Critiques de Gaia Alexia (834)
Joana vit une vie parfaite… si ce n’est sa tendance à fuir au moindre problème. Célèbre instagrammeuse, elle est invitée à de nombreuses soirées, porte des chaussures à 1200 €, est habillée que par des marques.. Mais la vérité derrière les paillettes est toute autre. Impossible d’avouer qu’elle est fauchée, ni qu’elle n’a pas payé son loyer depuis des mois ; Joana préfère faire l’autruche et laisser ses problèmes derrière elle. Jusqu’au jour où son passé la rattrape, à travers une lettre dans laquelle on lui annonce la mort de son père. Ce même père l’ayant mise à la porte alors qu’elle n’avait que quinze ans. Et, tandis qu’elle revient dans le village de son père, elle découvre avec surprise sa propre tombe aux côtés de celle de son père !
Dès les premières pages, Gaïa Aleia m’a complètement happée dans son histoire. Et ce, grâce à son héroine : Joana. C’est le genre de fille comme on en rencontre peu : explosive, parfois bien timbrée, vivant dans son univers à elle, mais tellement solaire, extravertie et fidèle, en amour comme en amitié… Quand elle donne un morceau de son cœur, c’est sans attente. Et, pourtant, cela ne l’empêche pas d’être blessée et de se retrouver à terre à de nombreuses reprises. Mais elle trouve le courage de se relever, toujours, et de se battre, pour elle-même comme pour ceux qu’elle aime.
Joana est une guerrière, armée d’un smartphone, de vêtements de marque, d’un maquillage de luxe, et perchée sur des talons de douze centimètres… Une véritable guerrière des temps modernes. Elle prend énormément de place dans cette histoire, et l’intrigue évolue en même tant que son coeur. Colère, frustration, tristesse, joie, amour… Joana va traverser tout un panel d’émotions, allant d’un extrême à un autre, et j’ai adoré partager tout cela avec elle. C’est la force de l’écriture de Gaïa Alexia, elle fait de son héroïne le genre de personnage que l’on adorerait avoir pour amie, et je me suis sentie autant investie qu’elle dans cette histoire.
Concernant les autres personnages, c’est là encore un sans-faute. Qu’est ce que j’ai aimé cette caserne de gendarmerie ! Sans oublier le père Lapin, le père Gris, et tous les autres habitants de ce village. Ils sont juste exceptionnels, et j’ai tellement ri devant leurs multiples frasques ! Un vrai régal !
Quant à Henri… Je ne vous cache pas que j’ai également adoré le protagoniste principal masculin. Tout simplement parce qu’il semble réel et qu’il pourrait, là encore, être le voisin d’à côté. Son histoire m’a touchée, sa fragilité, sa force, sa façon de se débattre pour s’en sortir tout en faisant de Joana son soleil… C’était juste magique. Intense et doux à la fois… Parfait !
En définitive, j’ai adoré ce roman qui est, sans conteste, devenu mon préféré de Gaïa Alexia. Les pages se dévorent et nous offrent une histoire magnifique, faite de forces et de faiblesses, de situations ahurissantes et d’une tendresse immense entre tous les personnages… Un vrai coup de coeur !
Lien : https://aliceneverland.com/2..
Dès les premières pages, Gaïa Aleia m’a complètement happée dans son histoire. Et ce, grâce à son héroine : Joana. C’est le genre de fille comme on en rencontre peu : explosive, parfois bien timbrée, vivant dans son univers à elle, mais tellement solaire, extravertie et fidèle, en amour comme en amitié… Quand elle donne un morceau de son cœur, c’est sans attente. Et, pourtant, cela ne l’empêche pas d’être blessée et de se retrouver à terre à de nombreuses reprises. Mais elle trouve le courage de se relever, toujours, et de se battre, pour elle-même comme pour ceux qu’elle aime.
Joana est une guerrière, armée d’un smartphone, de vêtements de marque, d’un maquillage de luxe, et perchée sur des talons de douze centimètres… Une véritable guerrière des temps modernes. Elle prend énormément de place dans cette histoire, et l’intrigue évolue en même tant que son coeur. Colère, frustration, tristesse, joie, amour… Joana va traverser tout un panel d’émotions, allant d’un extrême à un autre, et j’ai adoré partager tout cela avec elle. C’est la force de l’écriture de Gaïa Alexia, elle fait de son héroïne le genre de personnage que l’on adorerait avoir pour amie, et je me suis sentie autant investie qu’elle dans cette histoire.
Concernant les autres personnages, c’est là encore un sans-faute. Qu’est ce que j’ai aimé cette caserne de gendarmerie ! Sans oublier le père Lapin, le père Gris, et tous les autres habitants de ce village. Ils sont juste exceptionnels, et j’ai tellement ri devant leurs multiples frasques ! Un vrai régal !
Quant à Henri… Je ne vous cache pas que j’ai également adoré le protagoniste principal masculin. Tout simplement parce qu’il semble réel et qu’il pourrait, là encore, être le voisin d’à côté. Son histoire m’a touchée, sa fragilité, sa force, sa façon de se débattre pour s’en sortir tout en faisant de Joana son soleil… C’était juste magique. Intense et doux à la fois… Parfait !
En définitive, j’ai adoré ce roman qui est, sans conteste, devenu mon préféré de Gaïa Alexia. Les pages se dévorent et nous offrent une histoire magnifique, faite de forces et de faiblesses, de situations ahurissantes et d’une tendresse immense entre tous les personnages… Un vrai coup de coeur !
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|Instagram : @blogdelyosa|
Tout d’abord, il faut savoir qu’il s’agit d’une new romance éditée en 2017 qui vient d’être rééditée en version illustrée. Elle est souvent décrite comme un « classique » de la new romance, alors nous voulions absolument découvrir cette histoire. Spoiler : nous avons été agréablement surprises ! Au début, on n’était pas si convaincues que ça, mais plus on avance, plus on a commencé à s’accrocher à l’histoire. L’histoire devient de plus en plus addictive.
« Queen Bee » et son côté humoristique est bien loin par rapport à ce premier tome d’ « Adopted Love » qui est beaucoup plus sombre et touchant. En effet, Gaïa nous présente Taegan Doe, un orphelin. Alors, oui, c’est le bad boy par excellence, assez cliché et pourtant, on l’a tout simplement adoré. Il y a un véritable fond, une véritable raison dans son comportement exécrable. Il est brisé, a été beaucoup trop de fois, malmené pour accorder de l’amour à des inconnus, pour s’ouvrir. Au-delà de sa violence, c’est un jeune homme touchant, qui a en vérité, besoin d’amour (plus qu’il ne le croit). Quant à Elena, elle est aussi brisée, d’une autre manière. Elena a d’un point de vue extérieur, une vie de princesse, une vie parfaite, alors qu’en vérité, on en est bien loin. Elena a ses propres problèmes, ses démons à combattre. Pour être honnêtes, même si on comprend l’attitude d’Elena, on a trouvé que parfois, elle était trop méchante pour pas grand-chose.
Avec ces comportements mêlant violence, incompréhension et une petite poignée de tendresse, on ne peut qu’imaginer une relation pleine d’étincelles, de feu, de fumée. Et c’est exactement ce que Gaïa a représenté : un amour compliqué, entre violence et tendresse. Leur relation débute sur les chapeaux de roue puisqu’ils se détestent et c’est ce qui permet de créer leur complicité par la suite, d’amener une tension à chaque fois plus forte entre les deux. Le lien qui unit Taegan et Elena frôle la relation malsaine, il faut se l’avouer et pourtant, on ne peut que le trouver beau et comme un signe d’espoir : il y a toujours quelqu’un pour vous donner de l’amour.
