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Critiques de James Herbert (411)
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Le secret de Crickley Hall

Une vieille demeure anglaise, la mort tragique d'orphelins pendant la seconde guerre mondiale et des phénomènes étranges !

Une histoire assez intense où il se passe toujours quelque chose. Quelques longueurs malgré tout pour cette histoire de maison hantée plutôt classique.

A lire !
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La Conspiration des fantômes

Trois ans après les événement survenus dans ''Hanté'', David Ash est envoyé dans le petit village de Sleath, au fin fond de la campagne anglaise, pour enquêter sur une succession de phénomènes paranormaux.



Bien qu'il ne brille pas par son originalité, j'avais apprécié ''Hanté", et c'est donc tout naturellement que je me suis dirigée vers cette suite (en précisant d'ailleurs qu'il n'est pas nécessaire d'avoir lu ''Hanté'' pour s'attaquer à ''La conspiration des fantômes'' puisque les points les plus importants sont rappelés). Comme dans ce précédent roman, James Herbert n'est pas très original. ''Hanté'' présentait déjà une fin très classique, mais ''La conspiration des fantômes'' réussit à faire pire en tapant sur du vu et revu, ce que je trouve un peu dommage.



Toutefois et malgré ce manque d'originalité, j'ai beaucoup apprécié l'ambiance. Perdu dans ce petit village, James Herbert nous livre de beaux moments de tension et d'effroi, faisant petit à petit monter l'angoisse jusqu'à cette nuit d'apocalypse qui vient conclure l'histoire. Les lieux en deviennent vivants, et les personnages sont attachants. On retrouve d'ailleurs des clients d'œil à la trilogie des rats, de même qu'on recroise le brouillard de Fog, même si son origine est ici totalement différente. Cette ambiance est la réelle force du livre, on se laisse embarquer dans cette histoire, on tâtonne, on souffre avec ces personnages ballotés.



Par contre, j'ai été assez étonnée qu'il soit à peine fait mention de



En bref, un livre qui manque d'originalité mais qui bénéficie d'une très belle ambiance !
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Fog

babelio_id:Herbert-Fog/7104
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Le survivant

babelio_id:Herbert-Le-survivant/8150
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Les rats

isbn:9782266028257
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Le repaire des rats

babelio_id:Herbert-Le-repaire-des-rats/18508
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L'empire des rats

isbn:9782266039871
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Hanté

David Ash travaille pour un institut de recherche sur le paranormal. Très sceptique, il s'emploie surtout à expliquer les phénomènes naturels qui paraissent surnaturels, ainsi qu'à débusquer les supercheries. Jusqu'au jour où il est envoyé dans le demeure d'Edbrook à la demande de la famille qui y vit...



Après une grosse déception à la lecture de Fog, j'ai voulu tenter un autre livre de James Herbert, et j'ai nettement préféré Hanté ! Sur la forme, le style y est plus agréable, et même si l'on regrettera que , les personnages sont intéressants, surtout David.



Concernant le fond, on est ici en présence d'une banale histoire de maison hantée, où tout est cliché et prévisible, surtout la fin qui se sent arriver de très très loin. Par ailleurs, la présence de flashbacks m'a un peu gênée, ils viennent casser la tension, dommage. Ceci dit, les descriptions de Ebrook sont vraiment sympathiques, et l'ambiance posée dans cette vieille demeure est réellement le point fort du livre. Tel Malpertuis, Edbrook est le véritable personnage principal du roman, glauque et inquiétant à souhait, ce qui rend ce Hanté agréable à découvrir malgré son aspect très convenu.
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Fog

Dans la nuit du 25 au 26 septembre 2013, l'usine Lubrizol de Rouen laisse échapper un nuage de gaz "faiblement toxique" (sic!)



Ce nuage se déplaça à l'est jusqu'en région parisienne, à l'ouest jusqu'au sud de l'Angleterre.



Nous nous trouvions sur le passage du nuage, et je me suis souvent demandé ce qui serait arrivé si il avait été plus que "faiblement" toxique...



Une réponse possible -quoique qu'assez peu probable !-se trouve dans ce roman de James Herbert.



A la suite d'un séisme dans un village anglais, un nuage de brume jaune apparait et se déplace et là où il passe intoxique les gens.



