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Critiques de John Norman (30)
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Le cycle de Gor, Tome 2 : Le banni de Gor

Norman John. Le Banni de Gor. Tome 2. 1967. J’ai Lu 1992. 317 p. 3,5 étoiles.

Dès les 1ères pages, la magie opère. Non exemptes de pertinence, de finesse.

Par contre je n’ai pas trop aimé la disparition de Ar… Pourquoi ? Qu’est-ce que » cela apporte ?

C’est un choix d’écrivain mais j’ai immédiatement eu le sentiment que cela appauvrirait le récit. La lecture du tome suivant me le confirmera…

Quelques exemples de bonnes choses

Chap 2 : le retour à Gor est touchant.

Chap 3 : une plante carnivore bien sympathique

Chap 4 : un des secrets des prêtres-rois de Gor est révélé….

Chaque chapitre amène 1 ou plusieurs découvertes et c’est bien agréable !

Cela reste de la Fantasy bien sûr. Rien a attendre ici sinon du délassement mais c’est bien fait avec de l’action, de l’amour,… Des trouvailles à la pelle.

Et ce jusqu’au chap 15 yc.

Après, l’auteur fait passer son héros pour un crétin. Par excès de confiance. Ce n‘est pas la première fois (lire tome 1), mais là cela devient exagéré, « incohérent » (par rapport au monde de Gor, à sa vie sur « Terre » aussi,…)

Du coup, Tarl est envoyé aux mines et enfermé au foind du trou. Et il souffre atrocement…Ben tiens, quand on est con…

Il arrive à s’échapper de la prison avec ses 10 camarades crevant de fin depuis des mois, enchaînés à lui, et faisant chacun l’effort de grimper à la queue leu leu dans un puits de ventilation étroit et grillagé. Puis faire sauter la grille en fer par la force de ses muscles pour échapper à la noyade…

J’ai beau m’imaginer l’action, même avec une force décuplée… c’est une absurdité. Sans autre explication de l’auteur (ex. : « la grille est pourrie », « chacun a pris des amphétamines »,… : n’importe quoi, je suis prêt à tout accepter de moyennement cohérent…).

Donc vu la répétition d’absurdités, le récit devient INCOHERENT. Et j’y suis très sensible.

E fait, sans le vouloir, mon cerveau extrait mon cœur du plaisir de l’immersion de la lecture et de la fantaisie … C’est le même effet qu’un sevrage brutal (de sucre, de chocolat,…) 😊

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Le cycle de Gor, Tome 3 : Les prêtres-rois de..

Norman John. Les prêtres roi de Gor - tome 3. 1968. J'ai Lu 1992. 383 p. 2 étoiles.

La qualité du récit, l’inventivité, l’intérêt diminue imperceptiblement, de tome en tome.

La trame est toujours la même : les femmes sont esclaves des hommes. Et le héros libère celle qui a la chance de croiser son chemin.

Pas de suite, car il est un peu bourru. Donc il lui fait bien comprendre qu’elle est une esclave…Mais à partir de la p. 100, il est touché par la détresse de la dame, et il fera tout (et ce n’est pas peu !) pour la libérer du joug…

Petite touche d’érotisme dans le tome 2.

Mais ici, rien ne se passe ou presque avant la page 70. J’arrête là. Je me procurerais le tome 4

« Les assassins de Gor » pour voir si l’auteur reprend la barre en main…

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Le cycle de Gor, Tome 1 : Le Tarnier de Gor

John Normann. Le Tarnier de Gor. 1967. J’ai Lu 1992. 316 p. 4,5 étoiles.

J.N. a écrit 45 romans dont 38 composent…le cycle de Gor.

Il s'inspire de Edgar Rice Burroughs, le créateur de Tarzan dont de mémoire les tomes évoluent vers la Fantasy (je les ai en bibliothèque, je devrai les relire…).

« L'aspect le plus controversé de ce ce cycle de Gor est la condition des femmes de la société goréenne, systématiquement (ou presque) esclaves des hommes et devant satisfaire tous les désirs de ces derniers. Cet aspect du rôle des femmes se retrouve dans l'œuvre sous forme de nombreux passages décrivant soit les règles qui leur sont imposées soit une justification philosophique de cet état de fait. En effet, selon Norman, les femmes sont naturellement prédisposées à obéir aux hommes, et peuvent trouver le bonheur en acceptant cette situation.