Enfin, ce qu’on a beaucoup aimé dans ce roman, c’est l’équilibre que garde Gaïa Alexia du début à la fin du roman. On n’a jamais trouvé qu’elle en faisait de trop quant aux passés. Quant à l’intrigue, il y a en fait plusieurs et c’est assez bien mené. Gaïa ne nous en dit pas trop et donc, nous donne vraiment envie de lire davantage pour découvrir ce qu’elle nous cache.
Il est vrai qu’au tout début, on a eu un peu de mal avec la plume de l’auteure qui était assez orale, mais on a remarqué une nette amélioration par la suite. Et dans le roman « Queen Bee », on a trouvé sa plume beaucoup plus jolie et addictive.
En bref, c’est peut-être une new romance de 2017, mais en 2021, on l’a tout de même adorée ! C’est addictif, fluide et très rapide à lire même si ce premier tome fait plus de 600 pages.
Merci infiniment à la maison d'édition de nous avoir permis de le découvrir !
Tout d’abord, il faut savoir qu’il s’agit d’une new romance éditée en 2017 qui vient d’être rééditée en version illustrée. Elle est souvent décrite comme un « classique » de la new romance, alors nous voulions absolument découvrir cette histoire. Spoiler : nous avons été agréablement surprises ! Au début, on n’était pas si convaincues que ça, mais plus on avance, plus on a commencé à s’accrocher à l’histoire. L’histoire devient de plus en plus addictive.
« Queen Bee » et son côté humoristique est bien loin par rapport à ce premier tome d’ « Adopted Love » qui est beaucoup plus sombre et touchant. En effet, Gaïa nous présente Taegan Doe, un orphelin. Alors, oui, c’est le bad boy par excellence, assez cliché et pourtant, on l’a tout simplement adoré. Il y a un véritable fond, une véritable raison dans son comportement exécrable. Il est brisé, a été beaucoup trop de fois, malmené pour accorder de l’amour à des inconnus, pour s’ouvrir. Au-delà de sa violence, c’est un jeune homme touchant, qui a en vérité, besoin d’amour (plus qu’il ne le croit). Quant à Elena, elle est aussi brisée, d’une autre manière. Elena a d’un point de vue extérieur, une vie de princesse, une vie parfaite, alors qu’en vérité, on en est bien loin. Elena a ses propres problèmes, ses démons à combattre. Pour être honnêtes, même si on comprend l’attitude d’Elena, on a trouvé que parfois, elle était trop méchante pour pas grand-chose.
Avec ces comportements mêlant violence, incompréhension et une petite poignée de tendresse, on ne peut qu’imaginer une relation pleine d’étincelles, de feu, de fumée. Et c’est exactement ce que Gaïa a représenté : un amour compliqué, entre violence et tendresse. Leur relation débute sur les chapeaux de roue puisqu’ils se détestent et c’est ce qui permet de créer leur complicité par la suite, d’amener une tension à chaque fois plus forte entre les deux. Le lien qui unit Taegan et Elena frôle la relation malsaine, il faut se l’avouer et pourtant, on ne peut que le trouver beau et comme un signe d’espoir : il y a toujours quelqu’un pour vous donner de l’amour.
Enfin, ce qu’on a beaucoup aimé dans ce roman, c’est l’équilibre que garde Gaïa Alexia du début à la fin du roman. On n’a jamais trouvé qu’elle en faisait de trop quant aux passés. Quant à l’intrigue, il y a en fait plusieurs et c’est assez bien mené. Gaïa ne nous en dit pas trop et donc, nous donne vraiment envie de lire davantage pour découvrir ce qu’elle nous cache.
Il est vrai qu’au tout début, on a eu un peu de mal avec la plume de l’auteure qui était assez orale, mais on a remarqué une nette amélioration par la suite. Et dans le roman « Queen Bee », on a trouvé sa plume beaucoup plus jolie et addictive.
En bref, c’est peut-être une new romance de 2017, mais en 2021, on l’a tout de même adorée ! C’est addictif, fluide et très rapide à lire même si ce premier tome fait plus de 600 pages.
Merci infiniment à la maison d'édition de nous avoir permis de le découvrir !
Lecture vraiment sympa qui aborde la mythologie nordique tout en prenant certaines libertés par rapport aux mythes habituels. J'ai énormément apprécié le côté obscur du dieu Odin (dont le visage n'était autre que celui d'Anthony Hopkins. Merci Marvel Studio...), mais également l'humanité de Hell, gardienne des enfers. J'ai aimé leurs fêlures, leurs travers, leurs manigances, de même que je trouvais Mane vraiment touchant.
En revanche, Nola est trop indécise à mon goût et pas assez honnête pour avouer à son voisin de palier qui la drague qu'il ne se passera jamais rien entre eux. Pire, elle se montre superficielle en faisant tout un foin lorsque Mimir lui demande de couper ses cheveux en échange d'informations pour aider Mane. N'oublions pas qu'Odin à lui-même sacrifié un œil afin de boire à la source de Mimir et ainsi obtenir l'omniscience. Perso, pour le salut de l'homme que j'aime, je veux bien me faire tondre ! Bref, vous l'aurez compris, Nola m'a déplu pour son immaturité.
Malgré ce bémol, la romance et l'intrigue s'avèrent bien travaillées, on ne s'ennuie pas. Si l'écriture ne vaut pas celle d'Aurélie Wellenstein, cette faiblesse de style se dissipe rapidement grâce aux nombreux rebondissements.
En revanche, Nola est trop indécise à mon goût et pas assez honnête pour avouer à son voisin de palier qui la drague qu'il ne se passera jamais rien entre eux. Pire, elle se montre superficielle en faisant tout un foin lorsque Mimir lui demande de couper ses cheveux en échange d'informations pour aider Mane. N'oublions pas qu'Odin à lui-même sacrifié un œil afin de boire à la source de Mimir et ainsi obtenir l'omniscience. Perso, pour le salut de l'homme que j'aime, je veux bien me faire tondre ! Bref, vous l'aurez compris, Nola m'a déplu pour son immaturité.
Malgré ce bémol, la romance et l'intrigue s'avèrent bien travaillées, on ne s'ennuie pas. Si l'écriture ne vaut pas celle d'Aurélie Wellenstein, cette faiblesse de style se dissipe rapidement grâce aux nombreux rebondissements.
Après avoir fini le tome 1, j’ai enchaîné avec le tome 2… Le tome 2 démarre fort après la fin que le tome 1 nous ait les laissé !
Ce tome-ci m’a fait passer par le dégoût, la colère, la tristesse et la joie. Dans le tome 2, on retrouve les mêmes thèmes abordés dans le tome 1 mais l’auteure aborde un autre thème « assez lourd » dans ce tome-ci.
Dans ce tome, on en apprend plus sur la relation que Teagan et Elena entretienne avec les retours dans le passé de l’un comme de l’autre. Elena a l’avenir de Teagan entre ses mains juste en parlant de ce qu’il s’est passé à la fin du tome 1 !
On peut découvrir Benito et Sally sous une autre façon que dans le tome 1.
Je vais attendre un peu avant de lire le tome 3 car je n’ai pas envie de quitter Teag et Elena 😳...
Ce tome est un combat du début à la fin et pour ceux/celles qui ne l’auraient pas encore lu, je vous conseille de lire ces deux premiers tomes qui sont tout simplement GÉNIAUX !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Ce tome-ci m’a fait passer par le dégoût, la colère, la tristesse et la joie. Dans le tome 2, on retrouve les mêmes thèmes abordés dans le tome 1 mais l’auteure aborde un autre thème « assez lourd » dans ce tome-ci.
Dans ce tome, on en apprend plus sur la relation que Teagan et Elena entretienne avec les retours dans le passé de l’un comme de l’autre. Elena a l’avenir de Teagan entre ses mains juste en parlant de ce qu’il s’est passé à la fin du tome 1 !
On peut découvrir Benito et Sally sous une autre façon que dans le tome 1.
Je vais attendre un peu avant de lire le tome 3 car je n’ai pas envie de quitter Teag et Elena 😳...