Mais d'une façon plus grave et plus insidieuse que de provoquer des crises d'asthme ou des nausées ( Lubrizol )

Les intoxiqués deviennent tout simplement des fous dangereux !



Bon, le livre écrit en 1975 a un peu vieilli et il faut bien sûr le recontextualiser.

Pas d'internet ni de portable en 1975 par exemple.



Il faut en revanche se souvenir que dans les années 70 le genre "catastrophe" était assez prisé, notamment au cinéma, et "Fog" entre à mon humble avis plus dans cette catégorie que dans celle du fantastique.



Un bon moment de lecture au final, un récit bien mené sans temps mort.



PS : Presque six ans jour pour jour après la fuite, le 26 septembre 2019, l'usine Lubrizol prenait feu, occasionnant de lourdes pollutions, voilà...
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Le secret de Crickley Hall

Voici un genre que j'ai très peu lu, voir pas du tout, en revanche j'ai l'habitude des maisons hantées et des esprits vengeurs grâce aux nombreux films. J'en regarde régulièrement, je suis bon public à ce niveau, quitte à ce que je dorme la lumière allumée mais j'adore me faire peur. Alors quand j'ai vu passer ce livre-là, je me suis dit que c'était parfait pour me faire une petite frayeur !



Petit résumé : la famille Caleigh, suite à un drame survenu un an auparavant, emménage pour quelques temps dans cette grande maison, que dis-je ce manoir, qu'est Crickley Hall. A l'approche de l'anniversaire de la disparition de leur petit garçon, ils se disent qu'un changement d'air leur fera le plus grand bien. Ils ne se sont jamais autant trompés.

Très rapidement, dès la première nuit en fait, des évènements étranges se déroulent dans cette demeure : des bruits suspects, des lumières bizarres, une porte qui refuse de rester fermée... Tout cela met à rude épreuve leurs nerfs déjà bien éprouvés. Le père, Gabe, essaie de rationaliser tout cela, tandis que Eve, la mère, un peu plus fragile émotionnellement, se met à chercher les services d'une médium pour entrer en contact avec son fils. Quant aux deux petites filles, Loren et Cally, elles tentent d'évoluer dans cet environnement qui sape totalement leur énergie vitale.



L'auteur réussit très bien à instaurer une ambiance pesante, mystérieuse, j'ai eu plus d'une fois des frissons dans le dos et je m'obligeais à ne pas lire le soir avant de m'endormir. Si l'histoire n'est pas d'une grande originalité (les films ne le sont pas non plus, en tout cas ceux que j'ai pu regarder), on s'attache rapidement à cette famille qui tente de vivre malgré le petit Cam disparu. On entre très rapidement dans le vif du sujet, les chapitres sont courts, dynamiques, tout est très bien orchestré. Néanmoins, passé un moment, j'ai commencé un peu à m'ennuyer, je savais comment ça allait se terminer et j'avais toujours l'espoir d'un rebondissement surprise, mais non, tout s'est enchaîné comme je l'imaginais. Et ce n'est pas un mal, attention, je dis seulement qu'à force de regarder des films dans ce domaine là, et bien cela a atténué l'impact qu'aurait pu avoir ce livre sur moi, et c'est un peu dommage.



Je pense que c'est un genre que je lirai à l'avenir sans me prendre la tête, en posant mon cerveau et en me laissant tout bonnement entraîner dans une histoire de fantômes, sans réfléchir. J'ai même envie de privilégier la lecture de ce genre au visionnage d'un film, car l'immersion est assez différente. En tout cas, l'histoire de James Herbert est très bien, flippante et glauque juste ce qu'il faut, avec une trame bien construite et une ambiance du tonnerre - et c'est pas peu dire !

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Fog

Suite à un tremblement de terre, un brouillard jaunâtre s'échappe de la terre et traverse l'Angleterre pour y semer la folie.



Ce résumé me tentait bien, d'autant plus qu'étant ado, je me souviens avoir apprécié ''Les Rats'' du même auteur. C'est donc sans me poser beaucoup de question que j'ai attaqué ce ''Fog'', et je dois bien avouer que je suis déçue de cette lecture.



