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Critiques de Général Marcel Bigeard (16)
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Adieu ma France

90 ans… Marcel Bigeard a 90 ans. Homme au parcours exceptionnel.



Employé à la Société Générale à Toul, service militaire à contrecœur, la Résistance, l’entrainement en Angleterre, les maquis, l’Indochine, portant à bout de bras, simple chef de bataillon, la défense de Dien Bien Phu et l’Algérie. Officier le plus décoré de France. Secrétaire d’Etat à la Défense dans des années bien difficile et député durant 10 années… Quel parcours !



Depuis maintenant 10 ans, Marcel Bigeard nous livre régulièrement des ouvrages dans lesquels il nous livre sa pensée, ses réflexions avec sa faconde et son franc parlé bien particulier.



Ses sujets de prédilection : la France, la jeunesse, l’armée. Ses trois thèmes apparaîtront bien « ringards » à beaucoup. Bigeard ne s’en défend pas : il aime la France, l’armée et les jeunes. A sa manière, de son point de vue et à travers sa longue expérience. Il nous livre ici l’ouvrage que j’ai trouvé le plus inquiet de ses dix dernières années. On y découvre les réflexions et les analyses d’un homme inquiet pour « Sa France ». Il pointe les deux dangers les plus forts pour lui à l’heure actuelle : l’islamisme et l’incapacité des politiques. Comme tout bon soldat, il est dans l’attente de l’homme providentiel qui sauvera la France mais il ne le voit pas à l’horizon. Mais il veut croire encore et encore à la capacité du pays et des français, surtout des jeunes à relever la France.



Avec Bigeard, on est loin des analyses étayées d’un jacques Marseille, d’un Max Gallo ou d’un Nicolas Baverez. Mais on a entre les mains l’analyse d’un homme de cœur, sincère et toujours « sur la brèche » malgré ses 90 ans.



Grand témoin et acteur du siècle écoulé, on peut partager ou non ses convictions mais il faut toujours écouter les anciens…



Mes respects, Mon Général !



Aux éditions du Rocher (2006).
Lien : http://www.bir-hacheim.com/a..
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Pour une parcelle de gloire

Marcel Bigeard, dit « Bruno », une légende. Ce livre faisait partie de mes « à lire absolument » depuis des années. Je repoussais sans cesse, pensant tout savoir de ce grand monsieur, ou en tout cas l’essentiel. En tant qu’ancien marsouin, Bigeard était naturellement dans le Panthéon de mes héros, aux côtés des Vandenberghe, Kieffer et autres Cabiro.

Et pourtant, j’en ai appris des choses. Je ne pense pas qu’il soit utile de revenir sur tous les détails de sa carrière militaire : Deuxième Guerre mondiale, Indochine, Algérie, rien que ça ! Le général Bigeard, qui a commencé sa carrière en tant que deuxième classe appelé en 1936 a été de tous les conflits, de tous les coups durs en essayant autant que faire ce peux, de ne pas être dans les magouilles.

On y découvre un personnage franc, entier, dur à la tâche sous les ordres duquel il devait être dur de servir. Mais, exigeant avec ses hommes, il l’était surtout avec lui-même. Il s’astreignait à une stricte discipline de vie : un footing tous les matins, une marche forcée au moins toutes les deux semaines, à la caserne comme en permission. On y découvre aussi un personnage parfois blessé, démoralisé, voulant démissionner, ne croyant plus à la grandeur de l’armée française et pourtant s’accrochant, prenant toutes ses missions à bras-le-corps même quand il perçoit clairement qu’on tente de l’éloigner du feu des projecteurs. Car Bigeard, surtout après son action à Diên Biên Phu est aussi un personnage public, le « premier para de France ». On a besoin de lui pour son allant, ses capacités d’adaptation, son génie tactique. On le craint lors du putsch des généraux, on le courtise pour entrer au gouvernement, on le met à l’honneur sur les champs Elysées, il pose pour Paris-Match. Il critique ses chefs, il estime ses ennemis et toujours, il entraîne ses hommes.

