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Critiques de Ivan Calbérac (216)
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Venise n'est pas en Italie

Le style de ce roman m'a immédiatement séduite : clair, phrases courtes, percutantes, langage de jeunes. L'auteur interpelle familièrement le lecteur avec humour.

La Famille Chamodot vit dans une caravane, faute de permis de construire sa maison. Famille déjantée, haute en couleurs, pleine d'amour et de principes (on se doit d'être fier d'en être membre, on est tous solidaires, on forme une équipe).

J'ai aimé ce livre qui m'a "reposé la tête" en me faisant sourire et en m'entraînant dans une folle aventure à Venise.

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Venise n'est pas en Italie

Dans cette douce lecture, j ai retrouver mes 15 ans 🙊 ( oui c était il y a pas longtemps, mais quand même !! ). J ai vraiment beaucoup aimer cette lecture. Je découvre la plume d’Ivan Calbérac et elle est superbe. Un livre très sympa sans prise de tête qui fait du bien 😊
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Venise n'est pas en Italie

Petite romance sympathique à lire avec pour personnage principal Émile 15ans.

Il tombe raide dingue d’une fille de son lycée Pauline!

Problème, cette fille semble d’un milieu aisé, alors que lui, fait tout pour cacher sa famille qui vit très modestement dans une caravane, dans l’attente d’un permis de construire.



Oui mais voilà, Pauline l’invite à son concerto de violon à Venise !

Et sa famille contre toute attente décide de partir avec lui à Venise en caravane , la honte …

Ce voyage fera le plus grand bien à la famille Chamodot dixit Bernard le papa!

Il va donc tout mettre en œuvre pour cacher sa famille et sa situation aux yeux de sa dulcinée.



Le voyage ne se fera pas sans encombres avec des personnages haut en couleur, Bernard et Annie les parents , Fabrice son frère militaire et la belle Natacha l’amie de son frère .



Arrivera-t-il à temps , et son amour inconditionnel pour Pauline marche t’il dans les deux sens?



Roman assez bateau, mais qui a le mérite de nous entraîner malgré tout avec des personnages drôles et émouvants .

Je vais sans doute regarder maintenant le film du même nom tiré du roman.

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Venise n'est pas en Italie

Émile a quinze ans, est fou amoureux de Pauline et quand elle lui propose de venir la voir jouer du violon à Venise, il est prêt à tout pour assister à ce concert.



J'ai toujours eu un faible pour les récits racontés par les adolescents, et ce journal intime d'Émile, 15 ans, m'a tout de suite plu et amusée ! C'est frais, intelligent et on se prend rapidement au jeu de cette histoire d'amour naissante racontée avec humour et auto-dérision.



La famille farfelue d'Émile ajoute beaucoup de charme au roman, et on comprend tellement son désarroi et ce sentiment de honte que l'on a tous eu à quinze ans quand on se croit plus malin que ses parents.



Il a été adapté au cinéma, et en le lisant, je n'avais aucun mal à m'imaginer un film car les dialogues sont hyper présents et savoureux.



Le petit défaut que j'ai trouvé, c'est la place des femmes que j'ai toutes trouvées pas très glorieuses et assez passives... Et les petites réflexions adolescentes qui auraient mérité d'être un peu contredites à un moment du style "les filles aiment quand on insiste un peu".



En dehors de ça, un très chouette roman aux airs de vacances qui donne envie de partir en Italie et de passer du temps en famille !
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Venise n'est pas en Italie

Emile a 15 ans, vit avec ses parents dans une caravane et est amoureux de Pauline, élève dans son lycée. Le jour où pauline l'invite à la voir en concert à Venise, Emile est fou de joie. Ses parents acceptent de lui payer un billet de train pour rejoindre son ami, tout se déroule à merveille. Jusqu'au moment où ses parents changent d'avis, et décident de l'accompagner avec la caravane pour des petites vacances en famille.



J'ai lu ce livre dans le cadre d'un challenge d'été sur insta. J'avais vu le film il y a quelque temps ( plusieurs mois) et j'avais bien aimé. J'ai aimé l'ambiance générale du roman. Les parents sont particuliers et touchants malgré leurs maladresses. On sent tout l'amour qu'ils portent pour leur fils. C'est un road trip rocambolesque et loufoque qui les attend. J'ai été un peu dérangé par les dialogues. D'habitude lorsque je lis un roman, les dialogues sont séparés du reste du texte par des retours à la ligne et des tirets. Alors que là ils sont incorporés dans le texte. Cela m'a un peu dérangé au début et puis finalement on s'y fait.