Ce livre date des années soixante-dix, et ça se voit : tournures quelques fois vieillottes, formulations clichées, dialogues peu naturels voire gênants, vision de la femme et des homosexuels rétrograde... je n'ai rien contre les vieux bouquins, au contraire j'adore la vieille SF, mais là je n'ai pas été séduite. Il faut bien avouer que l'ambiance est très très mal décrite, et Holman est une coquille vide, un personnage qui se pose peu de question et ne réfléchit par des masses non plus. Il va pourtant traverser des moments qui auraient pu être très anxiogènes (comme par exemple ) mais tout ça est très rapidement expédié. A la place, on suit ses aventures d'agent du gouvernement que j'ai trouvé inintéressantes.



Pourtant, ce bouquin n'est pas mauvais, loin de là. Les présentations des futures victimes sont agréables, ce qui les rend paradoxalement beaucoup plus intéressantes que Holman qui est pourtant le personnage principal. Certains moments sont bien décrits (comme ) mais ils sont malheureusement rares. Comble de la frustration, le bouquin évoque quelques idées sympas mais ne les utilise pas (comme ). A la place, l'auteur nous pond des tartines de scènes gores, comme s'il espérait redresser la barre de son ambiance loupée avec du cracra à peu de frais.



Au final, ce bouquin est une déception. Ceci dit, je suis curieuse de savoir si ''Fog'' est un loupé de Herbert ou alors si mes goûts ont simplement évolué, donc il faudra que je relise ''Les Rats'' à l'occasion.
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Sanctuaire

Une histoire vraiment sympa est glaçante on prend sa dose de frissons et les personnages sont au diapason on prend vraiment un réel plaisir à tourner les pages on devient vite accro de ce roman qui nous enveloppe et nous charme juste exceptionnel 🥰🥰
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Fog

L'intrigue présentée par James Herbert dans "Fog" se distingue par son caractère plutôt original, même si elle n'est pas la seule et l'unique dans le genre.



Dès les premières pages, James Herbert nous catapulte au cœur de l'intrigue de manière percutante. L'histoire démarre sur les chapeaux de roues avec un séisme, l'envolée mystérieuse du "Fog", et les premiers meurtres qui s'enchaînent de manière captivante.



L'auteur réussit ainsi à créer une immersion immédiate dans son histoire. Plongeant le lecteur dans un tourbillon d'événements qui éveillent la curiosité et suscitent un intérêt immédiat. Cette dynamique narrative établit solidement dès le départ les bases du récit et crée une impulsion qui incite le lecteur à poursuivre la lecture avec une fébrilité croissante pour découvrir les mystères qui se cachent derrière cet univers envoûtant.



Cependant, une fois franchi le premier tiers du récit, j'ai ressenti une certaine lenteur dans le développement et la résolution de l'intrigue, nécessitant une attente prolongée avant que le rythme ne reprenne de la vigueur.

Cette petite réserve est néanmoins contrebalancée par des scènes particulièrement gores, soigneusement parsemées tout au long de l'histoire, qui parviennent à réveiller le lecteur avec des éclats d'hémoglobine saisissants.

L'auteur démontre également une habileté remarquable à livrer des moments plus émouvants, ajoutant ainsi une dimension émotionnelle à l'histoire.



Il est à noter que, bien que l'histoire elle-même n'a pas trop vieilli, que les causes et les origines du mal, demeurent tout à fait plausibles même dans notre contexte contemporain, la technologie utilisée n'a pas vieilli de manière significative.

Malheureusement, cela ne se retrouve pas dans tous les aspects du récit, en particulier dans la représentation des personnages féminins. Ces derniers semblent souffrir d'une vision qui était peut-être répandue à l'époque de la création de l'œuvre, mais qui apparaît désormais comme dépassée, marquée par un machisme exacerbé.



En dépit de ces quelques réserves, l'ensemble de l'œuvre offre une expérience de lecture gratifiante, éveillant ma curiosité et me donnant une envie certaine de découvrir le dénouement de cette histoire mystérieuse et captivante.

L'habileté de l'auteur à créer une histoire pleine de suspense est indéniable.
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Le secret de Crickley Hall

Les Caleigh, une famille londonienne endeuillée par la disparition de leur fils, emménage dans le Devon pour changer d'air. Ils posent leurs valises au manoir de Crickley Hall. De l'avis de tous, il est austère et grince même la nuit. Même Chester, le chien, refuse de rester dans cette vieille maison.

