vos rêves. Ça sera dur, ça vous demandera beaucoup, mais ça en vaut le coût.



À mettre entre les mains des lecteurs dès la préadolescence si le sujet intéresse !

Tamara est une nageuse hors pair, championne de toutes les compétitions auxquelles elle participe. Mais voilà que depuis quelques temps de violents cauchemars de naufrages hantent ses nuits…Contrainte à sortir de l’eau de peur de se noyer, elle est désemparée face à ces rêves venus du passé.



Un roman pour ado sur les traces d’une apprentie médium cherchant à lutter contre une malédiction familiale.



A lire!

Dans ce court roman jeunesse, Evelyne Brisou-Pellen met en mots le documentaire éponyme (1997). L'action se déroule au sein d'une communauté vivant sur les hauts plateaux himalayens. Un jeune garçon voit la lourde responsabilité de "devenir chef" après la mort prématurée de son père. Accompagné de son grand-père, sa mère, son oncle, une partie de sa tribu et leurs yaks, il se lance dans son premier périple de caravanier. Padang devra affronter ses peurs, sa fatigue, les dangers afin d'obtenir, peut-être, la légitimité requise.



Evelyne Brisou-Pellen réussit à mettre ce reportage de l'extrême à la portée des jeunes (à partir de 10 ans). J'ai lu une version sans photos et les descriptions sont largement suffisantes pour s'immerger dans l'environnement. L'autrice nous transporte rapidement sur les hauts plateaux himalayens, auprès d'un jeune homme bouleversé et courageux. L'histoire est courte mais haletante, les personnages sont attachants et ambivalents, très humains et l'ensemble est très immersif !

La vie est devenue impossible sur Terre. Les étoiles se meurent, le soleil ne chauffe plus. Vingt-deux enfants se retrouvent alors sur une planète bien étrange et une compagnie dont on ne sait si on doit s'en méfier.



J'ai mis beaucoup de temps à me plonger dans l'histoire. Je dois admettre que le début est extrêmement déroutant, nous n'avons aucun contexte, les choses sont plutôt difficiles à imaginer. On comprend que bien plus tard ce qui a amené les enfants ici et s'ils viennent réellement de la Terre ou non.

On mentionne quelque fois le nombre d'enfants mais nous n'avons que très peu de personnages présentés. Le nombre aurait pu varier du tout au tout, cela n'aurait eu aucun impact. J'ai dû mal à saisir ou l'auteur a voulu en venir avec cette histoire. Le fait des enfants qui doivent s'adapter à une nouvelle planète est intéressant, mais l'histoire m'a parue malheureusement plate, sans aucun but. Aucun passage ne m'a particulièrement marquée



Je ne sais vraiment pas si j'ai aimé ou non ce livre.

S’inspirant du personnage de Christina Plum, qui s’auto-accusera de sorcellerie en 1630, Benjamin Laurent construit un scénario prenant et haletant.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

Un petit livre agréable à lire sur l'histoire d'une tombe pillée, d'une malédiction déclenchée. Gare à ceux qui révélerai le nom de la momie pour déclencher son pouvoir sur le peuple de l'Egypte antique.

De mon point de vue, c'est une lecture sympathique qui reprend les codes des croyances de l'Egypte antique. Ce n'est pas farfelu, ça se tient. Mais ce n'est pas une histoire qui m'a plus marqué que cela.

Cependant, je pense que du point de vue d'un élève de 10/ 11 ans, l'histoire peut paraître incroyable et absorbante.

Quand l'un de mes challenges de lecture a demandé un roman dont l'action se situait à l'époque moderne, je me suis souvenue d'Evelyne BRISOU-PELLEN, auteur de romans historiques pour la jeunesse dont ma fille se régalait enfant.



Le mystère Eleonor, se passant en 1721, correspondait pile poil ! 



Mais je me suis ennuyée avec cette héroïne amnésique qu'un beau-père mal intentionné veut faire passer pour folle.



L'amour d'un jeune homme, qui mènera l'enquête suite aux incohérences entre comportement et 'on-dit', sauvera l'héroïne et son héritage ! 



A noter de belles pages sur la contrebande saline dans la Bretagne du XVIIIème siècle et la chasse des gabelous contre ces contrebandiers.



Un roman, où chaque début de chapitre, porte de belles illustrations de Philippe Caron.




Lien : http://les-lectures-de-bill-..

Un peu de littérature jeunesse pour changer et direction l’empire Aztèque !



Cortés a déjà mis les pieds sur le continent et foutu le bordel. Il convoite l’or, comme tout le monde.



C’est une jeune garçon qui va tenter de les en empêcher, en faisant preuve de courage.