Un road trip original pour une jolie histoire d'amour d'adolescent.
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Venise n'est pas en Italie

Tout d'abord, je dois signaler qu'il s'agissait d'une lecture imposée par ma supérieure en librairie qui souhaitait avoir un avis dessus. Je n'avais lu aucun avis avant de le commencer. J'avais vaguement compris qu'il était question d'un roman « feel good », comme on dit. Durant une bonne partie de ma lecture, je reconnais que je n'ai pas passé de mauvais moment. Il réussissait dans sa mission, à savoir, me distraire. Malheureusement, cela s'est détérioré dans les dernières pages … Ce qui fait qu'en refermant ce livre, j'étais enervée. Cela faisait longtemps que je n'avais pas ressenti ça en terminant une lecture.



Comme je le disais, le début s'annonçait pas trop mal. On apprend à connaître le personnage principal, Emile et son quotidien. Par cette occasion, on rencontre également sa famille, ses deux parents, généreux et toujours amoureux. On entend vaguement parler d'un frère aîné, sans plus de précision. Evidemment, on découvre Pauline. On se souvient de nos premières « amourettes », de nos amours d'adolescents. J'ai aimé découvrir la vision des choses d'un adolescent et non d'une adolescente. Pour ma part, ça a bousculé mes habitudes et j'ai apprécié ça. Cependant, plus on apprenait à connaître Pauline, plus elle me semblait antipathique. Pour le coup, j'admets volontiers que l'auteur n'a pas fait de personnages manichéens, ni lisses, sans défauts. C'est un bon point, seulement, je n'ai pas accroché au personnage de Pauline. Elle avait un comportement qui ne me plaisait par moment. Dans ces situations, Emile lui pardonnait assez vite ou oubliait ce qui s'était passé. J'ai trouvé ça réaliste dans le sens où lorsqu'on aime quelqu'un, on peut omettre certains aspects de la personne en question. Encore une fois, j'ai apprécié cet aspect de l'histoire.



Hélas, Pauline n'était pas la seule qui me déplaisait. Au fil de ma lecture, le comportement d'Emile m'agaçait. Je le trouvais trop émotif et en parallèle, beaucoup trop passif dans d'autres situations. Mes principales reproches se basent sur ces dernières pages, où justement Emile adopte cette attitude passive. Il faut savoir qu'à un moment donné du récit, on découvre qu'ils ne sont pas seuls à faire ce voyage. Je ne vais pas développer davantage, seulement, on se rend compte qu'il existe un secret. Un secret dont le héros prend conscience dans les cent dernières pages de l'ouvrage. S'il s'énerve sur le moment, il oublie très vite cet épisode car il préfère songer à Pauline. Ce simple constat m'a agacée : en apprenant une telle chose, aucun enfant ne reste indifférent. On oublie pas ce genre de spectacle d'un claquement de cil. Or, Emile le fait. Il y repense après, mais le relègue à un accident mineur, à quelque chose de pas suffisamment important pour détruire une relation. De manière générale, je déteste les personnes qui se comportent comme une autruche, en faisant semblant de rien voir. A ce moment-là, la colère montait en moi sans que je puisse l'empêcher. Je ne comprenais pas la mentalité d'Emile. L'auteur donne l'impression que le personnage s'en fiche. Tout le monde le sait : les secrets peuvent briser beaucoup de choses. Ici, le personnage ne semble même pas songer aux conséquences. Dans sa position, j'ai du mal à imaginer quelqu'un qui resterait insensible. Les événements se sont encore plus détériorés lorsqu'Emile parle à l'une des personnes concernées... Cette personne lui demande de ne rien dire et Emile accepte. Alors que ce secret concerne une personne qu'il aime et qui lui ferait du mal. Je sais qu'il n'existe pas de case « ce qui est bien » et « ce qui n'est pas bien ». bien définie. Selon mes principes, ce n'est pas une chose à faire, c'est un comportement que je ne comprend pas et que je ne tolère pas. J'agis de manière à ne pas infliger à autrui ce que je n'aimerais pas qu'on me fasse. Mentir à quelqu'un en espérant arranger une chose ne sert à rien selon moi. Ce n'est pas en agissant comme si le problème n'existait pas qu'il disparaitra. S'il y a tromperie de quelque manière que ce soit, c'est que les parties en question ont quelque chose à se reprocher. Si l'interlocuteur d'Emile lui avait dit « Cette personne est au courant et ça ne la dérange pas », je n'aurais rien dit. Mais ce n'est pas le cas. J'avais l'impression qu'Emile se fichait des sentiments de cette personne et que cette situation ne le touchait pas plus que ça. Je n'arrivais pas à le comprendre. Surtout que le roman se termine quelques pages après, l'auteur n'a pas l'occasion de revenir sur cet épisode. Ce qui fait que je n'ai pas apprécié la manière dont l'auteur a dépeint la situation, comme si c'était légitime de mentir à quelqu'un qu'on aime, sous prétexte que c'est mieux que d'affronter la vérité. A mon sens, on fait plus de mal que de bien. Au final, tous les personnages me sont devenus imbuvables, hormis un seul personnage.