Situation initiale classique pour un roman de maison hantée, n'est-ce pas ? C'est une recette qui fonctionne depuis des lustres et pourtant, même le fantôme caché dans le placard sous l'escalier n'a pas un air de déjà vu. Il est difficile de vous résumer ce roman sans gâcher votre frayeur à venir. Mais je peux vous parler de l'ambiance de ce manoir fraîchement habité par les Caleigh, Gabe, Eve et leurs deux filles Loren et Cally. Leurs âmes sont déjà torturées par la disparition, un an plus tôt, de leur frère Cameron. Le bon air du Devon ne peut que leur faire du bien. Mais l'air de Crickley Hall est lui aussi pollué par des âmes torturées. Des âmes errantes qui, incapables de quitter le manoir, continuent de glisser, de claquer, de crier.



La plume de James Herbert nous mène habilement dans les pièces du manoir, dans ses recoins, dans ses placards à la recherche de ses fantômes. Entend-on vraiment des enfants jouer dans le grenier ? Et quel est ce bruit sous l'escalier ?

L'auteur nous mène aussi au coeur de l'Histoire, et c'était une surprise pour moi, au coeur de la Seconde Guerre mondiale puisque le manoir a accueilli des orphelins évacués des bombardements londoniens. Ils seront tous morts noyés lors d'une grande inondation en 1943.



Ces enfants hantent-ils le manoir ? Et pourquoi ?



Et je ne vous parlerai pas du puits dans la cave...



Franchement, j'ai eu un effrayant coup de coeur pour Le secret de Crickley Hall car il respecte les codes du roman de maison hantée mais ne s'arrête pas là en nous livrant une histoire sordide autour des enfants évacués dans les années 40.

Une lecture parfaite pour la saison, le soir, sous une couverture, avec un thé et un carré de chocolat. Mais pas trop loin de la lumière !





A bientôt sur Bibliza :)
Lien : http://bibliza.blogspot.com/..
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Les rats

Les rats est le premier roman de l’écrivain James Herbert, paru en 1974. L’auteur nous dépeint justement la ville de Londres des années 1970, où une recrudescence de rats va semer la panique dans la ville. Car il ne s’agit pas de rats ordinaires, ils sont beaucoup plus gros, plus agressifs, plus malins et plus voraces. Et surtout, leurs morsures sont mortelles.



Un premier roman court, efficace avec des scènes assez marquantes : une attaque de ces gros rongeurs dans le métro et dans d’autres lieux (la scène la plus sanguinolente est sans doute celle du cinéma). J’ai passé un bon moment avec ce livre, j’ai plus apprécié la compagnie du héros Harris, professeur de dessin sympathique et débrouillard que celle des affreux rongeurs. Comme l’annonce l’épilogue, il y a bien une suite à ce roman, qui est le premier tome d’une trilogie. Vous imaginez, toute une trilogie avec ces charmantes bêtes affamées ?!
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Le secret de Crickley Hall

Je vous parle aujourd'hui d'un livre de James Herbert" Le secret de Crickley hall" des éditions bragelonne.



Un petit pavé mais qui se lit vraiment bien et rapidement. Je pense qu'il aurait pu être moins long mais c'est pas vraiment gênant.



L'histoire est prenante et les protagonistes sont attachants et combatifs. Les antagonistes sont travaillés en profondeur.



Les révélations du passé et les descriptions assez visuelles donnent du poids et de la profondeur au récit, elles permettent une bonne immersion et de comprendre les enjeux de facilement.



Pas un coup de coeur pour cette première lecture de l'auteur mais un bon moment certains !



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Fog

Une faille, une brume qui sort du sol et puis c'est l'enfer. Les gens, les animaux perdent le contrôle. Et au milieu de tout ça un homme qui a survécu et qui doit avec une équipe de scientifique plonger au cœur du problème pour éviter une catastrophe. La brume est plus sournoise que prévu et il va y avoir de nombreux incidents. Peut-on lutter contre un ennemi sans substance mais qui semble avoir une conscience? Âmes sensibles s'abstenir.
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Le secret de Crickley Hall