Dans ce court récit, nous apprendrons quelques coutumes des Aztèques, mais très peu… L’autrice est restée sobre, ne parlant que peu des sacrifices humains, sans doute pour ne pas choquer le jeune lectorat.



Ce roman se lit très vite, une fois entamé, on a envie de savoir ce qu’il va se passer et, sans pour autant posséder un suspense de malade, on s’accroche au récit. Les combats sont détaillés, sans être trop détaillés, jeunesse oblige.



Un récit qui ne restera pas dans ma mémoire, de la littérature jeunesse qui se laisse lire, facilement et qui venait à point pour débuter tranquillement le Mois Espagnol et Sud Américain.


Lien : https://thecanniballecteur.w..

Apollon et Artémis sont des dieux jumeaux nés des amours de la déesse Léto et du dieux Zeus. Léto n'est pas la femme de Zeus, c'est Héra. Quand celle-ci apprend que Léto attend un enfant elle le maudit. Ainsi les jumeaux doivent rester dans le ventre de leur mère pour ne pas subir les foudres de la déesse. Mais Apollon et Artémis sont les enfants terribles de l'Olympe, ils décident donc de naître malgré tout.

Athéna est la fille cachée de Zeus. En effet il a fait grandir la déesse dans son crâne à son insu et à celui de tous les autres dieux. Alors quand Héra apprend sa naissance elle entre dans une rage folle ? Mais à quoi s'attendre quand on arrive par surprise dans une famille de dieux ? Comment Athéna est-elle devenue l'enfant préférée de Zeus ?

1720 à Paris. Térence et Louyse sont tous les deux des enfants trouvés par des soeurs de la charité. Mais si Térence a eu la chance d'être élevé par soeur Marie, Louyse, elle, a été confiée à une nourrice, puis à un orphelinat. le hasard fait qu'ils se retrouvent 13 ans plus tard, le jour où Térence recueille lui aussi une petite fille abandonnée. Il la prénomme Marquise et décide d'en être le parrain. Dans les langes de l'enfant, il découvre une feuille de papier à musique. Il décide de mener l'enquête pour comprendre qui sont les parents de l'enfant. Mais plusieurs incidents vont menacer sa vie...

Ce roman historique nous fait découvrir, comme souvent avec cette autrice, de nombreux éléments du quotidien, et plus exactement dans ce livre, celui du XVIIIe siècle à Paris. Travail des enfants dès que possible (nos héros ont 13 ans), recrutement forcé de vagabonds pour partir aux Amériques, discussions au Procope entre Voltaire et d'autres philosophes, allumage des chandelles publiques… Tout ceci un petit peu à la truelle, et même si l'autrice parvient à capter notre attention pour résoudre avec Térence le mystère de la naissance de Marquise, la fin et la résolution sont hâtives et bâclées. Et certaines questions restent sans réponse : pourquoi cette chanson, par exemple, pourquoi l'attitude de Dorvet… C'est bien dommage !

J'avais lu ce livre il y a plusieurs années déjà sans jamais lire la suite et je me suis dit que j'aimerais bien continuer cette saga. C'est pour ça que j'ai relu le tome 1 et que je vais poursuivre avec le tome 2, qui est dans ma PAL, dans peu de temps. Je ne me souvenais plus de grands choses donc c'était un vrai plaisir de redécouvrir cette histoire ! C'est une histoire intriguante, mystérieuse, on passe son temps à faire des suppositions. Il y a plusieurs éléments prévisibles mais on a aussi des surprises et des retournements de situation. C'est une lecture rapide, sans prise de tête, agréable, j'ai passé un bon moment. J'ai adoré les personnages aussi qui sont plutôt charismatiques dans l'ensemble, surtout Liam et Léonidas ! Mention spéciale pour le fait qu'un personnage s'appelle Cléa ! (Oui oui c'est rare mais j'en suis contente ^^. Par contre ça fait toujours bizarre de lire son nom dans un livre). C'est une héroïne que j'apprécie beaucoup avec un passé traumatisant... C'était une lecture vraiment plaisante que je recommande et j'ai hâte de m'attaquer à la suite !

Une première approche de la mythologie grecque qui tout en apportant des éléments documentaires n'en oublie pas.le sens de l'humour.

Dans ce premier tome on découvre Zeus avant qu'il ne devienne le roi des dieux de l'Olympe, de sa naissance à son avènement à la tête des olympiens.

Le point de départ pour vous allécher un peu, jeunes lecteurs et vous convaincre de le tenter?



Installez-vous!

La recherche des origines pourra promettre une aventure plus dangereuse que d'ignorer d'où l'on vient ici.

