AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Jean d` Ormesson (960)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Saveur du temps : Chroniques du temps qui p..

cet opus est une synthèse de ecrits de Jean d’Ormesson hors de ces livres. Un regroupement de chroniques d’apres guerre au debut du xxi siecle.

Des passages donc courts et variés qui nous évadent.

Succulent.

A laisser trainer et à redécouvrir au fil de la vie et des envies
Commenter  J’apprécie          00
Guide des égarés

Comme d'habitude, Jean d'Ormesson nous entraine dans un voyage de (re)découverte du monde qui nous entoure et des concepts tels que le temps, l'espace, la vérité, l'amour et aussi : la mort.

Chaque chapitre et donc chaque concept nous rappelle des vérités oubliées dont on aimerait garder le chant éternellement en tête.
Commenter  J’apprécie          10
Histoire du Juif errant

J’ai passé un temps fou à lire ce livre (et je ne sais toujours pas comment j’ai fait pour en venir à bout haha ! ^^) C’était mon premier de l’auteur (et peut-être le dernier). C’est bien écrit mais très difficile à lire. Déjà si vous n’avez pas un grand nombre de références littéraires, historiques ou sur le mythe du juif errant ça va être difficile de suivre l’histoire. Pour le coup, on ne peut pas dire qu’Ormesson n’a pas de connaissances, c’est très très riche. Ce n’est pas ce qui m’a le plus dérangé car à part certains passages historiques que je ne maîtrisais pas, le reste ça pouvait aller. Mais, par contre, l’organisation du récit et des chapitres c’était trop pour moi. Il y a bien des chapitres distincts (et courts) mais il n’y a aucun titre ou numéro donc il ne faut pas perdre sa page x). Et LE PIRE c’était la chronologie, les chapitres ne se suivent pas et se déroulent à des temporalités différentes avec des personnages différents. Je me suis clairement perdue. On suit toutes les aventures du juif errant mais sinon il ne se passe pas grand chose. Il y a certaines histoires que j’ai bien aimé et d’autres que je n’ai pas compris. Et bien sûr, sinon ce n’est pas drôle, le livre est un pavé ! Au cas où vous vous posiez la question : je n’ai pas choisi de le lire de mon plein gré. Il faut une totale concentration pour lire cette histoire sinon ça devient difficile. Les personnages ne sont pas particulièrement attachants, voire carrément exécrables par moments. Le roman est très intéressant d’un point de vue culturel, de l’écriture ou à étudier mais je ne peux pas vous le conseiller en tant que lecture plaisir, notamment à cause de sa difficulté, même si je comprends qu’il puisse plaire à certains. C’était une lecture... déroutante.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          01
Le rapport Gabriel

Les hommes ont beaucoup déçu Dieu...qui se demande s'il ne devrait pas arrêter là les frais, et renvoyer le projet au néant. Voici l'archange Gabriel qui reprend le chemin de la terre, déterminé à ramener un rapport précis sur l'état des choses, dont Dieu se servira pour prendre sa décision. Pas de visite à Abraham ou Marie cette fois-ci, ce sera, par hasard affirme l'ange, Jean d'Ormesson son interlocuteur. L'occasion pour le grand homme de parler du monde, un peu, et de lui, beaucoup.

J'avoue, aussi bien que d'Ormesson écrive, je me suis rappelée pourquoi la dernière fois je ne m'étais pas jetée sur le reste de son oeuvre. C'est brillant, parfois un peu trop, il en oublie son sujet, digresse beaucoup trop, et on pourrait extraire bien des passages sans jamais pouvoir retrouver ensuite duquel de ses ouvrages cela sort. Dis comme ça, cela paraît fort négatif, mais n'oublions pas le style, les légères touches d'humour, l'intelligence pétillante, qui font que malgré les longueurs, on reste jusqu'au bout.

