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Critiques de Ivan Calbérac (216)
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Venise n'est pas en Italie

Emile , adolescent sensible , doué pour les études est amoureux de Pauline.

Il vient d'un milieu modeste et doit vivre avec sa famille dans une caravane située sur le terrain où ils espèrent construire leur maison.

Au lycée, il rencontre Pauline qui vient d'un milieu plus bourgeois.

Il a un peu honte de ses parents mais il a une grande chance dans sa vie humble, il est entouré d'affection.

Pauline violoniste, l'invite à venir l'entendre jouer à Venise. Ses parents acceptent mais ils l'accompagnent avec la caravane avec l'intention de séjourner dans un camping près de Venise.

La narration à la première personne nous arrive avec un humour qui m'a fait sourire tout au long du livre.

Même si j'ai trouvé la situation sociale d'Emile difficile, on est joyeux dans cette famille et triste dans la famille nantie.

Cela n'est pas si rare.

Les réflexions du père d'Emile empruntées à la philosophie et la joie de vivre un peu théâtrale de la maman sont assez divertissantes.

Merci à Sabine 59 qui a été la première à me faire découvrir une critique sur le livre et à Ivan Calbérac qui n'était pas un inconnu pour moi car j'avais vu le film "L'étudiante et Monsieur Henri" .
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Venise n'est pas en Italie

Tu vas par-dessus son épaule lire le journal intime d'un ado où il se livre sans masque. Pas de quoi fouetter un chat, penses-tu ! Tu n'y trouves que des petites peines ou des espérances bien ordinaires. Mais elles appartiennent à celui qui écrit ces mots en cachette ; elles sont ses trésors ou ses tourments, elles le dévorent de l'intérieur, ou le font sourire aux étoiles.

La période durant laquelle tu vas lire ce journal est très courte. Un mois et demi à peine ! Mais il est des mois qui valent des années, surtout quand l'ado en question va connaître les affres de son premier grand amour, et être contraint de se carapaçonner contre la cruauté de l'échec et de l'incertitude.

Il s'appelle Emile. Il est plus petit que les autres. Plus faible aussi. Ce n'est pas le genre de môme que les filles repèrent au premier coup d'oeil. Son intelligence, sa sensibilité sont loin de pouvoir compenser ces défauts. A le lire se plaindre de lui-même, rire de ses faiblesses, se lamenter, larmoyer, on n'est pas très loin du vilain petit canard.

Et puis, il y a la famille ! Comme dit si bien Renaud : « on choisit ses copains, mais rarement sa famille ». Elle vit dans une caravane, en attendant de pouvoir construire un pavillon, et le père est représentant de commerce. La « honte stratosphérique » pour un jeune ado. Emile aime ses parents plus que tout. Il n'y a aucun doute là-dessus. Mais parfois, il aimerait bien les cacher, les tenir à l'écart, les voir loin de lui.

Quant aux filles, les choses sont simples, elles ne sont pas pour Emile ! Trop effacé. Pas assez de charisme. Manque d'audace et d'à-propos. Jusqu'au jour où Pauline, plus belle que toutes, l'inaccessible Pauline, lui tend la balle de ping-pong qu'il vient de faire tomber. Tout s'emballe alors ! Les premiers émois. Cette vie de funambule entre cette folle espérance qui vous éparpille et cette peur panique de la déroute, de la bérézina. Parce qu'en amour, quel que soit son âge, il n'y a pas de demi-mesure. Les parents qui s'en mêlent avec leur « délicatesse » habituelle. Le voyage à Venise qui, à tout moment, risque de virer au fiasco. le grand frère qui entre dans le jeu. Les gros mensonges pour sauver les apparences. Les caresses inattendues de Natacha. Et Emile littéralement traversé par le rire franc et clair de Pauline.

Emile a le sens de l'humour et de la dérision. Il sait rire de lui-même et des autres, sans méchanceté ni haine gratuite. Il n'a pas honte de pleurer non plus, de nous montrer toute sa tristesse, toutes ses désillusions. Et on a hâte qu'il poursuive son journal pour savoir comment il va s'en sortir.

J'ai passé un bon moment avec Emile. J'ai beaucoup ri, et parfois je me suis senti ragaillardi. Une belle histoire fraiche, tendre et primesautière.