Mais, et c’est sans doute le plus terrible : on découvre un Bigeard qui vieillit ! Comme tous les héros, il vieillit mal. Il attrape une pneumonie après une nuit dans un train sans veste, lui qui a arpenté les djebels au cœur de l’hiver. Il se blesse gravement lors d’un saut d’entraînement, lui qui a sauté sur Diên Biên Phu. Mais il se relève toujours, après ses blessures, après l’attentat dont il est victime, après que le commandement essaye de l’éloigner.

Dans son style particulier, fait de phrases courtes, percutantes, dans un style finalement très militaire il nous raconte tout sans fard, sans essayer de masquer ses erreurs, sans fausse modestie, sans complaisance envers ses anciens chefs.

Certes il aura mérité ses médailles, il aura mérité sa « parcelle de gloire ». On peut être antimilitariste, on peut ne pas l’aimer, on peut ne pas le croire quand il dit que ses paras n’ont jamais torturé en Algérie, on peut le trouver trop rigide, on peut s’opposer aux guerres de décolonisation, on peut même, je pense, le haïr.

Mais on ne pourra jamais ne pas l’admirer ! Merci mon général !

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Adieu ma France

Un regard, acerbe ou visionnaire, sur la perte des valeurs Françaises.

Livre "témoignage" d'un grand homme.

Adieu Monsieur la France vous regrettera...
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Adieu ma France

Qui va pouvoir redresser la france?
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Pour une parcelle de gloire

Lecture très, très curieuse et qui m'a surpris. La conclusion d'une carrière militaire et qui se résume très explicitement à: "Quelle connerie, la guerre!" J'ai mieux compris l'attitude amicale de Bigeard envers Georges Brassens sur je ne sais plus quel plateau de télévision.



Bigeard est un anarchiste en uniforme, et son bilan terrible est, finalement que la guerre est une connerie inutile et sanguinaire, une imbécillité cruelle et sans nom. Et venant de Bigeard, le poids est un peu plus conséquent que dans les mirlitons de Prévert. En fait, comme Joseph Kessel l'a écrit (article dans le livre) ou comme Jacques Massu l'avait signalé (rapport disponible dans le livre), Bigeard est un homme d'une extrême complexité psychologique, moralement déchiré, très ambigu, impossible à résumer.



C'est très inattendu pour moi qui pensais que le "premier parachutiste du monde" était, allez osons le dire, un gros con. Il n'en est rien. Bigeard est subtil, philosophe, anarchiste, poète même, et surtout: il déteste tuer (jamais il ne porte d'arme sur lui, il est extrêmement économe de la vie de ses hommes et épargne l'adversaire toutes les fois qu'il le peut).



Sa motivation essentielle de parachutiste semble avoir été de sauver des vies, et non d'en éliminer.



Un portrait vraiment étrange. Vive le confinement qui m'a permis de lire ça, faute de pouvoir me mettre autre chose sous la dent.
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France, réveille-toi !

À l’occasion de son quatre-vingtième anniversaire, le général Bigeard, militaire le plus décoré de l’armée française fait un bilan de sa vie, pousse quelques coups de gueule et esquisse des perspectives dans diverses directions. Il faut dire que son expérience est assez unique. Il a connu vingt années de guerre, des groupes francs en 1940 jusqu’à la fin de la guerre d’Algérie, en passant par un parachutage en zone occupée et une décennie consacrée à celle d’Indochine où il connut l’enfer de Dien Biên Phu, la captivité, une évasion ratée et une condamnation à mort par le tribunal militaire Viêt-minh. Blessé à cinq reprises, il a monté tous les échelons de celui de simple bidasse au grade de général. Il fut même un temps secrétaire d’Etat sous Giscard d'Estaing et plusieurs fois député dans sa région d’origine, la Lorraine.

