Gaia Alexia

N’ayez crainte, voici un avis qui ne spoilera pas le début de cette saga.



Dans le tome 1, il y avait déjà beaucoup de psychologie autour des personnages par leur vécu malgré leur jeune âge.

Ce tome-ci ne changera pas mais tapera fort, suite à la fin du précédent tome.

Attention aux thèmes abordés dans ce roman…



La situation va être plus que difficile pour l’ensemble de nos protagonistes. Nous allons valser entre émotions fortes, traumatisme et milieu carcéral.



Si j’ai été assez agacée face au silence d’Elena, j’ai assez vite compris son raisonnement : la peur au ventre face aux menaces. Même si je dirai que cette émotion n’a pas été assez accentuée pour moi.



Teag est pour moi un personnage incroyable. J’ai eu énormément d’empathie pour lui. Je me mettais facilement à sa place, comprenais ses doutes et ses craintes. On sent que la situation lui échappe et on ne voudrait qu’une chose, qu’il arrive à dépasser ses peurs.



Dans Adopted Love, il s’agit souvent de non-dits qui feraient pourtant du bien d’être articulés. Mais nous savons tous à quel point la communication n’est pas une mince affaire.



J’ai beaucoup apprécié les moments du passé qui font surface par ci par là dans le roman. Ils permettent d’encore mieux connaître et comprendre les personnages.



Mon seul regret serait d’avoir attendu trop longtemps entre le tome 1 et le tome 2, parfois je me rendais compte avoir oublié certains détails (qui reviennent quand même assez vite).



Ma préférence, sans aucun doute, ce sont les moments en prison et avec la justice… malgré la dureté.

Je commence cette romance avec une petite appréhension, car en temps normal je suis pas trop fan de ce style de lecture mais ce serait vous mentir si je vous disais que cette lecture ne m'a pas plu, j'ai adoré, ça frôle vraiment le coup de coeur. Un début prometteur avec une instagrammeuse dont la vie va basculer et un gendarme qui essaie de remonter la pente. Deux protagonistes différents mais qui vont nous embarquer dans leurs histoires avec leurs rires, leurs peines et surtout leurs disputes. Je me suis attaché à Joana alias Queen Bee et à ce sexy gendarme Henri, j'ai adoré suivre le début de leur romance mais en même temps triste de les avoir quitté. Je suis vraiment contente d'avoir connu cette auteure grâce à ce roman. Petit point pour la couverture et le titre qui m'a fait foncer sur ce livre.

J'en avais tellement entendu parlé et franchement bof. J'ai pas accroché. Les personnages principaux c'est à dire Elena et Teagan ne m'ont pas emballé. Je suis assez déçu de ma lecture. Et puis on baigne dans une ambiance assez sombre entre eux. Elena m'a très souvent agacé à s'écraser face aux autres qui l'a harcèlent et à jouer la rebelle avec tout ceux qui veulent vraiment lui venir en aide.

Une héroïne de romance poursuivie par la "malchance" de façon caricatutale.

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Célia travaille dans un coffee shop, mène une petite vie, a une collègue, qu'elle pense être son amie, et une voisine, Mona, qu'elle considère comme sa grand-mère.

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Jusqu'au jour où Mona lui propose de la remplacer à une soirée pour une remise de prix. Et là, tout s'accélère. Aidée par l'alcool, Célia succombe aux charmes de Norman, fils prodigue, issu d'une riche famille.

Leur attraction est dévastatrice.

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Norman, qui souhaite revoir Célia, se voit opposer un rejet: Célia ne peut concevoir une relation avec une tel déséquilibre de statut social et financier.

Car Célia, tout au long du livre, a toujours des problèmes d'argent...à la limite de devenir SDF...

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Pour se prémunir des assauts de Norman, elle s'engage dans une relation stable avec son manager Max.

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C'est sans compter le coup de théâtre: Célia tombe enceinte (d'où le baby random du titre). Et devinez de qui?

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Toute la vie de Célia bascule.

Sa collègue et ancienne meilleure amie la lâche.

Max la quitte.

Roman n'assume pas sa paternité.

Mona meurt.

Son frère lui demande d'adopter son bébé, car il ne peut enfanter...

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Trop de catastrophisme nuit à l'attachement que l'on peut avoir de certains personnages.

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Il y a beaucoup de longueurs et de répétitions dans le récit, qui d'ailleurs, ne se termine pas.

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Je ne lirai pas la suite.

Résumé de l'histoire :

Nola Nott rêve d'un homme, du même homme. On peut même dire que ce sont des cauchemars ! Cet homme aux millions de papillons, grand et charismatique, ce même homme qui la suit, la traque dans ses cauchemars, cet homme irrésistible qui parfois peut faire peur.