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Venise n'est pas en Italie

Emile, 15 ans est amoureux de Pauline, Mais voilà : il sent bien que s'il présente sa famille "un peu spéciale" à Pauline, issue d'un milieu cultivé et bourgeois, les chances ne seront pas de son côté. La caravane dans laquelle il habite (temporairement !) versus la maison des beaux quartiers, ce n'est pas gagné d'avance ! Alors quand l'élue de son cœur l'invite à venir l'écouter en concert à Venise et que toute sa famille se propose de l'accompagner, Émile n'est guère rassuré sur l'issue que pourrait donner la rencontre de ces deux univers...
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Venise n'est pas en Italie

Novembre est arrivé, gris , froid , sans avertissement après un Octobre historique . Il y a plusieurs moyens de lutter contre la morosité ambiante et ce roman en est un excellent. Quel humour !

L'histoire est banale à la base: Un jeune homme de 15 ans écrit son journal intime et sa vie se résume grosso modo à cette obsession : Va -t-il choper Pauline ? Difficile avec un physique banal,une teinture en blond et la vie dans une caravane en attendant que le permis de construire soit accordé.



Très beau roman , condensé d'humour, d'amour, de tendresse . Beau portrait d'une famille lambda confrontée aux choix quotidiens où personne n'est vraiment ce qu'il semble être.Belle étude de la vie tout simplement: Ses déchirures, ses espoirs, ses rencontres, ses coups de cœur, ses imprévus .

Une histoire d'ado de tous les jours où le regard de l'autre est primordial et l'image que l'on renvoie aussi. L'auteur nous donne une très belle réponse , sous couvert d'humour.

A lire pour s'évader . Et puis, il y a quand même Venise !
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Venise n'est pas en Italie

Emile a quinze ans et vit à Montargis. Au lycée, il s'éprend de Pauline qui l'invite à voir son concert de violon à Venise. Emile accepte mais ses parents décident de partir avec lui en caravane. Un road-trip s'engage alors.

Ce roman, complètement loufoque, m'a fait penser au film Little Miss Sunshine. Une famille atypique, un voyage improbable... La logique n'entre pas dans ce roman mais il est frais et plutôt drôle. J'ai passé un moment sympathique même s'il ne restera pas dans ma mémoire.
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Venise n'est pas en Italie

Émile, adolescent bien sage de 15 ans, nous ouvre son journal intime. Il y consigne son amour naissant pour la très gironde Pauline. Plus cérébral que physique, arborant un joli blond artificiel, Émile se dépatouille comme il le peut avec sa drôle de vie : affublé d'une famille "atypique", il vit dans une caravane entre un père VRP, grande gueule et philosophe à la petite semaine, une mère brusque dans son affection et un frère aîné souvent entre deux conneries.



Quand Pauline lui propose de la rejoindre à Venise où sous la direction de son père chef d'orchestre elle va participer à un concert, notre diariste fortement mordu embarque malgré lui sa famille dans un périple plein d'embûches.



Petit roman sweet et tonic à la fois comme ces bonbons recouverts d'une multitude de grains de sucre qui camouflent une acidité redoutable, cette plongée dans les années 90 se laisse déguster avec régal. C'est distrayant, souvent drôle et parfois aussi éculé qu'une bonne vieille série télé. Mignon!
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Venise n'est pas en Italie

C'est avec beaucoup de tendresse qu'on entre dans le monde de la famille Chamodot. Le cœur gros et serré, on fait la connaissance du jeune Emile, adolescent à fleur de peau, étouffé par le poids de la singularité familiale.



Car Emile, c'est un peu le Momo de la famille Groseille ou le Coin-Coin des Tuche… il a quelque chose du jeune Holden (L'Attrape-cœurs) et rappelle avec force le Château de verre que le père de Jeannette Walls ne construira jamais.



Emile découvre Venise… et Venise n'est pas en Italie, non. Venise, c'est cette impression diffuse mais permanente de se sentir noyé où que l'on se trouve ; c'est cette sensation propre à l'adolescence d'être un être improbable, ce sentiment de se trouver en décalage constant, en mutation permanente, en dichotomie continuelle.



