Guillaume Guéraud

- Arrête de rêver, Alex, ils vont te coller à la rubrique des chiens écrasés !
- Qu'est-ce que tu racontes ?
- C'est une expression.
- Il y en a plein les colonnes ! "Madame Tartenpion a perdu son chat " ; "Bonne ambiance à la maison de retraite " ; " Une médaille d'or pour l'adjudant Dupont " ... Tous ce qui peut endormir le monde !
- J'ai pas envie de faire ça !
- Il faut bien faire ses premières armes quelque part .Je colle des semelles toute la journée ! Tu crois que ça m'intéresse ? Je n'ai pas eu le choix ! Dis-toi que tu as de la chance de faire des stages à ton âge. Ça t'aidera à ne pas te tromper plus tard.

J'ai apprécié cette histoire car dans cette histoire,on apprend que la violence n'est pas la solution et qu'on peut faire de nos faiblesses une force.

Les délires, les inventions, les éclats de rire, tout ça disparu. D'un seul coup. En même temps que les hésitations, les incertitudes, les perplexités.

-Est-ce que vous savez ce qui se passe ? Lui demanda Zak.
- Je ne peux rien vous dire.
- Vous ne devez rien dire ou vous ne savez rien ?
- Je ne peux rien vous dire ! se contenta de répéter le pompier.

Descendre et revivre

Un miroir sur le mur. Quatre collégiens dans son encadrement. Leur regard intense dans leur regard éteint. Quartes survivants. Deux 6èmes et deux 3èmes. Deux filles et deux garçons. Peut-être dévastés . Ou peut-être un peu plus vivants qu'avant.

La mort les englobait tous sans distinction. À croire que tout être vivant en valait finalement un autre.

Plus elle tentait de maîtriser la peur et plus la peur la maîtrisait.

Elle allait mourir. Sûrement. Ils allaient tous mourir. Certainement. Ils allaient tous mourir et personne ne pourrait les sauver. Évidemment.

- C'est fini, t'inquiète pas, je crois que c'est fini...
Mais il mentait - et il le savait. Rien ne signifiait que c'était fini - au contraire. La foudre frappait encore - moins frénétique mais toujours menaçante.

Plus de morts que de vivants dans la cour. Et presque tous les vivants connaissaient presque tous les morts. Certains connaissaient même désormais plus de morts que de vivants.

La plupart ne faisaient pas de bruits quand ils mourraient. Même pas le bruit d'un insecte qu'on écrase. Seuls ceux qui avaient peur hurlaient. Mais la plupart de ceux qui mourraient n'avaient pas le temps d'avoir peur. Et quand la mort leur en laissait le temps, alors la force leur manquait pour manifester leur peur en hurlant.

Des mecs avaient bien tenter de la brancher à Miami, mais elle les confondait tous avec les alligators.

Catastrophe ! Le vaisseau est en perdition mais ne cédez pas à la panique ! Un sidérant va sauver cet équipage sidéral ! Les flammes dévoraient le Meteor 8 et la brèche ouverte dans sa carlingue rendait l'air suffocant. Robert mit les gaz pour faire marche arrière mais le vaisseau était devenu incontrôlable et il ne fit que tournoyer en décrivant une série de lamentables loopings.

(citation choisie par Quentin)

J'aperçois le Last Chance Saloon au loin et je prends cette photo. La distance et l'éclairage le font ressembler à un établissement fantomatique sorti d'un médiocre film d'horreur. "Il est mort…"Je le répète sur des tons différents. Mais impossible d'en trouver un qui parvienne à me convaincre.

« Et qu’elle avait bien changé …Mais Wendy lui répondit simplement en clignant d’un œil : -ça signifie que nous allons Devoir repeupler notre planète. THE END. » (citation choisie par Superman)

Wendy Weaver plongea sa main dedans et en sortit un téléphone qui sonnait. Ça alors ! C’était le téléphone du président des États-Unis. Allô ? Dit-elle en décrochant. Qu’est-ce que ça signifie lui demanda le Dr Scott à l’autre bout du fil. Ça signifiait que cette planète était la Terre. (page 34)

Citation choisie par Topaze

« Les martiens n’étaient ni petits ni des hommes ni verts. Ils ressemblaient à des oreillers des simples oreillers bariolés, de la taille d’un basketteur. » A LA P .14 (citation choisie par Louca)

J'entends parfois ricaner des serpents dans les tuyaux. A la salle de bains, surtout, quand je me lave les dents, et que l'eau mousseuse s'enfuit en tourbillonnant.

Sans pitié, les mille soucoupes tirèrent un déluge de rayon sur le météore perçant la carlingue pulvérisant ses deux ailes. Le chat miaula et les mille soucoupes se désintégrèrent.