AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Jean des Cars (192)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


La saga des Romanov

Excellent livre. Essai historique se lisant facilement avec des anecdotes intéressantes. Permet d'apprendre beaucoup de faits historiques, surtout pour qui n' a pas une connaissance approfondie de la Russie tsariste. De plus, la dernière partie avec le sort tragique de Nicolas II nous en apprend beaucoup sur les derniers instants du Tsar et de sa famille. En résumé, très bon livre, bien documenté, se lisant plaisamment.
Commenter  J’apprécie          00
Élisabeth d'Autriche ou La fatalité

Une femme fascinante, attirante mais aussi inquiétante. Était-elle neurasthénique, fuyait-elle le monde de l'aristocratie pour mieux vivre ses passions dans des cadres enchanteurs, avec en plus une certaine bougeotte, car elle aimait beaucoup changer de lieu de séjour et finissait, semble-t-il, par s'ennuyer là où elle se trouvait ? Ayant le culte du corps pour lui-même et pour satisfaire son ego plus que par souci de la représentation au bras d'un époux auprès duquel elle n'était pas toujours ?

On a vénéré Elisabeth d'Autriche sous les traits un peu mièvres de la Sissi des contes de fée. Puis l'on a découvert la femme, avec ses qualités et défauts, sa personnalité, les répercussions des drames sur sa propre existence (folie de Louis II de Bavière, pour qui elle éprouvait de l'affection, car elle l'admirait ; drame de Mayerling où périt son fils Rodolphe de Habsbourg) ; intérêt qu'elle montra pour les destinées de la Hongrie dont elle contribua à faire un royaume associé à l'Empire d'Autriche, et dont les monarques furent son époux François-Joseph et elle-même ; ce que cette attention accordée de manière privilégiée à la Hongrie coûta aux autres peuples gouvernés depuis Vienne : tchèques, slovaques, yougoslaves, etc. plus ou moins ignorés ; et puis cette mort tragique en Suisse, à Genève, en 1898, sous les coups de poinçon d'un anarchiste excité.



Jean des Cars est un fervent admirateur de cette femme - et on le comprend - et il a su nous conter sa vie en nous faisant partager les coups de cœur qu'elle put avoir pour les êtres et les lieux qu'elle avait élus (passant sous silence toutefois les élans qu'elle eut pour d'autres femmes en qui elle cherchait peut-être un miroir où refléter sa propre image) et cette sorte de fatalité qui semblait la poursuivre et marquer sa destinée du sceau de la tragédie. Un très beau portrait, dont chaque page est belle. Un style limpide pour nous rendre sensible à l'histoire d'une femme qui eut à lutter pour se conquérir des espaces de liberté, pour se tenir loin d'une vie de cour qui l'ennuyait profondément. Elle préférait les relations interpersonnelles aux relations sociales imposées par les devoirs d'épouse d'un souverain, bien qu'elle s'y pliât parfois admirablement.



On est charmé et l'on compatit aux souffrances éprouvées par cette femme qui n'avait pas toujours les moyens d'affronter le malheur quand il se produisait dans sa vie. Ce livre est une réussite.



Francois Sarindar, auteur de : Lawrence d'Arabie. Thomas Edward, cet inconnu (2010)
Commenter  J’apprécie          240
Sissi, impératrice d'Autriche

Une biographie de l'impératrice d'Autriche très fournie mais aussi beaucoup de détails concernant les conflits entre l'Autriche et les autres pays européens. Ce n'est pas un 100 % Elisabeth au sens strict du terme.
Commenter  J’apprécie          10
Il était une fois l'Orient Express

Un train, immobilisé sur le parvis de L'Institut du monde arabe à Paris, image insolite pour retrouver une époque où luxe rimait avec vitesse et dépaysement.



Ce livre collectif est le complément d'une belle exposition sur ce train de légende qui conduisait ses riches occupants jusqu'à Constantinople, laissant en souvenir fascination, découverte et aventure à travers le monde arabe.

