Gaia Alexia

J'ai devore ce premier tome. il est genial. je le recommande. L'histoire change vraiment de tout ce que je connais. J'adore cette auteur.

jJ'ai bien aime ce livre cette histoire est magique. jai adore je recommande.

UN SECOND TOME A LA HAUTEUR DE MES ATTENTES…

Alexia Gaia a su me captiver avec ce second opus qui nous offre des sensations intenses. Je vous avoue, que je ne pensais pas que j’aimerais autant cette saga. J’ai tenté l’aventure sans savoir où je mettais les pieds et je ressors totalement sous le charme de cette saga.



J’ai adoré l’univers et les personnages qui m’ont offert une histoire atypique qui repose sur une mythologie nordique très bien exploitée.



QUAND NOTRE DÉESSE AFFRONTE SA DESTINÉE !

Nola a enfin certaines réponses… Elle va devoir affronter sa destinée, prendre les choses en main pour garder Mane a ses côtés.



Nola a beaucoup évolué, j’ai aimé son tempérament, elle se remet en question, elle recouvre certains souvenirs qui lui permettent enfin de savoir ce qu’elle veut !



Mane est impressionnant dans cette suite, aux prises avec la dualité de ses sentiments pour Nott. Nos héros rentrent totalement dans leur univers mythologique qui flirte avec notre réalité. C’est avec brio qu’Alexia Gaia a su s’approprier un univers complexe avec une histoire ancrée dans notre société actuelle.



Les personnages secondaires ont la part belle et je dois dire que j’ai adoré les retrouver !



UNE ROMANCE ATYPIQUE ET UNIQUE…

J’ai particulièrement aimé que la romance soit si atypique. Le scénario est très bien ficelé, je trouve que l’autrice s’est aventuré sur des chemins que personne n’emprunte, et elle a réussi à nous offrir une histoire d’amour surprenante.



Ici elle fait travailler notre imagination. Les descriptions nous en mettent plein les yeux, les sentiments sont poussés à leur paroxysme et nos héros composent avec leur quête du bonheur.



Cette romance a un côté aventureux que j’ai adoré, l’intrigue ne se cantonne pas à l’amour, non on est vraiment dans un univers recherché et travaillé. C’est une grande aventure avec beaucoup d’action et de réflexion.



EN BREF :

Cette duologie a su me captiver. Les deux tomes sont vraiment complémentaires et nous offrent une belle continuité dans l’histoire. Alexia Gaia a su s’appuyer sur des éléments mythologiques existants pour nous proposer une fiction addictive et singulière. L’autrice est toujours là où ne l’attend pas, elle use de son imagination pour captiver son lectorat. Cette saga est une belle surprise que je suis ravie d’avoir lu !



A lire si vous aimez…



Les duologies qui mêlent romance et univers fantastiques.

Les héroïnes en quête de vérité.

Les romance singulières et addictive.

Les aventures pleines de rebondissements.

Ayant découvert Gaïa Alexia, ou plutôt sa plume, tardivement avec la parution de son dernier roman Le marchand de sable et devant la rencontrer dans le cadre d’une interview prévue pour le magazine Lovers’, j’ai décidé de combler mes lacunes en m’intéressant d’un peu plus près à la bibliographie de l’autrice. C’est donc ainsi que j’ai fait la connaissance de Célia et de son mystérieux client de 11h05, et ai plongé dans le premier volet de la trilogie Baby Random.



Tous les jours à 11h05 précises, il pousse la porte du café et commande toujours la même chose. Et tous les jours le cœur de Célia manque un battement parce que son client de 11h05 est beau à mourir malgré son attitude odieuse et son absence totale d’intérêt pour elle. Jusqu’au jour où le destin s’en mêle et où Célia se retrouve nez-à-nez avec son client mystère dans un tout autre décor et un tout autre contexte. Contexte qui pourrait bien les entraîner tous les deux dans une situation qu’ils étaient loin d’avoir prévu et qui risque de les lier à vie.



J’ai passé un super moment de lecture en compagnie de Célia, Roman et tout le reste des personnages de cette romance pas comme les autres. En effet Roman et Célia ont l’art et la manière de faire les choses dans le désordre et un talent certain pour se compliquer la vie, ce qui va les entraîner d’un bout à l’autre du livre dans des situations aussi complexes que périlleuses sur le plan sentimental mais pas que.



J’ai aimé Célia, son courage, sa ténacité, son envie de s’en sortir malgré des débuts difficiles dans la vie, une famille pas très équilibrée et une relation précédente qui lui a laissé des bleus à l’âme bien longtemps après que ceux sur son corps se soient effacés. J’ai aimé Roman, son arrogance mais également son côté doux, son sex appeal, sa façon de lutter de toutes ses forces contre sa famille elle aussi bien merdique, et pour conserver le peu de liberté qu’il lui reste.



