AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Ivan Calbérac (216)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Venise n'est pas en Italie

Un roman plein de fraîcheur pendant cette période de confinement.

Le journal intime d'un adolescent qui raconte ses tribulations de lycéen : il tombe amoureux de Pauline plutôt bourgeoise qui joue du violon et qui l'invite à son concert qui se déroule à Venise. Mais, car il y a un mais, Émile a une famille dont il n'est pas très fier : son père est VRP et pour des raisons économiques la famille vit dans une caravane le temps de la construction de leur maison.

Au grand désespoir d'Émile, toute la petite famille l'accompagne à Venise en voiture avec la caravane attelée, ainsi que son grand frère militaire en permission pile poil ce week end là.

Ce road trip donne l'occasion de moults péripéties très drôles, les réflexions d'Émile sont touchantes il ne voit en sa famille que des boulets.

Un livre qui m'a fait du bien en cette période, un roman iniatique pour les adolescents qui trouvent leur famille bizarre. C'est plein de bons sentiments et ça fait du bien. Un roman feel good pour ma part et tant mieux.

Je vais de ce pas regarder le film en espérant passer un bon moment aussi.
Commenter  J’apprécie          344
Venise n'est pas en Italie

Émile a 15 ans, mais il est déjà en première avec « un an et demi » d’avance. Il vit dans une caravane avec ses parents, sur un terrain que ceux-ci ont acheté pour construire leur maison, dont les travaux tardent à commencer. Au lycée il se lie avec Pauline, une fille qui lui plaît énormément. Alors quand elle l’invite à venir la voir en concert (elle joue du violon) à Venise Émile accepte tout de suite, mais sans oser lui parler de sa situation familiale. En effet, ses parents ne sont pas aisés et payer ce voyage ne va pas de soi. Quand finalement ses parents décident de venir avec lui en caravane Émile est encore plus catastrophé. Pauline est issue d’une famille de la grande bourgeoisie et il a déjà souvent honte de ses parents, tout en ayant honte d’en avoir honte. Ils n’ont pas de gros moyens financiers, ne sont pas discrets, pas à la mode et pas très raffinés, ils sont très « vivants » en somme. Nous voilà alors nous aussi embarqués dans un road trip de Montargis à Venise, auquel va se greffer le frère, en permission militaire pour quelques jours.

L’histoire n’est pas forcément très originale. Le plus gros problème étant qu’il y a sans doute une erreur de cible au niveau de la couverture, j'aurai plus vu le roman s’adresser à des ados, voire des jeunes ados (12-13 ans) comme les livres de Susin Nielsen, qu’à des adultes. Malgré tout le récit est sympathique, tout comme les personnages. Le père d’Émile est particulièrement truculent. On s’attache donc à eux, même si l’auteur est parfois un peu caricatural dans l’opposition entre la famille de Pauline et celle d’Émile. Il montre néanmoins ces derniers loin d’être parfaits, notamment sur l’éducation de leur fils, mais il y a souvent d’un côté les riches rigides et pas heureux et les plus pauvres foutraques mais pleins de joie de vivre et d’amour. Ces derniers forment une famille aimante malgré certaines maltraitances, son côté bizarre et pas présentable. c’est donc plutôt un feel-good book, bourré d’humour et de philosophie (un peu comme La Vie par 7 d’Holly Goldberg Sloan et les livres de Susin Nielsen en général).



Commenter  J’apprécie          00
Venise n'est pas en Italie

La lecture de ce livre m'aura laissé un peu indifférente.



J'ai trouvé l'histoire sympa, les personnages aussi mais je n'ai pas vraiment réussi à accroché. J'ai trouvé cette lecture longue et sans grand intérêt. Elle ne me laisse pas forcément un souvenir marquant.



Peut-être que je n'étais pas dans le bon état d'esprit pour le lire, mais je ne suis pas sûre d'avoir envie de retenter l'expérience.

Commenter  J’apprécie          20
Venise n'est pas en Italie

Emile, jeune ado un peu gauche (surtout avec les filles), va entraîner toute sa famille dans un road trip jusqu'à Venise afin d'assister au concert de la belle Pauline.