Un train qui fut à l'origine des premiers "touristes", avec la création des infrastructures nécessaires aux voyageurs dans les pays traversés: hôtels, liaisons automobiles, cartes routières, guides de voyages.

"Plus qu'un voyage, chaque étape était une immersion"



Pierre Loti rêva de ses "désenchantées"dans sa voiture-lit Art déco, Leopold II de Belgique y eut de coquins rendez vous avec Cléo de Mérode, Ferdinand de Bulgarie endossa le bleu de chauffe pour en prendre les commandes, Mata Hari en fit son quartier général de sulfureuse espionne, le président Paul Deschanel en tomba, trop penché à la fenêtre de son compartiment, errant en pyjama, de nuit, dans la campagne française...



En 1929, Le train resta bloqué plusieurs jours par une tempête de neige, obligeant ses occupants à chasser le loup quand les vivres se firent rares. Agatha Christie qui rejoignait souvent son mari archéologue en Irak, s'inspira de ce fait divers pour son célèbre "Crime de l'Orient Express".



Un train mythique du patrimoine français, qui méritait bien une exposition...et le livre associé.

Commenter  J’apprécie          232
Rodolphe et les secrets de Mayerling

Un mystère qui reste entier, les informations nouvelles sont très intéressantes et voit avec quel amour l'auteur raconte l'histoire de ce malheureux prince héritier.
Commenter  J’apprécie          00
La saga des Romanov

C'est l'ouvrage idéal pour découvrir la romanesque histoire de la dynastie des Romanov. A travers l'écriture on sent toute la passion de l'auteur pour son sujet, passion communicative et enivrante. Le récit est clair et nous transmet l'essentiel de ce qu'il faut savoir pour connaitre un monarque et la période de son règne. Tout cela en ajoutant un rythme qui nous entraîne irrémédiablement sur les bords de la Néva pour découvrir le tableau de cette famille jusqu'à sa fin si tragiquement connue.

On ne peut pas lâcher l'ouvrage et c'est un excellent moment de lecture qui nous permet d'aborder avec plaisir l'histoire trop méconnue des tsars de la Russie Impériale.

Commenter  J’apprécie          20
Le roman de Vienne

On en apprends beaucoup sur Vienne, mais le style n'est pas à mon goût.
Commenter  J’apprécie          20
Malesherbes : Gentilhomme des Lumières

Je ne l'ai pas encore lu, bien que je l'ai acheté.

Et si j'ai fait le choix de l'acheter, c'est que j'ai suivi une émission sur une chaîne historique, et que cette histoire d'un homme qui soutient le roi jusqu'à partager son sort (mourir par la guillotine) m'a semblé extraordinaire.

Cela prouve que l'amour l'emporte sur la haine, parfois, jusqu'à en mourir (il est bien écrit qu'il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie)... bien qu'on ne le souhaite à personne, d'en arriver là, et que pouvoir vivre sa vie tranquillement et de façon "normale" serait j'imagine le souhait à tous.

Alors pourquoi?

Et malgré l'Edit de Tolérance en faveur des protestants, ces derniers ont pour la plupart dû s'expatrier avec leurs richesses en Angleterre.

Alors pourquoi?

On va finir par se dire que la réponse est : "parce qu'on est con", comme le raconte Kamini dans une de ses chansons.
Commenter  J’apprécie          11
La saga des Favorites

Ces femmes de l'ombre ont partagé le destin des puissants d'Europe. Jean des Cars les met en lumière.


Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
Commenter  J’apprécie          00
La saga des Romanov

L'histoire des Tsars m'a toujours intéressée. Plus encore après la visite d'une exposition, à Liège (Belgique) sur Nicolas II et sa famille.



Le livre de J des Cars trainait depuis un moment dans ma PAL et, après la lecture du roman de N. Mailer (un château en forêt précédemment critiqué), la lecture de cette saga me semblait une évidence.

Pourquoi ? parce que Normal Mailer fait référence, dans son roman, à un évènement de la vie du Tsar de Russie et, lorsque je lis, j'aime vérifier la véracité de certains éléments.



