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Critiques de Jean-Pierre Andrevon (381)
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Le dernier dimanche de M. le chancelier Hit..

Un tout petit roman qui nous présente un Adolf Hitler réfugié aux États-Unis en 1949 suite à sa défaite contre l’URSS.

On apprendra surtout à la fin du roman comment le monde a dévié de la réalité, mais c’est surtout la description d’un Hitler vieux, atteint de Parkinson et d’Alzheimer et qui se pisse dessus à cause de sa prostate malade qui est le cœur du récit.

Heureusement que le roman est court car la description de cette loque est au départ intéressant mais cela finit par devenir long et ennuyant.

Je n’ai pas trouvé l’intérêt de se focaliser sur cet homme perdu, absent alors que finalement, ce qu’il se passe à l’international est plus intéressant.

La conclusion du roman est plutôt bien amené mais je reste sur ma faim.
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Sukran

Je ne connaissais pas J.P. Andrevon, et dés les premiers chapitres j'ai été rebuté par les mots "Bougnoules", "Meteques", "Basanés"... mais me suis dit que vu qu'un des personnages secondaires est un skinhead et que le conteur navigue dans des milieux douteux, j'ai un peu poussé la lecture pour voir si cet aspect raciste rebutant était avéré ou gratuit... Heureusement que j'ai continué.

On apprend vite que dans ce futur proche, hyper actuel, la montée des eaux, le réchauffement climatique et autres catastrophes liées à la bêtise humaine, ont obligé des peuples entiers à migrer vers le Nord, et Marseille se retrouve encore plus culturellement mixée, et les noms d'oiseaux sont très fréquents.

Plus les chapitres passent et plus on se rend compte que le personnage principal est tiraillé entre 2 mondes, son patron extrémiste et un groupe de résistants qu'il va finalement rejoindre pour nous offrir une fin de toutes les couleurs du prisme atomique...
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Le Travail du Furet

Une lecture par moments difficile, accusant à bien des égards le poids des années comme subissant les choix narratifs et conceptuels audacieux de son auteur.

Mais au final une lecture très enrichissante, et surtout un renversement final rare d'habileté.
Lien : https://syndromequickson.com..
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L'affaire du calmar dans le grenier

Extraordinaire ce livre !

Juste ce qu'il faut de science-fiction, de gore (mais pas trop! ), de suspens, de campagne française, d'un vieux château branlant, d'un héros un peu à l'ouest. On mélange le tout et ça donne un roman extraordinaire !

Je l'ai dévoré !

A lire absolument, ce serait dommage de ne pas passer un bon moment de lecture.
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Un horizon de cendres

Pas la première fois que Jean Pierre Andrevon s'aventure dans le territoire des morts-vivants. Il l'avait déjà fait pour « Les revenants de l'ombre » qui ne m'a pas laissé un bon souvenir. « Un horizon de cendres » ne réinvente pas ce genre si codifié et, en de hors de cette variante du zombie qui se reconstitue indéfiniment, ne propose pas grand chose d'original.

Est-ce un mauvais roman pour autant ? Pas du tout ! Andrevon est bon conteur et sait nous embarquer à chaque aventure même quand celle-ci se veut plus classique.

Un bon roman zombifique qui, sans être inoubliable, a su me divertir à chacune de ses pages.
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La maison qui glissait

Une banlieue comme tant d'autre, une tour moderne, un gardien retraité de la gendarmerie, un matin d'été.

Pierre se réveille brusquement, il est 7 heures, la température étouffante l'empêche de dormir. Et le soleil est déjà là... non, pas le soleil. Une clarté laiteuse, une lumière blanchâtre qui s'insinue partout. Un brouillard à couper au couteau. Tellement de brouillard qu'on ne voit plus la tour des Tilleuls, juste en face. Un mur de brouillard qui coupe en deux, tout net, le square devant chez lui.

Un mur de brouillard qui le coupe du monde.

Et ce n'est pas une expression toute faite...



J'ai lu très rapidement ces 500 pages, conçues comme un journal de la catastrophe, qui braque successivement la caméra sur l'un et l'autre habitant de la Tour . Oui, on se croirait dans un film d'horreur - un bon film d'horreur - et jusqu'à la fin, l'auteur sait nous ménager des surprises déconcertantes. L'épilogue est un peu fade à mon goût, mais sans doute parce que tout le reste m'a vraiment plu.

Je n'ai pas pu m'empêcher de comparer ce livre à "Brume" de S.King, et je trouve que pour un lecteur français, il est bien plus crédible, plus parlant; les personnages sont de ceux qu'on peut trouver autour de nous, on a l'impression de les connaître, et même si l'action se situe globalement dans les années 1990, rien n'a vieilli .