Raconté sous la forme du journal intime d'Emile, donc avec un langage majoritairement d'ado, j'ai finalement eu beaucoup de mal à accrocher à ce premier roman pourtant couvert de critiques positives. Je me suis très vite lassée de cette famille bien trop caricaturale à mon goût et surtout du style d'écriture, où l'on sent derrière la plume un adulte qui se force à parler comme son personnage.

Si l'humour promis est bien présent, il fini par ne plus être drôle à force de répétition et de vouloir en faire un peu trop. Dommage, l'idée de départ était pourtant très bonne.



Commenter  J’apprécie          40
Venise n'est pas en Italie

Un livre qui pourrait passer pour un roman pour adolescents : Emile, 15 ans est amoureux d'une jeune musicienne riche qui l'invite à Venise. Mais Emile a honte de ses parents qui vivent dans une caravane. Au demeurant, un récit frais, drôle et sympathique.
Commenter  J’apprécie          00
Venise n'est pas en Italie

On m'a prêté ce livre et c'est la seule raison pour laquelle je l'ai lu.

Et bien, quel bonheur !! Un petit bijou. J'ai complètement craqué pour tous les personnages.

Tous dégagent de la tendresse, même si on ne la voit pas tout de suite.



Que de péripéties !! On sourit, on rit, on est ému, jusqu'aux larmes quelques fois, mais jamais bien longtemps. J'ai adoré le style frais qui décrit une situation en quelques mots et émotions. Les situations s'enchaînent, ne nous laissant aucun répit !!!



A plusieurs reprises, j'ai repensé à mon adolescence, aux premiers émois, aux rêves fous que j'ai pu faire, aux sentiments mitigés qui passent de la joie aux pleurs pour pas grand chose. Bref, un vrai retour vers une période, ma foi, heureuse et pleine d'espoir (et de désespoir que l'on croit énorme).



Je ne sais pas bien comment m'y prendre pour vous encourager à déguster ce roman qui est bourré d'humour. Il y a un bon moment que je ne suis tombé sur un livre que je ne peux pas lâcher. Un bonheur !!

Commenter  J’apprécie          70
Venise n'est pas en Italie

Emile commence un journal intime sur lequel il raconte ses premiers émois amoureux pour Pauline, tout en nous faisant découvrir son environnement familial et son regard de lycéen sur la Vie. Et puis vient l’invitation de Pauline à venir la voir jouer du violon à un concert, en Italie, à Venise. Ce voyage d’amoureux se transforme finalement en périple familial ...



J’ai pris beaucoup de plaisir à accompagner Emile et sa famille. Un livre agréable, facile à lire, plein d’humour.
Commenter  J’apprécie          60
Venise n'est pas en Italie

Une pépite ce roman !

Présenté comme le journal intime d’Emile, lycéen en classe de première, ce roman vous fait plonger dans une famille plus que loufoque. Emile est tombé amoureux de Pauline, et il est prêt à tout pour la séduire, notamment à aller à Venise pendant les vacances pour la voir jouer du violon …

Ses parents décident d’en profiter pour visiter l’Italie, et les voilà partis avec leur caravane – maison pour une aventure un peu folle, dont le nombre de participants change assez régulièrement, dont les rebondissements sont nombreux, mais cela toujours avec une bienveillance et une gentillesse entre ces personnages qui vous feront dévorer le roman. Une grosse bouffée de fraîcheur sans tomber dans le niais.

Commenter  J’apprécie          50
Venise n'est pas en Italie

Voici un livre plein d’humour, pétillant de fraîcheur sur un adolescent nommé Emile. Garçon discret, sensible et intelligent, il nous partage son journal intime, écrit sur une période très courte. Nous suivons sa vie de lycéen avec ses espoirs et ses doutes.

Cette histoire nous renvoie à l’époque de l’adolescence : les émois du premier amour, les relations parfois compliquées envers les parents. Bon c’est sûr qu’avec les siens il n’a pas tiré le gros lot mais il y a pire, il pourrait y avoir mieux (quoique…). D’ailleurs, si vous connaissez un adolescent qui trouve ses parents géniaux, présentez-le-moi !

Le style d’écriture est léger, plein de malice et d’humour. J’ai beaucoup rigolé mais en même temps j’étais touchée par l’authenticité, la profondeur insoupçonnée de ce récit. Je me suis revue des années en arrière : une adolescente fragile, pleine de doute, qui aime ses parents tout en souhaitant qu’ils soient un peu plus différents, un peu moins « eux ». A cette époque, leurs défauts me paraissaient gigantesques ! Maintenant, je me rends compte de toute l’affection qu’ils m’ont donnée malgré nos conditions de vie modestes. En fait, je me suis retrouvée dans Emile tout simplement !

