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Critiques de J.R.R. Tolkien (2589)
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Les enfants de Húrin

Audiolib – Lu par Thierry Janssen



Je prends goût aux livres audios, à petite dose chaque jour ceci dit ! Pour ce roman aux multiples personnages et situations, Thierry Janssen a su donner de la voix pour jouer avec les personnes et susciter ou relancer l’intérêt !



Qui dit Tolkien, dit compliqué la plupart du temps et même si je n'ai pas mieux compris ou retenu qu'à la lecture c'est une façon beaucoup plus ludique et sympathique pour aborder ce conte fantasy aux innombrables ramifications.



Je crois me souvenir qu’il y a une carte dans le livre mais j’ai eu la flemme de le chercher étant donné sa position en retrait dans ma biblio mais ça aurait été un support bienvenu pour suivre les personnages dans les contrées.



Pour ce genre de livres assez complexes et souvent rébarbatifs pour un lecteur lambda la lecture Audio est très agréable et une solution qui permet d’étendre ses centres d’intérêt !



Très agréables moments.



#lesenfantsdehurin #netgalleyfrance



Challenge MAUVAIS GENRE 2021
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Le Seigneur des Anneaux, tome 2 : Les deux ..

Un deuxième tome que j'ai attaqué avec autant d'appréhensions que le premier, lui aussi l'ayant abandonné bon nombre de fois. Pourtant, la lecture s'est révélée plus limpide, plus satisfaisante encore que dans le premier. L'histoire me plaît davantage et j'ai trouvé moins de longueurs.



Le tome est divisé en deux livres. Le premier suit les aventures d'Aragorn, Gimli, Legolas, Merry, Pippin. Bref, toute la compagnie qui n'a pas péri ou suivi Frodon et qui se retrouvent en plein coeur des intrigues de Saroumane. Du Rohan à Fangorn, Tolkien nous offre à nouveau un monde riche. Peut-être mon passage préféré.

Le 2e livre est centré sur Frodon et Sam qui doivent suivre Gollum vers le Mordor. Curieux guide si c'en est.

J'avoue ne pas être fan de Frodon, lui préférer de loin le fidèle Sam. Mais je dois reconnaître que malgré son génie, Peter Jackson n'a pas rendu hommage au personnage de Frodon tel qu'il est dans le livre. Beaucoup moins agaçant. Moins naïf. J'ai préféré leur duo alors que dans le film, ils ont tendance à me barber, ce qui est un comble vu qu'ils représentent l'ultime espoir.

C'est d'ailleurs pour cela que j'ai choisi durant ma lecture d'alterner un chapitre de chaque livre. Je savais que lire 10 chapitres d'affilée sur Sam et Frodon allait me rendre la lecture ardue.



Le livre pose les bases du combat final tout en laissant des fins de livres assez inspirantes pour avoir envie de se plonger dans la suite.



Challenge Jeu de l'oie littéraire

Challenge Trivial Reading VI

Challenge Mauvais Genres

Challenge Séries 2020

Challenges Pavés 2020

Challenge BBC
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Le Seigneur des Anneaux, tome 1 : La Commun..

Le Seigneur des anneaux est sûrement la saga la plus vieille de ma PAL. Longtemps possédé, quelques fois commencée, souvent abandonnée, j'ai entrepris de refaire un essai, mes goûts ayant évolué en matière de genre littéraire et lisant désormais beaucoup de fantasy.



Que dire sur le Seigneur des anneaux qui n'ait déjà été dit? Tolkien nous offre un monde riche, dense et palpitant. Un anneau maléfique cherche à retrouver Sauron, seigneur ténébreux. Cet anneau se trouve inopinément entre les mains d'un Hobbit qui, accompagné de plusieurs compagnons, se voit contraint d'assumer un Destin plus grand que lui et faire ce qui n'a pas été réussi jusque là : détruire l'anneau dans la Montagne du destin qui se situe dans le Mordor, fief de Sauron.



Ce tome nous pose les bases, le cadre. L'Ennemi. Gollum. L'ambition de Saroumane. Nos personnages principaux.

Ce tome 1 a souvent été abandonné en cours de lecture pour ma part. Je gardais le souvenirs d'une lecture trop dense, limite indigeste. L' épaisseur n'aidait en rien. Curieusement, deux passages particulièrement long m'étaient restés à l'esprit : Bombadil et la Moria.

Aujourd'hui, avec un regard neuf, je peux dire que j'ai apprécié la densité de ce pavé qui nous offre un univers riche, apprécié d'autant plus qu'ayant lu le Hobbit des références sont enfin à ma portée. Alors, bien sûr, je trouve qu'il y a quelques longueurs, mais rien de décourageant. La Moria elle-même s'est trouvée être un passage palpitant.



