Julie Garwood

Pour changer un peu de registre et après ma déception sur Beautiful Bastard, je me suis retranchée sur une valeur sûre. Julie Garwood fait partie, pour ma part, des auteurs que je connais et que j’aime lire. De plus, j’avais besoin de me retrouver avec une bonne romance historique – mon repose neurone naturel – alors que je passais ma soutenance.



Vous pouvez déjà voir avec la note que j’ai mise à cette romance que ce n’est pas une de mes meilleures lectures de Julie Garwood. J’apprécie toujours autant son style très fluide d’écriture mais malheureusement, l’histoire ne m’a pas transporté. Et pourtant c’est pas faute d’avoir choisie une romance sur les Highlanders.



Johanna est une jeune femme qui a été marié très jeune à un homme violent qui a réussi, au fil du temps, à saper sa confiance en soi. Elle accueille l’annonce de la mort de son mari comme un miracle et le signe que Dieu la protège.

C’est un personnage que j’ai beaucoup apprécié. C’est une femme forte et très courageuse qui arrive à se relever, reprendre confiance en soi et retrouver une vie normal avec son nouveau mari malgré tout ce qu’elle a vécu.



Gabriel est un nouveau Laird qui a du mal à réunir sous sa gouvernance les deux clans dont il a la charge. C’est un homme fort et viril mais malheureusement, je l’ai trouvé assez insipide.

Je souhaitais voir un highlander avec beaucoup de caractère mais la mayonnaise n’a pas pris de mon coté. La seule chose qu’il permet à Johanna est de tricoter au coin du feu car il la pense beaucoup trop fragile pour résister à la dureté de l’hiver dans les Highlands. Et ce coté homme des cavernes, très arriéré ne m’a pas plu mais en même temps, il est tout à fait raccord avec la période historique.



L’intrigue développée avait beaucoup de potentielle pour être passionnante, et elle m’a entrainé une bonne partie de ma lecture. Cependant, je voulais que tout soit révélé, que tout explose à la figure du roi et que nenni… L’intrigue est sous exploitée et c’est vraiment dommage.



Une romance historique sympathique mais loin d’être passionnante, je regrette notamment qu’on ne connaisse pas vraiment la fin de l’histoire comme on en a l’habitude avec ce genre de romance. En conséquence, on a un sentiment de frustration qui nait à la fin du livre. J’ai eu l’impression que l’intrigue n’avait pas été bouclé totalement…
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Pour avoir lu "Un mari féroce" de Julie Garwood, je sais que cette auteur a écrit d'excellents livres depuis ses débuts. J'ai donc décidé d'attaquer celui-ci, intriguée par le résumée. Dans l'ensemble, c'est une histoire très agréable avec simplement quelques petits bémols. En effet, Royce est un héros typique des livres cette auteur. Il est bourru, viril, ignorant des choses de l'amour...Quant à Nicholaa c'est une jeune femme intrépide, au caractère bien trempée qui donner du fil à retordre à notre baron. En effet, alors que Saxons et Normands s'affrontent, Royce doit retrouver Nicholaa et la ramener et revenir à la cour de Guillaume le Conquérant. Nicholaa se fait alors passer pour une religieuse et tient plus que tout à protéger des frères, Justin et Thurnston. De plus, elle doit s'occuper du petit Ulric, fils de Thurnston alors que celui ci s'est engagée dans la guerre. Lorsque Nicholaa sauve une petite fille dont la robe prend feu, le roi la récompense en lui offrant le privilège de choisir son époux. Bien entendu, le choix se porte sur Royce car elle est bien décidée à le défier jusqu'au bout. Le tempérament de Nicholaa m'a amusé et Royce m'a parut fort viril, mais il manquait ce petit quelque chose pour que je succombe totalement. Peut être me fallait-il un peu plus de passion ? Ou peut être que la maladresse de Royce envers sa femme m'a parfois dérouté...A de nombreuses reprises, il se montre exigeant envers elle mais il faut aussi dire, que Nicholaa n'est pas une jeune fille qui se laisse faire. J'ai été attristé également du départ d'Ulric, Royce et Nicholaa s'en occupait si bien...J'ai aimé lorsque Royce sent naitre en lui ce côté possessif envers sa femme et son désir de la protéger et de la rendre heureuse. Sans s'en apercevoir, il commence à connaitre des sentiments, des sentiments qui amènent irrémédiablement à l'amour. Néanmoins, c'est une histoire agréable et j'en garderais un bon souvenir car même si j'aurai aimé un peu plus de passion, les sentiments entre nos héros sont bien là, c'est indéniable. En tout cas, Julie Garwood a été fidèle à son style d'écriture et à ses héros plus que renfermé au début du récit. C'est donc avec plaisir je pense, que je relirai des livres de cette auteur.