Je pense que ce livre plaira aux adolescents mais aussi à toute personne qui aime les histoires douces et attachantes. Je vous le recommande vivement !


Lien : https://leslecturesdehanta.c..
Commenter  J’apprécie          50
Venise n'est pas en Italie

Un très beau voyage en adolescence.

Bien décrit. Avec de l'humour, de l'amour, et un brin de nostalgie...



Une vraie épopée familiale haute en couleurs.

L'histoire d'un premier amour avec un grand A ;-)
Commenter  J’apprécie          00
Venise n'est pas en Italie

C'est touchant, c'est drôle, c'est vrai, c'est beau cette histoire ! A quinze ans, Émile se confie dans un journal et durant à peine 2 mois, on le suit durant un grand bouleversement dans sa vie. Il tombe amoureux, et pour voir cette fille jouer son concert à Venise, sa famille l'embarque dans un road trip avec la caravane. C'est une histoire de premier amour, première expérience mais aussi une histoire damour familiale, du sens des relations entre chacun. C'est drole et poétique à la fois, et ca se lit sans modération! Je confirme également que l'adaptation au cinéma est assez fidèle et retranscrit les émotions de la lecture.
Commenter  J’apprécie          20
Venise n'est pas en Italie

Emile est un lycéen de 15 ans bon élève mais qui manque d’assurance, surtout avec les filles. Justement, voilà Pauline dont il tombe raide amoureux. C’est le début d’une aventure cocasse où les quiproquos sont légions.

Alors que le père d’Emile est VRP celui de Pauline est chef d’orchestre. Emile, qui se teint en blond parce que ça lui va bien - dixit ses parents qui veulent le meilleur pour lui- vit avec sa famille dans une caravane sur le terrain de leur future maison. Pauline, elle, habite une splendide villa dans un quartier chic.

Tout se complique lorsque la jeune fille, qui joue du violon, invite Emile à la Fenice de Venise pour un concert de jeunes musiciens. Alors qu’Emile espère s’y rendre seul, ses parents décident de l’y accompagner…en caravane. A ce trio se joint le grand frère militaire au retour fort opportun. Emile, qui a honte de sa famille qu’il adore pourtant, va tout faire cacher la vérité à l’inaccessible et parfaite Pauline.

Tout au long de ce voyage pittoresque et initiatique, Emile va découvrir l’amour, les désillusions, l’humiliation et les incohérences et mensonges des adultes.

Le texte se présente sous forme d’un journal intime, c’est donc Emile qui raconte son aventure avec son langage d’ado.

L’histoire est vivante et truculente, c’est drôle, cependant, à trop forcer sur l’humour potache, on finit par sacrément se lasser. L’idée de départ est intéressante mais, très vite, ça devient lourd et redondant. Les personnages sont à la limite de la caricature et ce n’est plus amusant du tout. Sur la fin, un peu de tendresse vient atténuer le comique de la situation, mais trop tard pour espérer récupérer un lecteur qui s’essouffle.

Le langage parlé casse le rythme et alourdit le propos et, très vite, le procédé lasse le lecteur.

Ecriture sans grand intérêt.

Cette œuvre ressemble davantage à un scénario qu’à un roman.
Commenter  J’apprécie          101
Venise n'est pas en Italie

Un livre qui fait du bien au moral, plein d'humour et de jolis sentiments, qu'on lit un peu comme on déguste un plat savoureux.



Le jeune narrateur, Émile, vit dans une caravane avec ses parents qui attendent la validation d'un permis de construire. Ils forment une famille attachante, un peu fantasque, le père avec ses blagues un peu lourdes et sa bonne humeur contagieuse, le frère avec ses manières rudes et tendres.

L'adolescent tombe amoureux de Pauline, jeune fille de bonne famille, qui l'invite à la rejoindre à Venise où elle se produit en concert à la Fenice durant les vacances de Pâques. Alors qu'Emile pense voyager, seul, en train voilà que sa famille décide de profiter de l'occasion pour découvrir Venise. C'est le début d'un périple en caravane qui met Émile tantôt au supplice, tantôt lui fait redécouvrir que sa famille est formidable.



