Citations de Jennifer L. Armentrout (1524)
Bien sûr , Cam était déjà sur ses pieds, prêt à m'accompagner. je lui lançais un regard mauvais.
- Tu me suis ?
- Comme tout tueur en série qui se respecte , répliqua-t-il.
Il y a des tas de gens d’origines différentes que je n’ai jamais rencontrés et dont je ne sais rien. Cela ne signifie pas que j’ai le droit d’avoir des idées préconçues à leur sujet.
On ne s'en mêlera pas, mais si vous avez besoin d'aide, on sera là.
- Comme la bande de Scooby-doo, conclut Stacey avec le sourire. Mais en plus cool et sans le chien.
Putain de sa mère de Dieu en short, jura Daemon.
Je ne suis pas sûre qu'on dise vraiment ça, rétorquai-je
- Règle numéro un: interdiction de parler de la Défense.
[...]
- Règle numéro deux: on ne parle pas non plus de Dawson, ni de Will. Et règle numéro trois: on se concentre sur moi, parce que je suis formidable.
Mon nid de papillons laissa tomber le Red Bull pour se mettre au crack. J’oscillais entre envie de vomir et besoin de courir dans mon appartement comme une dingue
- Je t'aime.
Son regard s'assombrit, puis il m'embrassa jusqu'à ce que je sois prête à envoyer balader sa stupide lubie de " faire les choses dans les règles ".
- C'est tout ce que j'aurai toujours besoin d'entendre.
- Ces trois petits mots ?
- Rien que ces trois mots.
Parce qu’il fallait que tu saches que tout n’avait pas été un mensonge.
Je ne peux pas te perdre. Ni maintenant. Ni jamais.
Je me remis à faire les cent pas.
— C’était il y a plusieurs heures ! Il est presque 22 heures !
— Il va très bien, ma puce, me dit-elle en se levant. (Elle prit mes mains dans les siennes.) Ils sont d’abord passés ici avant de partir à sa recherche. Ils sont agaçants et ils posent beaucoup de questions, c’est tout.
— Mais pourquoi est-ce qu’ils mettent autant de temps ?
— Parce qu’ils adorent l’emmerder, et c’est réciproque, répondit Adam en faisant léviter la télécommande jusqu’à lui. C’est une relation dévorante.
Je ris faiblement.
Mes yeux se remplirent de larmes tandis que je me dirigeai vers la porte.
Puis, la vérité me frappa en plein visage.
Pendant tout ce temps, je m'étais démenée pour le repousser, pour lui faire comprendre que le lien qui nous unissait n'était pas réel. Et maintenant que je me rendais compte de l'étendue de ses sentiments, et des miens... Je le perdais.
- Au fait, je ne te l'ai pas dit tout à l'heure parce que je savais que tu ne voudrais plus de la robe.
- Quoi ? (je fronçais les sourcils.) Elle me fait de grosses fesses, c'est ça ?
Elle éclata de rire.
- Pas du tout. Elle te va comme un gant.
- Alors, c'est quoi le problème ?
Son sourire se fit espiègle.
- Oh, le rouge est la couleur préférée de Daemon, c'est tout.
Au cœur du jardin de la Reine, je vivais le moment présent au lieu de me laisser emporter par le tourbillon du passé et du futur emplie de "et si ?".
La mort trouvait toujours un chemin.
- La peur et la bravoure vont souvent main dans la main. Elles font de toi un combattant ou un lâche. La seule différence, c'est la personne que tu es réellement à l'intérieur.
- Je m'appelle Dee Black. Je suis la soeur de ce crétin, plus connu sous le nom de Daemon. (Elle afficha un grand sourire.) Mais tu le sais sûrement.
- Que c'est un crétin ou qu'il est ton frère ? demanda Archer d'une voix innocente. Dans tous les cas, la réponse est oui.
Vous avez vraiment cru que vous pourriez m'arrêter ? [...] Je mettrais le monde à feu et à sang pour elle !
- Devine quoi ?
- Quoi ?
- Je suis allé voir ton blog.
Oh, mon Dieu ! Comment l'avait-il trouvé ? Attendez une minute. Le plus important, c'était qu'il était tombé dessus. Mon blog apparaissait dans les recherches Google ? C'était absolument génial. Mieux que ça, même.
- C'est pire que du harcèlement sexuel. Est-ce que je dois porter plainte ?
- Dans tes rêves, Kitten. (Il eut un sourire suffisant.) Ah non, j'y suis déjà, pas vrai ?
Je levai les yeux au ciel.
- Dans mes cauchemars, Daemon. Mes cauchemars.
— Tu es fou, murmura-t-elle contre mon cou. Tu es complètement fou mais je t’aime. Je t’aime tellement. J’aurais préféré que tu restes loin d’ici mais je t’aime.
Je fis courir mes doigts le long de sa colonne vertébrale, jusqu’au bas de son dos.
— Je ne me lasserai jamais de l’entendre.
Elle se pressa un peu plus contre moi, les doigts enfouis dans mes cheveux.
— Tu m’as tellement manqué, Daemon.
— Tu ne sais pas à quel point…
Les mots me firent défaut. Me retrouver en sa présence après une aussi longue séparation était la plus agréable des tortures. Chaque fois qu’elle inspirait, je le sentais dans tout mon corps, certaines parties plus que d’autres. Ce n’était pas du tout le moment, mais elle m’avait toujours fait un effet incroyable. Et ça, c’était plus fort que le bon sens.
Elle recula légèrement pour me regarder dans les yeux, puis franchit de nouveau la distance qui nous séparait. Son baiser fut à moitié innocent et à moitié passionné. Parfait, en somme. Lorsqu’elle pencha la tête sur le côté, je raffermis ma prise sur sa nuque et la tendresse se mua en quelque chose de beaucoup plus fort. J’approfondis le baiser et le nourris de toutes mes peurs, de tous ces instants que nous avions passés loin de l’autre et de tout ce que je ressentais pour elle. Le gémissement qui lui échappa m’ébranla, et quand elle se mit à onduler contre moi, je crus devenir fou.
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Kat se trouvait entre les mains du Dédale depuis trente et une heures et quarante et une minutes.
Chaque seconde minute et heure qui passait me rapprochait un peu plus de la folie.