Alors Emile, c'est tout à la fois un joyau de clairvoyance, une ironie douce-amère, une maturité improbable, de la dérision et de la fraîcheur, une formidable bouffée d'air pur, qui nous emmène pour un road-trip familial déjanté, emprunt de folklore, de poésie et de rebondissements.



Emile, c'est l'incarnation de l'amour filial qui porte en lui les stigmates d'une honte désastreuse, une formidable ode à la vie, à la jeunesse, un récit à fleur de peau qu'on déguste avec un appétit féroce.
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Venise n'est pas en Italie

drôle, inspiré, bien écrit , à partager à nos ados !!

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Venise n'est pas en Italie

Emile est un adolescent intelligent et à la répartie vraiment piquante. Il tombe amoureux et va tout faire pour séduire sa dulcinée, quitte à la suivre jusqu'en Italie. C'était sans compter sur sa famille un tantinet envahissante.



Je suis allée à reculons vers ce roman qui ne m'avait pas l'air bien accrocheur. Et pourtant !

Ivan Calbérac nous livre une belle histoire d'amour mais pas celle que l'on croit. C'est de l'amour familial. Celle qui ne se voit pas au premier coup d'oeil mais qui vous pousse à tout faire - ou du moins du mieux possible - pour que vos proches soient heureux.

L'auteur donne à son personnage un ton mordant et franchement perspicace. Chaque phrase touche là où ça fait mal tout en étant drôle. C'est un plaisir de lire ces phrases bien trouvées.



C'est une histoire très humaine finalement, sans chichis ni fioritures, juste remplie d'amour et de vie.
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Venise n'est pas en Italie

Un livre frais et facile à lire sur l'histoire d'un ado qui veut retrouver sa future petite copine à Venise.
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Venise n'est pas en Italie

Voilà une sympathique lecture conseillée par le libraire Gérard Collard. Emile 15 ans raconte ses parents, son frère et surtout son voyage à Venise pour rejoindre la fille dont il est tombé amoureux. On peut reprocher une écriture un chouille naïve pour un personnage qui est censé avoir 15 ans, mais finalement cette naïveté fait partie du plaisir. Bourré de formules amusantes et de réflexions bien senties, "Venise n'est pas en Italie" est un joli feel good book, facile, léger et plein de tendresse.
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Venise n'est pas en Italie

Quelle bouffée d'oxygène ce livre ! J'ai adoré !

Tout le livre est une citation, on a envie de noter chaque réplique, chaque phrase. C'est drôle, touchant et tellement vrai.

L'auteur donne habilement la plume à un adolescent, Emile. Du coup, l'écriture est à la fois critique envers ces adultes qui ne comprennent rien et touchante de sensibilité quand le jeune parle de ses premiers émois.

C'est le décalage entre ce que veut Emile et ce que font ses parents qui est drôle et triste à la fois. En effet, les parents sont des gens simples, à la limite beaufs, mais des parents aimants prêts à tout pour leurs enfants. Seulement, les enfants, comme on le dit souvent, sont parfois ingrats, aveugles.

C'est un beau livre sur les liens enfants-parents, un livre sur le fossé entre deux générations, mais aussi un livre sur l'Amour.

C'est un vrai coup de cœur.
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Venise n'est pas en Italie

Emile, jeune adolescent de 15 ans, vit à Montargis avec son père, commercial, et sa mère, femme au foyer, dans une caravane sur le terrain qui devrait voir pousser leur future maison, quand le permis de construire sera délivré.

Emile est un garçon plutôt introverti, qui grâce au ping-pong va pouvoir parler avec Pauline, jeune adolescente, dont il est secrètement amoureux.

Pauline, de la bourgeoisie locale, est la fille d'une mère dépressive et d'un père chef d'orchestre qui l'a obligée à jouer du violon. Ce dont elle s'acquitte plutôt bien.

Après quelques mois de fréquentation, elle invité Emile à venir l'écouter lors d'un récital qui se tiendra à Venise à Pâques.

Emile est aux anges, reste à convaincre ses parent de lui prendre un billet de train. Et contrairement à ses craintes, son père accepte mais au moment de prendre le billet patatras, une autre solution est venue à l'idée de son père...

Durant ce voyage qui devient vite un vrai périple, Emile va découvrir le monde des adultes et grandir tout d'un coup.