En plus de ça, j'avais l'impression de lire une de ces énièmes comédies un peu moyennes qu'on voit parfois à la télé : une sorte de road-trip familial, avec des situations rocombolesques et pas toujours cohérentes, avec une petite course afin d'arriver à destination, jusqu'à ce que survienne un événement incongru à leur arrivée. Je n'apprécie guère ce genre de chose, ce qui fait que j'avais une certaine distanciation avec l'histoire, même si j'ai apprécié certains éléments (cités plus haut). Si l'auteur avait formulé les événements d'une autre façon, peut-être n'aurai-je pas fini cette lecture avec un goût amer. Toutefois, le résultat reste le même : les dernières pages ont saboté toute ma lecture. Cela ne n'empêche pas de reconnaître ses bons côtés, mais je ne le recommanderais pas.
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Venise n'est pas en Italie

j ai beaucoup aimé ce livre, il se lit très facilement et l auteur nous donne envie de continuer dans lire toujours un peu plus.

c est comme une conversation avec un bon ami.

les sentiments sont exprimés d une manière poétique positive et humoristique, vous permettant de les penser dans notre propre vie.

un bon moment de détente
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Venise n'est pas en Italie

Le pitch est relativement simple, presque bateau dirions-nous. Un adolescent tombe amoureux d’une fille de son lycée. Pauline (c’est le nom de la jeune fille) est musicienne et se produit bientôt à Venise ; elle invite donc Émile (c’est l’adolescent épris) à venir assister au concert. Sauf que tout ne se passe pas vraiment comme prévu et que les parents décident de l’y conduire en… caravane.



Le tout est raconté sous forme de journal intime. Au début ça se tient relativement mais par la suite, les récits quotidiens sont tellement longs qu’il serait impossible pour un jeune homme de les rédiger en fin de journée, à moins d’y passer la nuit… On dira que c’est peut être du pinaillage mais quand même…

Je m’interroge aussi sur le bien-fondé de situer l’intrigue à la fin des années 80 alors que le roman est sorti en 2015. Un passéisme nostalgique ? L’époque n’était pourtant pas tellement « sexy ».



Bref, outre ces détails rédactionnels, je suis perplexe. D’une part, l’histoire est plutôt amusante, les personnages attachants. On sourit régulièrement aux bizarreries de la vie familiale disséquée par Émile (l’analyse du rituel du café sur l’aire d’autoroute est particulièrement savoureuse).

D’autre part, cette forme littéraire a un petit goût niais et faux qui peut exaspérer et qui laisse un goût de « déjà lu » un peu irritant.