Les cauchemars peuvent-ils être réels ?



Mon avis :

Nous sommes dans une romance basée sur la mythologie nordique, originale. Elle a aussi un côté fantastique qui ressort mais ne vous inquiétez pas, l'histoire reste réaliste ! Tout le long nous voyageons entre Nola et Mane, rêves / réalités et humains / dieux, rien n'est laissé de côté. Tous ces éléments rendent l'histoire mystérieuse. D'autant plus qu'au fur et à mesure les révélations s'enchaînent !



Les personnages sont originaux, surprenants et attachants !



Et puis cette fin donne vraiment envie de continuer. J'ai hâte de connaître la suite de l'histoire, j'ai hâte de retrouver les personnages !

Queen Bee virevolte sur son nuage où le monde est bien joli, bien mignon. La reine picore ici et là, une photo par là, un placement de produits par-ci, la vie d’influenceuse est riche et vaste. Plus qu’on ne pourrait le croire. Le paraître doit être parfait et irréprochable. Seule compte le sourire et les yeux qui pétillent, ainsi sont comblées les abeilles. Joana gère sa vie du mieux qu’elle peut mais il se pourrait qu’elle soit vraiment dans la mouise. Mais chut, personne ne doit le savoir. Alors quand elle reçoit cette lettre l’informant de la disparation d’une être cher, c’est tout son monde qui s’étiole. Elle ne trouve rien de mieux que de noyer son chagrin dans l’alcool et de se rendre en taxi dans son village natal. Vraiment éméchée, sa course se poursuit dans un cimetière où sa haine déferle et rencontre une pierre tombale d’un autre monde, la sienne, et un gendarme plutôt sexy.





Lui, c’est Henri, sa vie est son enfer. Il n’est rien, seul ses amis sont devenus son point d’ancrage celui qui lui permet de ne pas sombrer. Engagé dans un foutu pacte depuis six mois, Henri avance tant bien que mal. Cette rencontre avec cette fille survoltée et agaçante va venir réchauffer son cœur.





Est-ce qu’une histoire est possible entre la reine des abeilles et un gendarme ? Seuls certains semblent y croire, les concernés ont vraiment la tête ailleurs !





Queen Bee est la première romance que je lis de Gaïa Alexia et je suis vraiment ravie de cette rencontre. Elle aborde avec générosité des thèmes comme la quête identitaire, le deuil, les relations toxiques, les relations filiales et l’image de soi. La plume de l’auteure est juste sublime et nous fais vivre une expérience de lecture inédite. J’aime lorsque les émotions transparaissent de cette manière avec franchise, frivolité et parfois exubérance. J’adore quand les personnages se découvrent, s’apprivoisent et mettent le temps nécessaire pour aller de l’avant. Les façades des personnages s’effritent lentement pour dévoiler sans fard le naturel. Et c’est totalement magnifique. Une romance slow burn explosive qui m’a totalement captivé. Mention spéciale pour les deux pépés qui n’en ratent pas une et qui rappellent que l’innocence est un don rare à préserver et à valoriser. Une romance qui dégage de la tendresse malgré les troubles-faits de la vie et qui concède de la place aux secondes chances. J’ai apprécié l’atmosphère champêtre. Même à la campagne il se passe des choses étonnantes, attrayantes et de ouf !





Une chouette romance où l’importance d’être soi-même est au cœur des émotions tumultueuses.
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Merci à Hugo roman de leur confiance pour ce service presse sympathique ou l’on ne s’ennuie jamais.



On fait la connaissance de Joana alias Queen Bee instagrameuse elle adore ce qu’elle fait. Elle ne vit d’ailleurs que pour cela. C’est une femme qui profite de la vie mais qui une fois seule … Chut je ne peux pas vous le dire. Un jour elle reçois un courrier qui va littéralement changer sa vie, mais chut c’est un secret. J’ai bien aimé ce personnage emplie d’humour et d’autodérision. J’ai aimé la voir évoluer et grandir.



On fait la connaissance d’Henri, gendarme qui ne s’épanouie pas vraiment dans son métier ni dans sa vie suite à une… Ha non ça non plus je ne peux pas vous le dire. Et ça vie va littéralement changer lorsqu’une « revenante/zombie » revient. J’ai eu un peu plus de mal à m’accrocher à ce personnage mais j’ai fini par l’apprécier et aimé son caractère.



Les personnages secondaires sont juste magnifiques surtout les deux papis dont je suis une grande fan. Je vous laisse les découvrir par vous même.