Amatrices, amateurs de maison hantée, ce livre est pour vous ! Tous les ingrédients sont là : une famille (Gabe et Eve Caleigh avec leurs 2 filles, Loren et Cally) souhaite fuir un douloureux événement et déménage pour vivre dans un vieux manoir anglais, sinistre à souhait : Crickley Hall. Les événements troublants font vite surface et s'enchaînent crescendo : le malaise inquiétant du chien Chester, les bruits, la porte de la cave toujours ouverte, l'inquiétante balançoire, les apparitions... Découvrir le passé sinistre de cette demeure fait froid dans le dos : ancien refuge pour 11 orphelins pendant la 2nde guerre mondiale ; ce refuge est dirigé par le dur et glaçant Augustus Cribben et sa soeur, la sévère et austère Magda Cribben. Seule l'institutrice est douce avec les enfants mais, comme le raconte le jardinier, toujours vivant et témoin du passé de cette bâtisse, elle a mystérieusement disparu. Ce même jardinier racontera l'histoire tragique de l'inondation de 1943 qui a tué tous les résidents ou presque : 9 corps sur 11 retrouvés, la tutrice Magda vit encore mais elle vit prostrée, ne parle plus et ne semble pas avoir toute sa raison.

Qu'en ai-je pensé ?

J'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire de ce livre malgré un début conforme à ce genre de roman (roman d'horrreur), il me manquait un petit quelque chose indéfinissable. Peu à peu, je suis entrée dans l'histoire et ma lecture a été plus addictive malgré les descriptions parfois trop détaillées. Ce roman va plus loin, est plus fort que les romans de Peter James. Cependant découvrir le secret de Crickley Hall (qui est le but de la lecture de ce roman) m'a fortement dérangée tant l'histoire est devenue glauque. Berk... j'ai lu mais cela m'a coûté de connaître ce secret et a gâché mon plaisir de lecture.

Ceci dit, ce livre correspond parfaitement aux codes de ce genre.







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Les rats

Un thriller – roman pour « épeurer » sur les rats, animaux qui sont craints et détestés de tous. Dans ce livre, en fait un recueil de trois livres parus indépendamment, on nous présente l’histoire de rats mutants, plus grands que la normale et surtout très voraces. Les descriptions des attaques sont efficaces et bien détaillées. Mais il n’y a que cela dans le livre. Pas de suspense, pas d’histoire, juste de la description d’attaques, dans le métro, dans les écoles, etc. Rien pour soutenir l’intérêt à moins d’être passionné de descriptions vraiment très sanguinaires. Bref j’ai abandonné à la fin du premier tome...Pour moi, in livre sans histoire ça ne vaut pas grand-chose...5/10 peut-être?
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Hanté

J’avais déjà lu ce livre, mais je suis à peu près persuadé de ne pas en avoir fait de chronique. Il n’empêche que le redécouvrir a dû m’aider à comprendre certaines choses avant la fin.



On pars sur une histoire de fantôme assez classique, mais à l’écriture qui fait beaucoup : en effet, le livre se lit vite, les chapitres s’enchaînent bien, et il y a des morceaux intéressants. Mais surtout, ça tourne autour de David Ash, qui, ne veut pas croire aux fantômes. C’est un personnage assez classique, pas si intéressant, mais qui, dans son côté borné a quelque chose d’intrigant. Il refuse obstinément de croire en tout ça.



J’ai bien aimé les descriptions, lorsqu’il se passait quelque chose. Il y avait vraiment une certaine ambiance dans l’histoire. Je n’aimais pas spécialement les personnages, parce qu’ils semblaient tous un peu tordus déjà. Mais la raison de leur façon d’être, forcément, questionne.



Et bien qu’il est facile de deviner la réelle histoire de la maison dans laquelle se trouve David, ça reste quand même bien, parce qu’on y perçoit les indices donnés par le livre.



Après, il est vrai que les personnages à côté – qui ne sont pas dans la maison – ne sont pas si intéressants, sauf peut-être Edith qui m’intriguait beaucoup.



Il y a quelques autres “histoires” dans l’histoire, qui si au début elles sonnent comme un cheveu sur la soupe, restent assez intéressantes à voir, pour découvrir un peu le procédé du personnage principal, et comment il est.



Il y a certaines choses qui m’intriguent, sur lesquelles le livre ne revient pas une fois le twist final, et j’ai trouvé la fin un poil abrupt, mais il n’empêche pas qu’on garde une bonne structure de récit.



Cela se lit bien, c’est agréable, et c’est une bonne lecture. De plus, je pense, que ça peut faire un peu peur. Même si ça n’a pas été mon cas.
Lien : https://koalavolantchronicle..
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