Citations de Jean Dufaux (1681)
Rien n'est dû à un bâtard...
— Il est difficile pour une fille de s'imaginer sa mère dans les bras d'un autre homme que son père, n'est-ce pas ? Mais je vais répondre à tes questions. Oui, il m'a prise, il en avait tous les droits. Et, non... Je ne l'aime pas. Jamais il ne m'aura comme ton père m'a connue. Jamais il n’abordera aux rivages de mon enfance comme ton père y a abordé.
-J'espère que tu ne le décevras pas.
- Comment est-ce que je peux le décevoir alors que je ne sais même pas ce qu'il attend de moi ... ?
Aucun obstacle...
Tout s'est effacé. Il ne reste plus que le noyau...
Mon fils...
And take care that the light outside doesn't burn your soul.
Ici [le Savoy], le désir s'accroche aux jambes des femmes tandis que les honneurs et les illusions s'exposent au revers des vestons.
Sois ferme, mon fils. Le monde ne te fera pas de cadeaux. Prend ce que tu peux avant de te laisser prendre.
- Ici, il s'amollit. Alors que son coeur doit se bronzer.
- Son coeur?... Tu parles de coeur, Agrippine?... Sais-tu donc ce que c'est?...
- Rassure-toi! Le mien bat aussi! Mais au rythme que je lui impose. Et il n'a pas le droit à la parole!
C'est très vaste à étreindre, le pouvoir. Il ne reste guère de place pour le reste...
Ils s'accrochent à la vie. Il est donc si dur de partir même lorsqu'on n'est rien...
Mes frères, je vous mets en garde : des temps mauvais nous attendent.
Le Guinea Lors a quitté son repaire pour partir en chasse. J'ordonne à tous les Chevaliers du Pardon de s'écarter de son chemin.
Le Guinea Lord appartient au diable.
Il est invincible.
Maria: Mon sang te protégera. Je t'épouserai. Tu deviendras un grand d'Espagne...
Raffy: Tu sais bien que c'est impossible. Et puis, non. J'appartiens au Barracuda. Au souvenir de mon père, ce père qui m'accompagnera sur les mers jusqu'à la fin des temps. Blackdog! A jamais éternel!
Fine Flamme: Je t'aime! Tu ne m'oublieras pas?
Raffy: Jamais!
Un appartement dont le dernier propriétaire est mort criblé de balles ne peut que m'intéresser.
« Attends ! … C'est mon fils que tu traites de sauvage... ?
Oublies-tu que tu parles de l'empereur, du maître de Rome ?!! Que ta vie et celle de tes courtisans dépendent de son bon vouloir ?
Estime-toi heureux de t'en tirer à si bon compte ! Et cesse de nous importuner avec les trafics vulgaires qui te font vivre... Va, je t'ai assez entendu ! »
« Mais... ?!!
Ah ça !!! Elle me payera cet affront !!!! »
C'est bien là la difficulté. Le Mal s'agite sans cesse. Mais nous le combattrons jusqu'à nos dernières forces.
La vie est d'un ennui pesant. LA mort, seule, vous apporte quelques joies. (p.31)
Un flic qui entend la voix des morts. Mes félicitations, agent Dakota, c'est un don précieux. (p.16)
Ordre et probité. Que survive la libre entreprise. (p.4)
Se méfier des émotions. Encore et toujours, les émotions diluent notre force, et la force seule compte. (p.29)