Juan Díaz Canales

Si les dessins sont toujours aussi soignés, le cadrage est peut-être moins inventif et les couleurs moins importantes dans la narration. Quant à l'histoire, elle valait au moins un 2eme volume pour être explorée comme il se doit. C'est le reproche que je ferais également aux tomes suivants : sans tomber dans une série interminable, pourquoi néanmoins se contenter de one-shots à chaque fois ?

Blacksad fut une très belle découverte, j'ai été attirée par son style graphique dès le début. En effet, les personnages ont des têtes d'animaux qui met en valeur leurs caractères, sans dénaturer le côté sombre et adulte de cette BD polar, qui nous plonge dans ce qui pourrait être New York dans les années 50. C'est un style graphique que j'ai du mal à retrouver dans les bandes-dessinées d'aujourd'hui.



Cette histoire commence fort. D'entré de jeu, l'auteur nous accueilles avec le meurtre d'une actrice, Natalia, qui est aussi l'ex de notre héros. On suivra ce dernier dans son enquête, qui à l'air simple du premier abord mais qui n'aborde rien de trop complexe. Nous irons de rebondissements en rebondissements, et de belles surprises tomberont de temps en temps. La corruption va être pour ainsi dire, le credo de cette enquête.



J'ai beaucoup aimé le style des personnages. Leurs sentiments se voient, comme sur les animaux. Par exemple, notre héros se comporte parfaitement comme un chat quand il est en colère : oreilles baissées, dents ressorties. Les expressions sont très bien représentées, ce qui fait le charme de cette lecture.



J'ai hâte de pouvoir acheter la suite, qui semble tout autant prometteuse que ce prem
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j ai bien aimé

pas mal pas mal

l aventure continue pour notre cat s

tres bien aussi celui la

superbe
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amoureux des polars et des univers ombre, de la BD et accessoirement des animaux, ne passe pas ton chemin, la série Blacksad est incontournable (je risque l'utilisation de ce mot terriblement galvaudé).

Toujours aussi bon, grande série...

Dessin et scénario de grande qualité...

Lecture Jeune, n°129 - mars 2009 - Cette histoire de pirates, riche en péripéties, se situe au début du XVIIIe siècle en Caroline du Sud et dans les îles côtières. Au début du récit une jeune héritière, Harriet, fuit, prête à tout pour échapper à l'autorité de son vieux père, riche planteur au passé trouble. Son mariage secret avec le jeune Conrad, immédiatement découvert, déclenche une cascade d'événements dramatiques, de poursuites et de rencontres où s'affrontent les protagonistes : pirates féroces aux trognes inquiétantes parmi lesquels se détachent Murdoch, surnommé « le diable des sept mers », l'Iguane et les Anglais chargés de les anéantir au cours d'un abordage sanglant. L'appât du gain et la recherche de trésors enfouis dans des îles au sable fin entraînent ces hommes à commettre meurtres et trahisons. Le suspense est maîtrisé dans ce récit ponctué de ruptures et le lecteur n'a qu'une hâte : connaître enfin l'aboutissement de cette chasse au trésor. Le graphisme sert admirablement la narration, alternant les évocations moites des bayous, les grands ciels bleus des îles, le fracas sanglant des abordages et les nuits effroyables où se balancent les corps des pendus. Gageons que la suite sera aussi réussie ! ? Colette Broutin

Une fin d’aventure d’une idéologie communautaire superbement orchestrée qui donne à réfléchir sur le comportement ambigu de l’homme face à un idéal, se révélant parfois dans une image purement bestiale.
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Si l’ambiance envoutante de ce récit fait mouche, la mise en couleurs maîtrisée de Sedyas ni est certainement pas étrangère. [..] Un mise en bouche mélangeant de nombreux ingrédients, présentée avec maestria, mais dont la sauce à encore un peu de mal à prendre.
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Un western social, aussi sombre que déroutant, car flirtant avec l’horreur et le surnaturel !
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José Luis Munuera réalise un album dans la continuité du Signe de la lune, en effet ce récit avec son côté historique laisse une large part au fantastique. […] L’ensemble est captivant.
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Cette fois-ci, Blacksad a été embauché par une institutrice pour enquêter sur la disparition d'une fillette de son école dans un quartier chaud d'une ville sous l'influence d'un parti xénophobe.

Ce parti prône la supériorité des animaux de couleur blanche sur les autres et un genre d'apartheid s'est installé notamment dans les commerces en ville. Blacksad découvre rapidement que les hommes politiques et les hommes aux postes clefs trempent dans des magouilles pas très nettes.
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Une communauté atypique, un monstre effrayant, un garçon mystérieux, des enjeux humains et politiques… Fraternity propose un scénario intrigant et une ambiance toute particulière laissant présager un second tome prometteur.
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Je suppose que si vous êtes amateur de BD et de romans noirs, Blacksad est fait pour vous. Personnellement, je n'ai pas été emballée par l'enquête et ces personnages-animaux m'ont désarçonnée.
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L'attente fut longue depuis le tome 3, mais récompensé ! Super album. Des dessins somptueux, une maîtrise des ombrés et des clairs obsurs à couper le souffle.

Bien évidemment le scénario est comme toujours un petit bijou, la construction des images suerbes, la reconstitution de la nouvelle orléans dans les années 50 une merveille.

Et pour courronner le tout, comme dans tous les albums de Blacksad, le choix des animaux pour camper les personnages est absolument extraordinaire !

Un album indispensable pour tout les amateurs de bande dessinée.