Pas même le héros, à l'issue de son aventure.





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Un horizon de cendres

Un livre pas mauvais.



Il est bon, grâce à l’écriture, surtout, qui permet de totalement suivre le narrateur, dans ses découvertes et l’horreur de la situation, de suivre l’évolution des choses.



Un style simple mais assez riche qui donne vraiment l’impression que quelqu'un à qui s’est arrivé nous raconte l’histoire.



Après, c’est assez descriptif : il n’y a pas de coup d’éclat ou de génie, les choses avancent de façon inéluctable et prévisible.



L’ensemble est donc plaisant à suivre mais sans véritable surprise ni originalité particulière.



Plaisant tout de même grâce, encore une fois, au style de l’auteur.

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Une lumiere entre les arbres

Publié à l'origine sous le pseudonyme de Alphonse Brutsche, ce roman a marqué ma jeunesse. Quel auteur prolixe !
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Les portes de Gandahar

Bien que le premier volet de cette saga ait été publié pour la première fois en 1969 dans la défunte collection Présence du Futur, ce n’est que très récemment que j’ai eu un des livres entre mes mains. Le premier ? non ! Le troisième. :-) Pourquoi celui-là ? Parce qu’un ami, qui fait les foire aux livres et autres boites à livres me l’a donné. Et hop ! un livre jeunesse dans ma PAL.



Que puis-je en dire ? Que c’est un vrai livre jeunesse ; qu’il est plus proche de la grosse nouvelle que du petit roman ; que l’écriture et la trame sont adaptée au public visé : 11 ans. Mais moi qui ait commencé à vraiment lire en découvrant Jules Verne, Agatha Christie, Aldous Huxley, Albert Camus, J-P. Sartre, etc. avant de ma tourner franchement vers la SF, je ne pense pas que j’aurais été emballé. Trop simple... limite naïf. Bref, rafraîchissant quand on cherche une lecture courte et divertissante pendant une journée pluvieuse d’été.



En bref : Ne boudons pas les livres bien écrits. Il est court. La trames pourrait être un peu plus fouillée, mais ce petit "planète-opéra" vaut bien qu’on lui consacre quelques heures. Et pour renouer avec Jean-Pierre Andrevon que je n’avais pas relu depuis la fin de mes études.
Lien : http://livres.gloubik.info/s..
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La maison qui glissait

Ce qui arrive à cette tour et ses habitants est plutôt intriguant, et on ne comprend pas trop ce qu’il se passe tant les manifestations sont variées. Au début, l’ambiance est plutôt fantastique : des habitants qui ont disparu, des morts étranges, des créatures dans la brume. Et chaque jour, une nouvelle tuile qui leur tombe dessus, avec une ambiance de plus en plus science-fictive, tellement on a l’impression de se trouver sur une autre planète. Prises individuellement, elles n’ont rien de vraiment originales, mais l’ensemble est divertissant et intriguant, à défaut d’être effrayant.



Et maintenant, donc, les points négatifs.



Du côté du style, déjà… C’est très, très descriptif, avec un style assez lourd qui ne convient pas à l’aspect divertissant du texte, et un défaut de relecture avec des coquilles qui vont jusqu’à des erreurs de noms. Je n’ai par ailleurs pas compris l’intérêt de nous donner la marque du sirop que boit machin, ou celle de leur café (je les ai pas comptées, mais c’est impressionnant le nombre de marques citées ! Je me suis même demandé si l’auteur n’avait pas été sponsorisé…).



Tous les personnages féminins sont décrits en fonction de la taille de leur seins et leurs moeurs sexuelles, avec une sexualisation vraiment malaisante par moments, et les personnages masculins semblent avoir du mal à faire preuve de retenue (les scènes de masturbation, de descriptions scabreuses et autres sont plus nombreuses que les scènes gore…). Et c’est pas érotique, hein, c’est juste dégueu, avec une scène quasi identique à la scène finale du film The Society (si vous ne connaissez pas, n’allez pas voir). Du coup, oui, le livre m’a dégoûtée, mais pas à cause de son côté horrifique, finalement assez soft et pas très inventif (d’ailleurs, c’est plus trash que gore).



Pour ce qui est de l’intrigue, c’est très long à démarrer, et je me suis ennuyée pendant presque la moitié du livre, parce qu’il ne se passait au final par grand-chose, et c’est pas très intéressant de suivre des persos sans personnalité et tous plus clichés les uns que les autres (et inclure de la diversité, c’est bien, mais si c’est pour faire de la caricature, c’est pas la peine, sérieux). On ne s’attache à aucun d’entre eux, et on attend juste qu’ils y passent, comme pour n’importe quel film d’horreur pour ados. Il y avait pourtant quelques idées intéressantes pour l’un des protagonistes, mais malheureusement ça n’aura pas suffi. J’ai par ailleurs été très déçue de la fin.
Lien : https://limaginaerumdesympho..
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Cauchemar, cauchemars !

