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Citations de Jean Dufaux (1688)


Et ainsi, Lucius Murena accompagné de Pétrone se rendit chez Trimalchion. En cette nuit, il voulut croire en sa chance, en une possible rédemption. Il ignorait encore que le chemin des rédemptions est semé d'épines. Là aussi ...
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- Qu'en dit la sœur du Maharadjah ?
- Je t'attendrai, tu le sais. Mais l'Afrique est un long voyage.
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" Un hommes solitaire a jeté son arme à la mer. Il a décidé d'attendre... Attendre que viennent ceux qui connaissent son passé... Attendre que viennent ceux qui ont décidé de mettre un point final à ce passé... "
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-Si un jour ton coeur bat pour une femme... quelle qu'elle soit... préviens-moi. J'aurai peut être quelques conseils à te donner.
-Une femme! Un chevalier du Pardon n'a pas de temps à perdre en de telles mollesses.
-Nous ne choississons pas toujours, jeune Seamus. L'amour a son mot à dire... Et il peut se réveler un tyran plus féroce que la plus redoutable des moriganes.
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Ce n'était pas ce que souhaitait mon père. Il m'avait désignée pour lui succéder.

Une fille! Quelle bêtise!
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On écrit pour saluer le gamin, l'enfant, l'adolescent qu'on laisse derrière soi, sans possibilité de retour.
On écrit pour ne pas les oublier.
Oublier les dimanches d'une enfance qui se passait déjà entre les livres et les films.
S'invitaient alors à la maison toute une série de personnages louches, peu appropriés au cadre familial, bruyants et tyranniques, mais aux allures de princes, et qui transportaient dans leurs bagages un désordre salutaire, une énergie peu commune et une connaissance du monde qui se moquait des convenances.
Préface de Jean Dufaux
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[Hildegirrd-aux-courts-cheveux à sa sœur Sosja-au-noir-manteau]
- J'ai besoin de tes conseils. J'aime un homme.
- Pas ton mari, j'espère ! Les maris ne sont pas faits pour être aimés.
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Nous nous trouvons devant une catastrophe de type écologique, dans les pays du nord, ce que nous appelons les pays civilisés... Nous constatons un effondrement de plus de trois quarts des effectifs autochtones... Mes frères, nous nous sommes livrés à un ethnocide systématique ne freinant en rien nos appétits, notre goût du pouvoir. Nous sommes la mémoire du monde, nous avons voulu effacer la mémoire des autres, à jamais ! Bientôt, nous resterons seuls ! La Terre balayée de ses derniers représentants humains. La question posée est la suivante. Faut-il préserver la race humaine en voie de disparition ?
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Des rabatteurs piègent quelques humains dans un endroit isolé... "Une cuisine de l'enfer"... Ce gibier est offert aux plus offrants... Des chasseurs à la recherche de sensations fortes, des jeunes filles qui veulent contourner la loi... C'est dans une de ces "cuisines" qu'on a retrouvé les cadavres... La tête tranchée, une aiguille enfoncée derrière l'oreille droite... Sauf pour une fille... Qu'on a pu récupérer...
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Manger ou être mangé, tel sera ton combat désormais.
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Jessica, c'est d'abord un physique, une apparence sportive et saine. La grande blonde aux yeux claires, un visage ouvert, franc, longue jambes. Elle est née dans les plaines américaines, elle doit avoir trente, trente-deux ans. Bref, presque un cliché.
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"Bon ! On réagit comment ? On se paie un massacre ou on prend le temps de réfléchir ?"
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"There's no way like the american way". On l'a prise, la route, mes parents et moi. On n'a rien laissé derrière nous. Quelques dernières illusions peut-être, comme des chemises élimées qui flottent sur leur corde et que personne ne veut reprendre. Parce que vous auriez l'air miteux dedans, comme sont miteuses toutes les illusions...
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- Agrippine : Hum... Qu'en pensent les gens de la cour ?
- Pallas : La vérité est parfois difficile à entendre, maîtresse
- A : La vérité Pallas. Rien que la vérité.
- P : Elle est simple. Tu as épousé l'empereur pour qu'il reconnaisse ton fils. Ce qu'il a fait. En l'adoptant, il lui a même ouvert le chemin du trône. Mais...
- A : Mais... ?
- P : Il semble que l'empereur soit saisi de remords. Remords tardifs certes, mais réels. Il s'en veut d'avoir négligé son propre fils au détriment du tien... Certains pensent même...
- A : ... Qu'il pourrait changer d'avis à nouveau quant à sa succession. Britannicus redevient un héritier possible... Où se trouve l'empereur ?
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- Mais... Mais... Mais tu fêtes ma défaite !!!! TU... TU M'HUMILIES !!!
- T'humilier ! Mais c'est tout le contraire, noble César ! Dans ces vers, je mets en évidence la manœuvre habile qui fut la tienne ! Qui ose te défier aux courses ? Personne ! En avais-tu perdu une seule jusqu'à présent ?! Jamais ! Et le peuple, ce peuple pour lequel tu exposes ta vie, s'ennuyait. Tu ne risquais rien, il bâillait. Tu courais en tête, il somnolait. Un dieu qui ne prend pas de risques est un dieu qui ne survit pas dans la mémoire des hommes. Cela tu l'as senti...et tu as admirablement réagi en introduisant à nouveau dans la course l'inattendu, le danger... oui, le danger... cette épice tant appréciée des divinités.
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- Satisfait mon maître ?…
- Je ne suis jamais satisfait… Il n'y aura jamais assez de cadavres ! Le mouvement doit se poursuivre. Les guerres se succéder, et les vainqueurs d'aujourd'hui seront les perdants de demain… Qui voudront se venger à leur tour… Et ainsi de suite…
Tu n'as vu que l'étincelle. Demain ce sera le monde entier qui s'embrasera…
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Il a détruit tout ce que j'aimais, mademoiselle… Le bonheur d'une famille, ma femme, ma fille unique… C'est un combat mortel que j'ai engagé là…
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- Pardon, Monsieur le Comte…
- Monsieur…?
- Capitaine Zoren. Pourriez-vous m'accorder quelques minutes, Monsieur le Comte ? Il s'agit d'une affaire importante.
- De quoi s'agit-il ?
- D'événements qui se sont produits non loin d'ici, près de Moussy-en-Josas. Dans un collège tenu par une certaine Madame Froidecœur…
- Froidecœur !!!
- Oui. Vous la connaissiez ?
- N… non ! Aucunement.
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- Georges CADOUDAL. Taille : 5 pieds 3 pouces. Ventru. Teint frais. Yeux gris. Cheveux châtains clairs, fournis. Dents blanches. Vient d'être arrêté au carrefour de Buci. S'est débattu avec force. Jusqu'à tuer l'inspecteur Buffet…
Au préfet de police qui lui reproche d'avoir occis un honorable père de famille, Cadoudal répond : « Il fallait me faire arrêter par des célibataires». Il part d'un gros rire. On l'assomme. Il est conduit en prison, où il attend d'être interrogé.
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... Mais ne vous faites pas d illusions! En vous vivent les deux races, poils et peaux. Vous ne pouvez donc combattre l une sans trahir l autre. Que vous ke vouliez iu non; la tolérance vous guidera.
- la tolérance est un mot qui rend lâche!
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