Gôshô Aoyama

- Comment allez-vous ? Vous vous souvenez sûrement que nous avons enquêté de nombreuses fois ensemble.
- Malheureusement oui ! D'ailleurs, toutes ces enquêtes n'ont jamais abouti, grâce à vous !

"Le Manoir du Crépuscule"... Moi je dirais plutôt le "Château de Dracula"...

En mélangeant du noir et du noir on n'obtient jamais que du noir...

Le nom de la cible? "Rotten Apple", "La Pomme Pourrie" si tu préfères...

Le fait que ce soit un crime audacieux aussi parfait que l'épée que j'ai sortie de mon fourreau ne fait aucun doute...

Suis le chemin du dragon et tu seras éclairé par la lumière du Paradis suprême.

Même ce miroir qui est censé refléter fidèlement la réalité ne reflète pas ta réelle apparence...

Le vent et le bruit des rails entonnaient une mélodie vigoureuse...

Pour moi, tu est... un vrai trésor...
Un...trésor ?
Oui
Je n'en ai que deux au monde...

- Aaah ! Quel beau paysage !
- J’étais un peu inquiète au début… mais en fait, on a eu vraiment de la chance !
- C’est vrai !
- Si ton père ne s’était pas trompé d’horaire pour la navette… On ne nous aurait sûrement pas laissé monter à bord de ce superbe paquebot.
- Pour une fois qu’il nous emmenait en vacances, il se trompe sur l’horaire du bateau qui devait nous ramener… heureusement que ce paquebot a fait une escale sur l’île… un peu plus et on était bloqués trois jours sur cette île.

- L’assassin est sorti par la fenêtre… et a longé le mur de fenêtre en fenêtre. Ce qui explique qu’il n’y ait aucune trace de pas dehors.
- Im…impossible !
- Il y a au moins cinq mètres entre chaque fenêtre.
- Mais il n’y en a que deux si l’on se sert du toit pour atteindre la fenêtre. Seul quelqu’un qui connait bien la maison a pu faire cela. Et une seule personne en avait la possibilité sans se faire remarquer à cette heure-là…

- Vous êtes bien chirurgien, n'est-ce pas ?
[...]
- Vos mains sentent encore un peu le désinfectant ...
[...]
- Au bout des doigts, vous avez des petites coupures ...

Bon cette fois, avec mes lunettes radars, je ne le raterai pas !

Conan : "Pff... Il en met du temps pour retrouver une fille !!"
Mitsuhiko : "..." "Ce n'est pas juste une fille..."
Conan : "Quoi ?"
Mitsuhiko : "Ah... Euh... Rien..."
Conan : *Bon, je vais arranger le skate que m'a prêté le professeur Agasa...*
Mitsuhiko : "Euh... Je peux te poser une question ?"
Conan : "Ben oui..."
Mitsuhiko : "Tu... Que penses-tu vraiment d'Ayumi ?"
Conan : "Hein ?"
Mitsuhiko : "Je veux dire : Que penses-tu d'elle en tant que femme !!?"
Conan : "C'est... c'est juste une copine..."
Mitsuhiko : "Ah bon ? C'est tout... ?"
Conan : "..." "Eh, dis moi : tu ne serais un peu pas amoureux d'elle ?"
Mitsuhiko : "Moi ? Pas du tout ! Je voulais juste pouvoir me faire une idée sur l'avenir !"
[...]
Conan : "Les gamins d'aujourd'hui sont décidément TRÈS précoces..."

Ran à Sonoko : "C'est quand même grâce à toi que toute l'affaire a été résolue et Takashi arrêté !"
Sonoko : "Hein ?"
Conan : "Aïe... Zut de zut.. il ne faudrait pas qu'elle découvre que c'est moi qui ai fait toute l'analyse en me servant de la voix de Sonoko..."
Ran : "Allez, arrête ! Tu ne vas pas encore faire celle qui ne sait pas ! Tu a été une détective de génie..."
Sonoko : "..."
Conan : "Vite un autre sujet de conversation... !"
Sonoko : "Bon, ça va !"
Conan : "Hein ?"
Sonoko : "Pour moi, ce genre d'affaire, c'est du gâteau !! (intérieurement : même si je n'en ai aucun souvenir...) Ni Shinichi ni ton père ne m'arrivent à la cheville ! Il est temps que l'ère de Sonoko Suzuki commence !!"
Conan : "C'est bel est bien une erreur que de la faire passez pour une détective..."

Conan en train de persuader Agasa qu'il est Shinichi :
"Vous êtes Hirochi Agasa, 52 ans. Vous êtes un chercheur farfelu et vous êtes mon voisin ! Vous êtes persuadés d'être un génie, mais vous n'avez inventé que des gadgets ! Et vous avez un grain de beauté sur les fesses !"
Agasa : "Sur... Sur les fesses... Shinichi seul était au courant ! Maudit Shinichi ! Il en a parlé à tout le monde..."

J'ai vu de nombreux corps de suicidés qui avaient fait le grand saut. Pas un n'avait enlevé ses chaussures... Quand je parlais d'idées préconçues, je faisais allusion aux codes que les films et les séries utilisent. Pour faire comprendre au spectateur qu'il est face à un tel suicide, il est plus facile en effet d'user d'un code dont il pourra se souvenir, comme le coup des chaussures bien rangées sur le rebord du toit. (...) Dans le cas présent, vous avez dit que la victime était ivre et qu'elle vous avait demandé un peu de temps pour dessoûler. J'ai donc du mal à croire qu'il aurait eu la présence d'esprit d'enlever sa veste et de disposer ses chaussures dessus, d'autant plus qu'il devait tituber.

Holmes dit (...) : "Si une déduction balaye simplement toutes les déductions intermédiaires et entre en résonance avec le point de départ et la conclusion, elle est capable de produire un effet surprenant, bien que peut-être factice."

" Le marais de l'enfer. Le lieu de résidence du Kappa !
- Le...Le marais de l'enfer ?!
- Alors le meurtrier, ce serait bien le Kappa, n'est-ce pas ?!
- Ran... Qu'est-ce que tu racontes là ? On vit à une époque de rigueur scientifique où les voyages spatiaux sont possibles, et tu viens me dire que des monstres comme le Kappas existent ?! "

" Stupide détective (kiss)