Ce tome est un combat du début à la fin et pour ceux/celles qui ne l’auraient pas encore lu, je vous conseille de lire ces deux premiers tomes qui sont tout simplement GÉNIAUX !
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C’est avec nostalgie que je finit cette saga qui m’aura autant bouleversé que fait rire.
Teagan et Elena chacun à leur manière m’on toucher en plein cœur. Benito bien sûre sans lui l’histoire n’aurait pas était la même. Et on en parle des parents super cool surtout le dirlo il m’aura bien fait rire.
Chaque tome apporte un plus à l’histoire donc merci à l’auteur pour cette merveille.
Teagan et Elena chacun à leur manière m’on toucher en plein cœur. Benito bien sûre sans lui l’histoire n’aurait pas était la même. Et on en parle des parents super cool surtout le dirlo il m’aura bien fait rire.
Chaque tome apporte un plus à l’histoire donc merci à l’auteur pour cette merveille.
Le synopsis de ce livre avait grandement attiré mon attention. A croire que je choisis toujours des livres qui ne me plaisent pas, à l’exception du résumé. Par ailleurs, une amie a eu un gros coup de cœur pour cette trilogie et ce, dès le premier tome, ce qui est loin d’être mon cas.
Tout d’abord, je trouve la plume de l’auteur fatigante à lire. Le vocabulaire manque, la tournure des phrases est trop simple, les actions se succèdent en évitant subrepticement les descriptions,… je conçois que nous sommes dans la peau d’un personnage frôlant les 17 ans. Mais tout de même ! Il parle d’une façon désagréable et très grossière. Comment peut-il parler sans arrêt du postérieur moulé dans le jean de la protagoniste ? Parler sans arrêt de son sexe en érection juste en échangeant un regard avec celle qu’il appelle toutes les trois phrases « la lionne » ? Comment peut-il converser sur les filles avec son meilleur ami en disant « tu te l’as fait ce soir? » comme si la décision ne dépendait que de lui ? Je suis d’ailleurs étonnée de constater qu’il emprisonne Elena de façon aussi égoïste : il a besoin de la toucher mais elle a besoin d’espace. Il l’oblige parfois à faire des choses dont elle n’a pas envie et en vue de ce qu’elle a vécu je ne cautionne pas du tout ces passages…
Néanmoins, il faut tout de même replacer les choses dans leur contexte : Teagan est un orphelin qui n’a jamais eu d’éducation que ce soit familiale ou scolaire. Personne ne lui a dit appris de quelle manière se comporter en société. Tout ce qu’il a appris vient de lui, de son vécu. Quand à Elena, elle a vécu des choses terribles et se taire dans ses affreux souvenirs. Seul Teagan réussira à lui faire sortir la tête de l’eau. Mais pourquoi ? Comment ? Ce point là est pour ma part mal décrit puisqu’il n’y a aucune communication entre eux et je ne parle pas forcément de discussion. Je parle surtout de lien, de choses à partager. Leur attirance n’est ni plus ni moins que physique et leur relation débute d’une façon très bancale. Teagan fait quelque chose d’impardonnable à Elena, et je ne comprends pas cette dernière qui reagit comme si de rien n’était… leurs réactions sont d’ailleurs incompréhensibles… Les choses commencent à changer durant les 150 dernières pages environ, mais pour ma part ce n’est pas suffisant. L’histoire n’a aucunement suscitée mon attention si ce n’est le résumé…
Attention ! J’ai particulièrement apprécié l’intrigue mais je trouve qu’elle n’a pas été approfondie et que tout allait trop vite. De plus, l’histoire comprend trop d’éléments a developper ce qui rend la tâche encore plus ardue. J’aurais préféré que l’auteur se concentre sur une poignée d’entre eux afin que le déroulement de l’intrigue paraisse plus réaliste.
Tout d’abord, je trouve la plume de l’auteur fatigante à lire. Le vocabulaire manque, la tournure des phrases est trop simple, les actions se succèdent en évitant subrepticement les descriptions,… je conçois que nous sommes dans la peau d’un personnage frôlant les 17 ans. Mais tout de même ! Il parle d’une façon désagréable et très grossière. Comment peut-il parler sans arrêt du postérieur moulé dans le jean de la protagoniste ? Parler sans arrêt de son sexe en érection juste en échangeant un regard avec celle qu’il appelle toutes les trois phrases « la lionne » ? Comment peut-il converser sur les filles avec son meilleur ami en disant « tu te l’as fait ce soir? » comme si la décision ne dépendait que de lui ? Je suis d’ailleurs étonnée de constater qu’il emprisonne Elena de façon aussi égoïste : il a besoin de la toucher mais elle a besoin d’espace. Il l’oblige parfois à faire des choses dont elle n’a pas envie et en vue de ce qu’elle a vécu je ne cautionne pas du tout ces passages…
Néanmoins, il faut tout de même replacer les choses dans leur contexte : Teagan est un orphelin qui n’a jamais eu d’éducation que ce soit familiale ou scolaire. Personne ne lui a dit appris de quelle manière se comporter en société. Tout ce qu’il a appris vient de lui, de son vécu. Quand à Elena, elle a vécu des choses terribles et se taire dans ses affreux souvenirs. Seul Teagan réussira à lui faire sortir la tête de l’eau. Mais pourquoi ? Comment ? Ce point là est pour ma part mal décrit puisqu’il n’y a aucune communication entre eux et je ne parle pas forcément de discussion. Je parle surtout de lien, de choses à partager. Leur attirance n’est ni plus ni moins que physique et leur relation débute d’une façon très bancale. Teagan fait quelque chose d’impardonnable à Elena, et je ne comprends pas cette dernière qui reagit comme si de rien n’était… leurs réactions sont d’ailleurs incompréhensibles… Les choses commencent à changer durant les 150 dernières pages environ, mais pour ma part ce n’est pas suffisant. L’histoire n’a aucunement suscitée mon attention si ce n’est le résumé…
Attention ! J’ai particulièrement apprécié l’intrigue mais je trouve qu’elle n’a pas été approfondie et que tout allait trop vite. De plus, l’histoire comprend trop d’éléments a developper ce qui rend la tâche encore plus ardue. J’aurais préféré que l’auteur se concentre sur une poignée d’entre eux afin que le déroulement de l’intrigue paraisse plus réaliste.
Ayant fortement apprécié le premier tome de cette saga pour son univers et ses divinités, que j’avais trouvé parfois un peu trop survolés, j’attendais avec impatience de découvrir la suite des aventures de Gaïa Alexia et j’ai été plus que conquis et surpris par son impressionnante conclusion.
Cette fois-ci et quand bien la romance reste l’élément central de cette intrigue, la mythologie nordique et ses autres légendes et mythes qui s’y rattachent sont beaucoup plus développés et mis en avant que précédemment. Je ne peux qu’approuver ce choix qui m’a permis de bien plus apprécié cette suite. J’ai vraiment pris plaisir à approfondir ma découverte des royaumes du nord ainsi que ses très nombreuses divinités et autres créatures mystiques. J’ai tout simplement voyagé au gré de cette lecture grâce à laquelle j’ai été bercé entre rêves et réalité. C’est incroyable comment l’auteure a su m’ouvrir les portes d’un monde palpitant et enchanteur, dans lequel j’ai aimé me perdre quelques heures. D’autant plus que cette fois-ci, l’univers se veut beaucoup plus complexe et sombre qu’à l’accoutumée. Mieux encore, l’univers n’est pas la seule à évoluer et le rythme de ce second volet se démontre beaucoup plus dynamique et porté sur l’action. Les péripéties défilent aussi rapidement et efficacement que les chapitres. Ainsi, le style de Gaïa Alexia se démontre une nouvelle fois totalement addictif et accrocheur. Un autre élément que je tiens à souligner n’est autre que cette dernière ne se permet pas seulement une réécriture de ces légendes mais se les approprient pour réaliser quelque chose d’inédit et de plus personnel.