Rien de transcendant ni de très innovant dans le pitch mais la verve de l'auteur et la tendresse qui se dégagent du roman met le coeur en joie. Voyage épique mais surtout initiatique, Émile ne reviendra pas tout à fait le même à Montargis. le film éponyme est sorti il y a peu au cinéma et la belle énergie de Poelvoorde qui incarne M. Chamodot a accompagné cette lecture. A lire en ce mois d'octobre pluvieux pour faire le plein vitamine d'😊!



Challenge ABC - 2019/2020
Commenter  J’apprécie          160
Venise n'est pas en Italie

Autant le dire sans détour, ce roman n’est ni une pépite, ni un chef d’œuvre qui va révolutionner la littérature et les récits sur les tourments de l’adolescence.



Loin de là !



Cependant, la lecture de ce roman n’est pas désagréable. C’est plaisant, potache et sensible.

On y trouve des réflexions drôles et pertinentes sur les militaires, les filles, les fleurs dans les cimetières, les différences sociales…



Et on s’attache bien entendu à cet adolescent qui, amoureux d’une copine de lycée, va se retrouver à la suivre à Venise, mais affublé de sa famille envahissante, embarrassante et foutraque à l’origine de nombreuses aventures et mésaventures.



Il faut lire ce livre comme un petit bonbon qui fait du bien et fait passer un bon moment. Ce n’est simplement pas un bonbon artisanal et raffiné. C’est un bon vieux Haribo qui nous fait retomber en adolescence pendant quelques pages.



C’est déjà bien.

Mais selon moi vraiment rien de plus.

Commenter  J’apprécie          00
Venise n'est pas en Italie

Je découvre Ivan Calbérac avec son premier roman que voici.

Ce roman consiste dans le journal intime d'Emile, garçon de 15 ans. De ce fait, l'écriture se veut "jeune", mais elle ne manque pas de finesse ni de précision.

Même s'il n'a que 15 ans, Emile est un garçon dont les réflexions sont très intéressantes, même si elles sont quelquefois aussi cocasses.

C'est le temps de l'adolescence, des premiers émois, ...

Chez Emile, on découvre une famille forcée à la débrouille par le manque de moyens financiers, une famille dont le vécu est parfois hors norme, mais dans laquelle il y a beaucoup d'amour, malgré les maladresses éducatives.

C'est un roman de contrastes, peut-être un peu caricatural, entre la famille d'Emile qui vit dans la précarité et celle de Pauline (dont Emile est amoureux) qui vit dans l'aisance. Dans la famille de Pauline, la mère est dépressive et le père peu encourageant avec sa fille, qui est pourtant une musicienne de talent. Finalement, sur le plan éducatif, les aptitudes ne sont pas nécessairement meilleures dans un milieu plus aisé.

Et puis, comme on le dit, il vaut sans doute mieux chaumière où on rit que château où on pleure.

Un très beau moment de fraîcheur et de tendresse...

Commenter  J’apprécie          593
Venise n'est pas en Italie

Malheureusement peu séduite par ce roman. Peu de surprises, écriture trop simpliste. Je n'y pas trouvé plaisir ou intérêt.
Commenter  J’apprécie          10
Venise n'est pas en Italie

Un livre avec lequel j'ai passé un super moment, l'histoire d'un jeune ado prénommé Emile pour qui la vie n'est pas facile tous les jours, mais qui prends les choses avec beaucoup d'humour, enfin un peu de gaité et de rire à la lecture d'un roman, ce n'est pas si fréquent, il devrait être remboursé par la sécu et offert à tous les dépressifs.
Commenter  J’apprécie          91
Venise n'est pas en Italie

Quel régal ! Ce roman m'a fait passer par toutes les émotions.

Il est peu de dire que j'ai aimé Emile, ado introverti, timide, mal dans sa peau, qui se croit moche avec ses cheveux que sa mère lui teint régulièrement en blond :

« Parce que tu es plus beau comme ça ».

Emile m'a laissé une petite place dans la caravane qu'il partage avec sa famille, faute d'une vraie maison, en attente du permis de construire que la mairie tarde à délivrer.