Mais j’ai aussi aimé les autres personnages de cette histoire, à commencer par Mona, la voisine et grand-mère de substitution de Célia prête à tout pour aider la jeune fille quitte à lui lancer des insultes pleines d’affection. J’ai aimé Béni, le compagnon de Scrabble de Mona, un adorable vieux monsieur. Et j’ai aimé détester certains personnages : Max le patron de Célia qui la drague ouvertement et est un peu trop propre sur lui pour être honnête, l’odieux père de Roman et la toute aussi odieuse mère de Célia qui semblent lancés dans un concours du parent le plus odieux. Gaïa Alexia nous présente un panel de personnages imparfaits mais réalistes.



J’ai également aimé les sujets évoqués dans ce roman qui comme son nom l’indique parle bel et bien de grossesse, vous vous en doutiez. L’autrice soulève des points et des thématiques importantes comme le cas du déni de grossesse, ses raisons et ses conséquences pour la mère et l’enfant. Mais aussi la solitude dans laquelle sont bien souvent plongées les mères jugées seules responsables d’un être dont il a fallu être deux pour assurer la conception. Que faire de cet enfant ? Comment lui assurer le meilleur avenir ? Comment vivre en sachant que la décision ne nous impactera pas seulement nous mais aussi un petit humain innocent ? Des questions compliquées, difficiles et douloureuses, et autant d’émotions que Gaïa Alexia nous fait ressentir à merveille.



Car si le début de cette romance pas comme les autres se veut léger, piquant et drôle, on est vite rattrapé par les angoisses et les doutes de Célia que l’autrice nous dépeint à merveille, au point qu’on a l’impression de les vivres et que l’on a qu’une envie c’est prendre Célia dans nos bras et lui assurer que tout ira bien, que tout va bien se passer. Et quand s’ajoute à cela d’autres moments douloureux, on ne peut qu’être submergés en même temps que les personnages par la vague d’émotions qui les enveloppent et menace de tout détruire sur son passage.



Ce premier tome est un roman sans temps morts, qui ne laisse ni au personnages ni au lecteur aucune minute de répit et nous lance dans un véritable grand-huit émotionnel jusqu’à la toute dernière page. Et l’histoire se clôt sur une révélation qui ne nous donne qu’une seule envie : celle de nous jeter immédiatement sur le second tome des aventures de Célia, Roman et leur baby random pour voir comment ils vont s’en sortir.
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J'ai eu un peu de mal au début avec le premier tome. Par contre j'ai été conquise avec le ce second opus et j'avais hâte de connaître le dénouement de l'histoire et surtout le sort de Teagan.

UN FINAL UN PEU FACILE APRES TOUT CE QUE NOS HÉROS ONT TRAVERSES !

A la fin du second opus, j’ai pris la décision de poursuivre la saga pour connaître le dénouement final malgré ma déception sur celui-ci.



J’avais vraiment envie de savoir ce qui allait arriver à Célia, Roman et Lou. Je ne pouvais pas rester sur des suppositions. En débutant ce tome final, je n’avais aucune attente, je voulais simplement aller au bout de l’histoire.



Je savais plus ou moins que je n’allais pas revenir sur mon avis du second tome, les bémols que j’avais noté étaient toujours très présents dans ce troisième tome.



UN VIRAGE A 180° !

Je dois avouer que l’autrice a fait des choix audacieux. L’intrigue prend un virage à 180° dans ce troisième tome et apporte pas mal de changement à la dynamique de l’histoire. Célia se retrouve au pied du mur, seule et isolée. Le contrat qu’elle a signé ne lui aura apporté que des ennuis… Mais elle est prête à tout pour retrouver sa fille, même signer un pacte avec le diable.



Ce qui m’a plu dans ce troisième tome c’est que l’autrice nous offre enfin des réponses avec des situations assez captivantes. Le scénario est vraiment très riche en rebondissements et à mes yeux cela constitue encore un bémol parce que j’ai eu l’impression que l’histoire partait dans tous les sens. J’aurais aimé que l’on se concentre sur l’évolution de la relation de Roman et Célia. J’avais besoin qu’ils apprennent à se connaître, qu’ils soient ensemble pour les bonnes raisons…



UNE ROMANCE ATYPIQUE.

Le moins que l’on puisse dire c’est que la dynamique amoureuse est atypique. Alexia Gaia a su sortir des sentiers battus en proposant un contexte amoureux particulier. Elle n’aura hélas pas réussi à m’apprivoiser. L’histoire d’amour aurait pu me plaire si elle avait été moins bancale.