Par rapport à cette saga : Excepté, parfois, quelques passages un peu long sur la stratégie militaire qui m'ont semblé un peu plus lourd, rien, dans ce bouquin n'est à jeter.



Voici une saga familiale passionnante, bien écrite, touchante. C'est hyper bien documenté. Quelques photos, au centre du bouquin, sont choisies de façon pertinente, amènent une vraie plus value au livre.

Au terme du livre, après donc la présentation de la dynastie Romanov, un chapitre explique le massacre de Nicolas Romanov et de sa famille, ainsi que les évènements qui ont permis la réhabilitation de certains protagonistes, et cette partie est vraiment intéressante et touchante.



En conclusion, je dirais que nous sommes ici en présence d'un tout bon bouquin pour les amateurs d'histoire et de surcroit c'est un livre qui donne envie de poursuivre et d'aller plus loin, soit dans la direction des auteurs russes ou dans la direction des auteurs "descendant" de la branche Romanov (Marina Grey, Michel de Grèce).



A lire sans tarder.
Commenter  J’apprécie          100
Petit dictionnaire amoureux des trains

Un fort beau voyage sur les rails du monde, d'hier et d'aujourd'hui. Si parfois les détails techniques nous perdent un peu, la somme de connaissances nous permet de voyager sans lassitude. Comme tout dictionnaire amoureux, il n'y a aucune objectivité (c'est le principe), mais cet essai reste passionnant.

Et il me tarde de lire les ouvrages historiques de l'auteur.
Commenter  J’apprécie          10
Rodolphe et les secrets de Mayerling

Voici un roman qui prenait la poussière depuis des années sur ma bibliothèque. J'ai saisi l'occasion de challenge Petit Bac d'Enna pour le sortir de l'étagère et le lire.

En plus de 500 pages, Jean des Cars ne se contente pas de retracer le drame de Mayerling où l'archiduc Rodolphe, héritier de la couronne impériale d'Autriche et royale de Hongrie, aura trouver la mort. Non. Il remonte jusqu'au mariage de Sissi, pourtant si jeune, à son cousin François-Joseph, déjà empereur. Ce mariage sera traumatisant pour tout le monde et façonnera forcément la personnalité du prince héritier. Car Sissi, assoiffée de liberté, fera tout pour lui donner une éducation la plus libérale possible.

Rodolphe était un personnage dérangeant : vivant, noceur mais dépressif, difficile à vivre et pourtant assoiffé de vie, il est à l'étroit dans son rôle de garant de l'empire, cette vieille machinerie immuable, alors qu'il désespère de pouvoir changer les choses. C'est un réformiste mal vu de son clan car il gêne la politique du pouvoir en place, allant jusqu'à avouer clairement son hostilité à l'Allemagne, par trop envahissante.

Au vu des multiples facettes de sa personnalité ainsi que des tensions politiques en Europe à ce moment là, il est difficile de savoir les causes de cette mort. D'autant que la Cour impériale sera à l'origine de plusieurs versions différentes et contradictoires.

Parfois, je me suis un peu perdue dans les entrelacs des relations politiques entre les différents pays, surtout que nous sommes à l'aube d'un jour nouveau : la fin des empires se profile, les tensions dessinent la guerre de 14-18 qui fera entrer l'Europe dans le XXe siècle, au prix de millions de morts. Mais l'ensemble est vraiment très intéressant. On voit se redessiner sous nos yeux un monde qui n'existe plus. Bien loin des paillettes et des romances niaises que nous avons tous en tête après avoir vu à la télé la trilogie des Sissi, chaque mot, chaque geste, a son importance : il ne faut froisser personne et garder un équilibre, fragile, entre les susceptibilités de toutes les populations qui constituent l'Empire.