L’autre point essentiel et plus que positif de ce roman est l’importante évolution de ses personnages. J’avais ressenti une certaine superficialité et certains stéréotypes concernant Nola et Mane ainsi que leur relation et je dois bien admettre que j’ai trouvé bien plus aboutis et nuancés le résultat final cette fois-ci . Même si certaines réactions ont pu me sembler à nouveau assez rocambolesques par moments, j’ai trouvé que leur relation s’est avérée être touchante et émouvante. Je me suis innocemment et involontairement fortement attaché à ce duo à la dynamique détonante et haletante. Il faut s’accrocher pour parvenir à suivre leur histoire d’amour houleuse et intense qui est parvenue à me faire vibrer bien plus que je l’aurais cru grâce à la brillance de celle-ci. De plus, les personnages secondaires sont eux aussi bien plus présents et j’ai pris plaisir à continuer de les connaître. Ella et Kyle sont toujours aussi pétillants et drôles et apportent une touche très large dose d’humour, bienfaisante et salutaire. D’autres dieux sont aussi présentés ainsi que d’autres créatures mystiques mais je vous laisse le soin de les découvrir par vous-mêmes.
C’est donc sans surprise que j’ai bien plus apprécié et adoré cette conclusion. J’ai adoré poursuivre mon périples au sein des divinités nordiques grâce à une réécriture toujours aussi palpitante, rythmée d’un style effréné et efficace et encore plus addictif que précédemment. Je serais ravi de retrouver la plume de Gaïa Alexia prochainement.
Lien : https://mavenlitterae.wordpr..
Cette fois-ci et quand bien la romance reste l’élément central de cette intrigue, la mythologie nordique et ses autres légendes et mythes qui s’y rattachent sont beaucoup plus développés et mis en avant que précédemment. Je ne peux qu’approuver ce choix qui m’a permis de bien plus apprécié cette suite. J’ai vraiment pris plaisir à approfondir ma découverte des royaumes du nord ainsi que ses très nombreuses divinités et autres créatures mystiques. J’ai tout simplement voyagé au gré de cette lecture grâce à laquelle j’ai été bercé entre rêves et réalité. C’est incroyable comment l’auteure a su m’ouvrir les portes d’un monde palpitant et enchanteur, dans lequel j’ai aimé me perdre quelques heures. D’autant plus que cette fois-ci, l’univers se veut beaucoup plus complexe et sombre qu’à l’accoutumée. Mieux encore, l’univers n’est pas la seule à évoluer et le rythme de ce second volet se démontre beaucoup plus dynamique et porté sur l’action. Les péripéties défilent aussi rapidement et efficacement que les chapitres. Ainsi, le style de Gaïa Alexia se démontre une nouvelle fois totalement addictif et accrocheur. Un autre élément que je tiens à souligner n’est autre que cette dernière ne se permet pas seulement une réécriture de ces légendes mais se les approprient pour réaliser quelque chose d’inédit et de plus personnel.
L’autre point essentiel et plus que positif de ce roman est l’importante évolution de ses personnages. J’avais ressenti une certaine superficialité et certains stéréotypes concernant Nola et Mane ainsi que leur relation et je dois bien admettre que j’ai trouvé bien plus aboutis et nuancés le résultat final cette fois-ci . Même si certaines réactions ont pu me sembler à nouveau assez rocambolesques par moments, j’ai trouvé que leur relation s’est avérée être touchante et émouvante. Je me suis innocemment et involontairement fortement attaché à ce duo à la dynamique détonante et haletante. Il faut s’accrocher pour parvenir à suivre leur histoire d’amour houleuse et intense qui est parvenue à me faire vibrer bien plus que je l’aurais cru grâce à la brillance de celle-ci. De plus, les personnages secondaires sont eux aussi bien plus présents et j’ai pris plaisir à continuer de les connaître. Ella et Kyle sont toujours aussi pétillants et drôles et apportent une touche très large dose d’humour, bienfaisante et salutaire. D’autres dieux sont aussi présentés ainsi que d’autres créatures mystiques mais je vous laisse le soin de les découvrir par vous-mêmes.
C’est donc sans surprise que j’ai bien plus apprécié et adoré cette conclusion. J’ai adoré poursuivre mon périples au sein des divinités nordiques grâce à une réécriture toujours aussi palpitante, rythmée d’un style effréné et efficace et encore plus addictif que précédemment. Je serais ravi de retrouver la plume de Gaïa Alexia prochainement.
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J'ai décidé de laisser une deuxième chance à Gaïa Alexia avec ce second tome (uniquement car j'avais acheté le tome 2 en même temps que le tome 1, sinon je ne me serais pas infligée un truc pareil).
Un tome 2 sans intérêt, dans la lignée du premier.
Par le biais de ses personnages principaux, l'auteure critique toute personne sortant des "normes" de notre société. Dans le tome 1 c'étaient les personnes grosses jugées comme étant laides ainsi que les personnes souffrant de TCA jugées comme étant "cinglées". Ici, ce sont les personnes ayant un style vestimentaire qui sort de ceux qu'on voit le plus souvent qui sont jugées comme étant moins jolies que les autres.
Je n'accepte pas les idées que l'auteure fait passer par ses livres, je les trouve ignobles (surtout dans le premier tome).
La première moitié de ce tome 2 était un peu meilleure mais la deuxième repartait dans ses mauvais travers.
Toujours ce surnom de "la lionne" qui revient trop et que je trouve ridicule.
Au début, j'ai eu l'impression que Teagan parlait beaucoup moins de sa "queue" j'étais contente mais au fil du roman ça se gâte… Franchement, que c'est lourd.
"Si Vous ne dis rien…" (page 107)
"On se même à rire." (page 362)
"...mais on reconnaitreconnaît…" (page 390)
Les fautes dans des livres publiés en papier, ça m'énerve toujours autant.
Quand on voit autant de fautes dans un livre ça fait très brouillon et ça ne donne pas envie de lire, en fait. Je ne les ai pas toutes listées, je n'ai pris en exemple que celles qui se voyaient le plus mais j'en ai vu d'autres.
Surtout, que ce ne sont pas des petites fautes d'orthographe ou de frappe. Celles-ci sautent aux yeux.
De plus, un petit (pas si petit que ça...) soucis de réalisme : New-York qui fait visiblement la taille d'un village perdu dans le trou des fesses du monde. C'est pas du tout réaliste.
Aussi, le fait que toutes les filles soient jalouses d'Elena parce qu'elles sont absolument toutes attirées par Teagan je trouve ça ridicule et pas crédible pour un sou.
On va maintenant passer aux personnages...
Teagan qui dit d'un mec qui passe son temps à mater des femmes qu'il est un dégueulasse... Dès les premières pages du premier tome Teagan mate Elena donc clairement dire qu'un mec qui mate est dégueulasse alors que lui fait pareil c'est plus qu'idiot.
Teagan atteint vraiment des sommets en matière de débilité. J'ai eu envie de le gifler.
C'est dingue comme je le trouve pathétique. il est bête au possible ce mec, je ne le supporte pas.
J'ai plus apprécié Elena dans ce tome (au début seulement). Elle m'a touchée. Je comprends tout à fait qu'elle soit incapable de parler de ce qui lui est arrivée. J'ai trouvé ça réaliste. Certain.e.s n'arrivent pas à en parler avant des années voire jamais.
Je l'ai trouvée courageuse aussi. J'ai bien aimé la suivre et être de son point de vue. Bon, par contre, il y a toujours ce problème de comportements illogiques elle ne veut pas attirer l'attention, elle baisse la tête et tout puis elle va répondre au prof' en toute insolence... Quand on choisit le caractère d'un personnage, il faut le garder jusqu'au bout.