A mes yeux, Célia et Roman ne se sont découvert que sur la fin de ce troisième opus et c’était pour moi un peu trop tard pour que je m’attache à eux et à leur histoire.



UNE PLUME MODERNE ET ADDICTIVE !

Je ne remets absolument pas en question l’écriture d’Alexia Gaia que je trouve toujours aussi addictive et moderne. Franchement j’ai dévoré ces trois tomes et j’aurais vraiment voulu apprécier l’histoire de Célia à sa juste valeur, je pense tout simplement que c’est simplement une affaire de goût. J’ai peut-être été un peu trop critique à propos de cette trilogie mais c’est simplement parce que je n’ai pas adhéré à ce que j’ai lu.



Un ressenti c’est vraiment personnel, je sais d’ors et déjà que la saga a remporté un vif succès auprès des lectrices, je vous invite donc à découvrir ce récit, qui sait, il vous emportera peut-être autant que les autres lectrices.



EN BREF :

Un final un peu facile et convenu. Même si j’ai été surprise par certains éléments de l’histoire je suis restée hermétique à toutes les émotions que j’aurais dû ressentir. La saga Baby Random n’était pas faite pour moi, je ne regrette pas de l’avoir lu car j’aime me faire ma propre idée d’une histoire et la plume d’Alexia Gaia méritait toute mon attention. Je suis la première navrée de ne pas avoir été emballée par l’histoire de Célia et Roman. Maintenant, à vous de foncer pour vous faire votre propre avis ^^
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J'avais tellemnt aime le premier tome et je ne suis vraiment pas décue de ce deuxieme tome. Teag et elena sont vraiment des personnages que j'ai apprecie. Beaucoup d'amour, d'espoir et de tolérance. Certains passages sont assez durs mais tellement dans une histoire réelle

Je me suis ennuyée ferme....



Et bien oui, désolé, mais Adopted Love n'a pas su me séduire, me happer. Il m'a fallu trois jours pour venir à bout de ce roman, alors que je déteste laisser une lecture en suspend; et encore, j'ai lu la plupart des chapitres en diagonales.



Alors commençons par le positif, car il y en a, l'humour, les réparties, et les personnages secondaires m'ont bien bottée. Mention spécial à Daniel, un père plutôt cool quand on y pense.



Hélas cela ne suffis pas. Le langage familier et le manque de vocabulaire m'a rebuté dès les premiers chapitres. Après quoi le jeu du chat et de la sourie m'a lassé, car l'histoire cousue de fil blanc ne laissait aucun doute quant au dénouement de ce jeu, de ce tome et même sur les intrigues du passé. A mon sens cette histoire est du réchauffé, du déjà vu et il me manque de l'originalité pour accrocher. Quant à nos deux personnages, entre une Elena bipolaire et un Teagan caricature de lui-même autant vous dire que j'ai haussé les yeux au ciel plus d'une fois. Certains passages frôlant même l'inutilité à force de répétition.



En bref, ça aurait pu... mais ça ne l'a pas fait !



Bonne lecture à tous.

🌸 Mon avis :



Ok ! J’ai été transporté par cette histoire entre le thriller et la romance !



Dans cette histoire ne croyez pas tout ce que l’on vous raconte ! Avoir l’esprit ouvert est très important ! En effet, cette lecture nous offre des rebondissements, des révélations, de l’amour mais aussi et surtout une enquête !



Nous suivons Bilal et Emma, dans leur rencontre pas commune ! Mais nous suivons aussi l’enquêteur, les interrogatoires.



Je dois reconnaître que l’autrice a très bien ficelé cette histoire ! Je reconnais avoir vers le milieu du livre compris quelque chose qui s’est avérée vrai mais j’ai aussi été très surprise par d’autres révélations !



Attention, cette histoire ne parle pas que de romance ! Mais comment vous dire que cette lecture était énergique 🔥 Je recommande car l’autrice a su me transporter dans cette enquête 🫶

On retrouve Teagan, dans le combat qui mènent en prison, accusé à tort pour la tentative de viol sur sa petite amie. J'ai aimé retrouver Elena, Teag et Ben qui s'entraident les uns et les autres, et où l'on découvre de nouveaux trait de caractères à ses trois là. Benito qui est un vrai soutien pour Elena. Le fait que l'on découvre notre Teag plus sensible.



Cela m'a beaucoup plu même si le thème abordé est très dur à lire. On peut voir que l'amour est plus fort que tout et que le fait d'être bien entouré peux être plus facile à surmonter des épreuves. Et qu'après chaque étape difficile de notre vie, on devient tous des survivants, comme notre Lionne et notre lapin.