C'est justement cet aspect volontairement machiste du cycle de Gor qui a provoqué la censure du cycle lors des années 1980-90 et qui par opposition plaît à certains groupes sado-masochistes. » Wiki.

A mourir de rire. Gor est aussi violent avec les femmes…qu’avec les hommes. Et elles ne se laissent pas faire (en tout cas pas dans ce 1er tome).

Connexion avec la nature, les plantes, les animaux sauvages terrifiants, dont certain rapace peuvent être domptés et « montés », à vos risques et périls…

On est dans le genre purement Fantasy.

Et face à une œuvre mémorable : un cycle de … 38 romans !

Dans celui-ci on trouve surtout une critique acerbe de cette catégorie de prêtres-religieux…qui prêchent le respect du dogme et abusent de la torture et du bûcher (inspirés de l’ Inquisition ?).

L’Inquisition prête à renaître de ses cendres au XX ième s. ? (NON ! Mais voir le NB en fin de critique 😊)

Un ordre de religieux goréens qui parlent forts quand ils sont épaulés par un pouvoir autocratique. Mais qui se révèlent terriblement lâches quand les ennuis, e.a. les troupes de la Cité ennemie montrent le bout de leur nez…

Cela se lit comme du petit lait. De l’action, de l’aventure, et un héros humain et … bon avec les femmes et en particulier avec l’héroïne. Des traîtrises (quelques fois elles n’en ont que l’apparence), de l’humour, de belles émotions...J’ai beaucoup aimé

N.B. « À l'exception des États pontificaux, l'Institution (de l’Inquisition) a été abolie en Europe au xixe siècle. Le pape Pie X l'a remplacée en 1908 par la Sacrée congrégation du Saint-Office. Le pape Paul VI a remplacé en 1965 le Saint-Office par la Congrégation pour la doctrine de la foi, qui a fait prévaloir sur l'aspect punitif de la condamnation l'aspect positif de la correction de l'erreur, et de la préservation de la foi. ». Wiki.





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Le cycle de Gor, Tome 1 : Le Tarnier de Gor

Le monde de Gor est un vaste univers développé depuis le début des années ’60 par le docteur en philosophie John Norman. Dans ces chroniques (37 tomes à ce jour, le dernier en date publié en 2022, mais seuls les 16 premiers furent traduits en français), l’auteur revisite le pulp à la mode d’Edgar Rice Burroughs. Son héros, Tarl Cabot, est un substitut de John Carter qui, au lieu de se retrouver sur Mars, échoue sur l’anti-Terre, autrement dit Gor. Là il découvre une société composite empruntant à l’Empire romain, au Moyen-âge, aux Vikings mais régie par des notions de castes très importantes. Le roman prône aussi un machisme absolu puisque sur Gor les femmes sont uniquement considérées comme des esclaves toujours prêtes à obéir à l’Homme.



LE TARNIER DE GOR, premier bouquin du cycle, présente donc ce monde pas si mal imaginé et plutôt cohérent avec ses croyances, lois, obligations, code d’honneur et de chevalerie, etc. Evidemment, cette vision est particulière, il ne manque souvent qu’un morceau de Manowar en toile de fonds pour s’immerger dans ce Planet Opéra désuet. Ou pas. En effet, depuis quelques années, des groupes de fans apprécient tellement la philosophie « goréenne » qu’ils tentent de la transposer dans le monde réel, avec des principes sado-masos hérités des romans. On ne peut donc balayer d’un revers de la main l’importance de ce cycle pourtant convenu, aujourd’hui plus connu pour ses scènes érotico-sm (esclavage, bondage, viol) encore peu présentes dans ce premier tome mais qui deviendront plus fréquentes ensuite, la série versant (selon les connaisseurs) dans le « porno pulp » à partir du tome 8 ou 9.

L’écriture n’est pas mauvaise (quoique redondante), l’intrigue possède suffisamment d’action pour dépayser le lecteur et l’ensemble devait être plaisant à lire pour les adolescents de l’époque, entre une partie de Donjons & Dragons, un bouquin de Conan et un film érotique visionné en cachette. Aujourd’hui qu’il existe une pléthore de romans de Fantasy (et même d’Erotic Fantasy), l’intérêt de lire ou relire cette saga s’est bien estompé. Si ce premier tome est, dans l’ensemble, plaisant, il ne donne pas suffisamment envie de poursuivre l’aventure alors que trop de livres similaires (et plus intéressants) sont à présent aisément disponibles.