Poursuivant lentement mais surement mon exploration dans la romance historique je me devais tôt ou tard de passer au crible l'une des expertes officiant dans le genre depuis de nombreuses années, Julie Garwood. J'ai pris mon temps quant au choix du titre afin de me familiariser avec le style de cette romancière, j'ai beaucoup peiné quant à me décider au vu de la carrière prolifique de cette dernière. Je me suis finalement tournée vers une des ses œuvres phares ayant récolté beaucoup de succès, "Le secret de Judith".





Ce récit débutera lors de la première rencontre entre Judith et celle qui deviendrait sa sœur de cœur et meilleure amie France Catherine. Une rencontre innocente entre deux fillettes qui se lieront d'une amitié pure malgré leur origines respectives, l'une étant Écossaise et l'autre Anglaise en plein antagonisme Anglo-Écossais. Nous les retrouverons à l'âge adulte avec une France Catherine enceinte souhaitant que sa meilleure amie Judith la rejoigne en Écosse pour être auprès d'elle lors de son accouchement. Une promesse qu'elles s'étaient faites quelques années plus tôt. Entre guerre de clans dans les Highlands, haine raciale et un secret que Judith tentera de cacher au risque de tout perdre notre jeune et audacieuse héroïne aura fort à faire. Malgré tous les dangers auxquels cette dernière devra se heurter, rien ne l’empêchera cependant d'être auprès de sa meilleure amie et ce au grand dam de l'imposant et effrayant Laird Ian Maitland. Chargé d'escorter Judith ce dernier n'aura de cesse d'être à la fois attiré par le charme et le courage de la jeune Anglaise et agacé par son fort caractère indomptable et insoumis. Une attraction qu'il tentera de contenir avant de tout bonnement renoncer pour la garder auprès de lui avec ou sans le consentement de cette dernière.





Pour mon premier Julie Garwood, je pense avoir fait une bonne pioche quant au titre choisie même si au départ ce n'était pas gagné. Pour ma part, il est toujours de mauvaise augure quand, lors de ma lecture je commence à réfléchir au prochain roman que je compte attaquer. Ma plongée dans ce livre m'a quelque peu laissé dubitative, car, malgré un début partant bien je me suis très vite lassée et ennuyée, j'étais loin d'être transportée malgré une plume délicieuse, fluide et amusante il me manquait quelque chose de primordiale pour me faire perdre pieds et pour ainsi dire m'accrocher quant à continuer cette aventure. Il m'est même arrivée ce que j'appelle "le décrochage", l'envie ne se faisant pas pressant quant à poursuivre j'ai préféré ne pas lire pendant trois soirs et repousser ma lecture. Puis coup de théâtre, sans prévenir et à ma grande stupéfaction je me suis retrouvée totalement enchantée et dans l'incapacité de lâcher le livre avant d'en connaitre la fin. Le charme a pris son temps pour agir mais il a finalement opéré sur moi.

L'intrigue sera divisée en trois parties toute plus conséquentes les une que les autres et décris avec autant de passion que d'humour par l'auteur. Que dire des personnages à part qu'ils sont dans l'ensemble une réussite et plus particulièrement Lady Judith Hampton. Une fois que vous aurez fait la connaissance de cette intrépide Anglaise vous ne verrez plus les Ladies de la même manière car ce petit bout de femme est totalement impayable et inoubliable. Il sera difficile à l'avenir de ne pas trouver les autres héroïnes fades face à elle. Judith m'a souvent fait sourire, pouffer de rires et émue également en un rien de temps. Une Lady attachante, intelligente, drôle et perspicace qui saura se faire une place au cœur des Highlands de manière toujours subtile et malicieuse. J'ai particulièrement apprécié les passages l'opposant aux anciens assez conservateurs, rétrogrades ayant une vision de la femme et de sa place dans le clan quelque peu désuètes. La furie blonde apportera un vent de renouveau le bienvenue au sein des vieux guerriers Écossais nous gratifiant de scènes d'ailleurs très cocasses et hilarantes au possible. Pour tenir tête à la jeune Anglaise il fallait à Judith un homme possédant un charisme égal voir supérieur à notre Lady et ayant un sens de la répartie aussi pertinent et succulent que cette dernière, Ian Maitland postulera pour ce rôle. Je dois dire que je n'ai pas apprécié immédiatement cet ours mal léché. Laird assez autoritaire n'aimant pas les Anglais, ayant l'habitude d'être obéis au doigt et à l’œil, sa première rencontre avec Judith fera obligatoirement des étincelles. Les traditions, coutumes et meurs étant assez différents entre l’Écosse et l'Angleterre, tout deux se heurteront à un choc culturel et Ian devra apprendre à faire preuve de patience face à la mutine Anglaise. Le guerrier assez grincheux du début laissera peu à peu place à un homme sensiblement différent, attentif au bien être de Judith, faisant des concessions sans toutefois renier sa nature de guerrier. Ian deviendra un homme très attachant et fera tout pour protéger celle qu'il aime même si ses façons de faire, bien que partant d'un bon sentiment se révèleront souvent maladroites. Un couple fort réussis ou l'attirance et le désir seront palpables dès leur rencontre mais où les sentiments feront surface et s’intensifieront au fur et à mesure de manière réaliste nous offrant au passage des joutes verbales savoureuses et bras de fer cocasses au possible.