J'ai hâte de lire le tome 3.

Une histoire que j’ai lu lors de sa sortie, voilà quelques années. J’ai voulu découvrir cette BD car je trouve que les illustrations sont vraiment très belles, j’ai craqué pour la couverture et cette illustration de Teagan.



L’histoire de Adopted to love, c’est celle de Teagan, un jeune homme écorché par la vie qui va devoir se tenir à carreau après une ultime connerie et s’être une nouvelle fois confronté au juge. Il va être placé dans une famille aimante et accueillante. Mais la fille de famille n’est pas bien d’accord pour l’accueillir, elle est tout le temps sur la défensive voir même l’attaque, en colère perpétuellement et Teagan saisit vite qu’elle semble avoir vécu quelque chose qui occasionne ses réactions véhémentes. Il reconnait bien là la colère, celle qui l’habite depuis si longtemps.



Entre eux, ce sera tendu, un enemies to lovers qui les confronte l’un à l’autre à chaque instant, d’autant plus qu’ils doivent vivre ensemble. Et pourtant Elena semble être la seule à bien le comprendre, et cela créera petit à petit une sorte de complicité entre eux. A cela, ajouter une bonne dose d’attirance, mais aussi d’interdit et vous obtenez une relation assez explosive, d’autant plus que la situation l’est déjà bien assez.



Cette adaptation en illustré est plutôt bien réussie. Les illustrations sont belles, et évoquent bien les sentiments éprouvés par deux personnages écorchés par la vie. Le traitement des visages est bien représentatif de chaque moment de l’histoire. Le jeu des couleurs est splendide et attire le regard. J’ai beaucoup aimé la chaleur qui s’en dégage, d’autant plus que les souvenirs de Teagan sont traités dans des nuances plus sépia sur des doubles pages, contrastant ainsi avec le reste de l’histoire.



Un avis plus développé sur le blog :
Lien : https://www.livresavie.com/a..

Une adaptation en roman graphique qui tient toutes ses promesses dans son scénario qui reste très fidèle au roman malgré quelques réajustements obligatoires pour le condenser en BD. On n'a pas tout le tome 1, mais seulement une partie de cet opus, et heureusement, cela permettra de développer fidèlement cette magnifique histoire, j'espère jusqu'au bout des 3 romans.



J'ai vraiment flashé sur les dessins qui sont sublimes et expressifs. le chara-design des personnages est admirablement bien choisi pour tous les protagonistes. Les émotions ne marchaient pas aussi bien que dans le roman mais sont tout de même efficaces. Je me suis autant attachée aux personnages de la BD que du livre et happée par l'histoire.



Un début en BD génial. Trop hâte de la suite.

J’ai adoré ce livre ! J’ai mis la note de 4 sur 5. La lecture est fluide, simple et accessible !

J’ai tout de suite apprécier les personnages et leur histoire. J’ai beaucoup aimé Henri, son triste passé et les émotions qu’il combattait. J’ai aimé le caractère de Joana, j’imaginai complètement la parisienne en campagne !

Je n’ai pas mis 5 sur 5 car il me manquait un intrigue un peu plus profonde. Mais en soit ma lecture était un bon moment ! Je recommande se livre frais et divertissant !

Ok. Coup de cœur pour ce troisième tome !!



La plume n'a toujours pas changée, toujours aussi belle, fluide et agréable. Les personnages eux évoluent et nous offre une 3ème tome épic. Teagan est un personnage touchant et attachant, Elena elle se dévoile de plus en plus bref, c'est un duo magnifique que j'ai aimé suivre.



L'histoire elle nous offre des moments intenses où nos émotions ne font que des bons. C'est touchant et émouvant !



C'est toujours difficile de parler d'une suite mais encore plus quand elle clôture une belle histoire.



Je peux juste vous conseiller de lire cette histoire même si le 2ème tome était long.

J'ai déjà testé cette année, mais pas avec une franche réussite, l'une des incursions d'Hugo Roman dans les romances fantastiques et mythologique avec Hadès et Perséphone, qui ne m'avait pas entièrement convaincu. J'avais donc quelques appréhensions vis-à-vis du Marchand de sable malgré les excellents retours que j'en entendais, appréhensions que je n'aurais pas dû avoir car nous sommes sur un tout autre type de texte !