L’intrigue nous emporte dans une histoire ou passé et présent se mélange pour nous raconter la vie de Joana. C’est beau, intense et passionnant. Mon seul soucis c’est que certains passages trainent en longueur et casse le rythme de cette belle histoire. Les évènements s’enchainent et sont parfois très surprenants mais le tout est emplie d’humour.



La plume addictive de l’auteure nous plonge dans les méandres de l’amour dans toutes ses formes et de ses conséquences. Les émotions sont intenses, j’ai rie, pleuré, crier et eu peur aussi avec et pour les personnages.



Un petit mot sur la couverture que j’aime beaucoup. Je dois dire que cela change un peu de ce qu’on a l’habitude de voir et ça fait du bien surtout qu’elle reflète parfaitement l’histoire.



Alors pour conclure je vous dirais juste que si vous aimer les romances contemporaines avec des personnages aux passés un peu compliqué et une pointe d’humour ce livre est fait pour vous. J’ai passé un bon moment de lecture.
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Que dire de ce livre ? Honnêtement c’est un énorme coup de cœur ! Je l’ai découvert grâce à une amie et je ne le regrette absolument pas ! Ce livre m’a fait passer par tellement d’émotions ! Je suis passé du rire aux larmes, de la joie aux désarrois et aussi par la colère et la peur. Baby Random est une trilogie et si vous ne l’avez pas encore lu je vous conseille de ne pas réfléchir et de foncer !



Dans ce premier tome, on retrouve Célia, une jeune femme qui enchaine les galères et qui fait de son mieux pour survivre. Elle a un travail merdique qui ne paye pas assez et des factures longues comme son bras. Mais elle a sa voisine, Mona, une petite veille de 81 ans sur qui elle peut compter. C’est son plus grand soutient, sa deuxième maman : la seule personne qui lui reste vraiment. Alors qu’un soir Célia doit se rendre à une réception pour une grosse boîte à la demande de Mona, car cette dernière devait y recevoir un prix mais n’était pas assez en forme pour y aller, la vie de Célia bascule sans qu’elle ne s’en rende compte. En effet, un élément déclencheur s’est mis en route et va rythmer le reste de sa vie. Entre joies, douleurs, rires et pleurs, Célia va devoir trouver un équilibre à sa vie.


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Avec Le Marchand de sable, Gaia Alexia nous offre une romance fantastique ancrée dans la mythologie nordique.

C'est un coup de cœur pour moi.

Premièrement, j'ai aimé découvrir la mythologie nordique et ses dieux dont je ne connaissais quasiment rien. Alors même si l'auteure a changé quelques aspects de la mythologie pour l'adapter à son roman c'est toujours très intéressant à découvrir.

Deuxièmement, l'histoire en elle-même est très intéressante et très prenante. Les personnages sont très bien créés (comme dans tous les romans de Gaia Alexia).

L'alternance de pov et des moments passé/présent/rêve vient rythmer le livre et accentuer le suspense.

Le seul point négatif que j'ai à noter lorsque je termine la saison 1, c'est que je n'ai pas encore acheté la saison 2 !!

Queen Bee est vraiment un roman très singulier, que ce soit concernant l’histoire ou bien même les personnages, tout était si unique, et c’est pour cela que j’ai passé un excellent moment de lecture.



Ce roman est une histoire remplie d’humour, je me suis véritablement tapé des barres avec les répliques mais aussi les situations si cocasses que l’on rencontre. Mention spéciale aux deux papys du village qui m’ont littéralement tué de rire. Cet aspect humoristique est totalement parvenu à remplir la case de comédie romantique et c’est vraiment ce qui fait l’un des points forts du roman.



Un petit point où j’en attendais plus c’est concernant le mystère qui règne autour de Joana, cette instagrammeuse super famous qui a été déclarée morte et enterrée des années plutôt alors que cette nana s’avère bien vivante. Je sais qu’on n’était pas sur un romantic suspense mais je reconnais que j’aurais aimé avoir plus d’intrigue sur ce point, car je pense qu’il y avait matière à faire durer davantage le suspense.



D’ailleurs à défaut d’avoir un suspense sur ce point, on rencontre une intrigue sur le personnage d’Henri, et cet élément et l’un des gros points forts du roman. J’ai aimé beaucoup aimer le sujet que l’auteure a choisi de mettre en avant car c’est ce genre de sujet dont on ne parle quasi jamais. J’aurais juste aimé que la révélation arrive un peu avant pour qu’on l’approfondisse encore plus.



Enfin, j’arrive au moment où je vous parle de ce qui a fait chavirer mon cœur : la romance. Cette relation qui existe entre Henri et Joana est tout aussi singulière que le roman en lui-même, ces deux protagonistes s’apportent tellement tout au long du roman, ils se tirent vers le haut l’un et l’autre, ils sont la parfaite définition d’une romance synonyme de reconstruction.