Année 1710 environ (nous saisirons cette datation approximative lâchée par la Soeur Marie entre ses dents, transie de froid).

Quelle époque!

Nous sommes en France.

Des bébés, pleins de bébés...abandonnés.

L'heure ne sera assurément pas à l'abstinence pour les couples qui s'"aimeront".

Et les femmes de l'ordre des "Filles de la Charité", attachées à l'Hôpital des Enfants-Trouvés, ne jugeront pas, courageusement ramasseront, par tous temps des enfants abandonnés sur le trottoir ou sous un porche (pas d'allocation à cette époque, et oui. Un petit travail, une vie chère, à se nourrir. Et puis tout le reste, qui charge le mental des vies de tous les jours).



L'auteure prendra son pied d'appel à partir de ce contexte, nous lançant petit à petit sur une affaire secrète de naissances : Terrence, jeune ado sans le sou vivant à la " Couche" sera l'instigateur d'une enquête personnelle.

Il trouvera un bébé.

Il cherchera à connaitre les parents de cette petite fille, non pas afin de la redonner mais plutôt afin de la protéger au mieux de ceux qui voudront la trouver et récupérer un document qui l'accompagne.

Terrence en aura fait rapidement les frais. Il y a une intention malveillante là dessous.

Et les enfants, on le verra, auront déja fort à faire avec la vie de tous les jours quand on est pas bien né.



Nous commencerons tout de même l'aventure sous un froid d'hiver, de "gueux" comme l'on disait, avec Marie de l'ordre "Des filles de la charité" creusant la neige pour débusquer les possibles abandons d'enfants à cette époque.

Comment faisaient les pauvres de cette époque pour ne pas avoir d'enfants non désirés? Et les riches?

Visiblement, cela ne marchait pas.

Et comment ces ordres pouvaient-ils se montrer plus riches que ceux qui ne pouvaient garder de nouvelles bouches à nourrir?

En voila un! Et un autre.

"- Prendre les enfants dans ses bras leur donne de mauvaises habitudes, ils risquent ensuite de quémander de l'affection...", Mère Chantal réprimandra Soeur Marie.

Une règle nécéssaire qui serait surtout respectée aujourd'hui par nos braves professeur(e)s des Écoles pour d'autres raisons, afin d'apprendre aux enfants l'apprentissage de l'école en collectivité et parce qu'ils auront déja des parents pour cela. Il n'en sera de même qu'à moitié ici.

Des bébés sans parents et condamnés dès le départ à s'endurcir et ne pas réclamer, pour ne pas trop souffrir.



Nous lirons notre bonne Marie nous confier la procédure, les placements des bébés chez des nourrices à la campagne, les payer pour cela, il y aura des poitrines pleines de lait et des familles (pas toujours disponibles) pour les garder chez eux (nos familles d'accueil de l'époque couplées à la fonction des assistantes maternelles, deux métiers).

Il sera étonnant de constater l'ironie de cette situation (ou sa tristesse) tandis que le cas des " Mères porteuses" fera débat aujourd'hui sur "l'honteuse" exploitation du corps des femmes. Et oui, à une époque plus lointaine, certaines femmes en France n'avaient d'autres choix que de faire des enfants et de louer le lait de leurs poitrines pour les autres pour gagner leur vie.

Elles ont gardé pour tendre service, stocké, élevé ses enfants abandonnés et sous-loué le lait de leurs seins.

Il fallait bien que quelqu'un le fasse et le Bon Dieu n'aura pas de poitrine et du lait. En revanche, il aura de l'amour et des bras, ceux des " Filles de la charité".



Ainsi furent trouvés dehors nos jeunes héros Terence et Louyze.

Il faudra avancer dans la vie, se montrer débrouillard, dégourdis, à défaut d'être instruits..

Terence et Louyze seront sauvés tous bébés dans le même temps, placés séparement et puis la vie les fera se recroiser à l'adolescence.

Que le monde est petit!



Terence, une fois grand, trouvera donc aussi dans la rue un bébé comme lui fut trouvé.

Comme Marie, il ne pourra se résoudre facilement à confier l'enfant au système d'époque.

Avant d'offrir l'aventure et de découvrir le fort caractère de nos jeunes personnages (qui auront de la gouaille populaire), nous découvrirons cette aide sociale d'époque, nul doute que l'auteure Evelyne Brisou-Pellen se sera documenté.

L'Hospice de " La Couche".

De notre côté, voici, pour cerner la part emprunté à la réalité historique:

http://www.childrenshomes.org.uk/ParisTrouves/

Nous suivrons le fil d'enquête à revers pour trouver les parents anonymes d'une abandonnée tandis que nous avancerons d'une manière instructive sur un fait d'époque.