L'autrice, Gaia Alexia, est déjà connue pour plusieurs succès en new romance : Adopted Love et Baby Random. Reprenant ces codes, elle imagine ici une histoire qui flirte avec les codes de la romance estudiantine et les codes des romances paranormales, mais avec en prime une petite touchante mythologique fort appréciable qui nous embarque dans le Nord aux côtés d'Odin, Loki et leurs Valkyries, pour les personnages les plus connus.



Dans Hadès et Perséphone, j'avais trouvé un déséquilibre entre la romance et la mythologie, et c'est ce qui m'avait gênée. Ici, les deux sont inextricablement mélangés, l'un ne va pas sans l'autre, et comme dans Le Livre perdu des sortilèges, on suit un schéma avec une jeune étudiante naïve, qui a des problèmes qu'elle cache, et que le fantastique va bientôt percuter pour l'emmener dans un monde qu'elle n'imaginait pas. Classique mais toujours efficace sur moi quand c'est bien écrit.





J'ai beaucoup aimé découvrir le personnage de Nola, jeune étudiante en master en Histoire, qui n'ose plus dormir car dans ses rêves, fort réalistes, elle est poursuivi par un homme aussi séduisant qu'effrayant. Avec elle, j'ai beaucoup aimé me replonger dans l'ambiance de mes années d'études en Histoire, ayant moi-même suivi ce cursus, même si l'emploi du temps décrit ressemble plus à celui d'une étudiante en licence qu'en master, notre héroïne ne préparant pas de mémoire... Peut-être une petite erreur factuelle de l'autrice, ce qui est dommage parce que le reste est très juste. On y retrouve la charge de travail que ça exige, la fatigue que ça procure, les longs moments à travailler à la bibliothèque mais aussi en dehors les petits apparts pouilleux qu'on pouvait avoir, les rencontres qu'on faisait dans les résidences, les rendez-vous au café le matin, les soirées avec les potes pour se détendre un peu et les histoires de garçons bien sûr. C'est très réaliste.



Du coup, quand le fantastique vient se glisser inéluctablement dans l'histoire, on ne le voit pas forcément venir. Tout semble "normal" dans la vie de Nola, en dehors de ses cauchemars et ses insomnies. D'accord, sa prof de mythologie nordique est étrangement familière, d'accord le bar où elle va prendre un verre lui fait entrevoir quelque chose de singulier, d'accord il lui semble avoir vu dans la rue l'homme de ses cauchemars, mais quand même. Ah, quelle héroïne naïve ! J'ai adoré la façon dont l'autrice construit peu à peu le piège qui va faire basculer son héroïne, car c'était impossible pour elle d'échapper aux filets du destin.



Ce destin, c'est le beau et émouvant Mane ou Marchand de sable comme l'appelait sa femme autrefois, la déesse de la nuit : Nott. Et qui est Nott ? L'incarnation précédente de Nola qui en a perdu tout souvenir. Mane est donc terriblement malheureux et après s'être échappé de l'Enfer nordique où on l'avait enfermé, bien décidé à récupérer sa femme. Avec un tel décor, on aurait pu s'attendre à un héros implacable, un brin autoritaire ou tyrannique, sur le modèle qu'on trouve souvent dans la mythologie mais ce n'est absolument pas le cas. L'autrice fait preuve de bien plus de finesse quand elle écrit son héros. Elle lui donne ainsi une double facette, celle de quelqu'un d'implacable et un peu effrayant, ça c'est aux yeux de la jeune Nola au courant de rien et qui a peur, puis celle d'un ancien époux malheureux, prêt à tout pour regagner le coeur de son aimée, et là la lectrice fond forcément.



La romance est cependant peu présente à ce stade de l'histoire. Elle ne débarque vraiment que dans le dernier tiers ou quart de ce premier tome, le reste ayant été consacré à la construction de cet univers entre rêve et réalité, mais pour une fois, cela ne m'a nullement gênée, car l'immersion progressive est fort réussie. L'autrice profite de ce temps qu'elle prend pour planter son décor pour nous distiller petit à petit les éléments de la mythologie nordique qui nous seront nécessaires afin de comprendre la suite. Elle évoque ainsi les 9 mondes en lesquels serait divisé l'univers dont Midgard dans lequel on vit, Asgard où vivent les dieux et Helheim dont aurait réchappé Mane. Elle utilise également non pas les divinités que tout le monde connaît désormais mais des divinités plus annexes autour desquelles elle bâtit judicieusement son histoire, ainsi elle enrichit notre culture sur cet univers. J'ai aimé croiser Meili le dieu de l'oubli, m'amuser du charme de Kvasir divinité chargée de transmettre ses connaissances et la sagesse aux hommes, rencontrer la tout feu tout flamme Sol déesse du soleil, et bien sûr le ténébreux Mane divinité de la Lune. On découvre aussi progressivement leurs pouvoirs et l'ensemble fascine vraiment.