L'auteur n'a heureusement pas mis de côté les personnages secondaires, ces derniers auront également des rôles important à jouer. La complicité entre Judith et France Catherine sera décrite de très belle façon et se révèlera à la fois touchante et amusante. Les guerriers seront tous très charismatiques, je n'en citerai cependant qu'un appelé à être le prochain héros de cette trilogie, Brodick. Un homme pourvu d'un sale caractère qui pourtant s'adoucira au contact de l’héroïne et deviendra même un temps le rival de Ian. J'ai pouffé de rire à la fin concernant sa future partie de chasse en Angleterre. Les lectrices comprendront où je veux en venir...

Seul bémol à citer tout de même, le secret de Judith nous étant dévoilé dès le prologue, j'aurai préféré que l'auteur conserve le suspense le plus longtemps possible et distille ça et là des indices au lieu de nous mettre d'entrée dans la confidence.





Ce fut mon premier Julie Garwood et pour moi une excellente surprise me laissant un ressentis agréable. Une lecture rafraichissante et concluante malgré un début difficile. Une œuvre hilarante à découvrir pour son intrigue rondement bien menée, ses personnages d'envergures et une plume exquise.

XIe siècle, Lady Nicholaa est saxonne, et fera tout pour défendre son château contre ces barbares de Normands. Mais elle est capturée par le baron Royce et amenée à la cour du roi Guillaume, pour être offerte en tant que trophée au vainqueur d’une joute.

Mais voilà que l’histoire tourne à son avantage, car en sauvant la nièce du roi, de l’emprise des flammes, elle va avoir droit à une faveur, et elle pourra elle-même choisir son mari.

Rien de mieux que de choisir Royce, celui qui l’a capturé pour lui faire vivre un enfer à sa manière.

Nicholaa est une belle jeune fille, gentille, douce et téméraire, prête à tout pour arriver à ses fins, et surtout à tous les mensonges possibles. Mais elle est une bien piètre comédienne, malgré son ingéniosité, son mari arrive à lire en elle comme dans un livre ouvert, encore plus quand elle se mélange dans ses mensonges.

Royce est un grand guerrier, fidèle à son roi, il va rapidement tomber sous le charme de Nicholaa, sa force de caractère et sa détermination.

Elle n'est que douceur et à tant d'amour à donner alors qu'il n'est que sévérité, ordre et commandement. Ce qui à la longue est un peu embêtant et redondant, trop de mièvrerie d’un côté et de rigidité de l’autre.

Lui ne sait pas comment vivre une relation de couple, il ne connaît que la guerre et ses soldats, tandis que Nicholaa a le cœur sur la main, elle pense d'abord aux autres avant elle, et va tout faire pour faire plaisir à son mari.

J’ai eu un peu de mal au départ de ma lecture à comprendre le côté historique avec les Saxons et les Normands.

Une fois qu’on entre dans le vif du sujet avec la romance et le côté un peu guerrier, on est vite pris dans l’histoire.

Une romance historique drôle par moments, de très bons personnages, mais une lecture qui ne va pas me rester très longtemps en mémoire.

