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Critiques de Jean-Paul Dubois (2018)
Tous les hommes n'habitent pas le monde de ..

bien mais pas aussi topissime qu'il est dit partout
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Hommes entre eux

Super!!
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La succession

Encore un chef d'oeuvre de ce talentueux Jean Paul Dubois toujours aussi brillant et se renouvelant sans arrêt;
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Tous les hommes n'habitent pas le monde de ..

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Tous les hommes n'habitent pas le monde de ..

Dois acheter
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Hommes entre eux

Découvert cet auteur suite au prix décerné

Très belle écriture . Humour et auto dérision permanents assez jubilatoires.

Un rapport au sexe plutôt obsessionnel non ? Ça se branle bcp il me semble dans ses différents romans !

Peut être l’expression de cette animalité qui transpire dans ce «  hommes entre eux »

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La succession

Laisse moi te dire une chose. Il y a des moments où le fait de croire en Dieu ça peut rendre des services. Par exemple, toi, qui es athée, chaque fois que tu commences une partie en trente cinq points, tu sais qu'il va falloir aller les gagner un par un, ces putains de points. Tu vois ce que je veux dire ? L'autre, celui qui croit, lui il sait déjà que sur les trente cinq il en a sept ou huit offerts par la grande maison. Ce sont les points qui tiennent à un fil mais qui ne basculent jamais de ton côté, ces engagements qui dépassent d'un poil la ligne 7 ou n'arrivent pas à la 4, ces coups tordus qui te mettent la tête dans le seau. .... Et tu ne le savais pas, mais cette après-midi-là, contre lui, tu n'avais aucune chance. Il avait commencé la partie avec un avantage d'au moins sept ou huit points, c'est ce que j'appelle le surplus de la foi. C'est comme ça. ça se passe toujours comme ça. Je vois ça depuis plus de trente ans. Si tu veux aller loin dans ce métier, démerde-toi pour croire en Dieu.
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Tous les hommes n'habitent pas le monde de ..

Paul Hansen est emprisonné dans un centre pénitentiaire de Montréal dans la même cellule que Patrick Horton, un biker faisant partie des Hells Angel incarcéré pour meurtre. Tout oppose les deux hommes qui partagent cet « appartement » de 6m2, alors qu’il ne faudrait pas se frotter à Horton, Paul Hansen, lui est discret, courtois, ancien homme à tout faire d’une résidence d’immeuble, on ne sait absolument pas les raisons de son incarcération.



Dans ce roman, Hansen, à la première personne du singulier, nous raconte sa vie, son origine franco-danoise, son enfance à Toulouse, son père pasteur et sa mère gérante d’un cinéma puis l’immigration de son père au Canada, où Hansen viendra le rejoindre.



Jusqu’à la toute fin, on ne sait pas ce qui a mener Hansen a être en prison depuis presque 2 ans, on y suit l’amour qu’il a pour son père, sa mère, sa femme Wiwona d’origine indienne…



Il y a si peu d’humanité dans cette prison, dans cette promiscuité qu’est la cellule mais ,malgré tout, Hansen et Horton nous montrent que dans la misère et l’isolement, un rapprochement peut être possible car, après tout c’est ce qui rapproche quand même les deux hommes : l’emprisonnement.



De ces conditions difficiles que sont l’obscurité d’une cellule, la noirceur d’un avenir, l’auteur essaie de faire jaillir la lumière à travers la solidarité et l’amitié qui naîtra finalement entre les deux personnages principaux.



Ce roman n’a pas été un coup de coeur, mais il dégage toutefois un message d’humanité et de tolérance.


Lien : https://celitteratureofficie..
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Vous plaisantez, monsieur Tanner

Histoire qui se lit bien. Super facile car tout petit chapitre. Assez drole même si je n ai jamais fait l experience du narrateur...ca ne me donne pas envie de tenter l expérience !!!!
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Tous les hommes n'habitent pas le monde de ..

L’auteur d’Une vie française publie Tous les hommes n’habitent pas le monde de la même façon, un nouveau roman mélancolique et lumineux. Il y dévoile sa vision du monde.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Tous les hommes n'habitent pas le monde de ..

Jean-Paul Dubois a déjà obtenu le prix France Télévisions pour Kennedy et moi, le prix Femina et le prix du roman Fnac pour Une vie française. Son dernier roman, tendrement désespéré, nous laisse une douce impression de charme immarcescible.
Lien : https://www.francetvinfo.fr/..
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Vous plaisantez, monsieur Tanner

Forte ressemblance avec le film "la maison du bonheur". Facile à lire, bon moment de détente...
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Vous plaisantez, monsieur Tanner

Une galerie de personnages aussi loufoques que drôles.



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Le cas Sneijder

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Maria est morte

Je tiens Jean-Paul Dubois pour le plus intéressant de nos écrivains contemporains; l'ensemble de son oeuvre est cohérente, obsessionnelle, mais ce volume est selon moi, très décevant. Je ne l'ai vu passer que récemment alors qu'il a été écrit en 1989.