« France, réveille-toi » se situe à la limite entre l’essai de géopolitique et les mémoires d’un homme qui eut une vie bien remplie et toute au service de la patrie. Bien qu’écrit un peu au fil de la plume, l’ouvrage est assez bien structuré autour d’une petite dizaine de lettres d’abord adressées à trois présidents français : Jacques Chirac en qui Bigeard avait mis pas mal d’espoir et qui le déçoit déjà. Valéry Giscard d’Estaing pour qui il a eu un réel coup de cœur et qu'il estime avoir été le meilleur des trois. Et François Mitterand dont il trace un portrait fort peu flatteur. Dans le registre des remontrances, le lecteur trouvera aussi la lettre à Mobutu, pitoyable tyran et piètre gouvernant, prétexte à une fine étude de la situation africaine (toujours d’actualité d’ailleurs). Ayant longtemps séjourné là-bas, Bigeard en était un véritable connaisseur. Les deux lettres adressées à ses vainqueurs, Ben M'Hidi Larbi et Giap sont des modèles de sincérité et d’honnêteté. Elles permettent de mieux comprendre comment s’articulèrent ces deux désastres. Le livre s’achève sur une lettre au dernier appelé du contingent. Il va sans dire que Bigeard n’était guère partisan d’une armée de métier et craignait le pire pour l’armée. Et sur une toute dernière lettre à ces femmes qui réveilleront la France, dont fait partie la meilleure, la sienne bien sûr.
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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De la brousse à la jungle

Petite explication du titre : la brousse, ce sont tous les combats qu'a mené Bigeard tout au long de ses trente années de carrière et la jungle, cela représente les douze années de vie politique comme secrétaire d'état à la défense, président de la commission éponyme et député à l'Assemblée Nationale. L'auteur ne se cache pas pour écrire que la jungle où personne ne meure jamais, avec ses coups fourrés, ses petitesses, ses combats des chefs sans oublier toutes les « affaires » déjà peu ragoûtantes à l'époque est bien pire que la brousse où l'on se bat d'homme à homme, où l'on vit et où l'on meurt dans de sales guerres perdues d'avance (Indochine, Algérie) mais avec panache et pour l'honneur. Né à Toul en 1916, Bigeard combat dans les corps francs pendant la Seconde guerre mondiale. Prisonnier en 1940, il s'évade en 1941 et rejoint la France Libre. Volontaire parachutiste, il est largué en qualité de chef du département de l'Ariège qu'il libère en 1944. Il effectue ensuite trois longs séjours en Indochine qui s'achèvent à Dien Bien Phu où il est fait prisonnier et voit des milliers de ses camarades mourir de faim dans les monstrueux camps de concentration viet-minh. Il se retrouve ensuite en Algérie où il participe activement à la pacification. Il refuse de se joindre au fameux « quarteron de généraux factieux » par fidélité au général de Gaulle. Il poursuivra son action en Afrique noir et à Madagascar avant d'être appelé au gouvernement par Valéry Giscard d'Estaing en 1975 et de démarrer une belle carrière politique, sujet des trois quart du livre.

« De la brousse à la jungle » est le troisième témoignage du général Bigeard qui fait suite à « Pour une parcelle de gloire » et à « Aucune bête au monde », ouvrages consacrés aux opérations militaires auxquelles il participa. Pas de langue de bois dans ce texte, mais une grande franchise, une belle honnêteté et des convictions fortes. Mais quel intérêt trouver à la lecture d'un livre datant d'une vingtaine d'années ? Celui du recul historique tout simplement et le plaisir ou la tristesse de pouvoir faire toutes sortes de parallèles et de comparaisons avec ce que nous vivons aujourd'hui. Ainsi découvrira-t-on que bien des maux dont nous souffrons prennent leur source à cette époque-là. Déjà dans les années 80, le chômage grimpait, grimpait, la dette commençait à devenir ingérable, les délocalisations devenaient inquiétantes et le pays n'en pouvait plus de l'amateurisme et de la corruption de ses dirigeants... Nihil novi sub sole ! (Rien de nouveau sous le soleil)
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
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J'ai mal a la France