J'ai particulièrement apprécié le fait que l'auteur effectue là un vrai travail d'historien : il ne prend pas parti, il ne fait que relever des faits, des témoignages, des incompréhensions et des impossibilités. Toutes les thèses (une 15aine) sont exposées et confrontées à la réalité des faits, et toutes apparaissent bancales à un moment ou à un autre. Suicide ? Attentat ? Histoire d'amour ? La seule chose certaine est que nous ne saurons jamais ce qui s'est passé à Mayerling. Et si vous aussi vous voulez en savoir plus, lisez ce livre !
Lien : http://nourrituresentoutgenr..
Commenter  J’apprécie          30
La saga des Romanov

Le récit rocambolesque de la dynastie des Romanov, de Ivan le Terrible à Nicolas II, le dernier tsar assassiné par les bolchéviques.

Ecrit dans un style simple et fluide, l’essentiel y est dit sans que le lecteur soit perdu dans une profusion de détails. L’auteur, journaliste et écrivain spécialisé dans les grandes familles aristocrates, ne cherche pas à placer toutes ses connaissances (travers nuisible assez répandu), et arrive facilement à nous transmettre sa passion pour le sujet. Le livre se dévore comme un polar avec une intrigue addictive, et du suspense même si l’on connaît souvent l’issue des faits. J’y ai appris une quantité de choses et ce livre m’a donné envie de m’intéresser plus en profondeur à la Russie, notamment avec les ouvrages d’Hélène Carrère d’Encausse.

Je me suis précipitée sur « La saga des Habsbourg » et « La saga des Windsor »du même auteur qui occuperont prochainement mes longues soirées d’hiver !
Commenter  J’apprécie          60
La saga des Windsor

Ayant beaucoup apprécié la précédente « Saga des Romanov » du même auteur, je me suis ruée sur le dernier opus de la série pour lézarder royalement pendant mes vacances. Malheureusement cette « Saga des Windsor » ne vaut pas beaucoup plus qu’un reportage de « Paris Match » ou une chronique de Stéphane Bern.

Je n’ai rien contre ce dernier, mais on attendrait un peu plus de consistance d’un livre à vocation historique. En tout cas c’est comme cela que j’avais appréhendé ce livre, ce qui était ma première erreur. Ma seconde était une ignorance de ma part : je pensais que la dynastie des Windsor remontait au moins jusqu’à la reine Victoria, et j’étais avide d’en savoir plus sur elle et la chronologie de toute la monarchie anglaise. Mais le nom de « Windsor » a été choisi et imposé par George V (fils de Victoria) au début du XXeme siècle pour remplacer le patronyme de « Saxe-Cobourg-Gotha », aux consonances trop germaniques pour le contexte de l’époque.

La lecture débute donc en 1917 et moi avec un sentiment de déception, qui à vrai dire perdurera jusqu’à la fin. Jean des Cars n’est pas un historien popularisant ses sujets à la façon d’Alain Decaux, c’est un journaliste, visiblement fasciné comme tant d’autres par les résidus monarchiques européens. L’histoire des monarques britanniques tourne vite au commérage de concierge, s’attardant sur des détails inintéressants (ce que leurs altesses royales ont mangé ou bien la malheureuse chute de cheval d’une princesse), en ajoutant des commentaires déplacés n’apportant rien au propos. Car Jean des Cars a la manie de donner son avis, l’air de rien, via des petites piques entre parenthèses ou de mauvaises figures de styles. Son parti pris patent en faveur de la famille royale en toutes circonstances en devient ridicule ; où est le recul du spécialiste ? L’auteur dissimule mal son admiration presque puérile pour les têtes couronnées. Ce n’est pas l’Histoire qui l’intéresse mais les petits détails de la vie quotidienne des monarques, le récit par le menu de leur emploi du temps, le nom des bateaux et des trains* avec lesquels ils voyagent, leurs toilettes, leurs inimitiés et leurs jalousies.

Quand il s’agit de parler de Diana, l’opinion de l’auteur rallie celle de la maison royale : c’est une agaçante manipulatrice qui a voulu voler la vedette à son mari en perturbant la quiétude du modèle impérial. Elle n’est que brièvement décrite, comme un personnage insignifiant, et aucune réflexion n’est menée pour comprendre pourquoi elle a obtenu une telle popularité, à la limite de la vénération, encore présente quinze ans après sa mort. Quant à l’assassinat de Lord Mountbatten par l’IRA dans les années 70, la victime est qualifiée de « héros sans précédent » et les activistes de l’IRA de « bastards » (en anglais dans le texte). Quelle caricature, et quelle facilité !