Je suis donc contente d'avoir réitérée. Ce livre me prouve que nos goûts peuvent changer, et heureusement. Je reste persuadée que classer cette lecture comme étant jeunesse est peut-être fort de café.



Challenge Trivial Reading VI

Challenge BBC

Challenge Mauvais Genres 2020

Challenges Pavés 2020

Challenge Séries 2020
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Le Seigneur des Anneaux, tome 1 : La Commun..

Dans la Comté, tout le monde s'apprête à fêter le 111ème anniversaire de Bilbon Sacquet, qui n'a presque pas pris une ride depuis son retour de la Montagne Solitaire il y a bien des années. En pleine réception, il disparaît aux yeux et à la barbe de tous et laisse à son neveu préféré Frodon l'anneau qu'il a trouvé lors de son lointain voyage. Gandalf le Magicien sait que cet objet est en fait l'Anneau Unique, celui qui permettra à son possesseur de régner sur le monde et que l'Ennemi, du nom de Sauron, cherche ardemment. Il incite Frodon à entreprendre un voyage, car il faut se débarrasser de l'objet coûte que coûte pour éviter que Sauron reprenne le pouvoir et anéantisse tout sur son passage...



La première fois que j'ai lu cette histoire épique, j'avais 15-16 ans. Grande lectrice et pourvoyeuse de culture, ma mère m'avait offert la trilogie quelques années plus tôt, sans savoir à quel point elle venait de mettre entre mes mains l'une des révélations littéraires de ma jeunesse. Aujourd'hui aurait d'ailleurs été son anniversaire ; la coïncidence de ma relecture avec cet évènement est fortuite mais me permet une dédicace personnelle assez magique qui traversera, je l'espère, l'espace et le temps.

Dix-huit ans plus tard, j'avais une envie furieuse de la relire. Comme un besoin. Allez savoir pourquoi.

Ce livre est un monument de la littérature contemporaine. Qu'on l'aime ou non, son héritage a imprégné la conscience collective et créé des références pérennes.

Retrouver les personnages est un plaisir. La traduction, elle, a pris un sacré coup de vieux. Une impression intéressante car j'avais souvenir que le texte vieilli apportait un charme indéniable au récit homérique. Vingt ans, ce n'est pas rien en traduction et en évolution du langage ; et visiblement ce qui ne m'a pas gênée à l'époque (alors que j'étais quand même pas très âgée et avais certainement un vocabulaire plus limité) s'est révélé quelque peu problématique aujourd'hui.

Cette expérience décrite, il faut convenir qu'on a affaire à un monde immensément grand, un univers complet et détaillé colossal. Il peut être ardu de suivre toutes les lignées du passé et ce qu'elles ont fait, mais ces passages descriptifs de la genèse de la Terre du Milieu n'empêchent en rien la compréhension de l'action.

Il y a des longueurs, oh ça oui. Et il faut vraiment attendre presque 200 pages de l'édition poche pour enfin parvenir au récit bien connu et entraînant que tout le monde connaît, ou du moins dont tout le monde a entendu parler (les films de Peter Jackson ont bien aidé à la démocratisation de l'histoire dans son ensemble) et qui en a souvent rebuté plus d'un (combien ont abandonné à cause de Tom Bombadil ?). Parfois on se demande pourquoi l'auteur a pris la peine de perdre des pages et des pages sur un aspect presque improductif pour le récit.

Il y a des chansons aussi, qui pour ma part ralentissent sans grand intérêt l'action mais que les fans pure souche trouveront essentielles au folklore.

Mais c'est unique. Ce livre est une légende. C'est l'une des rares épopées à lire au moins une fois dans sa vie. Quand on s'attache un peu à poursuivre, on est embarqué dans une aventure extraordinaire qui restera à jamais gravée dans nos mémoires de lecteurs.
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
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Lettres du père Noël

Entre 1920 et 1943, Tolkien s'est attaché à ce que le Père Noël en personne écrive à ses trois puis quatre enfants. Chaque année ou presque, ils recevaient des nouvelles du Pôle Nord et de ses habitants, souvent en pleine préparation des cadeaux de fin d'année...



Quelle délicate et délicieuse attention Tolkien a eue envers ses enfants avec ces lettres et dessins du Père Noël ! L'auteur ne s'est pas contenté de simples lettres pour faire coucou ou exaucer les voeux de jouets : il a complètement inventé un monde et des personnages, comme il sait si bien le faire. On sent même, passé le milieu, la patte du monde hobbitien qui se construit en parallèle. Presque chaque année, surtout dès le début des années 30, il narre les péripéties du Père Noël et de ses amis les ours, elfs et compagnie à qui il arrive des imprévus parfois rocambolesques.