Le dernier roman de Gaïa Alexia est une réussite pour moi avec ses thématiques inédites et son humour délirant.



Plein de love, C✨
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Je vous vois déjà me jeter des cailloux mais j'ai été déçue par Adopted Love. Je suis plutôt bon public pour les romances de ce genre mais là je n'ai pas réussi à accrocher.



"Orphelin, Teagan erre depuis son plus jeune âge de foyers en familles d'accueil. Bad boy écorché par la vie, la justice le rattrape à l'aube de ses 18 ans. La sentence ? Un an de conditionnelle durant lequel il devra se tenir à carreau s'il ne veut pas finir en prison. Il ne lui reste qu'une chance de se remettre dans le droit chemin et c'est dans une ultime famille d'accueil qu'elle va se jouer. Mais la rencontre avec Elena, la fille aînée de la famille risque de compliquer les choses."



Tegan, c'est le badboy dans toute sa splendeur, passé tumultueux, tatoué, fumeur de joints, juste là ça va mais on rajoute à ça violent et vulgaire et ça ne passe plus pour moi. Malgré son passé douloureux qui explique nombre de ses agissements, il n'a pas su faire battre mon petit cœur. Des gros mots à tout bout de champ, des pensées salaces en permanence et des poings qui cognent dès que l'opportunité se présente, c'est un mix de ce que je n'aime pas retrouver chez un personnage. Je crois que j'aurais grandement préféré suivre l'histoire du point de vue féminin seulement, car au contraire, j'ai beaucoup apprécié Elena.



Pourtant, le résumé me tentait énormément, il y a des sujets qui me bouleversent d'habitude (abandon, traumatisme, harcèlement etc.) mais là je n'ai pas su passer outre la vulgarité omniprésente pour apprécier pleinement ce que je lisais. Tout est brut, même la romance. Certes ce sont des personnages torturées dont la vie n'a pas fait de cadeau mais il m'a tout de même manqué un peu de douceur et d'amabilité.



J'aime la romance, vous le savez, mais celle-ci n'était pas faite pour moi, ce sont malheureusement des choses qui arrivent. N'hésitez pas à la lire si elle vous fait envie, je ne suis qu'un avis négatif parmi des centaines de positifs. Quelque chose qui bloque une personne peut ne pas déranger une autre. J'ai conscience que derrière un roman il y a énormément de travail et je n'aime pas du tout être aussi négatif dans mes avis mais je me dois de rester honnête.

J’ai été vachement emballée par le résumé et surtout par le faite que ce soit Gaia Alexia qui l’ai écrit.. Mais malheureusement, elle n’a pas réussie à me faire voyager et plonger dans son roman, comme elle a su bien su le faire auparavant et avec ses autres romans. Le personnage féminin est super. Elle est drôle et son tempérament est génial. C’est un personnage qu’on prend plaisir à apprendre à connaître, à lire et à aimer. Henri est doux. Mais les deux ensemble… je sais pas, j’ai vraiment pas accroché. J’ai trouvé leur relation un peu trop kitsch à mon goût, et pas hyper naturel. J’ai trouvé un peu surfait. Ce qui a donné certains passages long à lire..

Ce que j'ai aimé avec Queen Bee, c'est que c'est une romance qui ne ressemble à aucune autre. Entre les virées dans un cimetière, les storys ratées d'influenceuse ou encore les nuits en cellule de dégrisement, on ne s'ennuie pas une seule seconde. Mais, il y a aussi une histoire de deuil et de disparition à résoudre...



Queen Bee, influenceuse qui enchaîne les placements de produits et les soirées VIP, se nomme en réalité Joana Mancini. Elle montre sa vie de rêve sur les réseaux mais la réalité est plus difficile : problème d'argent, décès soudain de son père etc. Lors d'une soirée un peu trop alcoolisée, elle va décider de retourner dans son village pour aller sur la tombe de son père. Arrivée sur place, surprise, elle découvre une tombe à son propre nom. Tout le village la croit morte depuis 10 ans. Henri, gendarme solitaire, va essayer de comprendre ce qu'il s'est passé. Très vite, Queen Bee va l'agacer autant qu'elle va lui plaire...



Joana et Henri. J'ai directement accroché avec le personnage masculin. Henri a cette mélancolie en lui qui m'a tout de suite touchée. J'avais très hâte d'en savoir plus sur lui et son passé. Quant à Joana, ça a été plus difficile. J'imagine que c'est un peu voulu mais elle m'a agacée pendant les 3/4 du roman. Son image d'influenceuse superficielle ne collait pas du tout avec Henri, si simple et gentil. Heureusement, son évolution est très positive et j'ai su (un petit peu) l'apprécier.