Du d'Ormesson pur jus.
Commenter  J’apprécie          83
La Création du monde

Un livre bien ambitieux, qui ne prétend pas moins que refaire le monde entre amis de la haute, agrémenté d'un bon vin, d'un cigare et d'un beau paysage, sans toutefois jamais, ô grand jamais heurter la pudibonderie bourgeoise. Si les réflexions avaient été savoureuses, le style élégant et raffiné, l'intrigue habile et audacieuse, peut-être que ce livre écrit trop vite aurait su capter mon attention. Mais malheureusement, il ne s'agit que d'un livre de plus, aux phrases simples et mornes, reprenant des théories dont d'ailleurs aujourd'hui personne n'est sûr. Rappelons que le big bang n'est qu'une théorie qui est loin de faire l'unanimité dans la communauté scientifique, ce qui n'empêche pas notre cher Jean au regard si bleu et pétillant (il faut bien lui reconnaître sa joie presque indécente de faire partie d'une élite écrasante) de prêter à Dieu des pensées pourtant bien trop humaines et terre à terre pour qu'on puisse y croire, ne serait-ce qu'une fraction de seconde.

Le personnage de l'académicien émerveillé du monde reste cependant sympathique, tout comme ma voisine, ou mon collègue de bureau. Eux n'ont pourtant rien écrit. Je vais de ce pas leur glisser l'idée.

Commenter  J’apprécie          30
Un hosanna sans fin

Ce livre est un pur plaisir à lire tant Jean D’Ormesson dispose d’un lexique varié mais prenant et qui sans trop en faire nous propulse dans ses pensées sur le monde, ses origines et Dieu. J’ai adoré lire ce livre comme toujours avec cet auteur. Il enrichit mes réflexion et m’aide à me détendre à travers une lecture agréable
Commenter  J’apprécie          30
La conversation

C'est bien écrit, incisif, direct et sans appel. La soif de gloire et de pouvoir d'un homme, d'un génie, mais d'un mégalomane aussi. La conversation est plus proche du monologue que de la réelle conversation car Bonaparte s'écoute un peu parler, mais la semi fiction historique est agréable à lire.
Commenter  J’apprécie          00
La Douane de mer

J’ai déjà confessé mon addiction coupable pour les écrits de Jean d’Ormesson. Tous ses écrits.. Me voila contraint d’avouer une faiblesse particulière pour celui-ci. Peut-être parce que mourir à Venise, au pied de la Douane de mer, m’a toujours semblé la façon, sinon la plus enviable, le terme serait déplacé, du moins la plus aimable de quitter cette vie. Or, c’est de cette façon que l’auteur fait trépasser son narrateur dès les premières pages du livre. Après, c’est du Ormesson pur sucre. Jean d’O aime la vie, cultive le bonheur, il veut le faire savoir, et partager son plaisir.

« Le monde existe, lui dis-je. Et Venise aussi. C’est une ville construite sur l’eau qui est belle jusqu’à la douleur et qui fait rêver les hommes.. » Voilà ! Cela donne le ton. Ouvrir ce livre, c’est comme entamer une boite de chocolats : il y en a de très doux, d’autres avec une pointe d’amertume, certains agacent la langue, d’autres la surprennent, et la boite y passe tout entière sans qu’on s’en aperçoive.

Autre citation : « C’est bien fâcheux, dit A. Si le rapport n’est pas capable de parler de la vie, qu’est-ce que nous faisons là ? Nous racontons des histoires pour tâcher de livrer à Urql, par des chemins de terre qui serpentent à travers la campagne, une vague idée des hommes ». C’est à peu près ça : Jean d’Ormesson nous raconte des histoires sur l’humanité, la vie, Dieu et le temps. C’est bourré de culture, divertissant et, comme d’habitude, diablement intelligent.

Vous reprendrez bien un chocolat ?

Commenter  J’apprécie          21
Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit

Un parcours de vie et une réflexion sur la mort et l’amour qui m’a bien accroché.



Le style est très agréable, fluide et délicat. Dieu est présent, très présent. Sûrement un peu trop à mon goût mais rien de repoussant non plus.