L'idée est douce et attachante : l'amour d'un père envers ses enfants transpire dans ces belles lettres toutes plus travaillées et jolies les unes que les autres, agrémentées d'illustrations magnifiques dont on ignorait Tolkien capable.

Le bémol, pour moi, vient uniquement de la traduction inégale et parfois inexacte. Un comble pour un texte relu donc passé plusieurs fois entre des mains censées expertes...

C'est une belle lecture ou une parfaite inspiration pour ses propres enfants ; ça fait rêver aussi bien les petits que les plus grands. On découvre une autre facette de cet auteur mythique qui a accompagné ses enfants de la plus belle manière qui soit de la part d'un écrivain. N'hésitez pas, y a rien à regretter !
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Bilbo le Hobbit

"Dans un trou vivait une bite"…. STOP ! Des enfants nous lisent peut-être ! Reprenons correctement, si vous le voulez bien… "Dans un trou vivait un Hobbit". Merci !



Si le Lotto avait pour slogan "6 croix qui peuvent changer une vie", on peut appliquer ce genre d’accroche publicitaire au récit de Tolkien : "6 mots qui peuvent changer une vie".



Six mots qui donneront naissance à une formidable aventure de fantasy, souvent copiée mais jamais égalée (tiens, on dirait une autre pub).



Ça vous dit de partir à à l’aventure et de chevaucher un poney en compagnie de 13 nains ? De sortir de votre trou de Hobbit si confortable ? De quitter vos fauteuils et votre petite vie pèpère qui n’a rien de trépidant ?



Oui ? Alors faites comme ce pauvre Bilbo qui s’est retrouvé embarqué dans cette grande aventure épique sans vraiment le vouloir et qui, surprenant tout le monde (et lui même), a réussi à gagner la confiance des nains en faisant preuve de courage, de ténacité, de ruse et de chance.



Des années que je voulais découvrir le Hobbit, des années aussi que les films croupissaient dans mon DD ! Honteux, je sais.



2018 devait être LEUR année puisque dans la foulée du visionnage des trois films, j’ai aussi plongé sur la nouvelle traduction des aventures de Bilbon Sacquet ou plutôt devrais-je dire "Bilbo Bessac". Elle était grosse cette différence là !



L’avantage d’avoir vu les films et que je n’ai pas dû faire le travail d’imaginer les personnages ou les lieux, le tout ayant pris les visages des acteurs et des décors du film.



L’inconvénient est qu’il y a des différences notables entre les deux, comme des ajouts dans les films afin d’étoffer certaines histoires. Le plus gros changement aura lieu lorsque les nains se retrouvent prisonniers des Elfes et où le bô Legolas est absent du livre.



Rien à redire du talent de conteur de Tolkien, pas besoin de lui faire de la pub, la majorité d’entre nous savent qu’il a l’art et la manière de raconter ses histoires fantastiques et, durant ma lecture, je me suis imaginée petite enfant écoutant cette historie merveilleuse.



Le Hobbit est moins sombre que le Seigneur des Anneaux, il va sans dire, sans pour autant être un récit enfantin ou gaga. Il y a de l’action, de l’humour, de l’amitié, de la méfiance et de la confiance qui se gagne à la sueur du poignet ou à l’aide d’anneaux.



Mon seul bémol sera pour le fait qu’il y avait plus de profondeur et de développement dans certains personnages du film (Thorin, Kíli, Bard, le bourgmestre d’Esgaroth, Alfrid son éminence grise, le roi des Elfes Sylvains, Tauriel, notamment et Radagast est absent) alors que dans le livre, ils sont plus lisses, leurs failles sont moins poussées, leurs histoires moins développées ou ils n’existent pas car inventés pour les besoins des films, ce qui enlève quelque peu le plaisir.



Dans le film, on sent bien que Thorin est en train de succomber au côté obscur de la Force et qu’il est sous l’emprise du pouvoir de l’or. Dans le livre, il y succombe aussi, mais c’est moins détaillé que dans le livre. Son retour à la raison est plus détaillé dans le film que dans le livre où il semble survenir par l’opération du Saint-Esprit.



Que vous dire de plus qui n’ait jamais été dit sur ce roman ? Rien de plus, si ce n’est qu’il est plaisant de savoir qu’enfin les œuvres de Tolkien sont retraduites en collant le plus aux textes puisque maintenant son œuvre est intégralement terminée.