Il est a rapproché d'un autre livre (Hommes entre eux) qui m'avait déçu lui aussi; il semblerait que ces deux histoires soient sorties d'une même matrice...

Pas grave, Dubois a écrit tant de bons livres.
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Si ce livre pouvait me rapprocher de toi

J’ai lu ce roman après en avoir vu une adaptation libre très émouvante par Philippe Lioret, « le fils de Jean ». Dans le roman de Dubois, on découvre un récit d’apprentissage où le narrateur, Paul (toujours Paul), Toulousain, 48 ans, récemment séparé, est bien forcé de reconnaître qu’il est son pire ennemi. Il va se défaire de son ancienne peau qui l’étouffe, en suivant les traces de son père décédé au Canada. Au fil des découvertes il se défait de l’emprise de ce père qu’il ne connaissait pas très bien au fond. J’ai adoré le premier chapitre, intitulé « Le début » non pas parce que c’est le départ du roman, mais parce qu’une nouvelle année commence. Le narrateur y décrit très bien les éléments fondateurs et signes avant-coureurs de la crise qui sera au cœur du roman. J’ai retrouvé avec plaisir le ton autocritique et doux-amer de Jean-Paul Dubois, mais je trouve que Philippe Lioret en a fait une histoire encore plus forte au cinéma.
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Le cas Sneijder

Je découvre cet auteur. J'aime la façon qu'il a de vraiment nous faire sentir les ambiances, les émotions, les sentiments... Un peu agacée parfois par les passages descriptifs du fonctionnement des ascenseurs ; ceci dit, ces lignes ne sont jamais trop longues non plus...il finit toujours par rebondir sur Anna, les jumeaux ou son boulot ou ses émotions.... Bref ! La fin est presque choquante....on a de la tristesse pour lui....l'impression que cet homme n'a jamais pu "CRIER" ni son mal être, ni ses désaccords, ni sa souffrance. Au moment où on se dit qu'il ose ENFIN ouvrir sa bouche.....je vous laisse découvrir les derniers mots/maux....
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Hommes entre eux

Il m'avait beaucoup plu " une vie française" mais ce livre, sauf par quelques pages avec de bonnes descriptions c'était un livre bien pauvre, Je ne le recommanderait pas, nous allons voir d'autres livres de l'auteur comme "Vous plaisantez, monsieur Tanner"
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Vous plaisantez, monsieur Tanner

Il faut bien comprendre ce qu'est véritablement un chantier lorsqu'on l'assume seul. Du point de vue du travail et de la tension, cela correspond à peu près à la gestion simultanée d'un contrôle fiscal, de deux familles recomposées, de trois entreprises en redressement judiciaire et de quatre maîtresses slaves et thyroïdiennes. Il faut à la fois travailler au jour le jour, construire, remodeler un univers démesuré à la force de bras modestes, penser à la suite, programmer le meilleur, envisager le pire, alimenter le chantier en matériaux - un chantier est, par essence, constamment affamé -, régler des sommes vertigineuses - une rénovation est, par définition, un gouffre -, surveiller le travail des artisans qui viennent faire une prestation -un artisan est, par nature, une menace latente -, supporter, enfin, les mensonges, les ruses, les retards, les approximations de ces corps de métiers qui, il ne faut jamais l'oublier, n'ont été constitués que pour concourir à votre ruine. A endurer pareilles tortures, on perd très vite ses forces, sa santé, aussi bien mentale que physique, ses économies, sa lucidité, bref, sa raison. Les mains rongées parle ciment, asséchées par le plâtre, le dos cassé, le corps zébré de déchirures et de tendinites, on finit par n'être plus qu'une carcasse laborieuse habitée par la fatigue, diminuée par la douleur et affaiblie par une forme rampante de dépression primitive. Alimenter une bétonnière en sable et en gravier. Monter des poutres à la force des bras. Visser des plaques de plâtre au plafond. Carreler à genoux. Creuser des tranchées à la pioche. Abattre des murs pleins à la masse. Travailler à marche forcée. Manger n'importe quoi. Mal dormir. Penser à sa vie passée. Se demander pourquoi l'on fait ça. Et surtout pour qui. Avoir des idées fixes. Vivre dans un monde étroit. Éprouver des sentiments mesquins. Oublier son sexe. Négliger son hygiène. Regarder son corps se flétrir. Se perdre. Ne pas se reconnaître. Craindre de n'avoir pas la force d'aller au bout. Et pourtant finir. Et puis s’asseoir. Et regarder une dernière fois le champ de bataille. Et se demander comment tout cela fut possible. Et, après avoir comblé tant de trous, rempli autant d'espaces, se sentir vide. Tellement vide. Et seul.
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Le cas Sneijder

J aime beaucoup cet auteur qui manie l humour noir. Ce livre se lit presque d une traite. La fin est surprenante et tellement injuste. On a envie que le personnage se rebelle contre sa situation.
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