Lien : http://hellrick.over-blog.co..
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Le cycle de Gor, Tome 5 : Les assassins de ..

Je commence avec cette citation , « Relius regardait Virginia ; du bout des doigts, il lui leva le menton et, pour la première fois, ses grands yeux gris et timides rencontrèrent son regard. » . Bon , voilà le topo !

Tout est dit non ? Je me suis fait avoir par la magnifique couverture de l'édition opta . Je ne regrette pas de la posséder , car cette couverture au contraire du bouquin , est superbe .

Elle mérite de rejoindre les plus envoutantes couvertures parmi les publications du genre.

Sinon j'ai un scoop, Gor est loin dans un univers imaginaire .Mais attention en fait selon l'auteur , elle tourne comme la Terre autour de notre soleil. Elle est donc suffisamment loin de nous , heureusement !

Mais il faut quand même faire gaffe car elle n'est pas si loin en fait .

Ce roman fait partit d'un genre littéraire hyper sentimental et hyper misogyne sur les bords, surtout quand les femmes sont esclaves et belles . Elles sont systématiquement belles et très souvent esclaves évidement.

J'ai eu du mal. Mais : franchement , c'est correctement écrit , avouons-le . le pari de l'auteur était risqué , car il a osé prendre le risque de donner de très nombreux dialogues.

Sinon , j'ai également beaucoup rigolé aussi ! Mais bon , je ne vais pas faire ma « hyène haineuse » et me moquer de ce texte « hyperlove », sourires .

Je ne vais pas dévoiler l'intrigue mais l'univers est fonctionnel . La société est bien de nulle part . Elle a certes un héro un peu long à la détente , avec aussi une misogynie gentille et flamboyante et plein de femmes objets sur les étagères.

Cela me brule de commettre un jugement de valeur et un attentat en même temps , en mettant deux étoiles . Mais non , car c'est assez bien écris et l'univers est consistant.

Les personnages ne sont pas doués ,mais à leur décharge avouons que Gor est un rude monde . Heureusement il y a plein de belles esclaves ( je blague) .

Je baptise ce genre le genre : « HYPERLOVE » ( je blague aussi ).

Un texte douteux sur le fond. Si on le réédite, je manifeste.

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Le cycle de Gor, Tome 1 : Le Tarnier de Gor

Un univers original et plutôt crédible mais un héros banal. Beaucoup de créatures imaginées et de mots inventés au profit de la fantasy, ce qui me plaît. Un système de castes qui tient la route. Je pourrais croire à l'existence de cette Anti-Terre, Gor. Le machisme est totalement assumé et en toute honnêteté, ce sont bien les rites goréens qui m'ont menée à la lecture de ce livre.



Pourtant, les informations manquent. On ne comprend pas très bien pourquoi Tarl Cabot a été envoyé sur Gor ni par quel procédé. Un peu de magie ou une explication vraisemblable aurait pu aidé à nous éclairer...



Mon côté aventurière m'a donné beaucoup plus envie d'apprendre à chevaucher les tarns avec la caste des guerriers qu'autre chose... Néanmoins, ces rituels goréens sont plaisants à lire.



La traduction n'est pas terrible. On sent rapidement que le livre n'a pas été écrit par un Français. Le vocabulaire est pauvre du début à la fin et les phrases pas toujours bien tournées.



A ceux qui s'attendent à lire une oeuvre érotique comme moi, détrompez-vous! C'est bien un roman de fantasy/SF avant tout.
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Le cycle de Gor, Tome 1 : Le Tarnier de Gor

J'ai adoré à 20 ans,

Je me suis interressé aux ethnies et coutumes de cette anti terre à 30 ans,

Je l'ai relu pour me rappeller l'histoire à 40 ans,

Je relis encore ce cycle aujourd'hui.

Classique peu connu en Europe j'ai l'impression, décrié pour son thème : gros héros costaud, belles femmes esclaves, cela reste une fable n'en déplaise aux féministes.