"Traduire étant trahir", une nouvelle plume qui colle le plus aux textes originaux n’était pas du luxe et dans un temps prochain, je souhaiterais relire le Seigneur dans sa nouvelle version (avec ma binômette de LC Stelphique).



Un très beau récit d’heroic fantasy à découvrir, si ce n’est déjà fait, ou à redécouvrir. Une quête bourrée de rythme, d’aventure, de magicien, de nains bougons, le tout sans Blanche-Neige, avec un Hobbit peureux et casanier qui va, presque sans le faire exprès, devenir un héros courageux.


Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Lettres du père Noël

Pour une fois que c'est le Père Noël qui écrit aux enfants!



J'étais curieuse de ce qu'il pouvait bien raconter....une panne de traineau, des lutins en grève, une tempête polaire, du courrier en retard?



En fait, rien d'extraordinaire, en dehors de l'aspect très soigné des lettres, des enveloppes et des dessins qui illustrent cet authentique courrier envoyé entre 1920 et 1942 à quatre enfants anglais, pour qui le Father Christmas est un personnage aussi imposant et fabuleux que Sa Majesté en personne.



Ce sont les dessins qui font tout le charme de ce petit livre, où on retrouve la malice et l'imagination de l'auteur du Hobbit, dans un style simple et affectueux adapté aux très jeunes.

Une lecture rafraichissante, mais qui décevra les lecteurs habitués à des aventures plus corsées.
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Le Seigneur des Anneaux, tome 1 : La Commun..

C’est à la suite du succès de « Bilbo le Hobbit » paru en 1937, et sur l’insistance de son Éditeur que John Ronald Reuel Tolkien décide de publier « Le Seigneur des anneaux » en 1954. Un conte de fées pour adultes, dira-t-il… A-t-il jamais été conscient à la parution de ce que je considère comme son chef d’œuvre qu’il venait de jeter les bases d’un genre nouveau : l’héroic fantasy.

On parle souvent de la trilogie du « Seigneur des anneaux »… A tort, puisque le texte a été conçu, d’un seul tenant. Quoiqu’il en soit, les éditions successives furent bien divisées en trois volumes : « La Communauté de l'anneau » , « Les Deux Tours » , et « Le Retour du roi ».



« La communauté de l’anneau » est pour ma part le plus riche des trois volumes par sa diversité. Outre un prologue destiné à présenter le peuple des « Hobbits », leurs mœurs, leurs habitudes et leur joie de vivre ; ainsi qu’un rapide retour sur le passé de Bilbon Sacquet, ce premier volume contient les deux premiers livres sur les six que contient l’œuvre.

On assiste à la fête d’anniversaire de Bilbon Sacquet : cent-onze ans ! Alors que la fête bat son plein, celui-ci disparaît… Frodon Sacquet héritera de tous ses biens, y compris d’un fort bel anneau dont Gandalf le Gris, un magicien ami des Hobbits, lui révélera qu’il s’agit de « l’Anneau Unique » que Sauron, le Seigneur des Ténèbres a perdu dans les temps anciens et qui le rendrait invincible s’il venait à le retrouver.

Frodon n’est plus en sécurité, et sur les conseils de Gandaf, il quitte son pays, La Comté. Il ne partira pas seul. Son jardinier Sam Gamegie et son ami Peregrin Touque (Pippin) seront également du voyage…Mériadoc Brandebouc (Merry) se joindra bientôt à eux…

Ils rencontreront les cavaliers noirs de Sauron, traverseront la Vieille Forêt et les hauts de Galgals sans encombre. Ils feront également la connaissance de l’énigmatique Tom Bombadil, mais aussi et surtout celle de « Grands-pas » un ami de Gandalf qui s’avèrera un personnage bien plus important qu’il n’y paraît à ce moment de l’épopée. La « Communauté de l’anneau » est en train de se constituer.

Devant la trahison de Saroumane le blanc, un magicien, il devient évident à la confrérie naissante que la seule solution pour éviter qu’un malfaisant ne prenne possession de l’Anneau suprême est de le détruire en l'emportant au cœur du Mordor, pays de Sauron, pour le jeter dans la lave des Crevasses du Destin, là où il fut forgé. La communauté se met en route…



« La communauté de l’anneau » se passe de commentaires… Une première partie foisonnante … une construction de l’intrigue qui ne l’est pas moins, à la rencontre de magiciens, d’Elfes, de Nains… Magistral !



