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Citations de Karim Berrouka (259)


- Ca peut leur faire quoi aux Douze du Conseil, un nuiton ?
- Rien. Mais... Euh... Si on lui colle une ampoule de cent watts dans le fion, elles peuvent s'en servir comme... lampe de chevet ?
- Et plusieurs ?
- Lampes de chevet ?
- Non ! Nuitons !
- Plusieurs combien ?
- Plusieurs comme dans un Clan, par exemple. Combien de nuitons dans un Clan ?
- Entre cent et mille... Selon les Clans... Mais des fois pas autant. Ou encore plus... Ca dépend de la saison...
- Un petit millier, ça pourrait représenter un danger ?
- Ca ferait surtout une putain de guirlande de Noël !
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Mais il sait que que les ténèbres et la peur font souvent s'écrouler les barrages que dresse la raison contre la naïveté.
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Marine a grimacé. Quand les phrases sont trop biscornues, ça fait des toiles d'araignées dans sa cervelle. Il faut qu'elle secoue la tête pour les démêler.
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Non à le ultra libéralisme de la art ! Joignons à notre croisade les punks des squats, les rappeurs des técis, les bluesmen des bars, les folkeux de la campagne, les jazzmen des caveaux, les death métaleux et autres hard rockers des sous-sols des églises sataniques, les gothiques des soirées batcave, les chanteurs à textes des cabarets oubliés, les classiqueux des couleurs du tromé, les émigrés de toute la terre avec violon transylvaniens, kora sénégalaises, koto japonais, sanza congolaises, bouzoukis grecs, flûtes irlandaises et tous ceux que j'oublie vu que je vais pas y passer la nuit, enfin ce qu'il en reste car le jour se lève déjà et l'horizon se teinte d'une fureur incarnate.
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« Alors, c’est une machine à quoi ? À immortalité ? À hyperespace ? À Solution finale ?
— J’en sais rien… »
Au moins on est sûrs d’une chose : l’amplitude de sa polyvalence est assez effarante.
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- Mort aux banquiers, aux grands patrons, à l'économie de marché, au harcèlement managérial, à la déshumanisation et l'aliénation de l'homme par le travail : passe très bien. Le ras-le-bol était déjà presque général avant la fin du monde, personne n'est tenté par un remake.
[...]
- Non à la religion : la religion, c'est l'opium du peuple. Là, plus de réticences. L'opium, il y a des moments où c'est sympa pour oublier
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Même l'église, dont il a accepté qu'elle conserve son rôle premier à condition que des parties soient aménagées pour les protestants, les musulmans, les Juifs et les bouddhistes – s'il faut qu'ils prient, qu'ils le fassent en acceptant les autres, dans la paix et la bonne humeur, ce qui changera des vieilles coutumes de pogroms et bûchers des années pré-fin du monde – , voit sa fréquentation baisser
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Deuspi et Fonsdé jubilent. C'est l'anarchie. Ce à quoi Kropotkine répond que non, ce n'est pas l'anarchie, c'est le chaos. Ils confondent tout, encore et encore
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Le monde est patient, il respecte la logique des tensions, une sorte de loi universelle qui veut que l’élastique de la réalité ait une résistance accrue, et qu’avant qu’il ne pète, il faut qu’il enregistre une puissante tension. Ainsi va le monde, comme les hommes. Ils endurent, ils subissent. Puis, un jour, c’est le chaos.
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La fiction des fanatiques est leur vérité la plus pure.
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Elle suit le journal pendant une heure, et finit par conclure que son avis sur la télévision n'a pas besoin d'être réévalué: l'information continue est toujours aussi peu informative.
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- Donc, nous restons, nous aussi, indécis.
- Avec un penchant pour la destruction. Car nous sommes humains, et nous préférons détruire ce que nous ne comprenons pas.
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Plus tard, ils se collent devant la télé. (...) Ils se sentent honteux. La télé... C'est un peu un acte de collaboration, un début d'allégeance au consumérisme, donc au Grand Capital. Ils font abstraction, c'est pour la bonne cause.
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Vers une heure, coupure de jus. L'électricité a rendu l'âme dans le quartier. Il va falloir sortir les lampes de poche, puis se remettre aux bougies quand on a épuisé les piles. L'apocalypse, c'est d'un prévisible...
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[...] 11. Le zombie ne dort pas. Il est donc aussi nombreux dans les rues de jour comme de nuit. Par contre, niveau vision nocturne, il n'est pas plus avantagé que nous. Et comme il n'est pas près de comprendre le fonctionnement de la lampe de poche...
12. Le zombie n'est ni un humain ni un animal. Il n'est ni mort ni vivant. Vous pouvez en buter autant que vous voulez, vous irez quand même au paradis. Ça, c'est pour toi, Eva.
[...] 14. Le zombie n'est probablement pas réactif à la dope. Ça, c'est pour vous, Deuspi et Fonsdé, vu que vous allez, à un moment ou un autre, avoir l'idée stupide d'en kidnapper un pour lui faire des soufflettes ou lui faire avaler de force des neuroleptiques.
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- Les couillons à l'extérieur ont tous chopé la rage. Pas très seyant comme tenue, je le reconnais, mais sacrément efficace. Je dois avoir quelques incisives plantées au niveau de l'épaule et du cul. Je me suis dis que si ça résistait aux pitbulls, aucune chance pour qu'un de ces dégénérés puisse me niaquer le lard.
Logique.
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Houlà ! se dit Ingrid alors que les membres de l’assemblée se lèvent et se mettent à tourner sur eux-mêmes. Elle est tombée sur une véritable congrégation de défoncés du bulbe. La preuve vivante que si Cthulhu existe (c’est une éventualité qu’elle ne considère que dans un cadre rhétorique), il serait bien avisé de le ressusciter et de l’encourager à détruire l’humanité. L’annihilation de la race humaine est préférable à l’absorption totale dans l’amour pur et unique.
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Cthulhu, Ursula, même combat. Horribles à rendre fou, résistants comme un ballon de baudruche trop gonflé.
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— [...] Vous connaissez Cthulhu ?
— Pas personnellement.
— Je m’en doute… Il va falloir vous initier.
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Ce n’est certainement pas un amas putrescent vert vomi qui va les empêcher de se mettre minable.
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