J'ai observé curieuse et attendrie cette famille improbable qu'Emile juge du haut de ses quinze ans.

Sa mère ne s'occupe pas trop de son apparence :



"En règle générale, j'aime pas trop comment ma mère s'habille, et je devrais même dire pas du tout… Ce que je déteste, quand je sors avec elle dans la rue, ou plutôt quand on entre dans les magasins, c'est cette manie qu'elle a d'adresser la parole à n'importe qui brusquement, sans préavis, en parlant fort, en tâchant d'être d'accord, parce que quand on échange des banalités, l'idée c'est surtout d'être d'accord. Alors bien sûr, je peux pas lui en vouloir, même si j'ai tellement envie qu'elle se taise. Ça me fout une honte stratosphérique…



Son père, VRP expansif, dirait n'importe quoi pour convaincre, et remporter une vente ou une discussion. Fabrice le grand frère s'est engagé dans l'armée ne sachant trop que faire de sa vie. Dans cette famille haute en couleurs, un tantinet vulgaire, Emile ne se sent pas à l'aise. Bon élève, sportif, il n'a pourtant pas bonne opinion de lui-même, trop conscient de ses origines modestes et de son manque de culture.

Lorsqu'Emile pose son regard sur Pauline, c'est l'amour fou, il se rapproche doucement d'elle, mais la timidité le paralyse.



"Mais un jour, et peut-être que ce sera bientôt, je lui écrirai des lettres d'amour à Pauline, des phrases avec complément d'objet indirect, participe passé du subjonctif, gérondif, plus-que-parfait, je lui jouerai le grand jeu. Je les mettrai dans une belle enveloppe en papier épais, avec son adresse dessus, et je les posterai en recommandé, avec accusé de réception, parce qu'on n'est jamais sûr que l'amour qu'on envoie, il soit vraiment reçu."



Cependant en amour tout est possible, même partir à Venise à l'invitation de sa belle.

Mais le voyage ne se passera pas exactement comme Emile l'aurait souhaité.

Lire « Venise n'est pas en Italie » est un plaisir immense, j'ai ri, j'ai eu la larme à l'oeil, j'ai eu peur pur Emile, j'ai espéré avec lui qu'amour pouvait rimer avec toujours.

Certains diront que ce n'est pas de la grande littérature, à cela je répondrai que c'est en tout cas un grand bonheur de lire de tels romans !





Commenter  J’apprécie          404
Venise n'est pas en Italie

Dur dur d’être un adolescent en plein émoi amoureux, desservi par une famille des plus rocambolesque.

Avec cette lecture, nous plongeons dans le journal intime d’un adolescent. C’est drôle, c’est sarcastique, c’est bien observé.

Ce n’est pas une œuvre littéraire, tout le livre est écrit avec les mots que l’auteur prête à un adolescent de quinze ans, sans effort de style, en dehors de celui de se mettre dans la peau de ce jeune.

Je me suis demandé ce que venait faire dans cette histoire le personnage de Natacha à part rajouter à l’extravagance de cette famille, à dépuceler notre jeune adolescent. Je ne sais pourquoi, elle a tout de suite convoqué en moi l’image d’une autrichienne en costume folklorique… Je n’ai pas vu l’adaptation, je ne la verrai pas, dons je ne saurai jamais comment d’autres l’ont imaginée…

Le livre se lit sans effort. C’est original, sans plus.
Commenter  J’apprécie          292
Venise n'est pas en Italie

J’ai été un peu décontenancée par cette lecture.

C’est du langage parlé « d’ado », reproduction de ses confidences dans son journal intime.

Les premiers chapitres, avec cet ado en quête de son identité, de sa sexualité, qui a honte de sa famille, font sourire. Le monde vu au travers des yeux d’un ado.

Mais je me suis vite lassée de ce « style » parlé, des situations grotesques… Cela aurait été plus adapté à mon sens à une nouvelle.

Je ne garderai pas un souvenir impérissable de ce livre.

Commenter  J’apprécie          423




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Ivan Calbérac (1416)Voir plus

Quiz Voir plus

La Métamorphose

En quelle année est paru pour la première fois "La Métamorphose" ?

1938
1912
1915

11 questions
234 lecteurs ont répondu
Thème : La Métamorphose de Franz Kafka de Éric CorbeyranCréer un quiz sur cet auteur

{* *}