L'humour est vraiment ce que je retiens de ce roman. J'ai beaucoup ri grâce aux différentes situations rocambolesques que vit Joana, mais aussi, surtout grâce aux deux papys du roman qui sont juste géniaux.



Concernant l'histoire de disparition, c'est plutôt secondaire, le dénouement sur cette affaire n'apporte pas grand chose finalement. C'est vraiment le rapprochement pas à pas entre nos deux personnages que j'ai préféré suivre.



C'est une très jolie histoire avec beaucoup d'humour et une belle morale que l'autrice explique à merveille dans ses remerciements : "ne pas oublier que derrière chaque profil se cache un être humain avec ses failles".

J'ai rencontré Joanna Mancini célèbre instagrameuse prénommée Queen Bee. Pétillante, fantasque voir complètement barrée, elle n'a aucun filtre aucune barrière. Derrière son personnage de reine des abeilles, elle cache beaucoup de failles.



Son retour dans son petit village d'enfance va être mouvementé. La troublante découverte va la faire partir en vrille. Elle va se retrouver sur la route d'Henri Minot et de nombreuses péripéties va alors s'abattre sur eux. Une belle lecture ! Drôle, fantasque, émouvante, et beaucoup de douceur. Des sujets et de thèmes fort sont abordés, deuil, pardon, amitié, amour.



Le rythme du roman est bien dosé, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. Beaucoup de péripéties, plus drôles les unes que les autres. Une intrigue haletante. J'ai été pliée de rire à certains moments, Gaia Alexia maîtrise l'humour et le sarcasme. Henri et Joanna forment un couple parfait, elle est complètement barrée et lui plus terre-à-terre. Ils se complètent à merveille.



Joana cache de nombreuses blessures, elle se débat avec son passé et son présent. Elle a une personnalité atypique, une grande sensibilité derrière ces attitudes de princesse. Henri, j'ai craqué pour lui.



Son histoire, ses blessures. Derrière son attitude de flic sûr de lui, se cache un homme brisé, qui essai de survivre un peu plus chaque jour. L'intrigue et la conclusion autour de lui m'ont ému aux larmes.



La romance est mignonne. J'ai trouvé le rythme bien dosé. Des personnages secondaires loufoques ! Coup de cœur pour le père lapin et papi gris ! Alors eux, c'est le duo de choc, ils apportent une étincelle de folie au roman. L'univers des réseaux sociaux sont super bien crée, l'auteure entre dans les détails avec beaucoup de finesse.



La psychologique de chaque personnage est parfaitement construite avec minutie et profondeur. L'auteure à su mettre en avant la nature et la campagne créant un contraste flagrant avec Paris et la ville. Une belle comédie romantique

Alerte coup de cœur ♥️



Par où commencer ?



J’ai tellement ri avec cette lecture , vraiment du début à la fin !



Joana est un sacré numéro , aucune possibilité de s’ennuyer avec elle , quand on pense qu’elle ne peut pas faire pire on se trompe lourdement , elle peut et elle adore ça ( et nous aussi ) !

Elle peut être une vraie peste et pourtant on ne voudrait pas qu’elle soit autrement , je crois que c’est ce que l’on qualifie de « attachiante » 😅.

Elle est rayonnante et pétillante mais aussi super sensible .

J’ai appris à la connaître au fil des pages et j’ai adorée ce que j’ai découvert derrière l’instagrammeuse Queen Bee .



Henri est tout l’inverse , réservé , posé , pudique et tellement gentil !

Cet homme profondément triste m’a énormément émue .

Ce qu’il cache va bien au delà de se l’on peut imaginer …



C’est drôle ( mais ça je crois que j’ai déjà dit ) , hyper addictif , il se lit tout seul .

J’ai adoré découvrir l’envers du décor de ce monde d’influenceur, c’est rafraîchissant.



Aux gens qui disent :

« Gna gna gna , la romance c’est que du c** »

A ces personnes je leur dirais de lire ce livre et de voir qu’il y a bien plus d’humain et de problèmes sociaux qu’ailleurs !



Ce livre nous parle de remise en question , de mal être , de pardon et d’amitié .



Vraiment n’hésitez pas , vous pouvez foncer ! La seule chose que vous risquez , c’est une excellent moment de lecture !



Du livre aux larmes

Diana Garnier



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Alexia Gaia c’est pas moins de trois sagas à succès depuis 2017 – Adopted love, Baby Random et le marchand de sable. Et c’est aujourd’hui Queen Bee véritable conte de fées des temps modernes où les apparences s’évaporent au contact de l’air de la campagne.