Si ce roman n'est pas mon préféré de l'autrice, c'est toujours un plaisir de retrouver sa plume. Et ici pour terminer une série sur fond de western et d'une famille qui s'est créée sur les liens du cœur plutôt que du sang. L'histoire aurait mérité d'être plus approfondie, mais j'ai quand même passé un bon moment de lecture, avec pas mal d'humour. Julie Garwood est décidément une référence en romance historique.

Alors que je devais, dans le cadre du challenge Un genre par mois, lire le sixième tome d’Outlander, je n’ai pas trouvé le temps nécessaire à cette lecture. J’ai donc opté pour une autre romance historique écossaise. Malheureusement même si l’auteure utilise tous les codes de ce genre, je n’ai pas été autant conquis que j’aurais pensé l’être.



L’histoire débute en l’an 1181, où nous faisons la connaissance de Judith, jeune fille anglaise, orpheline de père assistant au festival écossais ayant lieu aux frontières de l’Angleterre et de l’Écosse. Lors de ce festival elle croisera le chemin de France Catherine, une jeune écossaise. Celle-ci deviendra vite sa meilleure amie malgré les rivalités ancestrales entre ces deux pays. Échangeant leurs moindres secrets, dont celui de notre héroïne, les deux femmes se promettront de veiller l’une sur l’autre tout au long de leur vie. C’est ainsi que Judith se verra confier l’accouchement de sa jumelle et déménagera temporairement dans les Highlands. Au travers de ce voyage, l’auteure nous dévoilera le personnage de Ian, laird du clan Maitland. Derrière sa brutalité et sa fierté, Judith succombera à ce dernier et une certaine attirance non avouée les poussera l’un vers l’autre.



L’histoire en elle-même n’a vraiment rien de bien original, j’ai d’ailleurs eu l’impression de relire sous certains aspects le premier tome de la série Outlander. Je ne sais pas si l’auteure s’en est fortement inspirée mais malheureusement sa plume souffre beaucoup de cette comparaison. Je n’ai hélas pas retrouvé l’ambiance si mystique que j’affectionne particulièrement lorsque je me plonge dans les contrées lointaines d’Écosse.

De plus, même s’il s’agit de romance historique, je m’attendais à beaucoup moins de romance. Les trop rares fois où les conflits politiques sont abordés, cela est fait de manières beaucoup trop succincte, et c’est trop peu travaillée pour que le lecteur se sente un minimum concerné. J’ai seulement été spectateur d’une romance qui avance bien trop lentement entre une anglaise au passé scandaleux et un laird, comme il se décrit lui-même, sans cœur.



Malgré cet aspect fleur bleue, j’ai apprécié ce duo de personnages aux caractères bien trempés qui créeront beaucoup de situations risibles et drôles, apportant une certaine touche de fraîcheur par moments. J’ai apprécié lorsqu’ils s’ouvraient l’un à l’autre sans la moindre pudeur mais je n’ai pas forcement apprécié le côté trop lisse et parfait de chacun. Inexorablement la moindre situation ou échange se finissait bien, j’aurais aimé un peu plus de complexité dans cette relation finalement bien trop plate.

D’ailleurs ce constat peut tout aussi bien se poser à la trame principale de cette aventure. Petit à petit et sans vraiment de difficulté Judith parviendra à se faire une place au sein de cette communauté indépendante, fière et forte, et parviendra même par force de persuasion à imposé son point de vue au détriment de celui de leur Chef, Ian. Là encore, un peu de piment n’aurait pas été de refus, tout se passe beaucoup trop facilement pour que cela soit réel. Comment une ennemie anglaise peut-elle, non sans mal, se lier d’amitié avec tous les sbires de son amant ? J’irais jusqu’à dire qu’en nous livrant quasi exclusivement de la romance, le récit perd fortement en crédibilité et son aspect historique me fait l’effet d’un pétard mouillé.



Heureusement tout n’est pas à jeter, j’ai trouvé le texte écrit d’une constance et d’une fluidité totale. Même si j’ai souvent levé les yeux au ciel, je dois bien admettre que le résultat reste très addictif et que j’avais souvent envie de connaître la suite des événements que réserve l’auteure à Judith. Sa plume est d’une simplicité sans faille et donc, malheureusement aucune prise de risque n’est prise pas l’auteure. Par conséquent, je trouve que son aventure manque fortement de rebondissements réels afin de maintenir une certaine tension au cours de cette lecture. De plus ce roman souffre d’un énorme manque de descriptions à couper le souffle dont j’ai pris l’habitude de lire. Seul le château est réellement décrit au lecteur, pour le reste le minimum lui est servi, c’est pour dire.