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Bilbo le Hobbit

Bon, on ne refait pas l'histoire, je vais donc vous épargner un millième résumé du récit. D'autres l'ont fait et surement mieux que j'aurais pu le faire. Je vais simplement dire que j'ai tellement aimé me replonger dans cet univers créé par Tolkien. C'est riche, c'est dense, c'est complétement immersif. J'ai adoré suivre les aventures de Bilbo, d'avant l'époque du SDA. Sa rencontre avec Golum, son épopée avec les nains, la présence de Galdalf... ce que je peux l'aimer lui... L'écriture de Tolkien est riche, drôle, captivante.. Une super lecture !!!
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Le Seigneur des Anneaux, tome 1 : La Commun..

Qu'écrire de plus lorsque tant d'avis ont été posés sur un livre ? Alors, je vous épargne le résumé... et je vais de suite au ressenti. J'ai ADORÉ !! C'est riche, c'est dense, c'est travaillé, c'est très bien écrit. Comme tous, j'ai vu l'adaptation cinématographique, et j'avais un peu en me lançant dans la lecture d'avoir cette impression de perdre un peu mon temps... Mais que NON !!! C'est plus fourni en détails, sur le Monde qu'à créé Tolkien, les personnages sont davantage travaillés, la quête mieux développée... Bref, c'est comme si je découvrais pour la première fois ce monde. Les pages défilent, et on peine à le mettre de côté tellement j'étais bien dans cet univers... Bref, un réel bonheur de lecture... et vivement la suite des aventures de Frodon et de sa communauté de l'anneau !
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Bilbo le Hobbit

Des elfes, des nains, des gobelins, des dragons, des hobbits puis l'incontournable Gandalf ; ça peut paraître simple, enfantin et fantaisiste comme lecture mais franchement le style d'écriture de Tolkien n'est pas simple. Cela m'a demandé beaucoup de moments de calme et de concentration pour apprécier l'écriture. C'est de la pure littérature dans le monde de la Fantasy. Une référence même.



Tolkien est un auteur talentueux. Un vrai conteur où le moindre détail à son importance, sa place dans son roman. En tant que lecteur assidu, c'est très appréciable mais je pense qu'il faut être armé de patience. L'avantage de ce style est que le lecteur fait partie du voyage...



Bilbo le Hobbit est un super roman d'aventures. Une histoire fantastique bien plaisante où des nains, avec l'aide de Bilbo et Gandalf, sont en reconquête de leurs trésor volé et bien gardé par le dragon Smaug. Une aventure à laquelle Bilbo ne sera plus le Hobbit que son village ait connu...



Un très bon moment de lecture que je vous conseille. Pour le coup, ayant vu il y a quelques temps la récente version cinéma, je me rends compte avoir oublié des passages du film et même confondu des scènes avec le Seigneur des anneaux. Bref, le film ne m'a pas marqué contrairement au roman.









Challenge solidaire 2020 - Des classiques contre l'illetrisme

Challene XXème siècle 2020 : Les couleurs du temps
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Bilbo le Hobbit

Un joyau de la Fantasy



Première (re)lecture pour le challenge solidaire Des classiques contre l'illettrisme.

J'ai été absolument ravie de voir que Tolkien était au menu cette année car j'avais demandé dans ma liste de Noël Le Hobbit, livre lu 1000 fois mais cette couverture est tellement jolie que je le voulais dans ma bibliothèque.



Que dire sur cette œuvre, sur cet auteur qui a tout simplement révolutionné la fantasy ?

La lecture c’est définitivement subjectif. Cela dépend du lecteur et même du moment de lecture.

Il m’est arrivé d’adorer un livre et en le relisant 10 ans plus tard de le détester (et vice versa).

Sur Babelio Le Hobbit reçoit presque autant d’avis positifs que négatifs.



Moi, je l’aime. Je l’aime d’amour. Et même un peu plus que cela...



Forcément l’univers de Tolkien, les nains, les elfes, Gandalf, ces Hobbits que j'aime à la folie... mais avec le Hobbit j’ai vraiment eu la sensation de mon grand-père me racontant une histoire. Avec ses « mais c’est quelque chose que nous verrons au prochain chapitre » je l’entendais me dire « allez, au lit, la suite demain soir ».

Le talent de conteur de Tolkien est inégalable.

Même si aujourd'hui la fantasy a changé quelques codes, tous ce sont inspirés de Tolkien, que ce soit les auteurs jeunesse ou ceux qui sévissent au rayon adultes.



Certains voient dans ce récit quelques longueurs, j'ai de mon côté pris part à ce voyage.

Certains le trouvent un peu puéril, je me suis retrouvée enfant sous la couette attendant la suite de l'histoire de Bilbo avec impatience.



Ce livre c’est mon doudou. Je ne me lasse pas des aventures de Bilbo, Gollum et Smaug.