Sous cette luisante et colorée couverture du talentueux Caza, court un récit haletant et angoissant de Jean-Pierre Andrevon.

Le titre de ce livre ne ment pas: Le héros, dont l'aventure commence dans un train à destination de Saint-Expilly, va se perdre/retrouver dans des songes qui s'étirent dans trois villes. C'est poisseux, énervant, crispant...

Qu'arrive-t-il à Jean-Marie Perrier, voyageur ordinaire dans une vie banale?

Est-il mal remis d'une dépression dont il aurait souffert à Paris, avant ce voyage vers la province? de quoi ou /et de qui est-il le jouet? Perrier est-il vraiment Perrier, d'abord, dans ces rêves pénibles qui ne finissent pas.

Ce récit, publié en 1982, accuse parfois son âge.... Mais c'est, aussi, ce qui lui donne un intérêt singulier et une ambiance très particulière, presque unique. Il y a un peu de La Banlieue de Sternberg, là-dedans, avec une autre destination offerte au lecteur...Et une chute, à la toute fin, qui vaut vraiment le déplacement.
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Gandahar

J'avais peut-être jugé Andrevon de façon trop expéditive. Catégorie insupportables donneurs de leçons qui n'ont jamais mouillé la chemise, bref gauche caviar, dans la version papys-boumeurs soixantehuitards. Sans doute, ce verdict à fleur de peau contenait une grande part de vérité. Ajoutez à cela que je suis allergique à la science-fiction parce que je déteste tout ce qui est artificiel (et comme personne n'a jamais rien vécu à rebours...) Alors pourquoi ai-je lu du Andrevon? Pour deux raisons principalement. Primo, il fallait tout de même que je connaisse au moins un livre du "plus grand écrivain de SF français". Secundo, j'avais peut-être conclu un accord secret avec moi-même, celui de me prouver que j'avais raison pour jeter le bouquin au bout de deux chapitres. Je me suis donné tort. Andrevon est beaucoup plus subtil que je ne l'avais supposé. Plus complexe. Plus ambigu, aussi. Tellement ambigu, en fait, qu'il est heureux pour lui qu'il soit passé de mode, sans quoi la presse, allègrement, l'aurait sans doute ajouté au bataillon des soi-disant "rouges-bruns" en compagnie de Jean-Claude Michéa, Christophe Guilluy et hier, Michel Onfray. Rouge-brun, cette expression qui avait été inventée par la CIA pour condamner les Russes de tout bord qui voulaient se débarrasser du fantoche ivrogne Boris Eltsine pour restaurer leur souveraineté et stopper le démantèlement de leur pays. Comme Kévin Boucaud-Victoire, qui a tout compris, l'a clairement dit: toute personne qui, au nom de la liberté et de la dignité humaine, s'opposera à l'asservissement à la tyrannie de la mondialisation néo-libérale sera déclaré "rouge-brun". Andrevon n'étant pas simpliste et assez peu enclin, finalement, à réciter les leçons du politiquement correct, langue officielle de la "gouvernance globale", finira sans doute stigmatisé par Libération ou France Culture, comme les autres. Je recommande JPA. Inouï il y a encore 24 heures.;)
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L'oeil de la lune

Curieux recueil de nouveaux fantastiques, plutôt orienté jeunesse mais que j’ai su apprécier en tant que grand enfant. Un peu horrifique, on reste loin du cauchemardesque, cela reste accessible aux peureux comme moi.

Les nouvelles ont un style proche, mais les auteurs ont créé des histoires bien différentes les unes d’autres, et des monstres aussi. J’aime celle avec la statue, je la trouve universelle. Qui n’a jamais laisser son imagination galoper et penser qu’une statue bouge quand on ne la regarde pas ? De Charles Trenet à Doctor Who, tous ont mit en avant cette crainte et fascination.

Une bonne découverte, un bon moment de lecture.
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Une mort bien ordinaire

36 nouvelles ou une fin n'est pas comme une autres, au propre comme au figuré...
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Anthologie des dystopies

Pour le journaliste de cinéma et auteur de romans de science fiction Jean-Pierre Andrevon, une dystopie est "une société dont les dirigeants veulent faire le bonheur de leurs citoyens contre leur volonté," en somme le contraire d'une utopie et qui va vite se révèle un enfer pour ses résidents et pour l’avenir sociétal.