Ce roman très agréable et frais peut être considéré comme un roman initiatique où il est fait une belle place à l'amour familial.
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Venise n'est pas en Italie

C'est pas que pour les filles, les journaux intimes ! La preuve, Émile vient d'en acheter un (rue Dorée pour être précis). Il a décidé de consigner dans son beau cahier tout ce qui lui arrive. De grand, de petit, de beau et de moche aussi. La première chose importante à écrire, c'est sa rencontre avec Pauline, à l'internat des filles, alors qu'il était en train de jouer au ping-pong. Pauline, c'est une jeune fille brune, aux yeux noirs. Ce jour-là, elle portait un jean et un pull marin rayé, il s'en rappelle bien, Émile. Parce que, aussitôt, il en est tombé amoureux. Élève en première (il a sauté une classe), elle en seconde, il va falloir qu'il trouve vite un moyen de lui parler. Parce que l'embrasser avant même d'avoir entamé la conversation avec elle, c'est quand même moyen. Ce cher Émile doit être béni des Dieux car, quelques jours plus tard, elle vient s'asseoir à côté de lui dans la salle télé de l'internat. Ils causent de tennis évidemment puisque c'est ça qui passe à la télé. Il réussit à la faire rire et elle lui dit même "à plus" quand elle s'en va ! Serait-ce le début d'une grande histoire d'amuuuur ?



Quelle bouffée d'air frais ce roman ! Et quel personnage attendrissant et drôle cet Émile ! Pas facile tous les jours pour lui pourtant. Avec ses parents, il vit dans une caravane en attendant que la mairie veuille bien leur octroyer leur permis de construire. Son père travaille toute la semaine sur Paris et ne rentre que le week-end à Montargis. Sa mère s'habille un peu n'importe comment et aime parler fort dans la rue. Quant à son frère, Fabrice, il est militaire en Allemagne. le jeune adolescent, à la chevelure blonde peu naturelle (merci Maman !!), nous raconte, via son journal intime, ses aventures, ses pensées, ses émotions. Sa rencontre avec Pauline va le bouleverser et l'emmener tout droit vers Venise. Un périple rocambolesque et loin de tout repos pour cet adolescent fragile, sensible, un brin solitaire, coincé dans une famille atypique, envahissante, exubérante mais aimante. Ivan Calbérac se met parfaitement dans la peau d'un adolescent d'aujourd'hui qui doute et peine parfois à trouver sa place. Plus profond qu'il n'y parait, un récit, pertinent, jouissif, débordant de fraicheur, d'amour, d'émotion et d'humanité. Qui plus est servi par une plume vivante, piquante et par des dialogues jouissifs.
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Venise n'est pas en Italie

Cet été, je pars au festival d’Avignon.

Ca été difficile de choisir les pièces dans « avignonleoff.com », mais il y en a une qui a tout de suite attiré mon attention : « Venise n’est pas en Italie ».

Ah ça ! Quelle n’a pas été ma surprise de voir que ce roman d’Ivan Calbérac, que j’avais extirpé de ma PAL juste la veille était adapté en pièce de théâtre !

J’ai donc retenu cette pièce en croisant les doigts pour qu’elle soit marrante comme annoncé dans le programme.



Eh bien...je peux vous dire que le roman, lui, a comblé mes espérances de détente, d’humour, de naïveté, de sagesse (oui oui ! ), de tendresse.



Il faut dire que le narrateur âgé de 15 ans n’a pas son pareil pour porter sur le monde, et en particulier sur ses parents, un regard caustique. D’autant plus qu’il est amoureux fou de la belle Pauline et qu’il n’ose pas se déclarer en raison de ses origines familiales, peu adaptées à la jeune fille bourgeoise et violoniste. Cela porte à malentendu évidemment. Et donc, cela fait sourire, et même rire. Et quand Pauline l’invite à Venise pour assister à un concert où elle joue, il n’hésite pas...ses parents non plus. Et son grand frère militaire va les accompagner, par-dessus le marché, ce qui n’est peut-être pas une mauvaise chose.



Je parlais de tendresse tout à l’heure. Il n’est pas tendre avec lui-même, Emile Chamodot. Toujours en train de s’autocritiquer, de se sous-estimer. Pourtant, il n’est pas mal-aimé, comme on pourrait le croire. Il est juste aimé d’une drôle de façon par des parents qui n’ont pas leur langue en poche, et qui me font légèrement penser aux Tuche.