De plus, je n'ai pas aimé sa façon de penser quand elle se dit :
"Elle n'est pas aussi vilaine que tout le monde le dit, en fait. Elle est même plutôt jolie pour une gothique."
Le "pour une gothique" est très limite mais le pire vient après :
"Je crois que Ben a raison : sans tout son maquillage et ses vêtements bizarres, elle serait très jolie" (page 348)
Juste non. D'où elle se permet ce genre de réflexion ? Qu'elle laisse les gens s'habiller comme ils veulent, non ?
"La gothique n'est pas maquillée et elle ne porte rien de noir. Elle est bien plus jolie comme ça." (page 467)
Est-ce qu'on t'a demandé ton avis à un moment donné ? La réponse est non. Donc ferme-la, Elena ! Au début du bouquin je l'appréciais bien et voilà qu'elle se comporte en connasse ! Qu'est-ce que ça fait passer comme message encore... Et, à nouveau, ces phrases sont absolument inutiles à l'intrigue. C'est juste de la méchanceté gratuite.
C'est le SEUL personnage qui a un style vestimentaire suffisamment original pour que l'auteure prenne la peine de le décrire, et elle fait en sorte que ses personnages le critiquent ?
Mais oui, suis-je bête ! Pouvoir s'exprimer par notre façon de s'habiller/se maquiller, pouvoir être original.e et pouvoir être soi-même, quelle idée ! Non, bien sûr, il faut être comme tout le monde. Surtout, ne pas sortir du cadre.
Morale de Adopted love : pour être "joli.e" et accepté.e il faut être mince, neurotypique et s'habiller comme les autres. Super morale ! On devrait mettre ces livres entre les mains de tous.
(J'espère que vous sentez bien l'ironie...)
J'ai plus apprécié le père que j'ai trouvé touchant et moins lourd.
J'ai bien aimé Jo' mais j'aurais voulu qu'on le voit plus, justement.
J'aurais voulu le voir au moins autant que Mary j'ai apprécié cette femme.
J'ai été particulièrement touchée par le moment où
J'ai trouvé la fin bâclée et mal écrite.
Alors que pendant presque 500 pages l'intrigue n'avance pas, d'un seul coup tout se résout très vite, très facilement, en quelques pages à peine c'est plié et tout est bien qui finit bien.
En conclusion, pendant la première moitié du roman environ ce tome 2 est quand même meilleur que le tome 1 malheureusement ça se gâte sur l'autre moitié. Et encore une fois les messages passés ici ne sont pas tops. Ils sont même bien pourris. Je ne saurais pas dire si je suis énervée ou si ça me désole tout simplement de lire ce genre de choses et de voir que les mentalités ne changent pas...
Je ne lirai pas le troisième tome pour des raisons évidentes. Ni même quoi que ce soit d'autre écrit par Gaïa Alexia. Il est hors de question que je soutienne ce genre d'auteur.e.
Un tome 2 sans intérêt, dans la lignée du premier.
Par le biais de ses personnages principaux, l'auteure critique toute personne sortant des "normes" de notre société. Dans le tome 1 c'étaient les personnes grosses jugées comme étant laides ainsi que les personnes souffrant de TCA jugées comme étant "cinglées". Ici, ce sont les personnes ayant un style vestimentaire qui sort de ceux qu'on voit le plus souvent qui sont jugées comme étant moins jolies que les autres.
Je n'accepte pas les idées que l'auteure fait passer par ses livres, je les trouve ignobles (surtout dans le premier tome).
La première moitié de ce tome 2 était un peu meilleure mais la deuxième repartait dans ses mauvais travers.
Toujours ce surnom de "la lionne" qui revient trop et que je trouve ridicule.
Au début, j'ai eu l'impression que Teagan parlait beaucoup moins de sa "queue" j'étais contente mais au fil du roman ça se gâte… Franchement, que c'est lourd.
"Si Vous ne dis rien…" (page 107)
"On se même à rire." (page 362)
"...mais on reconnaitreconnaît…" (page 390)
Les fautes dans des livres publiés en papier, ça m'énerve toujours autant.
Quand on voit autant de fautes dans un livre ça fait très brouillon et ça ne donne pas envie de lire, en fait. Je ne les ai pas toutes listées, je n'ai pris en exemple que celles qui se voyaient le plus mais j'en ai vu d'autres.
Surtout, que ce ne sont pas des petites fautes d'orthographe ou de frappe. Celles-ci sautent aux yeux.
De plus, un petit (pas si petit que ça...) soucis de réalisme : New-York qui fait visiblement la taille d'un village perdu dans le trou des fesses du monde. C'est pas du tout réaliste.
Aussi, le fait que toutes les filles soient jalouses d'Elena parce qu'elles sont absolument toutes attirées par Teagan je trouve ça ridicule et pas crédible pour un sou.
On va maintenant passer aux personnages...
Teagan qui dit d'un mec qui passe son temps à mater des femmes qu'il est un dégueulasse... Dès les premières pages du premier tome Teagan mate Elena donc clairement dire qu'un mec qui mate est dégueulasse alors que lui fait pareil c'est plus qu'idiot.
Teagan atteint vraiment des sommets en matière de débilité. J'ai eu envie de le gifler.
C'est dingue comme je le trouve pathétique. il est bête au possible ce mec, je ne le supporte pas.
J'ai plus apprécié Elena dans ce tome (au début seulement). Elle m'a touchée. Je comprends tout à fait qu'elle soit incapable de parler de ce qui lui est arrivée. J'ai trouvé ça réaliste. Certain.e.s n'arrivent pas à en parler avant des années voire jamais.
Je l'ai trouvée courageuse aussi. J'ai bien aimé la suivre et être de son point de vue. Bon, par contre, il y a toujours ce problème de comportements illogiques elle ne veut pas attirer l'attention, elle baisse la tête et tout puis elle va répondre au prof' en toute insolence... Quand on choisit le caractère d'un personnage, il faut le garder jusqu'au bout.
De plus, je n'ai pas aimé sa façon de penser quand elle se dit :
"Elle n'est pas aussi vilaine que tout le monde le dit, en fait. Elle est même plutôt jolie pour une gothique."
Le "pour une gothique" est très limite mais le pire vient après :
"Je crois que Ben a raison : sans tout son maquillage et ses vêtements bizarres, elle serait très jolie" (page 348)
Juste non. D'où elle se permet ce genre de réflexion ? Qu'elle laisse les gens s'habiller comme ils veulent, non ?
"La gothique n'est pas maquillée et elle ne porte rien de noir. Elle est bien plus jolie comme ça." (page 467)
Est-ce qu'on t'a demandé ton avis à un moment donné ? La réponse est non. Donc ferme-la, Elena ! Au début du bouquin je l'appréciais bien et voilà qu'elle se comporte en connasse ! Qu'est-ce que ça fait passer comme message encore... Et, à nouveau, ces phrases sont absolument inutiles à l'intrigue. C'est juste de la méchanceté gratuite.
C'est le SEUL personnage qui a un style vestimentaire suffisamment original pour que l'auteure prenne la peine de le décrire, et elle fait en sorte que ses personnages le critiquent ?
Mais oui, suis-je bête ! Pouvoir s'exprimer par notre façon de s'habiller/se maquiller, pouvoir être original.e et pouvoir être soi-même, quelle idée ! Non, bien sûr, il faut être comme tout le monde. Surtout, ne pas sortir du cadre.
Morale de Adopted love : pour être "joli.e" et accepté.e il faut être mince, neurotypique et s'habiller comme les autres. Super morale ! On devrait mettre ces livres entre les mains de tous.
(J'espère que vous sentez bien l'ironie...)
J'ai plus apprécié le père que j'ai trouvé touchant et moins lourd.
J'ai bien aimé Jo' mais j'aurais voulu qu'on le voit plus, justement.
J'aurais voulu le voir au moins autant que Mary j'ai apprécié cette femme.