Je trancherais en disant que c’est une petite lecture-détente, sans prise de tête, style Patrick Cauvin. Délassant mais dispensable.
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L'Etudiante et Monsieur Henri

Monsieur Henri vit seul dans son appartement parisien, ce qui inquiète son fils, Paul. Si le septuagénaire, particulièrement bougon, refuse catégoriquement tout placement en maison de retraite, il finit par accepter de louer une chambre de son appartement à une étudiante. Constance, 21 ans, emménage chez lui. C’est une jolie demoiselle pleine de fraîcheur et d’enthousiasme, aux faibles moyens, en plein échec dans ses études, qui cherche encore sa voie. Loin de tomber sous le charme, Henri va se servir de Constance pour créer un véritable chaos familial dont il était loin d’avoir prévu toutes les conséquences…On repense fatalement au fort beau film avec Claude Brasseur, toujours touchant dans un rôle de bougon qui lui colle à la peau.
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Venise n'est pas en Italie

J'avais entendu beaucoup de critique négative sur le film mais j'avais quand même envie de lire le livre et je n'ai pas été déçue .

On suit la vie d'Emile à travers son journal intime, pour une fois que c'est un garçon qui en écrit un !

Il a le béguin pour une fille de son lycée mais est trop timide pour vraiment l'approcher.

Sa famille est pour le moins originale mais n'en reste pas moins humaine.

Je crois que c'est d'ailleurs ce qui m'a séduite, l'authenticité des sentiments, des questionnements, des pensées, c'est rafraichissant. Après, l'histoire en elle-même est effectivement peu probable mais c'est aussi le principe d'un livre, nous faire nous évader.

Et pour ce livre là c'est mission réussie, j'ai été jusqu'à Venise.
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Venise n'est pas en Italie

Emile rencontre Pauline au lycée, devant un match de tennis. C'est le coup de foudre, entre la belle et le clochard, la magnifique joueuse de violon et le garçon qui vit dans une caravane en attendant de pouvoir construire une maison.



Emile a honte de sa famille, de sa mère qui lui teint les cheveux, de son père VRP, de son frère militaire. Alors, lorsque Pauline l'invite à Venise la voir en concert et que sa famille s'invite au voyage, imaginez sa tête ! ⛵ (oui, c'est une gondole)



Venise n'est pas en Italie, c'est des rires, des larmes, la honte, l'amour, l'attendrissement, les surprises, les baffes, c'est la famille avant tout. Certains scènes sont exagérées, presque irréelles, mais elles font du bien. On ne peut refermer le livre sans avoir un sourire aux lèvres.
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Venise n'est pas en Italie

Le charme de ce roman n'a malheureusement pas opéré sur moi. Je suis sur que ce roman a su trouver son public. Mais il a manqué plusieurs petites choses pour que ce roman fasse sa place dans mes bonnes lectures.



Tout d'abord, j'ai été très étonné du peu de dialogue dans ce récit. Les pages ont du mal à se tourner car il y a de longues descriptions, beaucoup de textes. J'ai trouvé le contenu trop peu aéré et cela m'a vraiment perturbé dans ma lecture.



J'ai aussi eu beaucoup de mal à m'attacher à Émile, quinze ans. Tout simplement car j'ai trouvé que ses réflexions d'adolescents étaient complètement en décalage avec son âge. Il parlait comme un adulte et encore... même moi je ne parle pas comme ça. Et même dans mes pensées, je ne suis pas du tout dans l'état d'esprit de ce jeune.



J'ai senti Émile complètement en décalage dans sa vie. Bon déjà il a une famille particulière, mais on dirait qu'il vit dans un autre monde et ses analyses de certaines situations sont trop poussés pour son âge.



Je pense que je n'ai pas compris le ton de ce roman, le côté humoristique non plus.



Elise__♥
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Venise n'est pas en Italie

Je poursuis mes lectures estivales avec ce roman plutôt drôle, le journal intime d'un ado de 15 ans qui découvre l'amour, qui a une famille dont il voudrait bien se passer mais qui décide de l'accompagner à Venise retrouver l'amour de sa vie.

Un feel good très sympa, plein d'humour que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire.

Une couv' qui reflète bien l'ambiance du roman, une belle découverte adaptée en film que j'ai très envie de voir maintenant (avec @benoitpoelvoorde dans le rôle du père )
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Venise n'est pas en Italie

Un livre que j'ai trouvé plaisant à lire. C'est modeste, court et relativement drôle, à défaut d'être d'une originalité folle. Si en tout cas un adolescent vous demande un conseil pour un livre à lire, cela peut être une piste car le livre s'adresse à mon avis également; de par son sujet, à ce type de public.