Dans une ambiance fantastique fort réussie, l'autrice nous plonge totalement dans la découverte de cette version moderne et revisité de la mythologie nordique, avec des divinités qui aiment aller d'un monde à l'autre et notamment visiter le nôtre. Il est fascinant de voir comment ils font usages de leurs pouvoirs chez nous, du monde des rêves et des papillons de Mane, jusqu'aux pouvoirs mal maîtrisés de Nola/Nott où elle fait tomber la nuit, en passant par la tornade Sol. J'ai vraiment beaucoup aimé l’adduction des deux dans notre monde. Cela ouvre une bien jolie porte sur une aventure en plus riche en émotion, car au-delà de cette introduction du paranormal dans son petit quotidien, c'est l'introduction d'une grande histoire d'amour contrariée qui attend notre héroïne Nola et nous n'en sommes qu'au tout début. La romance est cependant déjà électrisante dans la dernière partie de l'oeuvre. Elle se sera fait attendre mais nous aura bien récompensés avec de belles émotions à fleur de peau mais aussi beaucoup de taquinerie de la part d'un Mane vraiment charmeur. Et c'est tout ce mélange : mythologie, quotidien étudiant, romance sexy et pétillante en devenir, qui m'a fait passer un excellent moment !



Gaia Alexia floute les codes entre la romance paranormale et la romance new adult à la fac dans cette courte saga en 2 tomes. Elle accroche son lecteur avec une ambiance étrange et immersive, qui tout comme pour son héroïne, plonge peu à peu le lecteur dans cet univers merveilleux et irréel qu'il peine à réaliser, le tout pour ensuite mieux nous servir une romance contrariée tragique, qui comme le phénix renaît de ses cendre pour mieux nous consumer. C'est sombrement envoûtant !
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Joana Mancini dit Queen Bee sur les réseaux sociaux ou encore là revenante/zombie, est une jeune femme qui ne manque pas d’énergie, du moins quand elle est Queen, car c’est une tout autre affaire quand elle redevient Joana. Par la force des choses et surtout un passé qui l’a rattrapé, elle va devoir retourner dans le village où elle ne comptait jamais remettre les pieds. Cette nuit-là, elle fera la rencontre de Henri, notre sexy gendarme.



Henri, notre sexy gendarme, est un jeune homme brisé par son passé qui apprend à se reconstruire, grâce à ses amis. Lors de son service de nuit, il va faire la rencontre de Joana, la revenante.



Ils vont se détester, s’apprécier, se courir après, s’insulter, mais ensemble, ils vont réussir à surmonter leur passé pour enfin pouvoir se réconcilier avec la vie et l’avenir.



J’ai beaucoup aimé cette histoire qui nous montre que les réseaux sociaux sont superficiels, ils ne nous permettent pas d’échapper à notre vie et nos problèmes. Pendant toute l’histoire, je voulais savoir ce qui avait pu briser nos 2 personnages. On y rencontre aussi des collègues charmants, une voisine agréable, un village bienveillant.
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Une romance young adult avec la mythologie nordique, de la magie et du mystère ?! Je dis oui ! Malgré le caractère explosif de certains, les personnages sont attachants et on a envie d'en savoir plus sur eux. Une belle découverte qui m'a tenue en haleine !

Quelle découverte ! Je n’aurai jamais imaginé me plonger aussi facilement dans un monde imaginaire tel que celui-ci, inspiré des mythes nordiques.



J’ai lu les deux tomes en suivant et je ne m’en suis pas lassée ! On suit l’histoire de Nola Nott, étudiante passant ses nuits à rêver du… marchant de sable: Mane. Sans comprendre pourquoi, toujours suivi de ses papillons, il hante ses nuits en la suivant et en lui faisant peur. Jusqu’à ce que Nola le croise au coin d’une rue, elle le reconnaît sans hésiter: l’homme de ses cauchemars traverse la route pour lui demander… du feu. (oui oui…) On découvre leur lien au cours des chapitres, on apprend à connaître TOUS les personnages (❤️ sur Ella et Sol) sans oublier le fameux apprentissage des mythes nordiques !
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Après avoir pas du tout accroché avec le tome 1, j'ai quand même tenté le tome 2 mais il ne m'a pas fait meilleure impression.



On retrouve nos personnages après la terrible situation qu'ils ont vécu : Elena coincée dans les vestiaires par son pire cauchemar qui tente de la vi*ler, et Teagan prit au piège à devoir regarder ça sans pouvoir rien faire. Jusqu'à ce qu'il se libère de l'emprise des joueurs de base-ball, qu'il fracasse tout le monde et se fasse finalement arrêter par la police qui pense que c'est lui le violeur en plus d'être l'auteur de toutes les blessures des joueurs.