Je dois dire que je suis vraiment ravie d’avoir pu lire cette histoire, car elle m’a fait passer par toutes sortes d’émotions. En effet, que ce soit de l’agacement face au comportement de Joana, de l’empathie pour ce qu’elle vit, de l’amusement lors de sa rencontre avec Henri ou de l’espoir en ce qui concerne leur relation, j’ai aimé chaque instant de mon immersion dans leur petit monde.



J’ai beaucoup apprécié le travail que l’autrice a fourni par rapport aux réseaux sociaux. Qu’elle démontre à quel point ces outils peuvent être formidables tant que l’on joue le jeu, mais qu’ils peuvent également se montrer d’une cruauté sans nom. Les problèmes auxquels la jeune femme doit faire face par la suite n’en sont que plus réalistes.



« Assumer ce qu’on fait de travers, c’est bien. L’assumer à deux, c’est encore mieux. »



De plus, il faut dire que sans tout cela, jamais elle ne serait revenue là où tout a commencé et jamais je n’aurais pu deviner qui se cachait réellement derrière le masque de Queen Bee. C’est vrai qu’il y a deux poids, deux mesures or autant j’ai exécré l’influenceuse, autant je suis tombée sous le charme de Joana si pleine de vie et génialement attachiante ! La voir affronter son passé, l’observer s’ouvrir aux autres pas après pas, a été une expérience des plus agréables. Et je dois bien dire que l’attirance qui se développe entre elle et Henri n’a fait que confirmer mon attachement à ce roman.



« J’aime qu’elle reste elle-même : difficile à gérer, mais profondément honnête. »



J’ai beaucoup ri durant cette lecture. Les échanges entre les deux jeunes gens sont hilarants, loufoques et très rafraîchissants. Bien que leurs parcours respectifs ne soient pas des plus reposants, je pense qu’ils s’en sortent à merveille. Je les ai en tout cas trouvés très émouvants dans leur démarche à partir du moment où ils se rendent compte à quel point les sentiments qu’ils se portent sont sincères et profonds. C’est un bel amour que nous offre Alexia Gaia, de ceux qui se renforcent jour après jour et que l’on n’a pas envie de quitter.



« C’est comme retrouver la lumière alors qu’on marche depuis trop longtemps dans le néant. »



Je suis persuadée également de ne pas pouvoir occulter Papi Gris et Père Lapin de cet avis. Oui oui, je vous vois déjà sourire en lisant leurs noms et laissez-moi vous dire que ce ne sont pas les seuls qui y arriveront. Tout le village a à cœur d’accompagner notre duo d’amoureux vers le bonheur, mais ce sont les personnages les plus hauts en couleur. Ils m’ont littéralement fait halluciner dans un premier temps et m’ont séduite au fil des chapitres et de leurs péripéties. Je rêverais à mon tour de les adopter et pouvoir ainsi participer à leurs folles aventures.



Queen Bee est un livre que j’ai tout simplement dévoré. J’ai été conquise par ce couple et leur entourage, émue aux larmes par leur évolution, bouleversée par cette romance bien plus complexe qu’il n’y paraît. J’en ressors, en tout cas, avec l’idée que décidément la vie peut se montrer bien faite.




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Juste, wow ! Percutant est le mot qui me vient en premier avec ce roman. De base, je pensais tomber sur une histoire mignonne et simple. Un récit assez léger mais avec Gaia Alexia rien n'est simple. Elle laisse toujours une trace de son passage dans notre esprit. Elle intègre tellement de moments et de messages de la vie que ça nous marque peu importe la légèreté du récit.



Les personnages ont une personnalité hors du commun. Je regrette de ne pas avoir eu le temps de rencontrer Gaia Alexia au festival new romance car la personnalité de chacun de ces personnages peu importe l'histoire me donne l'impression que cette femme doit être extraordinaire. Mais ce n'est que partie remise.



Henri et Joana se cachent derrière un masque et j'ai adoré les voir tomber et découvrir la vraie facette de ces personnages. Le travail psychologique réalisé sur ce récit est exceptionnel.



J'ai rencontré au départ Queen Bee. Influenceuse très connue sur les réseaux. De prime à bord je l'ai trouvé superficielle, je ne pensais pas pouvoir m'attacher à son personnage, seulement queen bee est également Joana et quand on découvre la femme sous le masque on ne peut que succomber à cette personne. Elle est complément givrée, le sarcasme est sa façon de réagir préférée, son échappatoire fage aux situations délicates. Elle y va au culot et on a l'impression qu'elle ne contrôle pas le flot de paroles qui sort de sa bouche. Elle m'a donné de nombreux fou rires avec sa façon d'être. C'est aussi une femme intelligente, et d'une gentillesse pure. Une vraie arme de guerre.