J'ai été particulièrement touchée par le moment où
J'ai trouvé la fin bâclée et mal écrite.
Alors que pendant presque 500 pages l'intrigue n'avance pas, d'un seul coup tout se résout très vite, très facilement, en quelques pages à peine c'est plié et tout est bien qui finit bien.
En conclusion, pendant la première moitié du roman environ ce tome 2 est quand même meilleur que le tome 1 malheureusement ça se gâte sur l'autre moitié. Et encore une fois les messages passés ici ne sont pas tops. Ils sont même bien pourris. Je ne saurais pas dire si je suis énervée ou si ça me désole tout simplement de lire ce genre de choses et de voir que les mentalités ne changent pas...
Je ne lirai pas le troisième tome pour des raisons évidentes. Ni même quoi que ce soit d'autre écrit par Gaïa Alexia. Il est hors de question que je soutienne ce genre d'auteur.e.
Ce tome est simplement oufissime, tout comme cette trilogie.
L'auteure a encore une fois réussi à m'énerver, à me faire sourire et à me faire pleurer. J'ai commencé à pleurer lors du prologue et j'ai terminé lors de l'épilogue.
Je suis vraiment heureuse de l'évolution de Teag à travers ce roman et d'ailleurs Dave, ce nouveau personnage auquel je me suis attachée par sa gentillesse et sa bonté, n'y était pas pour rien. J'ai vraiment adoré leur duo, et rien que pour ça, lisez ce 3ème tome si vous hésitez encore.
J'ai également apprécié la force avec laquelle Elena se battait chaque jour pour aller au lycée et j'ai adoré la manière dont Sally l'a aidée. Ces personnages sont tous aussi attachants les uns que les autres.
Gros cœur sur Benito, la famille d'Elena, et sur Sollis qui ont été là pour les soutenir.
Je suis ravie que Teag ait pu rencontrer des membres de sa famille et qu'il ait enfin découvert la vérité sur ses parents.
Je suis si triste de quitter Teagan et Elena, ils vont me manquer mais ils méritent que du bonheur !
L'auteure a encore une fois réussi à m'énerver, à me faire sourire et à me faire pleurer. J'ai commencé à pleurer lors du prologue et j'ai terminé lors de l'épilogue.
Je suis vraiment heureuse de l'évolution de Teag à travers ce roman et d'ailleurs Dave, ce nouveau personnage auquel je me suis attachée par sa gentillesse et sa bonté, n'y était pas pour rien. J'ai vraiment adoré leur duo, et rien que pour ça, lisez ce 3ème tome si vous hésitez encore.
J'ai également apprécié la force avec laquelle Elena se battait chaque jour pour aller au lycée et j'ai adoré la manière dont Sally l'a aidée. Ces personnages sont tous aussi attachants les uns que les autres.
Gros cœur sur Benito, la famille d'Elena, et sur Sollis qui ont été là pour les soutenir.
Je suis ravie que Teag ait pu rencontrer des membres de sa famille et qu'il ait enfin découvert la vérité sur ses parents.
Je suis si triste de quitter Teagan et Elena, ils vont me manquer mais ils méritent que du bonheur !
J'ai pu découvrir la trilogie Adopted love peu avant la sortie du deuxième tome. Comment vous dire que l'attente de la sortie du 2ème et 3ème tome était insoutenable.
Adopted Love est une histoire peu commune, les péripéties qu'encourent les protagonistes et leurs familles sont très prenant.
A travers ce livre j'ai l'impression d'être passée par toutes les émotions: la joie, la peur, la tristesse ( oui j'ai pleuré dans un des tomes), l'amour, la haine, la pitié et bien d'autres sentiments encore. J'aime beaucoup ressentir cela, lire ce genre de livre et avoir son cœur qui fait les montagnes russes en restant dans son lit est une sensation vraiment incroyable!!! C'est un livre que je relirais sûrement par la suite. Les protagonistes me manquent déjà beaucoup trop ( on s'y attaches vite vous verrez).
Merci à Gaia Alexia pour ces émotions.
Adopted Love est une histoire peu commune, les péripéties qu'encourent les protagonistes et leurs familles sont très prenant.
A travers ce livre j'ai l'impression d'être passée par toutes les émotions: la joie, la peur, la tristesse ( oui j'ai pleuré dans un des tomes), l'amour, la haine, la pitié et bien d'autres sentiments encore. J'aime beaucoup ressentir cela, lire ce genre de livre et avoir son cœur qui fait les montagnes russes en restant dans son lit est une sensation vraiment incroyable!!! C'est un livre que je relirais sûrement par la suite. Les protagonistes me manquent déjà beaucoup trop ( on s'y attaches vite vous verrez).
Merci à Gaia Alexia pour ces émotions.
Tout d’abord j’ai lu ce livre car il a vraiment fait polémique notamment sur tiktok. donc je me suis dit pourquoi pas le lire.
Au début j’appréciais le fait que cette histoire soit perçue du point de vu d’un homme (ou plutôt jeune homme vu son âge) pour une fois et non pas d’une écervelé de 17 ans qui ne sait décider entre deux garçons !
Le passé douloureux du personnage principal est malgré tout difficile à encaisser. Mais je trouve que ce personnage tombe de plus en plus dans le cliché au fur et à mesure de la lecture, ce qui est dommage car l’histoire de base était intéressante.
Le personnage d’Elena m’a horripilé! Elle m’énerve !!! Et pour ne rien arranger, le fait que teagan l’appelle “ma lionne” une fois voire plus par page... J’ai envie de L’EXPLOSER ! Elle ne fait que pleurer toutes les 10 pages et parfois, on se demande si elle n’est pas bipolaire. Je ne nie pas que ses problèmes sont touchants, cependant je trouve qu’elle est dure à vivre.
Bref hormis les personnages, le dénouement est... pas mal. Je dois avouer que j’ai survoler les 50 dernières pages car l’intrigue n’avançait pas assez à mon goût. Juste en lisant les dialogues on peut tout comprendre... ce qui montre parfois le superflus de certains chapitres.
Je suis déçue de ce livre vu la polémique faite à son sujet. Je ne lirai pas les autres tomes car je n’ai pas vraiment pas été emballée par l’histoire et les personnages.
Cela reste mon avis personnel, mais je trouve que ce livre reflète vraiment le stéréotype de la fiction Wattpad haha !
Au début j’appréciais le fait que cette histoire soit perçue du point de vu d’un homme (ou plutôt jeune homme vu son âge) pour une fois et non pas d’une écervelé de 17 ans qui ne sait décider entre deux garçons !
Le passé douloureux du personnage principal est malgré tout difficile à encaisser. Mais je trouve que ce personnage tombe de plus en plus dans le cliché au fur et à mesure de la lecture, ce qui est dommage car l’histoire de base était intéressante.
Le personnage d’Elena m’a horripilé! Elle m’énerve !!! Et pour ne rien arranger, le fait que teagan l’appelle “ma lionne” une fois voire plus par page... J’ai envie de L’EXPLOSER ! Elle ne fait que pleurer toutes les 10 pages et parfois, on se demande si elle n’est pas bipolaire. Je ne nie pas que ses problèmes sont touchants, cependant je trouve qu’elle est dure à vivre.
Bref hormis les personnages, le dénouement est... pas mal. Je dois avouer que j’ai survoler les 50 dernières pages car l’intrigue n’avançait pas assez à mon goût. Juste en lisant les dialogues on peut tout comprendre... ce qui montre parfois le superflus de certains chapitres.
Je suis déçue de ce livre vu la polémique faite à son sujet. Je ne lirai pas les autres tomes car je n’ai pas vraiment pas été emballée par l’histoire et les personnages.
Cela reste mon avis personnel, mais je trouve que ce livre reflète vraiment le stéréotype de la fiction Wattpad haha !