On ne peut pas se dire amateur de fantasy sans avoir au moins lu un livre de Tolkien.

Ensuite on adhère ou non au style de l'auteur.

Je suis fan de l'auteur, de l'univers et je veux vivre dans un trou de Hobbit !



Un vrai plaisir de me replonger dans ce livre qui traverse les époques en apportant toujours autant de magie à ses lecteurs...
Lien : https://demoisellesdechatill..
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Bilbo le Hobbit

C’est toujours un plaisir de retrouver l’univers de Tolkien, spécifiquement à travers la forme du conte pour enfants. Ici, nous suivons les aventures, rythmées et sans cesse renouvelées, de Bilbo, petit être attachant qui nous mène dans un voyage initiatique où se confondent toutes les valeurs chères à Tolkien : le courage, la sagesse, l’amitié, la bonté et une certaine découverte de soi. Ici, les mésaventures de nos compagnons de route se succèdent sans temps mort et nous entraînent, à travers une écriture fine et fluide, à la rencontre du vaste monde imaginaire et de ses habitants.

Une oeuvre vraiment magique en ce qu’elle parvient, en très peu de pages mais grâce à une écriture parfaitement maîtrisée, à nous immerger dans l’univers de Tolkien, loin de toute réalité.

Un livre très facile à lire et qui s’adapte à tous les âges ; une très belle découverte, idéale pour se familiariser avec l’univers de Tolkien.
Lien : http://leblogdeyuko.wordpres..
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Bilbo le Hobbit

Bilbo Le Hobbit est un livre très court et beaucoup moins sombre que Le Seigneur des Anneaux bien que déjà dramatique. Même s'il est court, le roman est riche : les personnages ne sont pas de simples esquisses (en particulier Bilbo, Gandalf, Thorin et Smaug), il y a beaucoup d'action et de rebondissements et certains passages sont d'une grande intensité.

Bilbo Le Hobbit est un livre qu'il est difficile de lâcher une fois qu'on l'a commencé tant on s'attache vite aux personnages et tant on a envie de savoir si leur quête aboutira.



Les personnages évoluent dans un monde aussi féerique que terrifiant et magnifiquement décrit par Tolkien. Qui n'a pas envie de rendre visite à Elrond dans sa belle demeure de Fondcombe après avoir lu le livre ? Qui n'a pas envie d'aller à Bag End prendre le thé avec Bilbo ? Qui aurait idée de contrarier le Roi des Elfes après ce qu'il fit subir à Thorin ? Qui aurait envie de jouer aux devinettes avec Gollum sous la montagne ?

C'est peut-être là la plus belle réussite de Tolkien : avoir construit un univers magique peuplé de créatures fantastiques qui semblent bien réels aux lecteurs.



Même si le roman est destiné aux enfants, les thèmes abordés sont sérieux et traités de façon dramatique. Tolkien n'hésite pas à provoquer la mort de personnages positifs ou à nuancer leurs caractères. Par exemple, Bilbo est un personnage couard et oisif qui devra aller à l'encontre de sa nature profonde ; Thorin se montre inflexible face à l’appât du gain et Beorn n'est pas à prendre avec des pincettes. Tout n'est pas tout blanc ou tout noir, il y a des nuances de gris.



Plus qu'un simple roman d'aventures, Bilbo est un roman d'apprentissage : ainsi la quête de Bilbo peut être considéré comme une métaphore du passage à l'âge adulte. Tout d'abord rétif à l'idée de quitter son nid douillet, il apprendra à se débrouiller seul, gagnera en assurance au fil de ses aventures et finira par être une pièce maîtresse de la quête des Nains. Il en sortira grandi et changé à tout jamais.



Bilbo Le Hobbit est un roman de fantasy incontournable qui fait rêver, frissonner et rire. A mettre entre les mains de ceux qui n'ont pas totalement perdu leur âme d'enfant et qui croient encore qu'une toute petite chose peut changer le monde.
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Bilbo le Hobbit

Plaisant, amusant, fascinant et remplis de suspense ! Tel sont les adjectifs qui qualifient cette première œuvre de Tolkien !



L'humour se mêle à une aventure qui durera un an pour cet être de petite taille qu'est Bilbo Baggins qui deviendra un héros sachant sortir ses amis les nains barbus (plus grands que lui) de différents pièges.



Bilbo Baggins, petit Hobbit menu, imberbe ayant tendance à bedonner et ne portant pas de soulier car les pieds de hobbits étaient faits d'un cuir naturel, aspirait à une vie paisible quand, soudain, il revit un magicien du nom de Gandalf. Puis arrivèrent treize nains barbus dont Thorïn, celui qui devait être roi sous la montagne solitaire, leur lieu d'origine.