À lire pour l’homme, délicat et fin. Et pour l’écrivain, subtil et tendre.
Commenter  J’apprécie          40
Je dirai malgré tout que cette vie fut belle

La vie n’est-elle qu’une illusion ? Dans cet ouvrage, Jean d’Ormesson s’intente un procès à lui-même, sous une forme autobiographique. L’intrigue se déroule dans un tribunal où la personnalité du romancier se dédouble pour une mise en scène originale entre son « haut-moi » (qui le juge) face à son « petit-moi » (qui est accusé).



Avec franchise mais aussi avec beaucoup de pudeur, il nous confie de nombreux souvenirs et événements liés à ses origines, sa famille, son enfance, ses choix universitaires, ses références littéraires, ses engagements amoureux, professionnels et politiques. Il excelle dans l’art de l’autocritique, sans ménagement parfois. Il nous fait souvent rire de ses maladresses, il nous parle de tout et de rien, de sa paresse, du temps qui passe, avec beaucoup de poésie et d’humour. Il fait preuve parfois d’une naïveté déconcertante. Il nous balade dans sa vie et arrive à nous embarquer à ses côtés pour un voyage intemporel et extraordinaire dans l’espace. Il nous entraîne avec lui, de manière très subtile, dans un tourbillon d’amour rempli de fraîcheur et de sincérité. A la fin de l’ouvrage, il nous délivre quelques pistes de réflexion sur le sens de notre existence, depuis la naissance jusqu’à la mort.



En guise d’épilogue, il s’épanche sur les bouleversements du monde, l’illusion de la vie et l’espoir de s’en remettre à Dieu avant le dernier voyage. Au final, l’accusé Jean d’Ormesson gagnera-t-il son procès ? A vous de le découvrir. Ce roman est fondant à cœur, il se laisse déguster et nous donne le goût du bonheur de vivre. A lire sans modération !
Commenter  J’apprécie          70
Guide des égarés

Un recueil de pensées remplit de sagesse mais assez hétérogène. J’adore d’Ormesson mais là certains thèmes comme l’histoire sont à éviter je pense car mauvais. Cependant, j’adore toujours autant la sagesse de d’Ormesson, et son écriture et toujours aussi belle. Certains passages sont à lâcher une petite larme
Commenter  J’apprécie          10
La gloire de l'Empire

Un beau jour, n’y tenant plus, relaps et inconscient, je me suis à nouveau jeté dans un roman, inventé d’un bout à l’autre et plus vrai que nature. Il allait avoir six-cents pages et commençait par ces mots qui me trottaient dans le cœur depuis des mois et des mois : « L’Empire n’avait jamais connu la paix… »

C’est ainsi que Jean d’Ormesson décrit lui-même la genèse de « La Gloire de l’Empire » dans ses presque-mémoires publiées en 2015 sous le titre : « Je dirais malgré tout que cette vie fut belle ».

C’est ce roman qui l’a installé dans son personnage de « grand écrivain national ». Après 4 livres sans succès, celui-ci allait enfin lui apporter la reconnaissance, la gloire, le Grand Prix de l’Académie, et son droit d’entrée au comité éditorial de la NRF.

Et c’était mérité. On revit dans ce livre le règne d’Alexis, héritier d’un empire gigantesque qui englobe la Méditerranée, quelques siècles avant ou après Jésus-Christ, c’est sans importance, comme l’écrit lui-même Jean d’Ormesson dans le livre déjà cité. Tout est faux, mais tout est familier puisque l’auteur nourrit son récit, en les adaptant, d’une foule de faits historiques réels tirés de la vie d’Alexandre le Grand, ou d’autres, tel le fameux banquet de « réconciliation » ou Théodoric, roi des Ostrogoths, égorge de ses propres mains son ennemi Odoacre, roi des Hérules, en 493, à Ravenne. Et c’est encore plus beau, parce que c’est faux. Napoléon ne disait-il pas que « l'histoire est une suite de mensonges sur lesquels tout le monde est d'accord ? »

Ce livre est un pastiche foisonnant, époustouflant de culture et d’érudition, un canulard littéraire parfaitement abouti, une mystification de génie. Un des plus beaux livres de Jean d’Ormesson, et probablement le plus original.