Mon avis va s'en doute être assez proche de ma chronique du 1er tome, car j'ai tout autant adoré cette lecture. Cette duologie est un coup de coeur. Gaïa Alexia a joué avec une main de maître pour nous confectionner 2 pépites d'or.
Si le 1er était plus introductif celui-ci nous projette au cœur de l'action et des péripéties. On n'a pas une minute de repos tant on voyage de monde en monde. Il n'y a pas moyen de s'ennuyer. On est pris par ce récit et il n'y a aucun moyen de s'arrêter
J'ai tout autant aimé les personnages dans ce roman. On fait la rencontrer d'un Mane qui combat la douleur malgré son intensité. On fait face à une Nola qui se relève et redevient la déesse forte qu'elle a pu être. Et on retrouve les personnages secondaires qui sont toujours là pour aider la nuit et la lune à affronter leurs demons.
J'avoue m'être douté un peu plus de certaines choses dans celui-ci mais ça ne m'en a en rien enlevé le bonheur de le lire. J'ai adoré la légèreté et l'humour présent dans le couple Mane et Nola.
On poursuit notre chemin dans les légendes, les mythes de la mythologie nordique. On suit l'auteure dans ses idées et dans son monde extraordinaire. Une duologie qui se lit plus que rapidement. Elle se laisse manger en quelques heures. J'espère voir un spin off sur Ella et Kyle voir le jour
Si le 1er était plus introductif celui-ci nous projette au cœur de l'action et des péripéties. On n'a pas une minute de repos tant on voyage de monde en monde. Il n'y a pas moyen de s'ennuyer. On est pris par ce récit et il n'y a aucun moyen de s'arrêter
J'ai tout autant aimé les personnages dans ce roman. On fait la rencontrer d'un Mane qui combat la douleur malgré son intensité. On fait face à une Nola qui se relève et redevient la déesse forte qu'elle a pu être. Et on retrouve les personnages secondaires qui sont toujours là pour aider la nuit et la lune à affronter leurs demons.
J'avoue m'être douté un peu plus de certaines choses dans celui-ci mais ça ne m'en a en rien enlevé le bonheur de le lire. J'ai adoré la légèreté et l'humour présent dans le couple Mane et Nola.
On poursuit notre chemin dans les légendes, les mythes de la mythologie nordique. On suit l'auteure dans ses idées et dans son monde extraordinaire. Une duologie qui se lit plus que rapidement. Elle se laisse manger en quelques heures. J'espère voir un spin off sur Ella et Kyle voir le jour
Je n'ai malheureusement pas aimé ce tome 2, j'ai été très déçue par le comportement d'Elena. J'aurai aimé que ce qu'il se passe à la fin arrive bien plus tôt, car j'ai trouvé ce tome beaucoup trop long, on a beaucoup tourné en rond avec Elena. Je lirai le tome 3 pour terminer la saga, en espérant l'apprécier beaucoup plus
Au début, j’ai eu beaucoup de mal à rentré dans l’histoire mais au fur et à mesure que l’on apprend à connaître les personnages on s’y attache. Je trouvais aussi le personnage de Nola très agaçant et m’empêchait d’avancer sans l’histoire.
Le personnage de Mane par contre est plus intriguant, le beau gosse ténébreux.
Mais je n’ai pas eu les réponses à mes questions qui est fait exprès par l’auteur qui veux nous en apprendre plus dans le tome 2.
Le personnage de Léo m’intrigue aussi car quand elle rencontre l’homme mystère de ses rêves, on en entend plus vraiment parler et je trouve ça dommage justement car il est louche comme personnage.
J’adorais déjà la mythologie et donc en découvrir davantage sur la mythologie nordique autre que celle que l’on a vu dans les marvels m’ont intéressé encore plus.
Vraiment hâte de découvrir la suite.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Le personnage de Mane par contre est plus intriguant, le beau gosse ténébreux.
Mais je n’ai pas eu les réponses à mes questions qui est fait exprès par l’auteur qui veux nous en apprendre plus dans le tome 2.
Le personnage de Léo m’intrigue aussi car quand elle rencontre l’homme mystère de ses rêves, on en entend plus vraiment parler et je trouve ça dommage justement car il est louche comme personnage.
J’adorais déjà la mythologie et donc en découvrir davantage sur la mythologie nordique autre que celle que l’on a vu dans les marvels m’ont intéressé encore plus.
Vraiment hâte de découvrir la suite.
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Roman sans surprise. Le seul point positif est que ça se lit vite. Beaucoup de grossièretés pour pas grand chose ça ma gonflé un peu.
La détresse de Teag, mon dieu ! Quelle horreur.
J'aimerais pouvoir être dans l'histoire afin de le motiver à nous livrer ses émotions, ses sentiments, la vérité. J'aurais aimé le sauver. J'ai détesté Elena, oh que oui, mais je la comprenais à la fois ; elle était partagée et c'est si difficile de choisir entre amour et famille. Les deux sont le pilier de l'existence.
Mais la vérité triomphe toujours, ainsi que l'amour et l'amitié...
En attendant le tome 3...
J'aimerais pouvoir être dans l'histoire afin de le motiver à nous livrer ses émotions, ses sentiments, la vérité. J'aurais aimé le sauver. J'ai détesté Elena, oh que oui, mais je la comprenais à la fois ; elle était partagée et c'est si difficile de choisir entre amour et famille. Les deux sont le pilier de l'existence.
Mais la vérité triomphe toujours, ainsi que l'amour et l'amitié...
En attendant le tome 3...
Je n'ai pas apprécié ma lecture : une mise en page pas terrible, une histoire certes originale mais mal exploitée et trop longue à démarrer et des personnages sans intérêt. La relation entre Nola et Mane m'a laissé de marbre. Assez déçue de Gaïa Alexia pour le coup...
Lien : https://derivedelivres.home...
Lien : https://derivedelivres.home...
Je viens de terminer ce livre et je prends juste le temps de poster mon avis avant de sauter sur la suite.
L'histoire est très prenante malgré quelques longueurs et autres moments brouillons.
On suit ici Nola Nott, étudiante en Master et insomniaque volontaire afin d'échapper à ses cauchemars.
Les personnages sont sympathiques quoi qu'un peu bâclés.
Ça ne m'empêche pas de m'attaquer directement au second tome.
A lire si vous êtes adeptes de Romance
L'histoire est très prenante malgré quelques longueurs et autres moments brouillons.
On suit ici Nola Nott, étudiante en Master et insomniaque volontaire afin d'échapper à ses cauchemars.
Les personnages sont sympathiques quoi qu'un peu bâclés.
Ça ne m'empêche pas de m'attaquer directement au second tome.
A lire si vous êtes adeptes de Romance
La fin du tome 1 m’avait laissée dans tous mes états et j’avais décidé d’attendre avant de continuer la duologie Adopted love, de peur de ce qu’annonçait ce second tome. C’est finalement presque un an plus tard que je me suis replongée dans l’histoire d’Elena et Teagan. Encore une fois, Gaia Alexia m’a prise aux tripes ; j’ai peut-être été moins dérangée que pour le premier opus par les réflexions en dessous de la ceinture et, si certains passages m’ont un peu fait lever les yeux au ciel, c’est avec une angoisse constate que j’ai suivi la descente aux enfers de Teag.
Comme d’habitude, je vais essayer de ne pas spoiler l’intrigue, mais cela n’est vraiment pas évident sur un second tome !
L’auteure réussit à merveille à faire passer son texte avec très peu de dialogues puisque Teag est muet (ou en tout cas dans un état mutique car il arrive à parler à certaines personnes) ; nous avons donc beaucoup de descriptions et les pensées de Teagan nous permettent d’avoir un semblant de discussion à sens unique. Si parfois les dialogues sont essentiels pour moi, ici, leur absence passe presque inaperçue et nous sommes tellement plongés dans l’univers construit par Alexia que le roman se dévore littéralement ! Nous sommes à nouveau saisis par l’injustice, le combat du bien contre le mal ou plutôt, malheureusement, du pouvoir/argent contre la justice. Ce que l’on lit fait peur et si Adopted love est une fiction, je ne doute pas que ce genre de situation puisse exister dans les hautes sphères : faire condamner un innocent pour sauver sa réputation en faisant jouer ses contacts.