La qualité du cycle est un peu inégale mais on se dit quand même qu'il fallait oser et l'auteur le fait. Le héros passe de demi dieu et peut tout perdre dans le volume suivant. Sur cette planète Gor, la vie est dure, violente, mais l'auteur y place une critique de notre société cocon. Sur terre tout est entre le gris clair et le gris foncé, sur Gor, tout est plus éclatant, la vie, les sentiments, la mort. Ici les différences entre hommes et femmes sont gommées pour que tous nous soyons des unités de production, des robots humains. Sur gor les hommes se battent pour une cité, leur honneur,une femme.

Je trouve dommage que les ligues de la Morale actuelles s'insurge contre une oeuvre de fiction quel qu'elle soit



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Le cycle de Gor, Tome 3 : Les prêtres-rois de..

Pas mécontente d'en avoir terminé avec ce bouquin.



Je l'ai trouvé à la fois un peu plus original que les autres et à la fois plus long à lire. Peut-être parce que je commence à me lasser du style de l'auteur. Même si nous avons droit ici à une meilleure traduction, ce n'est quand même pas très bien écrit.



Les quelques descriptions sont parfois confuses et je n'ai pas bien compris pourquoi et comment les fourmis-prêtres-rois se mettaient tout à coup à avoir des armes technologiques hyper puissantes dans cet univers assez archaïque. Je dis fourmis car par moments, j'ai eu l'impression de me replonger à Fontainebleau, dans la fourmilière de Bernard Werber avec le système des odeurs dont se sert la colonie pour communiquer.



A chaque fois que le héros rencontre une esclave, elle tombe amoureuse de lui et il en fait une femme libre. Pour moi, cela tombe dans la redondance et c'est peut-être là que commence le machisme: croire qu'avoir des muscles et être beau, c'est suffisant pour faire chavirer le coeur des femmes. Et superman qui réussi toujours tout ce qu'il entreprend et sort victorieux de n'importe quelle situation, ça me gave.



Néanmoins, je ne tire pas ma révérence pour autant. J'ai d'autres attentes en ce qui concerne cette saga. On verra si la suite s'améliore mais je vais attendre un moment avant de me procurer le tome 4.
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Le cycle de Gor, Tome 4 : Les nomades de Gor





Ce tome, plus que les autres, me fait penser à un rêve, de par la succession d'événements simples dont on devine aisément l'issue, mais pour lesquels on se prend au jeu de les vivre tout de même jusqu'au bout, sans regret au final (pour ma part).



La forme de mysoginie, qui m'a tout d'abord interrogé dans le 1er tome, me transparaît de plus en plus comme une forme d'humour, certes polémiquable, qui me plaît dans son côté tout à fait assumé et décomplexé de l'auteur. La mysoginie me semble être l'élément qui transpire le plus cet humour, mais n'en est pas l'unique révélation, rien que par le parti bien pris dans la description de nombreuses scènes, où l'horreur de certains événements est significativement minimisé, tandis que des faits plus insignifiants sont magistralement exagérés.



Et j'aime le caractère caricatural de ce monde imaginé, qui appuie d'autant plus la classique identification du Bien et du Mal par les limites, certes extraordinairement farfelues, des codes d'honneur ou des principes à ne pas dépasser notamment dans chaque caste.



Une écriture simple, sans grandes descriptions, qui laisse une grande place à l'imagination du lecteur.



C'est exagéré, c'est caricatural, c'est gentiment clivant, ça vient jouer avec nos sensibilité contemporaine ...



C'est particulier.



J'apprécie.
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Le cycle de Gor, Tome 2 : Le banni de Gor

Deuxième tome d'une saga pour laquelle j'avais (et ai toujours) beaucoup d'attente.



C'est bien pour la philosophie sous-jacente de l'oeuvre qu'on m'avait recommandé cette fiction et pour cette raison également que j'en poursuis la lecture car je me lasse très vite des héros qui réussissent tout ce qu'ils entreprennent. Cela enlève tout le suspense de l'histoire et rend les actions inutiles.



Tarl Cabot se retrouve désormais au pays des Dominas où il est assujetti de force. Un esclave rebelle et indomptable, qu'il faut frapper à plusieurs reprises pour pouvoir mettre à genoux. Il va ensuite devenir chef des esclaves, les mener tous à la rébellion, car il est un peu plus intelligent que les autres, et........... parvenir à remporter le combat. Bof bof. Je n'ai pas trop aimé le contenu de ce volet. Trop classique et attendu. Il y un côté Marvel à ces bouquins, style Slave-Man.