Maintenant on se retrouve dans une situation complexe : Teagan, qui je le rappelle ne parle à personne, est accusé à tort du viol de sa petite amie et va se retrouver en prison d'ici peu, et Elena est complètement traumatisée et menacée par le père de Jason si elle parle et ne peut donc pas rétablir la vérité et permettre à Teag de sortir de là. Donc seulement deux personnages peuvent parler pour permettre de mettre derrière les barreaux le véritable coupable, mais aucune des deux n'est en capacité de le faire. Bon. Forcément ça pose problème.





Il y a quelques points que j'ai trouvés positifs, surtout en prison. J'ai apprécié que le fait que Teagan se retrouve en prison soit vraiment approfondi, que ce ne soit pas juste un passage de 50 pages avant que tout revienne à la normale, bien que du coup on ait pas de romance de ce tome. Et puis le comportement de Teagan, qui avait beau se dire avant qu'il s'en fichait de se retrouver derrière les barreaux, maintenant qu'il y ait il se rend compte d'à quel point c'est dur. On perd le badboy hautain pour avoir à la place un garçon d'à peine 17 ans, accusé à tort et malheureux. Il vit mal son expérience, c'est dur mentalement et physiquement. Avoir ce personnage plus sensible est une bonne chose.





Quant à Elena, je suis mitigée. Autant je trouve ça super normal qu'elle n'arrive pas à parler de ce qu'elle a vécu, qu'elle soit traumatisée, mais en même temps c'est son petit-ami qui va se retrouver en prison à cause de son mutisme. Au bout d'un moment j'avais envie de la secouer en mode “dis au moins qu'il n'est pas le méchant !!”. Ensuite on a la pression des menaces sur sa famille, forcément ça fait réfléchir à deux fois avant de dire la vérité, mais du coup elle ne fait plus rien pour aider Teagan. Juste, elle pleure que le pauvre, qu'elle ne peut rien fait, qu'elle est trop triste. Oui mais bon en attendant c'est lui qui est en prison, et elle pourrait au moins faire semblant de chercher une solution autre que d'aller au poste de police. Et puis elle pleure H24. Ok elle est triste, c'est compréhensible, mais la faire pleurer toutes les 2 minutes (comme dans le tome 1), c'est très redondant et saoulant au bout d'un moment.



Et en fait, tous les autres personnages attachés à Teagan sont en mode “oh non il faut le sortir de là”, mais concrètement on n'a pas l'impression qu'ils fassent grand chose à part attendre.





Après la grossophobie, ici on a le droit à de jolies paroles sur un personnage gothique. C'était cool de mettre un personnage qui change un peu, avec un style vestimentaire différent, mais évidemment faut qu'elle se fasse tailler par les autres personnages du roman. C'est à coup du “elle serait jolie sans ses tenues et ce maquillage”, “la gothique sataniste". Je ne comprends vraiment pas l'intérêt de la part de l'autrice de rabaisser un style vestimentaire.





La différence avec le tome 1 est qu'on a pas de romance, parce que les personnages sont séparés. Par contre, on a enfin un roulement de point de vue entre Elena et Teagan ce qui était nécessaire pour l'histoire.



En conclusion, une suite qui ne pète toujours pas trois pattes à un canard. Un point positif pour Teagan et son expérience de la prison, un négatif pour Elena qui passe son temps à pleurer. Encore des sujets qui font grincer des dents. mais malgré tout ça se lit facilement.




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J'avais entendu énormément d'avis divergents sur la trilogie "Adopted love", mais j'ai voulu me faire mon propre avis.





Teagan est un jeune homme de bientôt 17 ans qui a la menace qui lui pend au nez. Après avoir vécu en orphelinat, chez des familles d'accueil, on lui donne une dernière chance avant la case prison. Il doit vivre un an chez les Hills sans faire un seul faux pas.



Il se retrouve donc amené chez cette famille qui vit dans un quartier aisé. Colérique, impulsif et asocial, Teagan n'est clairement pas là pour créer des liens. Il ne parle d'ailleurs quasiment à personne, les mots refusent de sortir et il préfère s'enfermer dans son mutisme. Mais dans cette famille, il y a une fille, Elena, qui lui en fait voir de toutes les couleurs.





En fait, mon plus gros problème c'est que je continue à lire des romans avec des badboys comme pendant ma période wattpad quand j'avais 14 ans, alors que vraiment je n'accroche plus du tout avec ce type de personnages. À chaque fois je suis déçue car la mentalité et le comportement me mettent en rage. Et ça a bien sûr été le cas avec notre Teagan.