Nul doute que l'on faisait comme on pouvait et parfois comme on voulait ( mais pas de la meilleure des façons).

Un début qui n'aura bien accroché.

Et vous?

Le suspense est perpétuel tout au long du tome et donnerait envie d’assister à toute la vie du héros narrée de la même manière que ses premières années. Encore une fois : voilà une collection à ne surtout pas manquer !
Lien : https://www.ricochet-jeunes...

Retrouvez la chronique complète sur mon blog La Page Inattendue ! :)



Le Manoir est une longue saga qui m'a accompagnée pendant presque 10 ans. Quand j'ai terminé le douzième et dernier livre, j'ai ressenti une bouffée de nostalgie.Ranger cet ultime tome dans ma bibliothèque, c'était un peu comme marquer d'un point final une belle et longue amitié. Le Manoir a donc une place importante dans mon coeur et ma vie de lectrice.

Lire un tome de cette saga, c'est se plonger dans un grand voyage à travers l'espace et le temps. De la bataille des Thermopyles à la Seconde Guerre Mondiale, en passant par les ravages de la peste noire à Venise et la conquête du Pérou par les conquistadors espagnols, chaque tome nous fait découvrir un nouvel épisode de l'Histoire. L'autrice offre au lecteur une véritable immersion à travers les siècles et les continents.

L'un des plus gros points forts de cette saga est la façon dont elle aborde le thème de la mort. L'approche de l'autrice est des plus originales et même plutôt positive. Je trouve qu'elle permet de relativiser, peut-être même d'atténuer l'angoisse; elle offre au lecteur une vision moins terrifiante de la mort.

Si l'on vit l'aventure aux côtés d'un seul personnage durant les deux premiers tomes, celui-ci est vite rejoint par une véritable bande optimiste et loufoque ! Liam, notre jeune héros, se retrouve toujours dans des situations improbables, mais c'est grâce à cela que l'on découvre tous les mystères du manoir, puis ceux des autres pensionnaires. Cependant, il est vrai que l'on se perd un peu dans tous ces personnages, et qu'ils n'ont pas tous le même développement. Et il faut le dire, les deux saisons confondues, tous les tomes ne se valent pas. Alors que certains m'ont particulièrement marquée, il y en a pour lesquels je n'ai presque aucun (Suite...)

Le Manoir est une superbe saga jeunesse, captivante, enrichissante, et un peu effrayante qui saura plaire à tous ! Je tiens particulièrement à remercier l'autrice pour cette incroyable épopée et ces dix années de plaisir !
Lien : https://www.lapageinattendue..

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Le Manoir est une longue saga qui m'a accompagnée pendant presque 10 ans. Quand j'ai terminé le douzième et dernier livre, j'ai ressenti une bouffée de nostalgie.Ranger cet ultime tome dans ma bibliothèque, c'était un peu comme marquer d'un point final une belle et longue amitié. Le Manoir a donc une place importante dans mon coeur et ma vie de lectrice.

Lire un tome de cette saga, c'est se plonger dans un grand voyage à travers l'espace et le temps. De la bataille des Thermopyles à la Seconde Guerre Mondiale, en passant par les ravages de la peste noire à Venise et la conquête du Pérou par les conquistadors espagnols, chaque tome nous fait découvrir un nouvel épisode de l'Histoire. L'autrice offre au lecteur une véritable immersion à travers les siècles et les continents.

L'un des plus gros points forts de cette saga est la façon dont elle aborde le thème de la mort. L'approche de l'autrice est des plus originales et même plutôt positive. Je trouve qu'elle permet de relativiser, peut-être même d'atténuer l'angoisse; elle offre au lecteur une vision moins terrifiante de la mort.

Si l'on vit l'aventure aux côtés d'un seul personnage durant les deux premiers tomes, celui-ci est vite rejoint par une véritable bande optimiste et loufoque ! Liam, notre jeune héros, se retrouve toujours dans des situations improbables, mais c'est grâce à cela que l'on découvre tous les mystères du manoir, puis ceux des autres pensionnaires. Cependant, il est vrai que l'on se perd un peu dans tous ces personnages, et qu'ils n'ont pas tous le même développement. Et il faut le dire, les deux saisons confondues, tous les tomes ne se valent pas. Alors que certains m'ont particulièrement marquée, il y en a pour lesquels je n'ai presque aucun (Suite...)

Le Manoir est une superbe saga jeunesse, captivante, enrichissante, et un peu effrayante qui saura plaire à tous ! Je tiens particulièrement à remercier l'autrice pour cette incroyable épopée et ces dix années de plaisir !
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