La traduction n'est pas meilleure pour ce tome ci.
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Le cycle de Gor, Tome 1 : Le Tarnier de Gor

Si vous avez aimé le film "Conan le Barbare", vous devriez apprécier ce cycle qui mèle les combats de guerriers à l'arme blanche, l'amitié virile, la lascivité des femmes esclaves, ainsi que les inévitables traitrises et renversements de situation qui font les bonnes histoires.



C'est de l'aventure pure et dure dans un environnement sans technologie (ou si peu) et donc propice à vivre la vie héroïque de Tarl Cabot, guerrier devant affronter maintes difficultés pour arriver à ses fins.

J'ai apprécié avec beaucoup de plaisir la qualité des descriptions de la vie des guerriers dans ce monde de Gor tout en force et loyauté.



Un des gros défauts de cette aventure est la misogynie de l'auteur qui se complaît en peu trop souvent à vouloir prouver que les femmes sont toutes des esclaves de plaisir en puissance et qu'il ne leur manque que de "vrais" hommes pour leur prouver (sic !). Cela oblige parfois à endurer de longs paragraphes inutiles et répétitifs où des femmes disent aimer être esclaves et 2 tomes qui ne parlent que de ça (le 7 et le 11 qui peuvent être évités). Il y a également une certaine facilité dans la valeur des nouveaux amis de Tarl Cabot, mais bon, cela n'empèche pas (loin de là) de savourer ses aventures.
Lien : https://www.yfolire.net/sf/c..
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Le cycle de Gor, Tome 5 : Les assassins de ..

Salut les Babelionautes

Malgré la pauvreté de l'oeuvre de John Norman j'ai pris du plaisir a me replongé dans le Cycle de Gor avec ce cinquième tome.

Au début je fus surpris par l'annonce de la mort de Tarl Cabot, mais ce n'était qu'une feinte afin de démasquer un complot dirigé par les Autres aidés en cela par certains Humains cupides et avides de pouvoir.

A lire le cheminement de l'intrigue on se demande si notre Héros n'est pas un peu stupide, car si lui ne voit pas plus loin que le bout de son nez, il est facile de comprendre qu'il se fait berné par tout un tas d'individus.

Et bien entendu, malgré tout ce qui lui tombe sur le râble, il va s'en sortir presque sans une égratignure.

C'est plaisant mais pas transcendant, je vais continuer ma lecture de cette Saga qui a quand même mal vieillie.

Cette fois ci, c'est Daniel Lemoine qui s'est chargé de la traduction, je l'en remercie avant de repartir sur la planète Gor, ou les Femmes sont toutes belles et esclaves, un fantasme d'homme que j'assume pleinement.
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Le cycle de Gor, Tome 4 : Les nomades de Gor

Salut les Babelionautes

Avec ce tome quatre du Cycle de Gor, John Norman continu dans la même veine, mais je ne comprend pas pourquoi a ma première lecture javais adoré cette Saga, peut être par ce que à l'époque ( il y a plus de quarante cinq ans) ma libido me travaillait.

Quand je compare a ce que j'ai lu de mieux depuis, cela reste faible comme fantasy, même si j'ai adoré le concept d'une planète caché par le Soleil.

De plus dans ce tome, Tarl Cabot est a la recherche d'un mystérieux œuf, et même si je n'avais aucun souvenir, j'ai compris de suite ou il était caché.

Sinon cela reste plaisant a lire, si on fait abstraction de la condition des Femmes.

Cette fois encore c'est Bruno Martin qui a traduit ce tome, merci.

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Le cycle de Gor, Tome 3 : Les prêtres-rois de..

Salut les Babelionautes

Ce tome trois du Cycle de Gor est dans la même veine que les précédant, avec toutefois l''introduction dans le récit d'une espèce Extraterrestre.

John Norman a écrit ce Cycle dans les années soixante dix et cela se ressent, pour ma part a l'époque j'avais bien aimé mais depuis j'ai lu beaucoup d'Auteur des littératures de l’Imaginaire, et à côté cela semble pauvre.

Je vais continuer cette Saga mais en intercalant d'autres lectures, j'ai une PAL monstrueuse, et Au-delà de la lumière, un livre reçus en SP par Babelio.

Cette fois c'est Bruno Martin qui c''est chargé de la traduction et je l'en remercie.
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Le cycle de Gor, Tome 2 : Le banni de Gor

Salut les Babelionautes

Cette Saga de John Norman que j''ai lu il y a plus de cinquante ans a laissé peu de trace dans ma tête, tant est si bien qu'il me semble la découvrir.