Pour terminer cette chronique, je dois avant tout vous avertir. Si comme moi vous adorez la saga Outlander, passez votre chemin ou alors obligez-vous à faire abstraction pour jouir pleinement de cette lecture. Je ne suis malheureusement pas parvenu à le faire et je pense que cela a fortement handicapé la mienne et donc mon ressenti. Je pense cependant que ce livre plaira indéniablement aux lecteurs – enfin surtout aux lectrices – qui recherchent une histoire d’amour sans prise de tête, avec des personnages ‘parfaits’, mais plaira moins à ceux qui aiment en apprendre d’avantage sur l’histoire de mon Écosse d’antan que j’aime tant.
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Une promesse, c'est une promesse alors, quand le temps est venu, il faut tout faire pour la respecter et c'est ainsi, qu'une amitié, scellée dans l'enfance, continue à fleurir et à grandir malgré le temps, malgré la distance et surtout, malgré la haine profonde qui sépare deux peuples, si proches et pourtant si éloignés l'un de l'autre.

L'auteure avec beaucoup de doigté et d'humour nous parle de l'amitié unique qui peut unir deux femmes mais aussi de la grande peur qui les étreignait toutes quand le terme de l'accouchement approchait et combien il fallait de courage au XIIème siècle pour avoir un enfant mais aussi pour exercer le métier de sage-femme tout en respectant les règles d'usage et celles, parfois obscures, de l’Église.

Un style bien rythmé avec des dialogues souvent hilarants donne le ton à cette romance qui aborde pourtant des sujets aussi délicats que la maltraitance dans l'enfance, l'alcoolisme, le désamour maternel et le mensonge.

Roman rouge oblige, tout fini bien sûr par s'arranger dans les bras d'un superbe highlander brave et téméraire ;-)

C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai retrouvé les personnages bien attachants rencontrés lors de la lecture du roman « Le maître-chanteur », roman qui commençait ma grande aventure du multi-défis 2016. Et justement, dans le cadre de ce challenge, je place cette lecture pour l'item « Un livre découvert sur l'île déserte d'un ami Babelio ». Jbyaly semble, en effet, partager mon amour inconditionnel pour cette auteure qui arrive toujours à me transformer en guimauve le temps d'une lecture et qui me fait si bien rire :-)

Eh bien, c'est du Julie Garwood, le 2nd que je lis de cette auteure, et j'avoue qu'elle me laisse mitiger sur mon avis de lecture.



Autant j'aime ses histoires, vraiment, et ses personnages haut en couleur, avec des caractères qui me plaise, des sentiments émouvant... autant j'aime pas le style, ce changement de point de vue des personnages, sans être annoncé, ça me perturbe lors de ma lecture. Il y a eu pas mal de moment où j'ai dû relire les phrases précédentes en me demandant qui parlait et c'est agaçant, ça me coupe dans ma lecture sans cesse.



Malgré ça, j'ai quand même bien aimé, donc globalement c'est une lecture positive :)



J'ai beaucoup aimé le personnage de Nicholaa, elle est forte, intrépide, courageuse, elle n'hésite d'ailleurs pas à se mettre au-devant du danger pour sauver ceux qu'elle aime, naïve aussi, et c'est tellement touchant de la voir si ignorante quant à sa beauté, ses relations ... elle a un sacré caractère et ne se laisse pas marcher sur les pieds! J'ai eu quelque moment de froncement de sourcil en la voyant essayer de changer!!! Royce quand à lui, c'est le guerrier rustre ^^, au coeur tendre, il est si doux, surtout avec Nicholaa, et il est courageux également, il en faut de toute façon quand on passe du temps auprès de Nicholaa :D. J'ai beaucoup aimé, sa façon d'être et de faire les choses.



On apprend à les découvrir au fil des pages, et c'est bien plaisant de les voir évoluer ainsi que leur relation :)



Petit bémol sur la fin... est ce qu'il y aura un prochain tome ou non ?! aucune idée, je ne pense pas, mais j'ai l'impression qu'elle est incomplète, et l'histoire le dit elle-même dans les dernières pages, nous n'avons pas de réponse à tout et c'est dommage :/



Néanmoins, c'est une belle romance, avec de beaux personnages :)
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Je n'ai pas été très convaincue par cette romance qui souffre à mon avis de personnages pas assez consistants. Entre une jeune femme éprise de liberté, manipulatrice, mais avec un coeur d'artichaut, supposée commander des pirates et un homme possessif, bien trop protecteur, mon coeur ne s'est pas emballé.