Voici notre paisible ami aux douzaines de petits-déjeuners, embarqués dans une palpitante aventures pour aider les nains à vaincre Smaug le dragon féroce, devenu maître de la montagne solitaire et du trésor inestimable des nains.



Manqué d'être mangé par des trolls, enfermé dans un tunnel de Gobelins devant répondre aux énigmes du sinistre Gollum, être affreux aux yeux pâles pouvant devenir vert de rage, dépositaire de l'anneau permettant l'invisibilité que Bilbo trouvera et gardera pour en faire bon usage. Il sera ensuite englué dans une toile d'araignée géante et devra délivrer ses amis, pris également au piège, délivrera les nains que les elfes sylvains, méfiants mais pas mauvais, avaient fait prisonniers etc.



Arriveront-ils à vaincre Smaug, le grand dragon terrifiant, gardien d'un trésor qui n'est pas le sien ?

Nos amis s'en sortiront-ils tous vivants de cette aventure ?



Ce sont des mystères que je vous invite à résoudre en lisant ce livre, suivant la grande aventure de Bilbo le Hobbit !



Bilbo regrettera vite son agréable trou de Hobbit, dans lequel il vivait tranquillement, sans aucun souci !
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Le Seigneur des Anneaux, tome 1 : La Commun..

Trois lascars du quartier de « La comté » s'embrouillent avec un dénommé Sauron à propos d'un recel de bijou. Heureusement, pris en main par un éducateur de rue du nom de Gandalf, ils se feront plein de nouveaux amis, accompliront une jolie randonnée dans la montagne et trouveront enfin un sens à leur vie...
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Le Seigneur des Anneaux, tome 1 : La Commun..

Le monument de la fantasy... lu juste avant l'arrivée du film.

Style très complexe, le début nécessite beaucoup d'attention. Il y a bien sur quelques lenteurs, mais dans l'ensemble quelle saga !

On s'attache aux personnages, y compris "méchants", parce que l'histoire de chacun l'a marqué !

On imagine les paysages, les villes, les palais, les grottes grâce aux fantastiques descriptions de l'auteur (même si le film est passé par dessus, pour remplacer les images d'origine).

C'est le genre de livre (mais il faut pouvoir s'y consacrer pleinement) qui nous transporte littéralement dans son monde et ne nous quitte plus.

Pour ce premier tome, la découverte de l'univers de Tolkien est fantastique et la construction de l'équipe à partir des petits hobbits naïfs est un modèle du genre. La traversée qui s'annonce est homérique et la solidarité de circonstance se transforme en véritable amitié, c'est presque plus beau que les paysages grandioses.
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Bilbo le Hobbit

Bon, soyons clair, je ne vais pas révolutionner la critique sur Bilbo le hobbit. Cohérent avec mes 5 étoiles et donc avec moi-même, ce qui n'est déjà pas si mal, je vous le dis tout net : c'est une lecture incontournable pour tout amateur de fantasy.

J'ai découvert "L'histoire d'un aller et retour" après la lecture du Seigneur des Anneaux. Le style est plus destiné à des enfants, c'est certain. Pour autant, on sent déjà planer sur le roman l'ombre de non-dits qui seront éclairés dans le SdA.

Non-dits très bien portés à l'écran par Steve Jackson, d'ailleurs. De bonnes idées pour son adaptation cinématographique. Et de très mauvaises, qui m'ont fait éclater de rire en pleine salle tant c'était grotesque (Beorn l'ours volant, par exemple, ou l'orc blanc [excellente idée au demeurant] à la brasse plus puissante qu'un épaulard...).

Bref, ce livre est tellement bon qu'il fait partie des deux livres de fantasy que j'ai lu le soir à mes enfants - le deuxième étant "l'Histoire sans fin".

Aventures, humour, poésie, émotions et grandeur... Il faut bien faire leur éducation à ces petits.

Et puis, il faut lire les classiques. C'est comme les fruits et légumes, c'est bon pour la santé.
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Bilbo le Hobbit

J’avais adoré la récente trilogie de films Bilbo le Hobbit, j’avais donc très envie de lire également le roman dont ces films sont inspirés. Je n’aime pourtant pas trop habituellement découvrir le film avant le livre, mais qu’importe. Ce roman raconte donc les prémisses de la saga Le seigneur des anneaux, comment tout a commencé, avec la découverte de l’anneau par Bilbo. On fait la connaissance de Bilbo Baggins, un hobbit respectable qui vit dans son gentil trou de hobbit sur la Colline. Un jour, sans crier gare, une horde de nains et un magicien s’invitent chez lui à l’heure du thé et se proposent de l’embarquer pour une fabuleuse quête, au terme de laquelle Bilbo sera appelé à jouer les cambrioleurs dans l’antre d’un dragon.