A lire et à relire.

Commenter  J’apprécie          30
Un hosanna sans fin

Ce livre est ma toute première lecture de cet auteur. En voyant les divers avis je m’attendais à être prise dans la lecture mais elle s’est révélée d’un ennui mortel.

L’écriture de l’auteur est certes agréable, mais les réflexions proposées sont presque vides et sans intérêt, il ne fait qu’enfoncer des portes ouvertes. J’ai lu jusqu’à la fin dans l’espoir que ça devienne intéressant… mais non.

Commenter  J’apprécie          00
Discours pour le droit à l'avortement - ''Vou..

Simon Veil une femme très importante dans la politique de notre pays. Pour notre culture personnelle, il est important de lire son discours car elle est à l'origine de la législation du droit à l'avortement en France. Très jolie parcours de cette femme surtout quand on connait son passé. Survivante des horreurs de la deuxième guerre mondiale, elle s'est battue pour les droits de la femme. Grande féministe.



Je pense que si l'occasion se présente, je vais lire son autobiographie Une Vie, qui a été mentionné lors de des différents discours. De plus cela permettra de connaître un peu plus cette femme est de savoir comment elle a réussis son parcours incroyable.
Commenter  J’apprécie          10
Je dirai malgré tout que cette vie fut belle

Le livre, débutant par une autobiographie de Jean d'Ormesson et se situant avant, pendant et après la seconde guerre mondiale permet de connaître l'auteur de ses amis, se réferences, m'a paru fastidieux à ce stade du récit.Beaucoup plus intéressantes à mes yeux sont les périodes gaullistes, pompidoliennes et giscardiennes et mitterandiennes que j'ai vécues .Ce sont des portraits sans complaisance de llui même et des grands de ce monde.: la mort de Pompidou en avril 1974 puis le premier choc pétrolier ...

L'ouvrage se termine par un feu d'artifice sur la fuite du temps et la condition humaine. Nous ne sommmes finalement pas grand-chose sinon rien . d'Ormesson nous la joue cash . Il nous précise ce qu'il croit. Cela n'est pas à mettre beaucoup dans les règles, les institutions, les solennités .Seul ce qui est éternel mérite un attachement sans restrictions.

Le monde étant un mystère, une espérance et un secret, peut on mettre sur le compte du hasard l'aventure de l'univers et la suite de l'histoire . L'auteur pense qu'il existe une puissance au delà de tout qu'il est convenu d'appeler Dieu.
Commenter  J’apprécie          00
Une autre histoire de la littérature française,..

JC'est un livre que je conserve, car il est toujours de bon usage. J'ai eu un regain d'intérêt pour ce livre après avoir regardé toute la collection des DVD de l'émission "Histoire personnelle de la littérature française", réalisée sous forme d'entretiens entre Jean d'Ormesson et Olivier Barrot. J'ai toujours eu de l'affection pour cet auteur si vif et agréable, qui aimait tant la littérature que, malgré les différences sérieuses d'idées politiques, il était ami avec Aragon et même Jean-Luc Mélenchon ! Jean d'Ormesson pratiquait à merveille l'art de la conversation, et s'il parlait de littérature, je ne pouvais pas m'ennuyer une seconde en sa compagnie.



Dans cet ouvrage, d'une facture assez classique, puisqu'il suit l'ordre chronologique, depuis les quatre chroniqueurs du Moyen Âge jusqu'à l'aventure de la NRF, en ponctuant ces 329 pages de chapitres sur des mouvements collectifs : le classicisme, les Lumières, le romantisme, le surréalisme et la N.R.F. En des chapitres assez brefs (de 5 à moins de 10 pages), il nous dresse des portraits d'auteurs, nous informe d'une manière souvent guillerette et optimiste, mais avec une sensibilité parfois mélancolique, ce mélange de légèreté et de profondeur sans avoir l'air d'y toucher qui lui allait si bien, à ce jeune homme aux cheveux blancs et au regard bleu, de tout ce qu'il faut savoir sur l'auteur - événements essentiels, formules intelligentes sur ses buts, son style, et avis d'autres auteurs sur lui.