Je parlais aussi de sagesse : quand la naïveté fait bon ménage avec l’humour, cela donne de la sagesse. Je ne vous dis pas le nombre incalculable de réflexions bien pensées, de phrases bien senties qu’Emile assène sur les adultes, sur les gens qui l’entourent, sur l’amour, sur le monde , sur la vie, finalement. Et tout ça en détournant les expressions toutes faites pour les faire siennes.

Savoureux !



Donc, même si le héros a 15 ans, je ne peux pas affirmer que c’est un roman typiquement adressé à la jeunesse. Les adultes se délecteront encore plus que les jeunes, je pense, car ils bénéficient d’une distanciation bienvenue.



En tout cas, moi, je m’empresserai de revivre ces bons moments en assistant à la pièce. Vivement le festival !

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Venise n'est pas en Italie

Emile, 15 ans, écrit en cachette son journal intime.

Il aime sa famille mais en a un peu honte.

Il ne fait pas partie "des populaires" ; malgré tout, une des plus jolies filles du lycée s’intéresse à lui et l'invite à Venise pour l'écouter jouer du violon à la Fenice.

Ses parents et son frère décident de l'accompagner. L'horreur pour lui...

Ils sont effectivement border-line et le périple va s’avérer savoureux de rebondissements.

J'ai apprécié ce petit roman plein d'humour, raconté du point de vue d'un adolescent mal dans sa peau mais qui ne se laisse pas abattre.

C'est drôle, frais et émouvant.

J'ai passé un bon moment à suivre les réflexions d'Emile sur la vie.
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Venise n'est pas en Italie

Une belle histoire d'amourette de lycée, des personnages qui montrent leur vrais visages au cours du roman. Un roman qui se lit tout seul et qui nous fait nous sentir léger!
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Venise n'est pas en Italie

Une histoire d'amour vu au travers des yeux et de l'écriture d'un adolescent. Un jeune homme sensible et quelque peu honteux de sa propre famille et pour cause... jai suivi ses aventures avec beaucoup de tendresse lors de ses premiers émois et de son apprentissage de la vie.
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Venise n'est pas en Italie

Roman acheté « par hasard » en flânant dans ma librairie préférée : il figurait parmi les « coups de cœur » des libraires. Le titre et la quatrième de couverture m’ont intriguée, et j’ai acheté le livre. Il a d’abord rejoint ma pile de livres en attente.

J’avais envie d’une lecture « facile » et divertissante en cette période de stress et de fatigue pour moi ! J’ai adoré le début du livre : le style est déroutant, inhabituel, mais j’ai trouvé que l’auteur avait vraiment le sens de la formule et beaucoup d’humour : l’ensemble est très frais et plein de vivacité (même si j’ai regretté, comme c’est de plus en plus fréquent, la suppression systématique des adverbes de négation devant le verbe). A travers l’histoire entre deux adolescents de milieux différents, l’auteur dresse des portraits qui peuvent paraître assez caricaturaux : la jeune fille bourgeoise amoureuse du garçon issu d’un milieu très modeste. Mais, au-delà de certains clichés, il met beaucoup de sensibilité dans son récit et décrit très bien l’ambivalence des sentiments au sein des familles, le poids de l’éducation et bien sûr la naissance du sentiment amoureux entre les ados, avec une grande place au romantisme…ce qui devient rare et a fait du bien à mon côté « fleur bleue » !

Ce roman est un petit bonbon acidulé à déguster sans arrière-pensée. Toutefois, j’ai préféré le début du roman…et j’ai bien aimé aussi les dernières pages mais j’ai trouvé quelques longueurs et maladresses entre les deux, avec un style d’écriture un peu trop répétitif : j’ai parfois eu l’impression qu’il s’agissait presque d’un jeu d’écriture.

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Venise n'est pas en Italie

Pourquoi l'ai-je abandonné ? Tout simplement parce que j'en ai assez des histoires où le personnage principal se retrouve dans une situation inconfortable sans qu'il ose en parler, sans qu'il dise quoique ce soit pour modifier les choses...

Ces non-dit me fatiguent, m'agacent et m'ont empêchée de poursuivre, tout simplement !
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