Henri est un gendarme qui respecte les règles. C'est un homme qui a un vécu compliqué. On découvre au fil du roman son passé. Plus on apprend et plus on a de la peine pour cet homme  gentil, doux, un brin timide. Il faut plus de personnages comme lui dans les romances.



Cette histoire m'a rappelé qu'on peut tomber très bas mais qu'on peut se relever de tout. On peut tout recommencer à zéro et avoir une belle vie même si les erreurs parsèment notre chemin. C'est une histoire qui nous montre la vie sous un brain d'humour. J'ai tant ri aux côtés de tous les personnages. Même les secondaires ont de l'importance. Comme toujours avec l'auteure on aime les secondaires autant que les principaux.



En bref cette histoire est un tout. Un peu d'humour, des messages importants, des thèmes compliqués abordés de façon réelle mais légère. Une psychologie travaillée avec soin. Des personnages qu'on ne peut qu'aimer. J'ai adoré.

Cette duologie me faisait de l’œil depuis sa sortie mais je n’avais jamais trouver le temps et les finances nécessaires pour me la procurer jusqu’à ce que je tombe sur une très bonne occasion qui ne me laissait pas le choix. Je suis plus que ravi de ce très bon hasard car j’ai découvert une auteure à la plume légère et fortement plaisante à lire.



Il est indéniable que Gaïa Alexia détient un style fluide, agréable et addictif à parcourir et parfait pour cette saison ensoleillée ou prendre du bon temps est de mise. De plus, l’auteure nous dévoile une romance maîtrisée et parfaitement rythmée, bercée par une dimension fantastique incroyable et captivante, faisant de ce premier volet un véritable page-turner. Cette fascinante association de romance et de mythologie fait de ce roman un ouvrage unique et atypique que j’ai pris plaisir à dévorer. Grâce à ses très courts chapitres, l’auteure va droit à l’essentiel et ne s’encombre pas de futilités et quand bien même j’ai apprécié cette décision, j’admets que j’aurais apprécié que la mythologie nordique soit encore plus exploitée qu’elle ne l’est déjà. Il faut dire que ces nombreuses légendes qui la composent sont toutes plus intéressantes les unes que les autres et j’aurais aimé encore plus les savourer à travers cette réécriture. Néanmoins, les détails apportés restent maîtrisés et il est certain que Gaïa Alexia a réalisé un important travail de recherche pour offrir un roman à l’univers abouti et cohérent. Néanmoins et comme le veut la romance, cette dernière use de quelques facilités du genre et quelques parties se dévoilent assez prévisibles et rapides. Fort heureusement, ces quelques défauts sont très vites effacés par tout le reste et l’incroyable fin ouvert me fait me tourner sans tarder vers le second et dernier tome de cette saga.



Quant aux personnage du Marchand de Sable, je les eux aussi ai totalement adorés. Qu’il s’agisse de Nola, Mane et les autres chacun a su me régaler quant à la divinité qu’ils représentent finalement. Je ne peux en dévoiler davantage sans spoiler mais j’ai vraiment pris plaisir à les redécouvrir une fois leurs véritables identités dévoilés. J’ai beaucoup apprécié suivre l’histoire entre notre héroïne et l’homme de ses rêves – le fameux marchand de sable – qui aura eu le mérite de m’apprendre certaines choses quant à son origine. Moi qui en avais souvent entendu parler lors qu’étais enfant, j’étais très loin de me douter que celui-ci faisait partie des Dieux nordiques. C’est incroyable comment notre monde actuel est construit au travers différents mythes et légendes et j’apprécie en découvrir davantage. Cependant et malgré ma grande appréciation, je regrette juste que Gaïa Alexia tombe quelque peu dans les stéréotypes et fasse de ces protagonistes de véritables clichés par moments et j’aurais apprécié encore plus de nuances. Tout comme je regrette certains raccourcis et une certaine rapidité me laissant parfois sur la touche. Ainsi et même si j’ai vibrer au rythme de la romance, je suis certain que cette dernière aurait pu offrir quelque chose d’encore plus grand et saisissant.



Ce premier tome a su me séduire grâce au style addictif et parfaitement enchanteur de Gaïa Alexia qui, à travers la légende du marchand de sable, offre une romance légère et palpitante, à l’univers mystique porté par une mythologie incroyable et captivante. C’est sans surprise que je me rue dors et déjà sur la suite et dernier tome de cette duologie.
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Quand la trilogie est sortie en version illustrée, j'avais vraiment envie de me laisser tenter, surtout que j'ai vu beaucoup d'avis positif. Et franchement, ce fut plus qu'une excellente lecture...