Autant dire que vous n'êtes pas sorti(e) des grands auteurs si vous suivez ses traces : il jouait au modeste, mais il avait une culture incroyablement étendue, une érudition joyeuse, de passion contagieuse. Il est difficile de lire ses portraits de Rabelais, Molière, Racine, Montesquieu, Voltaire, Diderot, Balzac, Mérimée, Flaubert, Gide, Aragon, Queneau, et il faut en passer tellement, sans avoir envie de se plonger ou replonger dans leurs ouvrages. J'y ai retrouvé des auteurs que j'aime et connais bien, comme Balzac, Baudelaire, Hugo, d'autres que je n'ai pas eu l'occasion de découvrir, comme Paul Valéry, Paul Morand, Roger Martin du Gard, Simenon... J'ai le sentiment que, comme moi, il aimait particulièrement les classiques du XVIIème siècle, la "belle langue", les vers gracieux et réguliers, la comédie et la tragédie. À refermer son livre, je me dis que je n'ai plus le temps, il me reste tant de précieux livres que je ne connais pas encore.



Lire Jean d'Ormesson parlant de la littérature de notre pays, c'est renouer avec la flamme de la jeunesse, avec les enjeux et les fiévreuses recherches des poètes, suivre les soubresauts de l'histoire en train de se faire (autre domaine de connaissances que j'aime profondément), et combattre la "barbarie", à commencer par la désaffection de la jeunesse envers les livres et la prédominance des écrans, surtout le mode de lecture déroulant qui ne s'arrête sur rien.
Commenter  J’apprécie          40
Guide des égarés



Quelle claque!!! Aborder des sujets aussi difficile que le bien, le mal, la vérité ou même Dieu avec une telle "facilité"! Du grand art. Et que dire du style....magnifique, sublime. Bref mon premier D'Ormesson mais sans aucun doute pas mon dernier!!
Commenter  J’apprécie          10
Un hosanna sans fin

Un hosanna sans fin est un texte très court et le premier livre que je lis de l'auteur et autant dire que j'ai adoré. Son style poétique nous propose une réflexion, assez courte, sur la vue, Dieu, la mort, la technique et les sciences.

Toutefois, j'ai trouvé que le texte était un peu trop bref, dans le sens où j'avais l'impression qu'il manquait quelque chose, que l'auteur n'allait pas au bout des choses, une impression d'inachevé
Commenter  J’apprécie          20
Et moi, je vis toujours

Longtemps les conquérants eurent célébrations

Suivis par les penseurs, philosophes, érudits.

Naissance, vie et mort, leur civilisation

Muraille ensevelie, poussière puis oubli.



Le pinceau et la toile, du Tintoret la main

sublime la beauté, paysages et corps.

Travaillant sans arrêt, du soir au matin,

Peaufinant entités et somptueux décors.



La page blanche vole vers l'écrivain ardent

amoureux des beaux mots, jette sur le papier

poème, ode, balade, dictionnaire et roman

envahissent les villes comme les cavaliers.
Commenter  J’apprécie          40
La conversation

Une lecture fort sympathique qui m'a fait un trajet en train. C'est assez beau la façon dont Jean d'Ormesson fixe cet instant (fictif) où Napoléon Bonaparte déballerait son ambition suprême à son ami Jean-Jacques Régis de Cambacérès qui nous transporte dans les coulisses de l'épopée napoléonienne.

Une agréable lecture qui se finit d'une traite.
Commenter  J’apprécie          11




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jean d` Ormesson Voir plus

Quiz Voir plus

Jean d'Ormesson

Dans quelle ville Jean d'Ormesson a-t-il vu le jour?

Paris
Rio de Janeiro
Lyon
Bucarest

10 questions
79 lecteurs ont répondu
Thème : Jean d' OrmessonCréer un quiz sur cet auteur

{* *}