La Guerre d'Algérie racontée par quelqu'un qui y était. C'est bien loin des discours moralisateurs que l'on entend à longueur de temps avec la réécriture moderne de l'Histoire de France.
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Pour une parcelle de gloire

Le général Bigeard est né à Toul le 14 février 1916, il a 93 ans…



Marcel Bigeard nous offre, dès 1975, une autobiographie de bien belle facture. Il nous livre ses réflexions, ses actions et ses états d’âme pour une période historique déterminante de l’histoire de France: de l’avant second guerre mondiale jusqu’à la décolonisation et les trente glorieuses.



Corps francs durant la drôle de guerre, parachutiste de la France Libre, officier étincelant en Indochine, officier supérieur en Algérie, « Bruno » Bigeard est un officier d’exception, un entraineur d’homme exemplaire, un organisateur hors pair et un personnage « haut en couleurs ». Quel parcours !



Pour les amateurs d’Histoire, indispensable pour comprendre l’armée française de la 4ème République.

Pour tous, un parcours authentique, une expérience de vie exceptionnelle.



Pour une parcelle de gloire par le général Marcel Bigeard aux éditions Plon en 1975 maintes fois réédité.
Lien : http://www.bir-hacheim.com/b..
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Adieu ma France

Ehhh oui......les fameuses vérités qui dérangent.
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Ma vie pour la France

Le Général Bigeard avait confié aux Éditions du Rocher le texte de cet ultime livre à publier à titre posthume. C’est fait.



L’ouvrage retrace le parcours d’exception de cet homme et officier de l’armée française depuis sa naissance en 1916 à Toul jusqu’à ses derniers mois de 2010, toujours à Toul.



La carrière de ce jeune français que rien ne prédestinait au métier des armes est exceptionnelle: doté de son certificat d’études, employé de bureau à la Société Générale de Toul, Marcel Bigeard va partir au service militaire le cœur gros. Rendu à la vie civile, il va reprendre sa vie d’employé de bureau auprès de sa jeune épouse, Gaby. Pris dans le maelström de la défaite de 40, il va s’évader par deux fois des camps de prisonniers allemands, va rejoindre l’armée d’Afrique puis se porter volontaire pour les paras de la France Combattante ! C’est là que l’aventure « Bigeard » va réellement commencer.



Parachuté au sein d’une équipe jedburgh sur l’Ariège en 1944, il va guerroyer jusqu’à .../...
Lien : http://www.bir-hacheim.com/m..
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Aucune bête au monde...

On n'argumentera pas sur le contexte (la "guerre d'Algérie")

On ne jugera pas de la validité de notre présence là bas.

On ne disputera pas sur la notion de "maintien de l'ordre"

On lira les textes, brefs, pudiques, poétiques et émouvants

On admirera les photos, pures, vraies, viscérales, dans lesquelles on s'immerge

Une expérience forte, un livre majeur.
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Mon dernier round

Un ouvrage plaisant qui le doit à la "gouaille" du général BIGEARD, personnage hors norme devant son destin au souffle de l'histoire. Sa franchise est plaisante en particulier du fait qu'elle s'exprime par rapport à des idées tranchées auxquelles le Général à été fidèle tout sa vie. Un regret, l'ouvrage est un peu itératif pour ceux qui ont lu ses autres ouvrages.
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Ma guerre d'Indochine

Il avait dit qu’il n’y retournerait que réduit en cendres larguées sur Dien Bien Phu.



Le général Bigeard, alors chef de bataillon au 6ème BPC, a fait le voyage 40 ans après en 1994.



40 ans après les combats héroïques de Dien Bien Phu et l’abandon de l’Indochine française au Vietminh.