Il m'a énervée, mais vraiment à un point où j'étais prête à arrêter ma lecture juste à cause de lui. Teagan c'est l'image même du connard insolent. Il est méchant, a des remarques blessantes et une manière de penser qui me fout en rogne. On a une grosse part de grossophobie dans ce roman. Alors quand c'est dit par les "méchants" du roman, afin de dénoncer le harcèlement subi par le personnage ça ne me dérange pas. Mais là c'est le personnage principal qui le dit, il traite de gros pleins de personnes d'une manière dégradante. Il se moque des personnes boulimiques qui se font vomir, alors que c'est une maladie réelle et grave. Et forcément quand des sujets sont aussi maltraités, ça me fait douter du point de vue de l'auteur.trice. Puis tout ce qui l'intéresse c'est ba*ser Elena, ses paroles sont crues et absolument pas mignonnes. On dirait un homme de cro-magnon qui ne pense qu'avec son appareil génital.



Et puis surtout son comportement avec des gens qui veulent m'aider m'a fait grincer des dents, surtout envers Nathalie, l'assistance sociale qui fait tout son possible pour l'aider. On voit que c'est la seule personne en qui il a confiance, mais les répliques qu'il sort peuvent être assez vexantes.



Donc franchement, j'ai extrêmement détesté le personnage de Teagan, en tout cas pendant une grosse partie du roman. En plus, l'autrice a fait le choix de narrer l'histoire du point de vue du badboy, ce qui change un peu, mais pour le coup je me serais bien passé d'être dans sa tête. Car autant il parle peu aux autres, autant dans sa tête il sort des choses dont je me serais bien passée. Voici une petite sélection :



- Je sais maintenant que la lionne ne fait pas ce truc que font les cinglées pour maigrir



- Son banc à lui est cassé parce qu’il est gros.



- La lionne ressemblait plus à un phacochère qu’au félin qui me hante aujourd’hui.



- Je repère les gothiques qui tentent une approche dans ma direction. Oh non, où est ma lionne ? Je préfère cent fois l’entendre me gueuler dans les oreilles plutôt que d’être vu avec un clan de suceurs de sang. Je suis juste tatoué, pas suicidaire.



- T’as maigri et je veux que tu aies encore des nichons pour le jour où je pourrai enfin les toucher. Manquerait plus qu’ils aient fondu.





Mais, il a fini par remonter un peu dans mon estime. Je trouve toujours qu'il est très maladroit dans ses pensées et son comportement, mais il fait des efforts. J'ai aimé son mutisme qui découle du fait qu'il a beaucoup de mal à savoir comment exprimer ses pensées. Il reste loin des personnages masculins dont je raffole, j'ai même failli abandonner ma lecture à cause de lui, mais m'accrocher m'a permis de le voir changer un petit peu, devenir plus doux et protecteur avec Elena, moi sauvage avec les Hills, se rendre compte de sa toxicité.





Du côté d'Elena, elle ne m'a pas plus plu que cela. Certes son histoire est touchante et elle m'a fait de la peine, mais sans que je m'attache à elle. J'aimais bien quand elle tenait tête à Teagan, mais elle finit très vite par juste pleurer 3 fois par chapitres. C'est très redondant, on a compris au bout d'un moment qu'elle ne va pas très bien.





Au final, le seul personnage que j'ai bien aimé, c'est Nathalie Solis, l'assistante sociale.





L'histoire est très basique, dans le style cliché wattpad avec un badboy malmené pas la vie qui se retrouve forcé à vivre avec une fille qui lui tient tête et pour qui il ressent des choses qu'il n'a jamais ressenties avant.



Et puis parlons du surnom que Teagan donne à Elena : "ma lionne". Bon, au delà du fait qu'il n'est vraiment pas ouf, c'est surtout qu'il l'appelle comme ça h24, c'est insupportable. J'ai fini par me lancer le défi de faire un petit "rwar" à chaque fois que le surnom était dit et je l'ai répété bien trop de fois.



En dehors de cela, le roman se lit très rapidement, c'est écrit gros, il y a très peu de description donc malgré les plus de 600 pages il n'a pas fait long feu.





En conclusion , un roman qui est extrêmement mal parti, notamment à cause du personnage principal insupportable, méchant et violent. Malgré ça je me suis accrochée, j'ai bien fait car même si le roman ne devient pas extraordinaire ensuite, j'ai moins grincé des dents et j'ai un peu mieux compris le personnage de Teagan.
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