Alors oui, c'est une vision de la femme qui va faire réagir toutes celles qui liront mon avis, mais qu'importe, ce n'est qu'une fiction.

Sept longues années ont passées depuis que les Prêtres Rois ont ramenés Tarl Cabot sur la Terre.

Mais ils n'en ont pas finis avec lui et il est une fois de plus transporté sur Gor, s'attendant a retrouver sa compagne dans la ville libre de Ko-ro-ba, une cruelle désillusion l'attend, sa cité a disparu.

Sur Gor, un guerrier sans cité est considéré comme un brigand, c'est donc la rage au cœur qu'il va entreprendre un voyage vers les Monts Sardar, ou réside selon la légende, les Prêtres Roi.

Mais sa Vengeance devra attendre car sur son chemin se dresse la cité de Tharna, ou le modèle de gouvernement est matriarcal, chose rare sur une planète ou les femmes sont plus souvent esclaves que libres.

Après bien des mésaventures, dont il sortira sans problème, il va encore une fois changer la destinée de toutes la population de Tharna.

Alors oui, l'intrigue est légère et on comprend vite qui sont les méchants, mais c'est de la lecture facile, sans prise de tête et moi j'ai bien aimé.

Merci a Arlette Rosenblum pour son travail de traductrice.
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Le cycle de Gor, Tome 1 : Le Tarnier de Gor

Salut les Babelionautes

Voila une Saga que j'avais envie de relire presque cinquante ans après ma première lecture, dans les années soixante dix.

Le Cycle de Gor, de John Norman, fait la part belle au Machisme, mais quand on a 18 ans, l'age que j'avais, on s'imagine dans la peau de Tarl Cabot entouré de belles femmes esclaves.

Maintenant à soixante cinq ans, je m’aperçois qu'il montre une image de la Femme qui la dégrade, mais cela ne m’embête pas car ce n'est qu'un livre.

De toutes façons il y a d'autres Auteurs qui mettent les femmes en esclavages dans leur récits, je n'ai pas de noms qui me viennent a l'esprit pour l'instant.

Donc l’hypothèse de départ c'est qu'il existe une planète parfaitement alignée avec la terre cachée par le Soleil.

Sur cette planète nommée Gor, existe une humanité qui est soumise a l'autorité des Prêtres Roi, on apprend simplement qu'ils disposent d'une technologie Extra-terrestre mais qu'ils empêchent toute évolution technique autre que celle des armes Blanches.

Donc notre Héros, qui a la base n'est qu'un simple professeur, se retrouve transporté sur Gor ou il va devenir un Guerrier.

Sa destiné va lui faire affronté bien des dangers dont, bien sur, il sortira victorieux.

la fin du roman le voit revenu sur Terre, en proie à une profonde mélancolie due pour une grande part a celle qui a fini par devenir son épouse sur Gor.

Merci a Arlette Rosenblum qui c'est chargé de la traduction de trois tome de cette Saga, le un, le deux et le sixième pour ensuite laissé le soin de la traduction a Bruno Martin pour deux tomes et David Lemoine pour les autres a partir du tome sept.
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Le cycle de Gor, Tome 1 : Le Tarnier de Gor

Rarement lu un livre aussi misogyne. C'est choquant. Vraiment. Et la lecture est insupportable. Un rabaissement continue de la femme.

Je ne souhaite pas m'étendre sur ce livre... juste... évitez cette lecture désagréable.

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Le cycle de Gor, Tome 6 : Les pirates de Gor

Salut les Babélionautes

Pour valider l'Item 88 du Challenge SFFF, j'ai choisi de relire le Tome 6 du le cycle de Gor, de John Norman Les pirates de Gor que je possède.

Le Cycle de Gor est une Saga de 15 tomes que j'ai lu pour la première fois dans les années 80 avec une manière de traitée le Sexe dit faible qui ferait monter au créneaux toutes les Féministes.

Donc l'hypothèse de départ est qu'il existent une planète de plus dans notre système Solaire et sa particularité est quelle reste toujours cachés par le Soleil.

Déjà cette idée est fabuleuse mais je pense peu crédible a cause des forces gravitaires qui régissent les orbites planétaires.