Le conflit nord-irlandais qui aura concerné plusieurs générations de rois anglais n’est d’ailleurs pas évoqué, hormis les événements de la seconde guerre mondiale, Monsieur des Cars n’évoque pas la politique, préférant se consacrer aux scandales de la couronne, et aux différentes réunions familiales, mariages et obsèques. Exception faite pour Churchill, qu’il semble aduler, les premiers ministres sont brièvement cités, même Margaret Thatcher n’a pas retenu son attention.

Le propos n’est en fait pas réellement ciblé, l’auteur a voulu raconter l’histoire des Windsor, certes, mais à quel point de vue ? Tout est mélangé, les événements sont tous rapportés avec la même importance, que ce soient des anecdotes futiles ou de réels bouleversements. On voit clairement les préférences du narrateur, consacrant le tiers du livre à George VI (le monarque joué par Colin Firth dans « Le discours d’un roi »), son frère le duc de Windsor, et son épouse Wallis Simpson, pour balayer ensuite en quelques dizaines de pages la monarchie des années 70 jusqu’à aujourd’hui. Il traite de politique à certains moments, pour ne plus en parler par la suite, et toutes les personnalités ne sont pas traitées avec le même intérêt. J’ai trouvé que le livre faisait office d’un fourre-tout, compilant des extraits de biographies faites par d’autres et des coupures du magazine « Life » ou du quotidien « Daily Mirror », organisés selon les intérêts propres de l’auteur, parsemés d’opinions personnelles inadéquates, et le tout rédigé dans un style journalistique très commun.



* Jean des Cars est aussi l’auteur de plusieurs ouvrages sur les trains, et il a la fâcheuse tendance à mélanger ses livres (quand il ne s’auto-cite pas).
Commenter  J’apprécie          30
La saga des Romanov

Un livre que je voulais lire depuis longtemps, j'ai pas été déçu du résultat.
Commenter  J’apprécie          30
Louis II de Bavière ou le roi foudroyé

Ludwig II, roi de Bavière du XIXé siècle, est quelqu'un de fascinant. C'est un roi qui ne s'intéresse que d'une façon très limitée à la politique. Il préfère assister aux opéras de Wagner et rêver d'être Lohengrin. Il construisit des châteaux magnifiques, notamment Neuschwanstein qui est rempli de peintures provenant de la mythologie allemande.



Jean des Cars parvient parfaitement à nous faire entrer dans la vie de ce personnage si solitaire, cousin de Sissi et adorateur de Louis XIV. Connu pour sa folie, en lisant cet ouvrage on s'aperçoit qu'il n'était pas aussi fou que ce que l'on dit. C'est un très beau livre pour un roi qui sera de tout temps soutenu par les bavarois.

Commenter  J’apprécie          20
Rodolphe et les secrets de Mayerling

Un véritable cours d'histoire sur la monarchie austro-hongroise de la fin du XIXème siècle avec tous les avantages du récit romanesque. On ne s'ennuie pas un seul instant.
Commenter  J’apprécie          40
La saga des Windsor

Passionnant!!
Commenter  J’apprécie          00
La saga des Romanov

J'ai lu cet ouvrage comme on lit un roman. J'ai beaucoup appris sur les tsars de russie. Entre autres qu'ils étaient souvent avant-gardistes et visionnaires mais qu'ils se butaient à la lenteur bureaucratique et à la corruption des différents paliers de l'état.



J'ai particulièrement apprécié l'analyse psychologique et sociale que Des cars fait de chaque souverain.
Commenter  J’apprécie          60
La saga des Romanov

Une dynastie au destin étonnant et tragique.
Commenter  J’apprécie          20




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jean des Cars (980)Voir plus


{* *}