L'histoire n'est pas mauvaise pour autant: Jade, pour protéger Caine qui se met en danger depuis qu'il cherche à comprendre la mort de son frère, décide de se faire passer pour une demoiselle en détresse alors qu'elle a du caractère à revendre et qu'elle dirige de main de maître des expéditions pas toujours légales. Caine, écoutant son instinct protecteur décide de lui venir en aide. Elle semble pourchassée par des bandits. Entre nos deux héros, une attirance immédiate voit le jour mais Jade ne veut pas s'attacher à qui que ce soit. Elle a toujours été laissée derrière, abandonnée à certains moments par ses proches. Les mensonges et ses peurs ne vont-ils pas les séparer?



La sauce n'a pas vraiment pris. Les personnages m'ont souvent irritée et certaines situations étaient trop farfelues.

Il y a des éléments intéressants, certaines répliques assez drôles mais l'ensemble ne m'a pas convaincue..

Cette romance ne restera pas longtemps dans ma mémoire...

Au départ, j'avais songé à sauter ce tome dont l'histoire ne me disait rien. Après tout, les tomes sont indépendants des uns des autres. Je me suis donc tournée vers le tome 3 : Un cadeau empoisonné avec lequel je passe un bon moment. Néanmoins face aux nombreuses mentions de Jade, l'héroïne d'Un ange diabolique, j'ai pris la décision de revenir en arrière par curiosité. Je voulais voir qui était cette femme si forte à laquelle une jeune demoiselle veut tant ressembler. Si j'avais su à quoi je m'exposais, j'aurais sans doute continué ma lecture au lieu d'aller au-devant d'une déception.



Car oui, Un ange diabolique est en-dessous de son prédécesseur (et même de son successeur). Pourtant l'intrigue n'est pas inintéressante. En fait, les idées sont bonnes, mais les deux héros n'ont clairement pas réussi à me séduire. D'un côté, nous avons Jade, une très bonne comédienne et menteuse, si douée qu'à la fin, il était difficile de savoir qui elle était vraiment. Résultat, je l'ai trouvée plus insupportable qu'autre chose… Quant à Caine, le héros masculin, ce n'est guère mieux. Je n'ai jamais vu de personnage aussi possessif. Il m'a agacée avec sa volonté d'avoir Jade, de la faire sienne et d'user d'une autorité contestable. Il a tout du dictateur capricieux, qui mériterait une bonne paire de gifles, voire d'un coup sur la tête histoire de lui remettre la tête en place.



Par contre, j'ai apprécié les personnages secondaires. J'ai été ravie de revoir Lyon, héros du précédent tome, qui m'a donné une raison de poursuivre ma lecture. J'ai apprécié Nathan, héros du tome suivant, qui a un caractère de chien, et qui réussit à offrir des pointes d'humour dans ses échanges avec sa sœur, Jade, et Caine. Il ne faut pas non plus oublier Stern, qui vaut le coup d'oeil et qui sait tenir tête à Caine. Ou encore Black Harry, un oncle détonnant et touchant. Bref, la galerie est belle et parvient à arracher des sourires bienvenus.



Au final, Un ange diabolique souffre de deux personnages principaux, qui agacent plus qu'autre chose. Heureusement, l'intrigue, les personnages secondaires et l'humour parviennent à sauver le roman du naufrage. Pour moi, il ne fait pas partie des indispensables à découvrir, mais peut constituer une lecture sympathique si on aime les menteuses manipulatrices et les dictateurs possessifs (ou qu'on est tout simplement moins dure que moi :P). De mon côté, je retourne sur le tome 3, qui a tout d'un futur coup de cœur !
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On suit ici, Nathan et Sara qui ont été mariées aux âges respectifs de 14 et 4 ans par ordre du roi afin de réunifier les familles Winchester et St James.

14 ans plus tard, Nathan décide d'aller récupérer son épouse afin de pouvoir toucher le trésor promis par le roi s'ils vivent un an ensemble.

Mais il ne s'attendait pas à récupérer une aussi jolie épouse et surtout une tête de mule.

A 18 ans, Sara a idéalisé son mari comme un prince charmant; hors elle découvre qu'il a plus du viking et du pirate que du prince charmant. Il n'empêche que c'est son mari et qu'elle fera tout ce qui est en son pouvoir pour qu'il l'apprécie à sa juste valeur.