Ce superbe album photos est l’occasion pour cet officier emblématique de revenir sur ses différents séjours en Indochine. L’album alterne photos d’époque et photos du séjour en 1994.



Une grande partie du texte provient des mémoires de Bigeard déjà publiées sous le titre « Pour une parcelle de gloire ». On retrouve la plume alerte et directe de cet officier qui a traversé la drôle de guerre, la Libération, l’Indochine et l’Algérie.



On reprochera à l’ouvrage des approximations dans les légendes de certaines photographies. Pour le reste, la qualité de l’ouvrage (photos et cartes) est indéniable.



Aux éditions du Rocher en 2004.
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Lettres d'Indochine

L’idée de ce livre du Général Biegard est simple: retracer les étapes majeures et les moments forts du séjour des militaires du CEFEO (corps expéditionnaire français en extrême orient) durant la guerre d’Indochine.



Le texte du Général Bigeard se veut discret introduisant et concluant ces correspondances d’hommes jeunes engagés dans une guerre qui dura 8 années.



Du départ de France à la découverte de l’Indochine, des opérations de pacification aux durs combats de Dien Bien Phu, des rapports avec la métropole à la vie avec les indochinois, de la captivité à la libération; ce livre du Général Bigeard restitue très clairement la perception des hommes engagés dans la guerre face aux événements guerriers mais aussi de leur vie privée.



Un beau témoignage qui fut complété, devant le succès, par un second tome sur le même principe.



Aux éditions 1 en 1998.
Lien : http://www.bir-hacheim.com/l..
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Mon dernier round

A 93 ans, Bigeard est toujours à la pointe de ses combats...



Le général Bigeard a 93 ans. Quatre vingt et treize années... au service actif ou épistolaire de la France.



Soldat le plus décoré de France, parachutiste de la France Libre, meneur d'hommes exemplaire en Indochine, esprit de la résistance à Dien Bien Phu, inventeur de bien des méthodes de contre-guérilla durant la guerre d'Algérie, secrétaire d'état aux armées pour redresser le moral des troupes après mai 68, député à l'Assemblée Nationale... Bigeard, à 93 ans, est toujours sur la brèche et nous propose ici, une fois de plus, son analyse de la situation en France et dans le monde.



C'est clair qu'il ne faut pas chercher dans ce "Dernier round" un "essai brillant" sur la situation internationale, Bigeard fait du "Bigeard", toujours un peu cabotin, mais son expérience, sa lecture des événements et de leurs enchainements font de ce "con glorieux", comme il se définit lui même, un témoin et un analyste de la situation internationale qui mérite d'être écouté. Bigeard n'est pas Adler, Chaliand, Encel ou Lacoste, il est ce soldat de France qui a servi et vécu la guerre dans sa chair et dans celle de ses hommes au service de la France.



Pour Bigeard, le danger est clair: islamisme et terrorisme international. Il nous livre son analyse de la situation en Algérie, au Maghreb, en Mauritanie, en Afrique sub-saharienne, en Afghanistan, en Irak,, en Iran et au Proche Orient... et jusque dans nos banlieues. Pour Bigeard, il y a des évidences à ne pas oublier et à mettre en perspective dans le temps. Et son expérience du monde musulman et du contre-terrorisme mérite qu'on s'attarde à ses arguments. D'ailleurs, le général Petraeus qui commande le Central Command américain ne s'y trompe pas quand on connaît son estime pour notre "Bruno"...



J'ai également été ému par les chapitres consacrés à son histoire personnelle (ah sa Société Générale...) et par les courriers insérés dans l'ouvrage. La "France d'en bas" semble vouer une admiration sans bornes au "vieux soldat" et il lui rend bien.



Mes respects, mon Général... comme toujours.



Petit reproche à l'éditeur, les Editions du Rocher, mon exemplaire mal imprimé... avec des "e" baveux... désagréable pour la lecture...
Lien : http://www.bir-hacheim.com/m..
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