Comment ne pas aimer ? Je ne vais pas vous apprendre le talent fou de Tolkien, sa faculté à créer un univers magique. Le livre est plein de rebondissements, les personnages sont tous plus attachants les uns que les autres. On est amené à rencontrer des Elfes, des gobelins, un changeur de peau, des araignées effrayantes, un dragon… L’histoire est racontée du point de vue du petit hobbit, ce qui est assez cocasse parfois. On est tenu en haleine d’un bout à l’autre par les péripéties de la troupe.

Malheureusement, j’avais les films en tête pendant toute ma lecture. C’est pourquoi la description de certaines scènes m’a parue assez faible en comparaison avec le film, par exemple la confrontation entre Bilbo et le dragon ou encore la Bataille des cinq armées qui est racontée assez brièvement dans le livre. A noter toutefois que les films ne sont pas vraiment proches du livre. J’ai été également surprise que le livre ne soit pas vraiment sombre, rien ne laisse présager des ténèbres qui vont s’abattre, de la lutte future pour l’anneau. Il n’y a aucun indice du pouvoir maléfique de l’anneau, qui apparaît uniquement comme une solution pratique pour devenir invisible.



En conclusion, je pense que le visionnage des films a quelque peu atténué mon plaisir de lecture. J’ai toutefois adoré ce monument de la littérature, et lirais avec plaisir les ouvrages de la saga Le Seigneur des anneaux.
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Le Seigneur des Anneaux, tome 3 : Le retour..

C'est la seconde fois que je lis cette œuvre magistrale en trois tomes de John Ronald Reuel Tolkien ; roman monumental et exigeant de 1450 pages, parmi les plus incroyables et les plus féériques jamais écrites, dont la lecture s’avère être un investissement de plusieurs semaines, peut-être de plusieurs mois, et qui reste une parenthèse dans la vie, un voyage extraordinaire dans le temps et dans l’espace, un train certainement difficile à prendre mais encore plus difficile à quitter…

Mais un jour, comme pour les membres de la Communauté de l'Anneau, le voyage arrive à son terme et il est temps de rentrer, de revenir à son logis et de reposer, avec une pointe de regret, les pieds sur un sol familier, reparler à des gens (normaux) et payer les factures. Le voyage – certes très inattendu – est terminé et quant à moi, de la même façon qu’il y a trente-cinq ans, un étrange sentiment de manque et d’abandon m’envahit.

La première fois, j'avais à peine 20 ans et j’étais sous le choc. Le temps qui s’écoulait une fois la dernière page tournée était encore terriblement tolkienien. Comme après la vue de certains tableaux ou comme au terme d’une écoute attentive de certaines œuvres musicales, la période venant juste après faisait intégralement partie de l’œuvre et je restais longtemps suspendu à la dernière phrase… L’emprise était là, bien réelle. Peut-on parler de charme ? D’envoutement ?

Je me souviens avoir peiné à reprendre une vie normale et à trouver le livre qui me rendrait le goût de la lecture ; j’avais même pensé que plus jamais je ne saurais connaitre de joies et d’émotions aussi intenses provoqués par un roman. J’ai crains d’ailleurs avoir perdu le goût de lire tout simplement… Et j’étais fort jaloux de tous ceux qui n’avaient encore découvert ni Bilbo le Hobbit, ni le Seigneur des Anneaux et qui allaient – les chanceux – tourner ces premières pages.

Et puis, chemin faisant, me voici quelques années plus tard en train de feuilleter une nouvelle fois ce roman épique.

Pourquoi n’ai-je fuis, pauvre fou…

Pourtant, si la découverte n’est plus, l’émotion et le plaisir sont intacts. Mieux ! Je prends le temps de m’imprégner de chaque scène, de chaque détail. Entre-temps j’ai vu les films de Peter Jackson et je fais le parallèle ; et je trouve que le cinéma est terriblement réducteur, même au meilleur de sa forme, même neuf heures et dix-huit minutes plus tard…

Et puis il y a Sam, Samsagace Gamegie, le vrai héros de tous les temps, le véritable héros de l’histoire ; simple, lucide, fidèle à lui-même, il rentre de ses aventures avec l’envie de retrouver sa terre, ses vieux parents, ses amis et sa fiancée.

Quelle leçon magistrale !!!
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