Donc notre Héros parti camper, seul, dans les montagnes du New Hampshire trouve une enveloppe métallique, d'un bleu phosphorescent, il l'ouvre et à l'intérieur, quelques mots de mon père : Ton destin est fixé et tu n'y échapperas pas...

Et il se réveille sur Gor, aussi nommée l'Anti-Terre, Planète des Prêtres-Rois, des scribes, des assassins et des femmes esclaves...

Monde à nul autre pareil, où les tarns, faucons géants, servent de monture aux guerriers...

Il deviendra un combattant goréen, un Guerrier, monté sur son tarn, un faucon géant.

C'est le début d'une Épopée qui lui fera vivre des Aventures extraordinaires

A l'époque ou je les ais lus pour la première fois, j'avais bien aimé, et plus de trente après, j'aime encore.

Une oeuvre envoûtante, traduite avec brio par Arlette Rosemblum, tant par la découverte de ce monde que par le style narratif utilisé. Chaque livre est prétexte à décrire une population particulière de la planète et à soulever une partie du voile.

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Le cycle de Gor, Tome 5 : Les assassins de ..

J'avoue, j'y ai cru... Le livre démarre en focalisant l'attention du lecteur sur un autre personnage que Tarl Cabot qu'on suivait depuis le début. L'histoire est décrite par un narrateur extérieur et on ne doit plus endurer cette écriture en "je", puérile et médiocre sous la plume d'un auteur littérairement faible comme J. Norman.



On nous annonce que le personnage principal est mort - surprise! - et que l'assassin - visiblement le nouveau personnage principal - est là pour le venger. Oh mais, quoi? Un vrai rebondissement, une vraie surprise?? Miracle...



J'y ai cru, donc, et me suis dit que ce tome pourrait être un tournant dans la série.

Mais non.



Le héro, omniscient, omnipotent, toujours frais, toujours fort et brave, Monsieur Parfait n'est pas mort et c'est lui qui a endossé le déguisement de l'assassin. Cette révélation arrive beaucoup trop tôt dans l'histoire et l'effet tombe à plat comme un soufflé raté. Et, comme si cette déception n'était pas suffisante, à l'instant où le lecteur s'en rend compte, l'écriture en "je" redémarre et le récit redevient pareil à lui-même, c'est à dire médiocre et plat.



Je jette l'éponge.
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Le cycle de Gor, Tome 4 : Les nomades de Gor

Au crédit de l'auteur, il faut dire que son niveau littéraire s'améliore un peu à chaque tome. Les choses sont mieux amenées, mieux expliquées et l'expression en "je" qui m'avait tant rebutée depuis le début, passe presque inaperçue dans ce tome, c'est dire!

La structure de l'histoire s'est améliorée aussi, la complexité des personnages et les cas de conscience qui se posent au héro sont enfin un peu plus pertinents pour le lecteur. Bon, ça reste de la fantasy-science-fiction et je ne cesse de déplorer le niveau médiocre dont se contente trop souvent les égéries du genre, exemple joyeusement suivi par tous les autres.



Mais, par ailleurs, on sent bien que l'auteur a envie de s'installer dans sa philosophie, la faire connaître, l'expliquer voire même, peut-être, convaincre le lecteur par le biais de nombreuses situations où tout concorde à prouver sa pertinence, mais également par des moments entiers où les protagonistes approuvent ou démontrent plus ou moins directement ces paradigmes.

Ces théories ultra-genrées manifestement alimentées par des fantasmes de type domination/soumission sonnent comme des archaïsmes incongrus à mes oreilles. Je ne les trouve pourtant pas moins recevables qu'une ferveur ultra-religieuse ou une théorie "des races humaines" qui, replacées dans un contexte géo-temporel, historique, culturel et même propre à l'auteur, me semblent tout à fait audibles. Néanmoins, ces croyances prennent de plus en plus de place dans les romans de J. Norman, au point d'en éclipser le reste et c'est précisément l'usage de cette propagande presque caricaturée au détriment de l'histoire que je trouve assez pénible et même grotesque.



C'est selon tous ces critères que j'ai cités que je maintiens une moyenne de seulement deux étoiles. Néanmoins, je trouve le courage d'encore aborder un nouveau tome de la série car, sans être adepte de ces théories de domination/soumission prônées par l'auteur, je dois bien admettre l’existence de ma tendance auto-sadique, en tout cas du point de vue littéraire. ;-)
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