A noter qu'il existe une adaptation cinématographique de ce livre qui n'est pas désagréable non plus...
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Venise n'est pas en Italie



- Une bouffée d’air frais -



Dans ce roman, Émile y raconte sa vie : sans filtres. Et, je vous préviens, cela provoque quelques fous-rires.

Ses parents n’ont rien d’une famille ordinaire : un père aux expressions douteuses, une mère qui lui colore les cheveux en blond car « il est plus beau comme ça. »

Alors imaginez, quand Émile s’apprête à retrouver sa dulcinée à Venise et que ses parents s’invitent au voyage. Et qui plus est, en caravane.

Des scènes loufoques, rocambolesques.

Certes Venise n’apparaît qu’à la fin du roman, mais toutes les péripéties qui l’ont ponctué me font oublier cette légère attente.



Un roman que j’ai apprécié, notamment par les émotions qu’il procure. De la bonne humeur en permanence, de la tendresse à quelques moments ...

C’est un roman qui met le sourire aux lèvres.
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Venise n'est pas en Italie

Initiatique et rocambolesque.
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Venise n'est pas en Italie

J'ai tellement vu ce livre en tête de gondole dans les grandes surfaces que j'avais l'impression de l'avoir déjà lu.

A priori non.

Or plus j'avançais dans ma lecture, plus l'impression se confirmait.

Or, bizarre, il n' apparaît pas dans ma bibliothèque babelio.

Pourtant, je me souviens de plein de choses, comme le trou dans les chaussettes, les cheveux teints, le camping face à Venise.......

ah mais peut-être ai-je vu le film !

Or une recherche google et la bande annonce, par contre ne me disent rien du tout.

Donc j'ai vraiment du le lire, quand ? Où ?

Grand mystère !

Quoiqu'il en soit, c'est une lecture agréablr, mais sans plus.

Un petit côté famille Tuche bien sympathique.

Et Emile s'assimile assez bien à Coincoin.

Le côté journal ado m'a assez plu.

J'ai souri par moments, ai été agacée à d'autres..

Il y a de la tendresse dans ce livre qui est loin d'être déplaisant mais n'est pas extraordinaire non plus.
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Venise n'est pas en Italie

La quatrième de couverture peut être trompeuse...De fait, on peut croire à prime abord qu'il s'agit d'un roman destiné aux adolescents ou jeunes adultes. L'auteur retranscrit à merveille cette période de l'adolescence à travers le journal intime d'Emile. Le ton est juste, percutant, empli d'humour et la plume est légère, vive, entraînante. Emile en proie aux premiers émois adolescents est invité par la belle et fascinante Pauline à Venise. C'est sans compter sur ses parents qui décident de l'accompagner en caravane. D'autres personnages vont venir se greffer et enrichir l'aventure. C'est drôle, c'est frais, c'est loufoque, c'est cocasse. Amour et humour sont au rdv. Vous avez prévu d'aller à Venise cet été ? Emportez ce petit feel-good dans vos bagages ! Sinon vous avez la possibilité de le voir à la télé car il a été adapté.

Mes sentiments :

+l'auteur a su parfaitement se mettre à la place d'un adolescent qui doute et cherche sa place

+ Emile touchant, sensible, solitaire, à la fois naif et mature

+ les expressions détournées du père

+ le portrait d'une famille moyenne et la vie quotidienne d'un ado partagé entre espoirs, désillusions, honte

+ la joie communicative de certains personnages qui peut s'apparenter à de l'exubérance

- certains passages ont un aspect caricatural

- les parents un peu trop extravagants à mon goût

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Venise n'est pas en Italie

Un roman drôle, sensible, émouvant.. Une famille inclassable, un premier amour qui conduit vers un voyage rocambolesque !

Malheureusement j'avais vu le film avant, j'avais beaucoup aimé et beaucoup rit ! Ça a nuit un peu à ma lecture. C'est un bon premier roman !
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Venise n'est pas en Italie

Une histoire très drôle avec un héros particulièrement sympathique. L'amour adolescent, avec ses tourments et ses espérances. Mais tout cela est traité avec beaucoup de fraîcheur et de légèreté (au fond, on est soulagé pour une fois d'éviter l'amour malheureux). Evidemment, le détour par Venise ne peut que plaire à ceux qui aiment le bon goût, c'est-à-dire la culture italienne.
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