Si je n’ai pas toujours compris les réactions d’Elena, et que j’ai parfois eu envie de la secouer, Gaia Alexia décortique tellement bien l’état psychologique de ses personnages qu’elle a pu tout me vendre ! On en arrive à accepter quelque chose qui nous semble aberrant parce qu’on fait corps avec le personnage. Si Adopted love est tellement prenant, c’est essentiellement grâce à ses personnages, que ce soit ses héros (Elena et Teag) complétement détruits et enfermés dans une spirale qui semble ne leur laisser aucune chance, ou les personnages secondaires qui leur apportent aide et soutien.
Comme dans le premier tome, j’ai particulièrement aimé Benito, qui derrière son air de joyeux luron n’a pas eu la vie facile ; il tourne beaucoup les choses en dérision, dit tout ce qui lui passe par la tête et voue une amitié sans faille à Teag. Il a encore su me faire sourire et alléger un peu mon angoisse ! Mention spéciale également au papa d’Elena, avec qui la communication est coupée mais qui, lorsque le moment est venu, saura faire preuve d’une grande volonté. Et Solis… beaucoup moins présente dans ce tome 2, sa relation avec Teag, qu’elle considère comme son fils est magnifique, on « comprend » un peu mieux ce qui s’est passé dans la tête du petit garçon de l’époque et pourquoi il n’a pas pu être adopté.
Ce sont tout un tas d’émotions qui m’ont assaillies durant ma lecture ! La relation de Taeg et Elena est épique, de celle qui ne peut être brisée, le destin de deux âmes brisées qui ne peuvent aller bien qu’ensemble ; ils sont le remède l’un de l’autre et, chacun muré dans son silence, souffre pour l’autre. Gaia Alexia ne ménage pas du tout ses personnages et Teag a vraiment une poisse monumentale, notamment avec un personnage nocif qui le suit tout au long de son existence. Il est rempli de colère et se sent totalement impuissant face à ce qui lui arrive. J'ai bien aimé le fait que l'auteure ne le fasse pas tout puissant; il a peur et il le dit même s'il sait qu'il ne doit pas le monter. On peut ressentir toute sa détresse et une réelle empathie se crée avec son personnage.
J’ai beaucoup aimé la leçon sur les apparences : un orphelin tatoué et coupable de petits larcins ne peut être que coupable de ce que l’accuse les fils de… mais le jugement sur les apparences ne s’arrête pas là puisque lui-même produira la même erreur avec son co-détenu. Co-détenu qui m’a également beaucoup marqué, par son histoire hyper émouvante et par son comportement vis-à-vis de Teagan. J’ai également été bluffée par le procès et la façon dont les choses peuvent être interprétées, déformées, selon le point de vue que l’on adopte. La procureure a été particulièrement époustouflante dans sa dénigration. Je ne sais pas si tous les aspects légaux en terme de détention, procès… ont été respectés par l’auteure mais je vous avoue que je ne me suis pas trop attardée là-dessus, toute prise à ma lecture.
Je l’ai terminé il y a quelques jours, et pourtant Teag et Elena m’habitent toujours ; c’est une série marquante, émouvante, inspirante. Il y a quelques défauts certes, le langage parfois, des choses un peu redondantes d’autres fois mais wow !
Lien : https://sawisa.wixsite.com/y..
Comme d’habitude, je vais essayer de ne pas spoiler l’intrigue, mais cela n’est vraiment pas évident sur un second tome !
L’auteure réussit à merveille à faire passer son texte avec très peu de dialogues puisque Teag est muet (ou en tout cas dans un état mutique car il arrive à parler à certaines personnes) ; nous avons donc beaucoup de descriptions et les pensées de Teagan nous permettent d’avoir un semblant de discussion à sens unique. Si parfois les dialogues sont essentiels pour moi, ici, leur absence passe presque inaperçue et nous sommes tellement plongés dans l’univers construit par Alexia que le roman se dévore littéralement ! Nous sommes à nouveau saisis par l’injustice, le combat du bien contre le mal ou plutôt, malheureusement, du pouvoir/argent contre la justice. Ce que l’on lit fait peur et si Adopted love est une fiction, je ne doute pas que ce genre de situation puisse exister dans les hautes sphères : faire condamner un innocent pour sauver sa réputation en faisant jouer ses contacts.
Si je n’ai pas toujours compris les réactions d’Elena, et que j’ai parfois eu envie de la secouer, Gaia Alexia décortique tellement bien l’état psychologique de ses personnages qu’elle a pu tout me vendre ! On en arrive à accepter quelque chose qui nous semble aberrant parce qu’on fait corps avec le personnage. Si Adopted love est tellement prenant, c’est essentiellement grâce à ses personnages, que ce soit ses héros (Elena et Teag) complétement détruits et enfermés dans une spirale qui semble ne leur laisser aucune chance, ou les personnages secondaires qui leur apportent aide et soutien.
Comme dans le premier tome, j’ai particulièrement aimé Benito, qui derrière son air de joyeux luron n’a pas eu la vie facile ; il tourne beaucoup les choses en dérision, dit tout ce qui lui passe par la tête et voue une amitié sans faille à Teag. Il a encore su me faire sourire et alléger un peu mon angoisse ! Mention spéciale également au papa d’Elena, avec qui la communication est coupée mais qui, lorsque le moment est venu, saura faire preuve d’une grande volonté. Et Solis… beaucoup moins présente dans ce tome 2, sa relation avec Teag, qu’elle considère comme son fils est magnifique, on « comprend » un peu mieux ce qui s’est passé dans la tête du petit garçon de l’époque et pourquoi il n’a pas pu être adopté.
Ce sont tout un tas d’émotions qui m’ont assaillies durant ma lecture ! La relation de Taeg et Elena est épique, de celle qui ne peut être brisée, le destin de deux âmes brisées qui ne peuvent aller bien qu’ensemble ; ils sont le remède l’un de l’autre et, chacun muré dans son silence, souffre pour l’autre. Gaia Alexia ne ménage pas du tout ses personnages et Teag a vraiment une poisse monumentale, notamment avec un personnage nocif qui le suit tout au long de son existence. Il est rempli de colère et se sent totalement impuissant face à ce qui lui arrive. J'ai bien aimé le fait que l'auteure ne le fasse pas tout puissant; il a peur et il le dit même s'il sait qu'il ne doit pas le monter. On peut ressentir toute sa détresse et une réelle empathie se crée avec son personnage.
J’ai beaucoup aimé la leçon sur les apparences : un orphelin tatoué et coupable de petits larcins ne peut être que coupable de ce que l’accuse les fils de… mais le jugement sur les apparences ne s’arrête pas là puisque lui-même produira la même erreur avec son co-détenu. Co-détenu qui m’a également beaucoup marqué, par son histoire hyper émouvante et par son comportement vis-à-vis de Teagan. J’ai également été bluffée par le procès et la façon dont les choses peuvent être interprétées, déformées, selon le point de vue que l’on adopte. La procureure a été particulièrement époustouflante dans sa dénigration. Je ne sais pas si tous les aspects légaux en terme de détention, procès… ont été respectés par l’auteure mais je vous avoue que je ne me suis pas trop attardée là-dessus, toute prise à ma lecture.
Je l’ai terminé il y a quelques jours, et pourtant Teag et Elena m’habitent toujours ; c’est une série marquante, émouvante, inspirante. Il y a quelques défauts certes, le langage parfois, des choses un peu redondantes d’autres fois mais wow !
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