Au début, Sara m'a un peu saoulé. Elle fait idioties sur idioties; ce croit maîtresse d'un navire... Heureusement que cela s'arrange sur la fin du livre.

J'ai bien aimé mais j'aurai préféré que Sara soit moins tête à claque.

Ce roman est une romance qui se lit bien et qui est sympathique, tout comme le sont les personnages. Les origines de Christina composent l'élément le plus original de cette romance. Sa différence amène de l'humour lors de certaines situations et rend la demoiselle totalement unique. Cependant, certaines réactions, certaines actions et certains traits des personnages principaux m'ont rebuté, des rapidités dans l'histoire ou au contraire des points qui traînaient en longueurs ont moins été à mon goût. J'ai tout de même aimé et passé un bon moment.
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Christina est une jeune anglaise élevée par les indiens Dakota suite à la mort de sa mère. Revenue dans sa patrie d'origine pour découvrir qui elle est vraiment, elle fait la rencontre de Lyon. Lyon est un jeune marquis cynique et austère. Trahi par sa femme et son frère des années auparavant, il déteste le monde entier.. jusqu'à sa rencontre avec Cristina. Une rencontre qui va bouleverser leurs plans à tous les deux..



Bon, j'adore les romances, vraiment. Ça fait battre mon petit cœur de midinette, ça me fait sourire, toussa toussa. Mais surtout, j'aime les romances modernes! Je ne parle pas de l'époque mais bien du style. Ici, j'avoue que nous sommes en présence d'un roman quelque peu.. kitsch, je ne vois pas d'autre mot. (Me lancez pas des pierres par pitié, je sais combien ce roman est adoré par les blogueuses, pardon pardon.)



Il faut dire qu'il a été écrit en 1988, ceci explique cela. Je ne dis pas que tous les romans de plus de dix ans sont tous forcément mauvais ni même qu'il l'est, en fait, je dis juste que ça se sent tout de suite. Prenons l'héroïne principale: elle a beau être forte et courageuse, elle n'en a pas moins été élevée par des indiens et n'est rien de moins que la fille du souverain d'une petite monarchie, comme ça, pouf. J'avoue que c'est sans doute ces gros détails qui m'ont quelque peu fait lever les yeux au ciel. C'était juste trop gros. (Vous savez, un peu comme les vieux Barbara Cartland, tous ces romans qui concernent des princesses russes, des jeunes filles enlevées par des princes arabes, ce genre de choses quoi.)



Malgré ça j'ai continué ma lecture, va savoir pourquoi. Au final, j'ai plutôt bien fait! Même si ce roman est kitschissime et m'a semblé parfois ridicule et bien j'ai aussi rigolé. Genre beaucoup, tout le temps. Pas de rires de moquerie, non, de vrais rires face à des scènes et des dialogues juste excellents. Au final, le fait que Christina ait été élevée par des indiens est une excellente chose puisque ça donne lieu à des scènes complètement surréalistes. J'ai pouffé de rire devant mon livre toute seule, comme une idiote.. et c'était vachement bon. Et puis voilà, à force je me suis petit à petit attachée aux personnages, à Christina avec sa façon d'être totalement à part, à Lyon avec sa gentillesse et son amour à tout épreuve, aux personnages secondaires qui vont et viennent, etc etc.



Au final, ce sont sans doute ces souvenirs-là qui me restent le plus. Du très mauvais comme du très bon mais avec le très bon qui gagne.. et largement. Je ne lirai pas d'autres romans de l'auteure je crois mais j'ai été plutôt contente de découvrir celui-ci. Si les romans aux histoires désuètes vos plaisent et que vous aimez rire.. ce livre est fait pour vous!
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Un Thriller féminin!!



Un homme vient se confesser au père Tom Maiden. Il se fait appeler « le Tombeur », a déjà torturé et tué des femmes. Il n’est pas là pour se repentir, au contraire, mais pour annoncer à Tom que la prochaine victime sera sa sœur, Laurant. Tom fait alors appel à Nick Buchanan, son meilleur ami, qui travaille au FBI.



On sent des relents d’eau de rose dans ce roman mais ce n’est pas désagréable et, après tout, c’est par là qu’a commencé Julie Garwood. Mais c’est bien écrit, fluide, sans fioritures.



Malgré le thème grave, il y a pas mal d’humour : une vieille dame qui écrit au FBI pour qu’il enquête sur la mort de son chien, la phobie des avions de Nick (avant d’y monter, il se livre à une enquête sur le commandant de bord) ou encore le grade du corps de Tom, dragueur impénitent, déguisé en prêtre…



Je le recommande aux fans d’Iris Johansen et de Linda Howard.