L'histoire est celle de Teagan, un orphelin de dix-sept ans, qui erre dans des foyers et des familles d'accueil depuis sa naissance. Mais sa vie n'est pas simple et il va avoir des problèmes avec la justice, ce qui lui doit un an de conditionnelle. Il va alors être placé dans une dernière famille d'accueil, où il devra rester sage, sans faire de vague. Néanmoins, la rencontre de la fille aînée de la famille, Elena, va compliquer les choses...



Dés les premières pages, j'ai suivi avec plaisir les aventures de Teagan. On découvre ce qu'il vit dans le présent, mais aussi ce qu'il vit dans son passé. Cette alternance nous permet de le comprendre et de suivre ce qu'il vit. Je trouve l'intrigue de cet orphelin vraiment intéressant, surtout que cela aborde des sujets vraiment sensibles. Et j'ai vraiment apprécié découvrir cela, surtout que l'on ressent bien ce que vit Teagan et c'est cela qui me permet de recommander cette lecture.



Et puis quelle fin ! J'ai juste envie de continuer cette lecture ! Je veux découvrir la suite des aventures de Teagan, mais aussi découvrir le point de vue d'Elena. C'est pour cela que j'enchaîne avec le second tome.



S'agissant des personnages, Teagan est un jeune orphelin de dix-sept, qui se voit balader de foyers en familles d'accueil depuis son enfance. Il ne parle qu'aux personnes en qui il a vraiment confiance, ce qui est donc très rare... Quand il a des ennuis avec la justice, il se voit placer pour un an dans une ultime famille, où l'aînée ne semble pas vraiment de cet avis. Pourtant, Elena va lui être d'une grande aide, comme va être son pire cauchemar... Tu l'auras compris, je me suis énormément attachée à Teagan et à son histoire. J'ai qu'une hâte, c'est de le retrouver dans un second tome.



A côté d'elle, il y a Elena, une jeune fille de dix-sept ans, qui a vécu quelque chose et qui se rebelle contre tout. Pourtant, elle n'en parle à personne et personne ne sait réellement ce qu'elle vit. Quand Teagan arrive dans sa vie, elle est bouleversée et pourtant elle va mettre du temps à l'apprécier. Elena est une jeune fille que j'ai apprécié, même si j'aurais voulu en savoir plus sur ce qu'elle ressent - son point de vue est à découvrir dans le second tome -. Cependant, je la trouve adorable par moment avec Teagan, elle l'apprécie et veut l'aider.



Enfin, concernant la plume de l'auteure, je dois dire que j'ai été vraiment surprise et j'ai drôlement apprécié son style, qui m'a permis de ressentir tout ce que ressentait notre narrateur Teagan. C'est une véritable découverte et j'espère pouvoir découvrir d'autres romans d'elle.



En général, un coup de cœur pour ce premier tome, qui m'a vraiment bouleversée et donnée envie de découvrir la suite de cette trilogie.
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Pourquoi ? Mais pourquoi je n'ai pas sorti ce livre plutôt de ma pal ? Pourquoi vous m'avez laissé passer à côté de cette merveille ? Il fallait me forcer, me kidnapper. Une pépite d'or, un coup de foudre. J'ai tellement mais tellement aimé ma lecture.



En commençant ce livre j'ai senti le suspense m'envahir. L'intrigue mêlée à la plume de l'auteure est tellement puissante qu'on la ressent dès le début. Je voulais tant avoir réponse à mes questions, et connaître la suite. C'était maladif.



L'auteure développe son histoire sur base de la mythologie nordique et mon Dieu qu'est ce que c'est bon. Les mythes, les légendes tout est travaillé avec génie pour nous donner envie d'en savoir plus et pour qu'on comprenne facilement où Gaïa Alexia veut nous emmener.



J'ai aimé tous les personnages. Nola est tellement douce et gentille. Perdue par la situation elle a réussi à me toucher. Mane m'a brisé le cœur, on y voit la souffrance qu'il endure. Les personnages secondaires ont aussi leur importance et sont très attachants. Ce que j'adore aussi avec cette auteure c'est qu'elle intègre toujours les personnages de ses précédents romans, discrètement mais le rappel est direct et fait chaud au cœur.



La relation est épique. Une romance comme je les aime, ni douce, ni brutale. Des personnages qui jouent et se redécouvre chaque jour. Liés par une alchimie qui les tiens l'un contre l'autre. Ils nous font ressentir ce besoin d'être l'un près de l'autre.



Cette fin est clairement monstrueuse et m'a obligé à me jeter sur le tome 2. Ce livre m'a bousculé, il m'a rendu accro. J'ai tout aimé en sentant le coup de coeur monter petit par petit. J'ai été prise dans les fillets du marchand de sable.