Car si l'utopie vend un monde où tout le monde est heureux et libre, une dystopie en est une où personne ne l’est (à l’exception d’un leader et de ses bras droits éventuels).



Dans son livre "Anthologie des dystopies. Les mondes indésirables de la littérature et du cinéma", Jean-Pierre Andrevon mélange les œuvres fondamentales dans le domaine de la dystopie que ce soit en littérature ou dans le septième art.



Ainsi, les romans culte Le Meilleur des mondes, d’Aldous Huxley (1932) ; et 1984, de George Orwell (1948) cotoient Metropolis de Fritz Lang en passant par le Orange Mécanique de Kubrick et Burgess à Blade Runner de Ridley Scott , sans oublier le Farrenheit 451 de Ray Bradbury mis en image par Truffaut ( comme quoi les liens entre cinéma et romans de SF sont souvent ténus) bref tous les grands classiques de la science-fiction, sont longuement analysées et répertoriées par ce spécialiste



Excluant les œuvres trop éloignées de notre société actuelles comme l'héroic fantasy -Game of Thrones , le seigneur des anneaux- Andrevon fait un inventaire très détaillé des différentes oeuvres dystopiques à travers différentes thématiques comme : la dictature, la lutte des classes, l’internet, les robots, la religion, la société du spectacle, la surpopulation les catastrophes naturelles....





Insistant sur la dimension historique et sociale des œuvres, le livre d'Andrevon nous montre bien à quel point dans toute histoire dystopique, la société elle-même est l’ennemi du héros et de la plupart de ses semblables.



Dense, très ( trop?) roboratif, cette Anthologie des dystopies constitue une porte d'entrée riche et complète sur les dystopies en littérature et cinéma !
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Le Monde enfin

Le Monde enfin se déroule dans un univers où l’espèce humaine est sur le point de disparaître complètement suite à une pandémie (parfait timing de lecture!) mais c’est bel et bien une utopie. Car pour l’auteur, la seule utopie possible c’est celle-ci: un monde où la nature reprend ses droits, un monde où l’humain n’est plus là pour l’anéantir: une idée très avant-gardiste en 1975! Je suis, pour ma part, entièrement en accord avec cette idée et cette lecture entre donc en parfaite résonance avec ma vision des choses, empêchant très clairement un avis objectif sur cette lecture [...]



Pour lire la suite de cette critique, rendez-vous sur yuyine.be!
Lien : https://yuyine.be/review/boo..
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Le Travail du Furet

Comme certains l'ont déjà dit, ce roman est un hommage aux romans et films noirs. Ambiance, vocabulaire... Et beaucoup de références cinématographiques !

J'ai eu du mal à entrer dans ce roman, puis la lecture a été plus fluide. Son côté exercice de style, qui est assez réussi, m'a empêché de vraiment apprécier l'histoire.

Ambiance polar, oui. Dystopie, oui en raison de la description du monde dans lequel notre furet évolue. Mais quelque chose m'a manqué.
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Hôpital Nord

Une sacrée partie de rigolade dans des situations loufoques au sein d'un hôpital.



Ce n'est pas un roman mais une succession de sketchs ou chapitres indépendants dont certains m'ont fait hurler de rire.



Un très bon moment.
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Les retombées

Petite nouvelle mais grand sentiment... Écrite en 1979, "Les Retombées" parle de jour d'après une explosion nucléaire, de survie, de peur, de mensonge d'état d'avenir et de ce qui nous guette... tous. Les 5 personnages nous happent et nous émeuvent çà et là... Un camp, des militaires, un relent d'enferment/internement ... et ce "à marcher" répétitif de la fin...
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Le Monde enfin

Un livre étrange où les chapitres ne sont pas déplaisants sans que j'en voie la finalité ni la réelle interaction les uns avec les autres. L'histoire de Bastien qui prend une bonne partie du livre, n'a pas vraiment grand intérêt mis à par le descriptif de la nature qui est certes très réussi.

Laurence que l'on s'attendait à suivre tout au long du roman, est laissée rapidement de côté pendant 300 pages. Le tout donne un ensemble assez décousu, même si cela fonctionne quand même malgré quelques longueurs.

Mais finalement, je n'ai pas trop adhéré à ce roman, quand bien même j'ai aimé le côté apocalyptique. La fin est terriblement convenue, les femmes sont toutes hyper canons, style James bond girl, beaucoup d'incohérences sur leur passé, des personnages pas vraiment aboutis. Comme si on les avait pris, posé et mis en scène avec pour seul intérêt la nature environnante et les animaux enfin libérés de l'homme.

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