Une pincée d'histoire, un soupçon d'érotisme, un brin d'humour, des personnages hauts en couleur, des caractères bien trempés, une écriture fluide et agréable et un scénario qui tient la route. Le roman se lit d'une traite en cas de coup de blues ou de déprime saisonnière :-)

Encore un roman que je voulais lire depuis un moment, ce fut mon premier Julie Garwood et je ne regrette pas du tout ! L'histoire est très captivante et j'ai adoré Gabriel, la séduisant Highlander. Bien qu'arrogant et parfois bourru, il ne demeure pas moins charmant et très viril. Quant à Johanna, c'est une jeune femme au passé douloureux, chez qui sommeille une force insoupçonnable. Autrefois maltraité par son mari Raulf, elle reprend gout à la vie et en particulier dans les bras de Gabriel MacBain.

Celui-ci s'attache peu à peu à ce petit bout de femme qu'il trouvait insignifiante au départ. Alors que Nicholas, le frère de Johanna lui avait demandé d'épouser sa sœur, il avait accepté par pur intérêt...Toutefois, il tombe bel et bien amoureux de sa ravissante épouse.

J'ai beaucoup aimé les personnages secondaires qui ont eux aussi leur importance, ainsi que l'union entre Nicholas et Clare. Quant au retour de Raulf et du père Hallwick, on attend qu'une seule chose...Que Gabriel nous débarrasse de ces deux individus qui nous dégoute depuis le début, en tant que lecteur.

J'ai été très heureuse de voir Johanna tomber enceinte alors qu'elle se croyait stérile. Cela renforce son amour pour Gabriel et la comble de bonheur. En tout cas, ce fut une très belle découverte, que je recommande vivement.

J'ai lu ce roman dans le cadre d'un challenge afin de valider une consigne, sans être attirée plus que ça...mais...



C'est donc mon premier "Julie Garwood" et je pense que ce ne sera pas mon dernier. C'est une lecture sans prise de tête, la plume de l'autrice est agréable.



Rien d'exceptionnel dans le scénario, mais j'ai apprécié l'humour et la répartie des personnages. Le personnage féminin est plein de fraîcheur, sa candeur peut toutefois agacer par moment, mais j'ai passé un petit moment de lecture sympathique.

Je lis peu de romances historiques et celle-ci est ma première de Julie Garwood ! « Pas la meilleure » m’a-t-on dit (je vous vois) mais vu mon niveau débutant dans cette catégorie et même si des petites choses m’ont un peu dérangée, j’ai bien aimé cette lecture !



En tout cas, c’est une histoire peu banale...



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Enfin, un nouveau roman de l'auteure et alors, quel plaisir de retrouver certains personnages comme Brodick par exemple qui m'a tant fait rire dans « Le maître-chanteur ».

De l'aventure, une belle légende, un brin d'humour, de l'amour bien sûr et il ne faut surtout pas oublier, de superbes écossais, le tout enrobé d'une belle plume donne finalement un roman plaisir qui se lit d'une traite :-)

Pas le meilleur de l'auteure mais il n'en reste pas moins que pour moi, elle reste la reine incontestée des livres rouges où l'humour a autant de place que l'amour ;-)

Une demande en mariage ne se refuse pas même quand elle est faite par une petite fille de quatre ans, même quand la réponse survient plusieurs années plus tard, même quand cela bouleverse les plans du père de la mariée…

Et encore une belle aventure dans les somptueux paysages des Highlands où la guerre entre clans n'a pas toujours besoin d'une étincelle pour être déclarée alors, un rapt suivi d'une union…

Une fois de plus l'auteure me fait vibrer et sourire et rire avec ses dialogues désopilants et ses situations des plus cocasses qui pourtant abordent souvent des problèmes des plus sérieux, ainsi la trahison, le mépris, l'abandon mais aussi la fidélité, l'honneur et l'amour.

Une plume des plus vivifiantes, un rythme endiablé, un vocabulaire riche et coloré, des rebondissements des plus surprenants et des personnages vraiment attachants, que demander de plus à une lecture plaisir ;-)

Pour le challenge multi-défis 2016, je vais utiliser l'item « Un roman d'aventures » car en fait, tous les romans de l'auteure sont des aventures plutôt historiques, un chouya érotiques et toujours très comiques :-)